Cest grâce à un « Tes pas cap ! » que tout a commencé. Nous sommes quatre femmes bien mariées, sensuelles et très amies. Nous allons au moins une fois par semaine soit chez lune, soit chez lautre. En principe, cest pour boire un thé. En réalité, nous causons sérieusement de ce qui en vaut la peine, sauf de la politique (une seule fois a suffi). Bien sûr, le sujet le plus abordé est le sexe. Tant pour lune que pour lautre, cest une chose capitale dans notre vie. Aucune ne pourrait sen passer.

Nous expliquons souvent nos dernières étreintes avec nos maris, ou pour lune avec son amant, puisque son mari ne la comble pas.

Et un après midi, après une discussion enflammée sur les mérites comparés du cunnilingus et de la sodomie, lune préférant la sodomie et une autre mettant le cunnilingus et la fellation au-dessus du reste, une de nous je ne sais même plus laquelle nous a mises au défi de faire des 69 pour voir laquelle jouirait la première. Emportées par lélan, nous avons répondu positivement. Nous précisons que nous avons toutes dans notre sac un gode pour parer à lurgence.

Cest ainsi quavec Julie, une blonde aux gros nichons, Michèle, brune aux yeux bleus au magnifique sourire, Danielle, une autre brune mate de peau, et moi, Lucie, châtain clair aux yeux verts munie de pare-chocs avant assez durs, nous nous sommes engagées dans une voie sans issue pour certaines, mais agréable pour nous.

Cest Danielle qui donne le départ : elle est habituée aux orgasmes hors mariage : elle ne jouit quavec son amant, un type habile daprès elle, qui la suce merveilleusement bien. Elle se lève de son siège pour se déshabiller. Nous sommes assez excitées pour la regarder avec envie. Elle est bien faite, et le fait remarquer en se tournant sur elle-même. Elle me tend la main pour que je fasse comme elle, sauf que cest elle qui procède à lépluchage. Je me laisse faire, même quand elle fait tomber mon string.

Les deux autres filles nous regardent sans bouger pour le moment ; Danielle me demande si jaime me faire sucer et enculer à la fois. Je nai jamais essayé cette position, malgré les propositions de mon mari. Avant laller plus loin, elle sort son gode et me fait asseoir sur un fauteuil, les jambes bien ouvertes. Je montre à toutes mon sexe. Mais, emportée par lexcitation, je nai même plus de pudeur. Danielle me fait mettre mes fesses presque au bord du fauteuil.

Sa bouche vient sur ma chatte. Si javais voulu refuser, il est trop tard : sa langue lèche déjà mon bouton. Je ne sais comment elle fait ; elle réussit le cunnilingus mieux que mon mari. Je dois mouiller grave… Elle entre deux doigts dans le puits pour y puiser de la cyprine quelle pose à lentrée de mon anus. Elle ne se sert que dun seul doigt qui entre très facilement en le faisant aller et venir. Je sens un drôle de plaisir sur tout mon bas-ventre. Et enfin, elle entre très lentement le gode dans mon cul. Je ferme les yeux depuis un bon moment quand elle va et vient à lintérieur de mes boyaux. Mes seins sont gonflés de désir. Je les caresse. Jouvre quand même les yeux pour voir ce quelle fait. Je regarde sa main qui tient le gode avec vigueur. Dun seul coup, je sursaute en jouissant comme une folle. Elle nenlève le gode quaprès. Je sens mes spasmes un bon moment après. Elle se moque de moi à cause des mouvements incontrôlables de mon anus qui souvre et se ferme en cadence.

Je regarde les autres qui ne font pas ce que je viens de « subir » : chacune se branle pour son plaisir immédiat. Cest bien la première fois que je vois des filles se donner du plaisir…

À mon tour de contenter Danielle, celle qui vient de me faire partir au septième ciel. Comme jai la bouche sèche, je lembrasse pour prendre un peu de sa salive. Nos langues se caressent sans dégoût. Je pousse son plaisir mieux quelle en lui embrassant les seins lun après lautre. Ensuite, ma tête passe entre ses cuisses. Pour ma commodité, je lui fais mettre ses jambes autour de mes épaules : je peux voir tout son abricot. Sa chatte me plaît assez. Je pose ma bouche là doù part le plaisir. Son clitoris est dur ; elle bande sans doute depuis longtemps. Je vais le calmer en le suçant dans ma bouche. Je le rejette un peu avant de le reprendre, comme me fait mon mari. Ça doit être bon, puisquelle jouit vite ainsi. Mais je ne lai pas encore enculée… Je la retiens pour lui planter le gode dans le cul. Je le fais aller et venir ; je la lime comme si javais une bite. Cette fois, son orgasme est plus fort que le premier.

Je regarde les autres filles qui répètent ce que je fais. Elles se sont mises nues elles aussi. Cest la brune Michèle qui agit sur Julie, qui se contente de profiter ce cette baise spéciale. Julie est comme moi, sans rien dans son con. Jen profite pour aller mettre ma langue sur son cul que je vois parfaitement. Elle a un mouvement de recul causé par la surprise. Elle me laisse faire quand je la lèche à cet endroit intime. Daprès ce quelle nous avait dit, elle aime se faire enculer. Jen profite lâchement. Je peux même y entrer un bon bout de ma langue durcie. Je sens son cul sécarter pour me laisser le passage. Je ne peux pas aller au fond, alors je remplace ma langue par deux doigts. Là, je les lui mets le plus profond possible. Elle suit mes mouvements.

Sans doute le hasard fait quelle envoie notre camarade dans les vapes quand elle jouit aussi. Je nai pas encore goûté à Julie. Jaimerais bien lui faire ce quon ma fait tout à lheure. Si elle accepte que je la suce, elle refuse le gode dans le cul. Tant pis pour elle. Jy mets la langue à la place. Là, je peux entrer facilement puisquelle vient de ce faire enculer par notre camarade. Elle me caresse la tête en remerciement. Danielle aussi soccupe delle en lui caressant la poitrine.

Nous finissons par nous arrêter après de nombreux orgasmes. Nous restons nues sans souci ; maintenant, reste à connaître la suite. Les quatre filles sont daccord pour recommencer souvent. Nos plaisirs sont différents davec nos maris, nos mâles dominants et aimés. Nous faisons le serment de ne jamais leur parler de nos plaisirs lesbiens, sinon ils voudraient y participer. Nous ne voulons pas de bites dans nos ventres quand nous baisons entre nous.

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