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Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil – Chapitre 3




Hier, Paul m’a demandé d’inviter Marc. Il me taquine en me parlant de ce voisin, qu’il ne connaît pas encore, disant que je ne devrais pas trop l’épuiser avec les tâches que je lui demande. Je ne sais pas comment interpréter ses allusions !

-Je voudrais quand même faire la connaissance du "plombier polonais .Me dit-il en éclatant de rire, ajoutant :

– Depuis le temps que tu m’en parles, je voudrais connaître aussi bien ce super bricoleur que l’homme dont tu me rebats les oreilles depuis quelque temps. Invite-le à manger dimanche !

Après la demande de Paul, Marc et sa grosse queue deviennent une vraie obsession pour moi. Je rêve de lui la nuit et surtout de son énorme pieu que je veux mettre en moi pour sentir comment cela fait dans mon sexe un "truc" pareil. (Mon homme a un pénis classique d’une taille normale).

Suite.

Le dimanche est arrivé, Marc a fait la connaissance de Paul. Mon homme, contrairement à ce que je craignais, s’entend comme larron en foire avec Marc. Il a même le culot de lui demander :

-Je crois que vous appréciez la piscine et comme Béa m’a dit que le nudisme ne vous gênait pas, on va en profiter pour bronzer !

Il se dirige vers les transats, se dénudant complètement. Marc a un instant d’indécision, il me regarde mais ne recule pas devant le défi. Il retire prestement ses habits et va s’étendre sur un transat, laissant une place libre entre eux. Paul a beau faire le blasé et regarder le bas-ventre de Marc du coin de l’il, je vois bien qu’il est impressionné. Il faut dire que la verge de Marc au repos a des mensurations supérieures à celle de Paul au meilleur de sa forme.

Je me jette à l’eau en m’installant en tenue d’Eve entre mon homme et celui que je voudrais tant qu’il me fasse l’amour. Un instant passe, plein de sous-entendus. Je suis sûre que Marc sait que je crève qu’il me baise et il joue avec mes sentiments comme une midinette avec sa star adorée.

Et je sais aussi que malgré son indifférence feinte, Paul se rend compte qu’il ne fait pas le poids contre ce quadra musclé d’un mètre quatre-vingt hyper baraqué qui a encore ses cheveux, lui

Paul, avec ses 70 ans, son ventre et ses poils blancs n’est plus si fringant. Il est bien dégarni et a des rondeurs aussi.

Et comme dans un certain sketch, ce "blond" avec son gourdin doit sûrement assurer au lit. Il se rend compte qu’il n’a aucune chance que je lui reste fidèle mais que pour moi, il acceptera l’inéluctable.

Nous parlons de bricolage mais très vite et je ne sais plus comment c’est arrivé, je sujet tourne sur les camps de naturistes. Je vais tenter quelque chose, vont-ils se laisser faire ?

-Fermez vos yeux et imaginez-vous au Cap d’Agde, le paradis des nudistes. Des filles plus belles les unes que les autres passent devant vous, étendues sur le sable.

Ce n’est pas difficile pour Paul car nous y sommes déjà allés. Je pose une main sur le sexe de mes hommes, les caresse un instant avant de les serrer à la base.

Paul, qui me connaît bien, réagit assez vite à mon attente et sa verge enfle entre mes doigts, le gland émerge de ma main quand il atteint la pleine érection.

Marc, un peu désorienté par la présence de Paul, arrive à peine à bander. Son tuyau a gonflé mais est toujours mou. Malgré ça, son chibre fait déjà cinq centimètres de plus que celui de Paul.

La différence est bien visible quand je regarde ce qui dépasse de ma main gauche et ce qui dépasse de ma main droite.

A force de lui décrire dans mon histoire de belles filles au corps de déesses et de branler avec une infinie douceur son vit, l’épi croit avec lenteur pour atteindre sa pleine beauté.

Le contraste est saisissant entre la verge de Paul guère plus grosse qu’un pied de chaise et celle de Marc. Un vrai concombre !!!

La différence de taille entre ces deux sexes est pratiquement de dix centimètres !

Je laisse reposer sur leur ventre leur pine, celle de Paul arrive à la moitié de la distance ente sa base et son nombril alors que pour celle de Marc, le gland le dépasse en entier !

Je voudrais bien aller encore plus loin mais je ne veux quand même pas indisposer Paul à ce point. Je l’aime trop pour lui faire un tel affront. J’attends ses réactions pour voir si, plus tard, je peux pousser plus loin.

Je suis triste de devoir arrêter là mon fantasme. Mais ce n’est que partie remise. Il faut que je me débrouille pour pousser Marc dans ses retranchements. La journée se termine de façon agréable et sympathique et Marc repart chez lui.

Quelques jours plus tard, alors que je suis seule et en petite tenue, en nuisette courte sans sous-vêtements, j’attends Marc pour de menus travaux. Ça vient de plus en plus dur de trouver des prétextes à sa venue.

  Mais que fait-il ? Il ne vient toujours pas ! Je suis si excitée que je me touche en pensant à lui. Je sais pourtant qu’il est chez lui car sa voiture est là. Déçue, je vaque à mes occupations, prépare mon déjeuner et fais une bonne tarte aussi.

A 14 heures je n’y tiens plus. Sachant que mon homme ne rentrera pas avant 18h, je me change et me dirige vers sa maison. J’ai mis des escarpins, une robe d’été à bretelles fines, décolletée. On remarque que je ne porte pas de soutien-gorge car mes tétons pointent sous le tissu fin et mes seins ballottent quand je marche. Je sonne à sa porte ayant en main une superbe tarte aux pommes faîte avec amour pour lui ce matin. Il m’ouvre enfin. Il a sa tenue habituelle, un Marcel et ce ridicule jean coupé qui me fait tant fantasmer.

-Entre Béatrice ! Excuse-moi pour ce matin mais j’avais d’importants coups de téléphone à passer et je n’ai pas pu venir. Mais tu sais, tu n’étais pas obligé de m’amener cette tarte.

Je n’y tiens plus et lui rétorque aussitôt :

-Ce n’est pas cette tarte que je veux que tu dévores, c’est moi ! Je ne partirai pas de chez toi avant que tu ne m’aies sautée !

-Ah enfin ! Me lance-t-il. Tu en as mis le temps avant d’y venir. Je t’ai bien fait lambiner avant que tu ne te décides. Mais c’est moi qui dicte les règles ! Je ne ferai rien. Tu devras prendre toutes les initiatives pour aujourd’hui. Mais si tu acceptes, quand ça sera à mon tour, tu ne pourras rien me refuser, je ne te le permettrai pas ! C’est à prendre ou à laisser !

Je suis surprise par cette autorité que je ne lui connaissais pas et aussi par ma réaction pour accepter cela. Je suis complètement folle mais je suis si entichée de lui que je pourrai rien lui refuser.

Il me sort d’un tiroir un papier déjà tout rempli et me dit de le signer.

-C’est un pacte entre deux personnes consentantes, j’espère que tu tiendras tes engagements !

Je lis très vite les articles et signe avec empressement ne sachant pas trop à quoi je m’engage.

Je, soussignée Béatrice X, autorise Marc Y à user et abuser de mon corps, autant que bon lui semble, de toutes les façons imaginables, sans aucune limite, y compris les aspects les plus extrêmes et les perversions les moins avouables. Je me livre, telle son esclave sexuelle consentante, et satisferai à tous ses fantasmes de mon mieux des plus soft aux plus hard. Je serai sa soumise dédiée uniquement à son plaisir, mettant à son entière disposition tous mes orifices. Je renonce à ma dignité personnelle et accepte tout avilissement de sa part. Je suis une personne saine de corps et d’esprit. Mon consentement est totalement libre et sans contrainte d’aucune sorte.

Fait à le

-Je suis tout à toi ! Déclare Marc en rangeant précieusement ce document.

-Je sais que c’est risqué car c’est un saut vers l’inconnu. Mais bon, je tente l’expérience, c’est si excitant!

-Tu as raison.

– Et d’ailleurs, merci, c’est gentil

– De quoi ?

– Ben de me dire que je suis à ton goût C’est flatteur venant d’un homme qui pourrait presque être mon fils !

-Pour moi, l’âge n’a pas d’importance. Je trouve que tu as beaucoup de charisme et de charme et j’adore ta piscine !

Nous rions de sa répartie quand il me demande :

– La situation ne te paraît pas incongrue ?

– Euh non ! Mais j’ai une question à te poser. Pourquoi portes-tu ce ridicule jean ?

Sa réponse est piquée du bon sens :

-Je n’aime pas les slips qui me serrent, et quand je mets un boxer ou un short court, au bout d’un moment le bout de ma queue pointe. Je ne veux pas me faire arrêter pour attentat à la pudeur !

Il me fait rire par sa réponse. Il sait très bien qu’il m’attire, et moi je sais déjà que je ne le laisse pas indifférent. Je ne lui réponds pas, il pose sa main sur mon épaule pour m’emmener au salon et m’avoue :

-Tu sais ! Je voyais bien que tu m’espionnais à l’abri de ton bosquet quand je "baisais" la vacancière et que la situation t’excitait. Et je t’avoue que moi aussi, ça m’excitait beaucoup de sauter cette femelle son ton regard !

– Mais euh

Il m’a eue, je ne sais pas quoi répondre, pique un fard et du coup je me dis que je vais la jouer franc-jeu.

-Oui c’est vrai ! Tu as parfaitement raison, ça m’excitait.

-Ne t’inquiète pas, les femmes comme toi aiment jouer, mais bien souvent, elles ne vont pas aussi loin que dans leurs fantasmes ! Dommage !

(A suivre)

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