A cette époque je vivais encore avec mon mari dans un lotissement et chaque année nous fêtions le nouvel an entre voisins. Cette année le réveillon avait lieu chez nous. Nous étions une vingtaine de convives. Parmi nos voisins, un certain Georges de plus de quinze ans mon ainé, sa femme et un de ses fils, Gilles qui n’ avait pas encore dix huit ans. Georges portait sur moi, en permanence un regard plein d’envie, mais pour rien au monde je n’aurai fait quoique ce soit avec cet homme. Chaque fois que nous organisions des fêtes, il s’ arrangeait pour danser avec moi et dans les slows je sentais son désir pressait sur mon ventre. Je suis loin d’être une bimbo, brune, 1,55 m, 43 kg, des seins discrets mais bien plein et un petit cul. Ce soir-là, je portais une jupe mi-mollet avec un bustier assorti, j’avais retiré mon soutien-gorge sur demande de mon mari, car les bretelles se voyait de trop et pour lui faire plaisir, j’avais mis des bas coutures soutenus par un porte-jarretelles noir et un slip de même couleur. J’ étais assez sexe tout de même. Nous avons commencé la soirée de bonne heure et certains convives ayant pris un peu de retard, les apéros furent plus nombreux. Nous allions enfin passer à la première entrée que mon mari demanda à Gilles de venir nous donner un coup de main tout en demandant aux autres personnes de patienter que nous en avions pour quelques minutes. J’étais pompette, j’ai suivi mon mari et Gilles au garage. (nous y avions mis les plats)
A peine dans le garage, mon mari se mit dans mon dos, je faisais face à Gilles, il fit tomber les bretelles de mon bustier dévoilant à Gilles ma poitrine.
Ils ne sont pas beau ses seins lui dit-il ?
Gilles bredouilla des mots incompréhensibles et mon mari lui proposa de les toucher. Il ne se fit pas prier et ses mains se posèrent sur mes seins, les malaxants sans douceur. Cela dura quelques instants et mon mari lui fit une autre proposition.
Mets toi à genoux !
Il s’exécuta, mon mari retroussa lentement ma jupe jusqu’à la lisière de mes bas. J’ étais sans réactions, l’alcool me berçait doucement et je subissais sans réagir. Remonte tes mains le long de ses jambes et Gilles fit glisser celle-ci sur la soie de mes bas. Arrivé à la hauteur du bas de ma jupe il s’immobilisa attendant que mon mari l’autorise a aller plus haut. Continue !, ses mains passèrent du soyeux des bas aux nues de mes cuisses, puis continuèrent jusqu’ a ce qu’il me touche les fesses. Il me palpa celle-ci mais il n’osait pas faire plus. A présent, devant ses yeux il voyait à la fois les jarretières de ma ceinture, le bas de ma culotte très transparente et au travers de celle-ci ma toison brune. Mon mari me retroussa jusqu’ a la taille et dit à Gilles : retire lui sa culotte ! Il baissa la fine dentelle et ses yeux se posèrent sur ma chatte, il me fit lever un pied puis l’autre de façon à m’ en libérer et il s’empressa de la mettre dans sa poche. Il avança sa main sur mon sexe et sans même que mon mari me le demande j’ouvrais le compas de mes cuisses pour qu’ il puisse poser ses doigts sur le renflement de mes lèvres intimes. Il était maladroit, je me savais humide du traitement que mon mari m’infligeait, du coup j’ ai saisi son index et je l’ai posé sur mon clitoris l’invitant à me caresser. Je ne fus pas longue à avoir une courte mais très bonne jouissance. Mon mari mit fin à notre jeu en disant : il faut en garder pour tout à l’ heure. Ma jupe retomba, de me savoir sans culotte m’excita d’ avantage. Nous étions à consommer la première entrée et l’ ambiance allait bon train. Nous étions relativement serrés les uns aux autres et dans un mouvement Georges qui était à mes cotés vint à me toucher la cuisse avec le revers de sa main. Je vis de suite qu’il avait compris que je portais des bas et sa main revint sur ma cuisse. Discrètement pour ne pas éveiller les autres, il chercha à avoir confirmation de ce qu’ il pensait. Pendant ce temps mon mari était retourné au garage pour allumer le four. Je lui dis à voix basse de retirer sa main mais il n’ en avait que faire et celle-ci glissait sur le tissu de ma jupe jusqu’au moment où il se saisit de la bretelle de la jarretière. Je tentais de le repousser sans trop y parvenir. Il finit tout de même par remettre sa main sur la table et me glissa à l’ oreille : tu es très coquine, tu m’ en montreras plus dans la soirée. Je n’ ai pas répondu à son propos et nous passèrent à la seconde entrée. Je me suis levée ainsi que Gilles et nous avons rejoint mon mari. A peine dans le garage mon mari qui ne savait pas ce qui venait de se passer me dit : relève ta jupe et ouvres tes cuisses, je veux que Gilles te bouffe la chatte ! Nous avions mis le canapé dans la garage et je m’ y suis allongée. Celui-ci ne se fit pas prier et dès que je me suis exécutée, sa bouche est venue sur ma chatte. Sur les conseils avisés de mon mari il fit glisser sa langue à l’ intérieur de mon nid d’ amour. Mon mari l’ encourageait me faisant relever les jambes le plus haut qu’ il me soit possible de façon à m’ offrir entièrement à sa caresse buccale. Il lui demanda d’ insister sur mon bourgeon et comme tout à l’ heure je fus emporter par un orgasme. Les moules étaient prêtes à consommer et la mienne était à vif. Gilles et mon mari prirent deux plats chacun pour les emporter à table me demandant d’en faire autant après avoir toutefois recharger le four avec les quatre plats qui attendaient d’ être enfournés. Seule dans le garage, je mis les plats dans le four, je prie les deux autres qui m’attendaient. Je m’apprètais à sortir lorsque Georges fit son entré. Les mains occupées il se mit devant moi et d’ un geste rapide me retroussa jusqu’ a la taille. Ses yeux s’ écarquillèrent en découvrant mes jambes gainées et l’ absence de culotte qui exposait ma chatte à son regard. Petite salope me dit-il c’ est encore mieux que je ne l’ imaginais, et sa main plongea entre mes cuisses. Ouvres toi plus m’ intima-t-il, son doigt fouilla ma chatte sans ménagement, tu es toute trempée, toi tu as envie de te faire bourrer. Je ne savais que dire et que faire. Pendant qu’ une de ses mains fouillait mon entre jambe, l’autre s’ infiltra dans mon bustier et il m’ écrasa les seins tout en pinçant fortement mes tétons. Il m’ infligea se traitement quelques minutes, assez pour que je jouisse une nouvelle fois. Il posa sa bouche sur la mienne pour étouffer mon râle. Nous n’ avons pas trop le temps mais tu ne perds rien pour attendre qu’ il me chuchota et je suis sur que tu n’ attends que cela ? il répéta la question afin de m’ entendre lui dire : Oui ! Oui, quoi qu’ il me dit : Oui j’ ai envie de toi. J’ ai emporté les deux plats qui par miracle dans la tourmente avaient réussi à ne pas tomber et Georges arriva quelques secondes après. Mon mari discutait avec les autres convives et ne me vit même pas m’ asseoir, par contre Gilles lui me regarda avec un sourire plein d’ envie. La soirée avançait, nous étions passés au plat principal et mis a part le fait que Georges me caressait les cuisses sous la table dès qu’ il le pouvait il ne se passa plus rien jusqu’ a minuit. Après les embrassades traditionnelles de nouvelle année, mon mari mit plus de musique afin que les gens puissent danser en attendant de passer au fromage. C’ est ce moment que profita Georges pour m’empoigner le bras et me conduisit jusqu’ a notre chambre à coucher. A peine à l’ intérieur, il me jeta sur le lit, il ouvrit son pantalon qui tomba à ses pieds. Je dois reconnaître que la situation depuis le début de la soirée m’ enflammait les sens et que je ne maitrisais plus mes envies. Il baissa son slip et son sexe pointa en avant. J’ étais sur le dos, sans qu’ il me dise quoique se soit, j’ai relevé ma jupe, il s’est allongé sur moi, j ’ai légèrement écarté mes cuisses et sa bite vint se lover contre ma chatte. Dis moi qu tu as envie de ma queue me glissa-til à l’ oreille, Oui j’ en ai envie Georges. Il remonta mon bustier de façon à bien dégager mes seins, sa bouche se posa sur la mienne et nous avons échangé un long baiser. Sa bite glissait sur mes lèvres, il était prêt à me posséder. Tu as des préservatifs me demanda-t-il ? Non. Puis son sexe me pénétra de toute sa longueur. Pour la première fois le sexe d’ un autre homme emplissait le mien. Sa bite était courte mais épaisse, dilatant mon vagin, écrasant mon clitoris. Nous entendions les autres et Georges me possédait, moi qui n’ en voulait pas de cet homme, je gémissais sous les assauts de sa bite dans mon ventre, j’ aurai voulu que mon mari soit à nos côtés. Il me traitait de salope, de chienne et cela décuplait mes sens. A présent tu seras ma chienne et je te baiserai chaque fois que je le voudrais. Au lieu de me rebeller je m’ entendais lui dire : Oui, je serai ta chienne, prends moi. Il m’ écrasait de tout son poids, ses mains meurtrissaient mes seins, sa bite s’ activait de plus en plus dans mon ventre, je sentais qu’ il allait venir. Pour ma part, plusieurs vagues de plaisir m’ avaient submergé. Il me dit : il faut que je me retire je vais jouir. Non, reste je veux te sentir dans mon ventre, viens me souiller et il se déversa dans ma chatte, j’ ai senti les soubresauts de sa bite dans mon utérus ce qui me cloua sur le matelas. Il resta en moi encore un long moment, m’ embrassant délicatement me demandant si j’ avais aimé. Oh oui, Georges j’ ai aimé. Son sexe quitta le mien. Lorsqu’ il se redressa, celle-ci pendait et avant qu’ il ne remonte son pantalon j’ ai posé mes lèvres sur cette verge qui venait de cocufier mon mari. J’ ai recueilli les dernières gouttes qui s’ en échappaient, puis j’ ai englouti l’ intégralité de ce pieu au fond de ma gorge. Je me suis mise à le sucer voulant lui redonner de la vigueur, j’ aurai souhaité qu’ il me possède une fois de plus, il m’ interrompit me disant : ils vont s’ inquieter, tout à l’ heure peut-être. Il quitta la chambre discrètement, notre accouplement avait duré presque cinq minutes, le bruit de la musique ne s’ était pas arrêté heureusement pour nous ! Pour ma part je suis passée par la salle de bain pour rafraîchir mon entrejambe. Je savais que la soirée était loin d’ être fini côté sexe puisqu’outre mon mari qui allait à coup sûr me faire l’ amour au petit matin, je savais qu’ il voulait voir Gilles me posseder. J’ en ai profité pour mettre un peu de crème sur les lèvres de mon sexe pour calmer les échauffements auxquels elles étaient soumises. Quelques heures plus tard, mes ovaires frissonnaient encore. J’ai glissé à l’ oreille de Georges : je vais au garage je t’ attends. Cinq minutes plus tard il entra et ferma la porte. J’ étais pliée de dos sur le canapé, la jupe retroussée, les jambes ouvertes. Il s’ approcha, j’ ai entendu le zip de son pantalon puis il se colla à moi son sexe était droit comme une lance et il me prit debout sans préliminaire. Je ne te savais pas aussi salope, moi non plus que je lui répondis et il me baisa tout en m’ insultant ce qui augmenta encore plus mon plaisir. Au moment, pour lui de jouir il se retira, me demanda de le prendre en bouche et après quelques coups de langue il se déversa au fond de ma gorge. J’ ai dégluti toute sa semence. Nous nous sommes rajustés et nous sommes retournés avec les autres convives. J’ ai perçu le regard de sa femme qui semblait me dire : salope. Vers les six heures du matin alors que la plupart des gens étaient partis, mon mari s’ adressa à Gilles : tu restes avec nous pour débarrasser. Sa réponse fut : Oui. Quelques minutes plus tard nous étions plus que tous les trois. Mon mari me dit : allons dans la chambre nous serons mieux. Je suis montée avec Gilles, lorsque mon mari arriva un poil plus tard, j’ étais en porte jarretelle et bas et Gilles entièrement nu, son sexe dans ma bouche, je lui prodiguais sa première félation. Vous ne perdez pas de temps à ce que je vois, il se déshabilla en un tour de main et s’ approcha pour que je puisse oeuvrer sur les deux sexes qui se frottaient contre mes joues. Avant qu’ il n’ explose dans ma bouche, on s’ installa sur le lit et sur les conseils de mon mari quatre mains caressèrent mon corps sur toutes les coutures, elles fouillaient tour à tour mes fesses, mes seins, ma chatte, par moment un où plusieurs doigts possédaient mes orifices, mon mari lui dit : elle est sacrement mouillée. J’ en profitais pour flatter leurs deux queues qui n’ allaient par tarder à prendre possession de mon ventre. C’ était extraordinaire de subir deux hommes ensemble. Gilles eu la primeur de me prendre le premier après que mon mari lui fasse avouer que j’ étais sa première femme. Il ignorait que quelques heures plutôt son père m’avait prise sur se même lit. Je me suis offerte entièrement et il pointa sa queue sur mes lèvres qui s’ ouvrirent pour l’ absorber. Je lui dis : va lentement, pour bien apprécier cette grande première . Sa bite vint frapper mon utérus, il resta un moment, puis il se retira pour mieux me réinvestir, ses allers retour dans mon ventre augmentèrent et j’ ai senti sa queue grossir, élargissant tout comme son père les parois de mon vagin, me donnant des frissons dans tout le corps, je savais qu’ il ne tiendrait pas longtemps et je l’ encourageais avec quelques mots crus, ne pouvant se retenir d’ avantage, son sperme fusa dans ma chatte et il tomba sur moi secoué par sa première jouissance. Il se mit sur le côté et mon mari vint à son tour me posséder, baignant dans le sperme de l’ adolescent et du père tout en m’insultant comme l’ avait fait Georges. Lui n’ était pas pressé de jouir et me prenait avec ardeur, heureux sans doute de ma conduite. Nous avons pris de nombreuses positions, tour à tour lui dessus et moi dessous. Je jouissais à chaque fois que son sexe cognait au fond de mon ventre, c’ était une jouissance quasi permanente. Gilles finit par reprendre des forces et mon mari me proposa de me prendre en sandwich ! J’ ai accepté à condition de le faire avec délicatesse et de s’ arrêter si j’ avais mal. J’ ai sucé Gilles afin de lui donner la dureté requise pendant que mon mari commençait à me sodomiser, il le fit avec tant de douceur que je me suis ouverte sans problèmes. Gilles enfin prêt, je me suis installée sur lui et l’ ai guidé vers mon intimité, puis me suis empalée dessus, exposant à mon mari mes fesses pour qu’ il reprenne possession de mon oeillet. Chaque fois que depuis cette soirée mémorable je me prête à une partie avec deux hommes, je me souviens de cette sensation qu’ ils m’ ont procuré, leurs deux sexes en moi. Ce fut un final époustouflant, mes deux hommes explosèrent dans mes orifices, me donnant un orgasme que je n’ ai jamais plus ressenti depuis. Nous nous sommes endormis ensemble. Au réveil, Gilles était couché contre mon dos, je percevais son érection, mon mari de l’autre coté dormait profondement, j’ ai saisi son sexe le guidant vers mon nid d’ amour puis d’ un coup de rein il me penètra une nouvelle fois, il m’ a fait l’ amour avec plus de douceur et nous avons jouis ensemble. Après avoir éjaculé, il resta en moi de longues minutes faisant quelques vas et viens pour maintenir son érection. Plus tard dans la journée, Georges passa à la maison et profitant que nous soyons seuls quelques instants me rappela ma promesse de la nuit. Je lui dis qu’ il fallait oublier, que j’ avais un peu bu, que je ne regrettais rien, mais que nous en resterions là, un secret entre lui et moi en sorte. D’ accord à une seule condition me dit-il : tu me donnes un après-midi prochainement. Deux semaines plus tard je me retrouvais dans un Formule 1 avec lui. J’ avais à sa demande mis des dessous très sexy. Nous avons fait l’ amour tout l’ après-midi. Nous sommes restés amants durant plusieurs années, même après mon divorce.
Chantal.