VRP Suite 3

Ouf une bonne journée. En plus le directeur de la boite que jai minvite ce soir. Je nai rien contre : il est sympathique, mignon en plus. Il me semble assez débauché, ce qui me changera des gars sérieux qui ont avalé un parapluie. Bon je suis un peu gênée, comment mhabiller pour la soirée. Je décide que je serais une femme pleine de charmes. Alors, je suis nue devant la glace, je sors de la valise un culotte en dentelle que je mets de coté, un soutiens gorge que je remets dans la valise. Ma jupe courte fera laffaire sur des bas avec mon string bijou qui entre dans le vagin, me donne des sensations forte quand je serre mes muscles vaginaux. Une mention spéciale pour son inventeur. Je prends également de quoi embellir mes fesses avec un autre bijou souvenir dune amante généreuse.

En attendant le moment de partir je me garni la chatte avec des boules de geisha que jai trouvé un soir de cafard dans une boutique. Belles boules, effet maximum. Je passe sous la douche, je me masturbe longtemps avant dentrer mes boules. Je suis parée à nimporte quelles jouissance. Je suis devant la glace, toujours nue, je me tourne pur bien voir mes fesses. Je pose le bijou prévue : je me fis de leffet seule. Jenfile le string particulier, je serre mes muscles pour vérifier le plaisir. Cest vrai je sens monter un orgasme. Mes boules ont fonctionné comme des grandes.

Ce soir je suis prête je me prépare à jouir, jouir, encore jouir. Je suis capable de mettre sur la tapis celui qui ma invité si gentiment à baiser, sans le dire bien sur, je suis une dame, pas une pute, voyons. Une dernière visite à la glace avant de partir : mes seins nus sous un marcel qui fait bien sortir les pointes, la jupe ultra courte, le string et le plug : je suis parée à la baise. Jespère quil aura prit des vitamines et du viagra. Je suis disposée à le vider de tout son sperme. Sa queue doit bien se tenir quand je la lui boufferais.

Il a indiqué le parcours que jai à faire. Je nai pas voulu quil vienne me chercher à lhôtel, il serait capable de venir la prochaine fois sans que je veuille ou puisse le recevoir pour de multiples raisons : je peux être avec quelquun dautre, indisposée ou simplement pas envie (ce qui est rare chez moi)

La route est cahoteuse. Tant mieux, mes billes font leur travail, je suis même obligée de ralentir le temps dune jouissance rapide. Ce que jai mis dans le vagin agit fort bien, je le remettrais souvent, quand au cul, toujours pareil quand je jouis : jen ressens encore plus de plaisir à moins que jy ai une belle queue. Qui sait tout à lheure il me la mettra au cul ?

Jarrive enfin, cest presque un château derrière de graVRP Suite 3

Ouf une bonne journée. En plus le directeur de la boite que jai minvite ce soir. Je nai rien contre : il est sympathique, mignon en plus. Il me semble assez débauché, ce qui me changera des gars sérieux qui ont avalé un parapluie. Bon je suis un peu gênée, comment mhabiller pour la soirée. Je décide que je serais une femme pleine de charmes. Alors, je suis nue devant la glace, je sors de la valise un culotte en dentelle que je mets de coté, un soutiens gorge que je remets dans la valise. Ma jupe courte fera laffaire sur des bas avec mon string bijou qui entre dans le vagin, me donne des sensations forte quand je serre mes muscles vaginaux. Une mention spéciale pour son inventeur. Je prends également de quoi embellir mes fesses avec un autre bijou souvenir dune amante généreuse.

En attendant le moment de partir je me garni la chatte avec des boules de geisha que jai trouvé un soir de cafard dans une boutique. Belles boules, effet maximum. Je passe sous la douche, je me masturbe longtemps avant dentrer mes boules. Je suis parée à nimporte quelles jouissance. Je suis devant la glace, toujours nue, je me tourne pur bien voir mes fesses. Je pose le bijou prévue : je me fis de leffet seule. Jenfile le string particulier, je serre mes muscles pour vérifier le plaisir. Cest vrai je sens monter un orgasme. Mes boules ont fonctionné comme des grandes.

Ce soir je suis prête je me prépare à jouir, jouir, encore jouir. Je suis capable de mettre sur la tapis celui qui ma invité si gentiment à baiser, sans le dire bien sur, je suis une dame, pas une pute, voyons. Une dernière visite à la glace avant de partir : mes seins nus sous un marcel qui fait bien sortir les pointes, la jupe ultra courte, le string et le plug : je suis parée à la baise. Jespère quil aura prit des vitamines et du viagra. Je suis disposée à le vider de tout son sperme. Sa queue doit bien se tenir quand je la lui boufferais.

Il a indiqué le parcours que jai à faire. Je nai pas voulu quil vienne me chercher à lhôtel, il serait capable de venir la prochaine fois sans que je veuille ou puisse le recevoir pour de multiples raisons : je peux être avec quelquun dautre, indisposée ou simplement pas envie (ce qui est rare chez moi)

La route est cahoteuse. Tant mieux, mes billes font leur travail, je suis même obligée de ralentir le temps dune jouissance rapide. Ce que jai mis dans le vagin agit fort bien, je le remettrais souvent, quand au cul, toujours pareil quand je jouis : jen ressens encore plus de plaisir à moins que jy ai une belle queue. Qui sait tout à lheure il me la mettra au cul ?

Jarrive enfin, cest presque un château derrière de grande grille. Le portail souvre dès mon arrivée. Je monte les quelques marches et la porte souvre devant une magnifique métisse pas très grande, mais nue, totalement nue sauf une ceinture en chainette sur la taille qui descend un peu vers le sexe épilé. Il ne mavait pas dit quil avait de genre de domestique, si cest une domestique. Elle me fait entrer dans ce qui doit être le salon. Il est là, en tenue décontractée. Il sapproche de moi, membrasse sur les joues, me demande comme je trouve Arielle. Il me rassure, Arielle est sa femme. Elle participe des fois quand de belles dames sensuelles comme moi sont là, elle aime autant les hommes que les filles sans parler de ses coups pour son propre corps. Je comprends donc quelle est une adepte de la masturbation. Nous avons le même dieu. Je suis tombée sur un drôle de couple.

Arielle se présente à moi par un baiser léger sur la bouche. Nous allons donc participer à un trio. Je mouille rien que de mimaginer dans les bras de la métisse et les siens. Il est presque 21 heures. Nous devons passe à table. Je passe vite fait dans les toilettes retirer les boules de geishas entièrement « salies » par mes sécrétions. Cest lui, Henri qui me fait assoir, il accompagne sa femme.

Il est en train de mexciter. Je remue mon bijou pour me soulager. Je jouis deux fois ainsi. Je crois quArielle le voit. Elle me demande gentiment :

— Vous ne voulez pas vous isolée pour jouir un peu.

— Merci je viens de le faire.

— Comment ?

Jexplique ce que jai dans mon intimité. Elle voudrait le voir. Son intérêt est grand pour les jouets sexuels, elle dit en posséder une bonne dizaine, ce qui est confirmé par Henri.

Le repas est vite prit. Cest Arielle qui ouvre les hostilités en se mettant sur la table, debout, en écartant les cuisses pour monter sa chatte. Cest vrai que de la voir nue comme au début, jai perdu le fil, je ne la voyais plus comme une femme. Elle est totalement nue, les jambes qui souvrent au fur et à mesure quelle se penche en arrière. Sa vulve même souvre. Je vois, placée comme je suis tout jusquà son petit trou. Jai encore envie de jouir, surtout quelle vient tout près de moi :

— Mon mari toublie je vais moccuper de toi.

— – Comment ?

— Tu nas jamais baisé de filles ?

— Si, bien sur et tu voudrais que nous deux..

— Si tu veux baiser avant avec la queue de mon mari, demandes la lui. Il te la donnera facilement, je sais quil bande.

Je suis surprise du tour que prend la réception. Où je baise longuement avec une femme chaude ou je tire un coup. Mais je perds loccasion de me faire sodomiser. Je laisse faire le sort des adorateurs de Vénus. Elle repique au truc :

— Tu aimes te faire enculer ? Moi jadore. Laisses lui un peu de force pour quil me le fasse aussi.

— -Il faudrait un autre homme ici. Deux filles ne suffisent pas. Il en faudrait au moins une autre

— Tu ferais comme moi. Jai envie aussi de lécher un con, le tien si tu veux. Ensuite on se fera baiser par Henri. Il tient bien le coup.

Jouer la lesbienne avec Arielle ne me déplait pas avec sa peau mate, un peu foncée. En plus ce que jai vu de sa chatte est engageant, je me vois déjà la langue au fond de ses trous. Et elle est ce quelle sait réellement baiser une femme. A son âge, la trentaine bien entamée elle ne doit pas être une oie blanche. Elle vient sassoir sur le bord de la table presque en face de moi. Elle me tente ou me soupèse. Sa jambe se colle à mon bras. Sa peau est douce, elle me donne envie delle. Je prends la jambe, la passe devant moi, je lai ainsi à ma disposition. Elle prend ma tête, lincline vers son entrejambe. Je sens déjà ses odeurs intimes, ma langue goute sa cyprine. Je commence à la lécher comme si elle était fragile. Cest que je me régale de son jus qui coule en abondance dans la bouche. Henri ne nous regarde plus, il sest levé, il est tout près de nous. Il est nu depuis un moment, il se masturbe doucement. Que jaime voir un homme se taper une queue devant moi.Arielel est penchée en arrière retenue par les mains posées sur la table, à coté de mon assiette. Dans un geste de confiance, elle passe ses cuisses sur mes épaules ; ma tête est entièrement dans sa fourche, les oreilles coincées par les cuisses. Elle coule toujours en abondance, jenvie Henri quand il le baise il doit recueillir son jus.

Je continue mon léchage, je me masturbe pour compenser la langue dArielle. Henri a disparu sous la table, elle écarte ma main. Sa bouche vient se coller à moi. Il aspire toute la chatoune. Il me semble quil me vide totalement en avalant mon con. Quil lèche bien ensuite. Je ne sais plus comment faire, me faire sucer et sucer une autre fille. Mon Dieu que lamour à trois est bon.

Je jouis, Arielle jouit de son coté, reste la queue dHenri à vider. Nous pensions le faire à deux, il se lève en nous invitant dans la chambre sous prétexte de confort.

Il a raison. Je rependrais mon récit après

nde grille. Le portail souvre dès mon arrivée. Je monte les quelques marches et la porte souvre devant une magnifique métisse pas très grande, mais nue, totalement nue sauf une ceinture en chainette sur la taille qui descend un peu vers le sexe épilé. Il ne mavait pas dit quil avait de genre de domestique, si cest une domestique. Elle me fait entrer dans ce qui doit être le salon. Il est là, en tenue décontractée. Il sapproche de moi, membrasse sur les joues, me demande comme je trouve Arielle. Il me rassure, Arielle est sa femme. Elle participe des fois quand de belles dames sensuelles comme moi sont là, elle aime autant les hommes que les filles sans parler de ses coups pour son propre corps. Je comprends donc quelle est une adepte de la masturbation. Nous avons le même dieu. Je suis tombée sur un drôle de couple.

Arielle se présente à moi par un baiser léger sur la bouche. Nous allons donc participer à un trio. Je mouille rien que de mimaginer dans les bras de la métisse et les siens. Il est presque 21 heures. Nous devons passe à table. Je passe vite fait dans les toilettes retirer les boules de geishas entièrement « salies » par mes sécrétions. Cest lui, Henri qui me fait assoir, il accompagne sa femme.

Il est en train de mexciter. Je remue mon bijou pour me soulager. Je jouis deux fois ainsi. Je crois quArielle le voit. Elle me demande gentiment :

— Vous ne voulez pas vous isolée pour jouir un peu.

— Merci je viens de le faire.

— Comment ?

Jexplique ce que jai dans mon intimité. Elle voudrait le voir. Son intérêt est grand pour les jouets sexuels, elle dit en posséder une bonne dizaine, ce qui est confirmé par Henri.

Le repas est vite prit. Cest Arielle qui ouvre les hostilités en se mettant sur la table, debout, en écartant les cuisses pour monter sa chatte. Cest vrai que de la voir nue comme au début, jai perdu le fil, je ne la voyais plus comme une femme. Elle est totalement nue, les jambes qui souvrent au fur et à mesure quelle se penche en arrière. Sa vulve même souvre. Je vois, placée comme je suis tout jusquà son petit trou. Jai encore envie de jouir, surtout quelle vient tout près de moi :

— Mon mari toublie je vais moccuper de toi.

— – Comment ?

— Tu nas jamais baisé de filles ?

— Si, bien sur et tu voudrais que nous deux..

— Si tu veux baiser avant avec la queue de mon mari, demandes la lui. Il te la donnera facilement, je sais quil bande.

Je suis surprise du tour que prend la réception. Où je baise longuement avec une femme chaude ou je tire un coup. Mais je perds loccasion de me faire sodomiser. Je laisse faire le sort des adorateurs de Vénus. Elle repique au truc :

— Tu aimes te faire enculer ? Moi jadore. Laisses lui un peu de force pour quil me le fasse aussi.

— -Il faudrait un autre homme ici. Deux filles ne suffisent pas. Il en faudrait au moins une autre

— Tu ferais comme moi. Jai envie aussi de lécher un con, le tien si tu veux. Ensuite on se fera baiser par Henri. Il tient bien le coup.

Jouer la lesbienne avec Arielle ne me déplait pas avec sa peau mate, un peu foncée. En plus ce que jai vu de sa chatte est engageant, je me vois déjà la langue au fond de ses trous. Et elle est ce quelle sait réellement baiser une femme. A son âge, la trentaine bien entamée elle ne doit pas être une oie blanche. Elle vient sassoir sur le bord de la table presque en face de moi. Elle me tente ou me soupèse. Sa jambe se colle à mon bras. Sa peau est douce, elle me donne envie delle. Je prends la jambe, la passe devant moi, je lai ainsi à ma disposition. Elle prend ma tête, lincline vers son entrejambe. Je sens déjà ses odeurs intimes, ma langue goute sa cyprine. Je commence à la lécher comme si elle était fragile. Cest que je me régale de son jus qui coule en abondance dans la bouche. Henri ne nous regarde plus, il sest levé, il est tout près de nous. Il est nu depuis un moment, il se masturbe doucement. Que jaime voir un homme se taper une queue devant moi.Arielel est penchée en arrière retenue par les mains posées sur la table, à coté de mon assiette. Dans un geste de confiance, elle passe ses cuisses sur mes épaules ; ma tête est entièrement dans sa fourche, les oreilles coincées par les cuisses. Elle coule toujours en abondance, jenvie Henri quand il le baise il doit recueillir son jus.

Je continue mon léchage, je me masturbe pour compenser la langue dArielle. Henri a disparu sous la table, elle écarte ma main. Sa bouche vient se coller à moi. Il aspire toute la chatoune. Il me semble quil me vide totalement en avalant mon con. Quil lèche bien ensuite. Je ne sais plus comment faire, me faire sucer et sucer une autre fille. Mon Dieu que lamour à trois est bon.

Je jouis, Arielle jouit de son coté, reste la queue dHenri à vider. Nous pensions le faire à deux, il se lève en nous invitant dans la chambre sous prétexte de confort.

Il a raison. Je rependrais mon récit après

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