Maintenant trois ans qu’il est parti, mais j’ai l’impression que c’était hier… Son absence me fait penser que la vie est trop courte pour ne pas en profiter, mais je n’y arrive pas. Lui, c’était Léonce décédé il y a trois ans suite à un cancer. Moi c’est Lyne, la fille qui pouvait aimer comme une folle et qui a quelque peu perdu ce sentiment si profond.
Le temps a passé, j’ai fini mes études supérieures et chaque mois j’assiste à des ateliers de formations avant de trouver un emploi. Lorsque j’y assiste, il n’y a que la formation qui m’intéresse et j’ai l’impression d’être seule jusqu’à ce fameux jour qui a secoué le cours de ma vie. J’étais arrivée un peu plus tôt au lieu de formation et je prenais une tasse de café au restaurant. Je mesure 1,56m pour 69 kilos. J’ai des formes et des rondeurs que j’aime et qui ne laissent pas indifférents certains hommes et je suis de teint noir chocolaté. Ce jour, j’étais vêtue d’un tailleur qui mettait en évidence mes cuisses, mes fesses et ma poitrine. Je prenais donc un café quand un homme d’un peu plus 1,90m est arrivé avec un ton assez posé mais grave. A l’entendre, il était étranger et apparemment lui aussi faisait partie de l’atelier. Il s’est installé juste en face de moi avec son journal et a pris un café en attendant l’atelier. Pour la première depuis trois ans, je me suis intéressée à un homme. Je le regardais avec admiration et là il a levé la tête, nos regards ce sont croisés et il m’a fait un sourire auquel je n’ai pas répondu. Quelques temps après, on commençait l’atelier et comme à mon habitude, je n’avais mon attention que sur la formation. L’homme du restaurant était juste derrière moi et j’avoue qu’au début j’avais quelques palpitations à l’idée qu’il puisse m’adresser la parole. A la fin, pendant que j’attendais un taxi pour rentrer, quand une voiture s’est arrêtée juste à mon niveau…
Lui: Je vous dépose quelque part?
Moi: Non merci, je vais prendre un taxi.
Lui: J’insiste vraiment, en plus j’aimerai pouvoir discuter avec vous un moment.
Moi: Et de quoi voulez-vous qu’on discute?
Lui: Je sais pas encore, mais si on commençait par cette manière de me regarder ce matin au restaurant?
Mince, c’est bien lui, le bel homme de ce matin. Je suis restée sans mot, j’ai ouvert la portière et je suis montée. On a roulé jusqu’à un restaurant où nous sommes allés prendre un verre.
Lui: Alors si on rompais ce silence? Moi c’est Fred et vous?
Moi: Je suis Lyne.
On passe les commandes et en quelques minutes de conversation, j’avais l’impression de le connaître. Deux heures plus tard, j’étais décontractée et plus ouverte à la discussion. C’est dire que Fred a une rhétorique qui a un charme tout particulier. Il commence à se faire tard, il faut que je rentre.
Moi: Désolée, mais je vais devoir interrompre cette discussion, je vais rentrée.
Lui: Déjà! Je voulais qu’on reste encore un peu, si tu n’y vois pas d’inconvénients?
Je dois rentrer, il le faut. Il me fait un tel effet que je n’aimerai pouvoir flancher au premier contact, même si j’ai juste envie de lui voler un baiser.
Lui: Lyne, je vous parle!
Moi: Excusez moi, je pensais à une chose, mais c’est sans importance. Je vais donc rentrer.
Lui: Ok, je vais vous déposer puisque c’est moi qui aie détourné ton chemin de retour.
On se lève et pendant tout le chemin, je redeviens pensive, mon cur se remet à battre comme ce matin. Je n’ose pas le regarder, jusqu’à ce qu’il m’arrache de mes pensées pour que je lui indique le chemin.
Moi: Voilà c’est ici!
A peine je me suis tournée vers lui après avoir retirer ma ceinture que je me trouve nez à nez avec lui. Je peux sentir son parfum, son haleine de menthol et même sa respiration. On se regarde fixement avant qu’il ne passe sa main sur ma joue et m’attire à lui en me faisant un tendre baiser sur la joue.
Lui: Je t’appelle demain, bonne nuit Lyne!
Moi: Merci pour la soirée, bonne nuit.
Je descends sans me retourner. Arrivée dans mon lit, je n’arrête pas de penser à ce qui vient de se passer. Ce battement de cur, cette sensation, cette attirance, cette envie. Je m’endors quelques instants plus tard. Le lendemain et les jours qui ont suivi notre soirée, Fred et moi sortions et passions beaucoup de temps ensemble. L’habitude et l’aisance commençaient à s’installer.
Ce soir, il pleut abondamment sur la ville. Fred me raccompagne d’une soirée qu’on vient de passer au théâtre. Nous sommes presque chez moi quand Fred passe dans un trou qu’il ne voyait pas.
Lui: Mince, je n’arrive plus à avancer et je crois que chez toi il y a une coupure d’électricité.
En effet, il n’y a pas de lumière dans la rue et il pleut vraiment. Nous n’allons quand même pas rester là.
Moi: Bon on va descendre et faire le reste de chemin à pied sinon on finira par passer la nuit dans ta voiture. Suis-moi!
Il me regarde et s’exécute sans dire mot. On marche sous la pluie et la robe que je porte est plus que trempée. Nous sommes chez moi, j’allume des bougies et je nous prends des serviettes pour nous sécher. Je commence à grelotter et là Fred se rapproche pour me tenir dans ses bras.
Lui: Tu devrais retirer cette robe, tu vas t’enrhumer!
Il est juste derrière moi et baisse la fermeture de ma robe lentement. Je peux ressentir ses doigts et bientôt ses mains sur moi. Je suis comme hypnotisée, je suis en sous-vêtements devant Fred. Je peux voir nos ombres au mur. Mon coeur recommence à battre, il se penche délicatement pour me baiser le cou et me tenant à la taille. Il me retourne d’un coup pour que je sois face à lui. Il m’embrasse et je réponds sans me faire prier. Je retire ses vêtements jusqu’à ce que j’aie en face de moi une bien belle et grosse queue comme je les aime. Il me regarde en souriant voyant mes yeux scintiller à la vue de son engin. Il vient me soulever et me porter à mon lit où il m’y allonge. Il me regarde, pendant ce temps, aucun mot ne sort de nos bouches, nos gestes parlent à notre place. Il retire mon soutien gorge, mon string et ouvre mes jambes. Il descend lentement le long de mon corps avec sa langue et s’arrête sur mon clitoris. Il me donne des coups de langue et je commence à pousser des soupirs qui deviennent vite des gémissement et plus tard des cris de plaisir. Je mouille et je crois même que je vais avoir un orgasme. J’éclate de rire après un orgasme électrique.
Lui: Non tu n’aimes pas?
Moi: Désolée, j’ai un orgasme.
Il continue à me lécher et quand j’ai recommencé à gémir, il s’est levé pour prendre un préservatif. Je le regarde, il l’enfile et revient s’enfoncer en moi par une profonde pénétration. Mince quelle douleur! J’enfonce mes ongles dans son dos pendant qu’il tient mes jambes. Il trépigne en moi, cette danse sexuelle en moi me fais crier de plaisir douloureux. Je ne veux pas qu’il s’arrête, au contraire, j’aime ce qu’il me fait! Il se retire et me retourne d’un coup pour me mettre en levrette. Je lui présente une belle cambrure où il peut bien voir ma chatte toute mouillée. Il vient et tient fermement ma taille pour me baiser. Il y va plus vite et même plus fortement. Mais pendant ce moment d’intensité, j’ai une folle envie de le sucer. Je me retire donc d’un coup, me retourne et retire son préservatif. Il ne bouge pas et là, je le suce en caressant ses testicules. Je n’y vais pas de main morte, mes mouvements s’accélèrent, je le sens qui va exploser, mais je ne me retire pas.
Lui: J’arrive, j’arrive, aaaaarrrgggggghhhh!
Il verse sa semence dans ma bouche. Je la bois entièrement et je le lèche comme si je le nettoyais comme une chienne faisant la toilette de son chiot. Il finit par se laisser tomber sur le lit et me prendre dans ses bras…