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Déconvenue – Chapitre 7




Chap.7 : Les charmes de l’adultère

JEAN commente sa lecture du journal de Cécile

Tout est là. Cécile traite Léo de pompier incendiaire en fuite, le voue aux gémonies et quelques lignes plus loin confesse qu’il lui manque, prie pour son retour, lui ouvre sa porte en peignoir de bain, se laisse aller dans ses bras , oublie sa précédente colère, trouve une excuse bidon, je la cite :"Si je voulais m’échapper ou le repousser comment ferais-je avec ce bouquet de roses dans les mains ? " Ma réponse est simple : pour le repousser il suffirait de le frapper avec ce bouquet et de lui enfoncer les épines dans la peau. Mais Cécile l’avoue enfin clairement : elle a mieux à faire. Et elle peut se faire plaisir en s’attribuant l’initiative. Le jeune célibataire est fougueux mais c’est Cécile qui réclame, je la cite encore :"Léo, je t’aime, prends- moi" Il n’a pas à la forcer, à la violenter: elle s’offre !

A son habitude elle décrit ensuite avec gourmandise leur première relation sexuelle. C’était ma compagne, elle ne le sera plus à cause de cet abandon à l’autre homme et surtout parce qu’elle a voulu me cacher sa nouvelle orientation. Oui à ses envies, non à ses mensonges, à ses oublis volontaires de m’en parler. Elle a nécessairement saisi que son comportement ne serait pas à mon goût, elle dissimule volontairement les événements susceptibles de mettre fin à notre vie commune. Tient-elle encore à continuer avec moi ? Pour quelle raison ? Son silence obstiné ressemble à une précaution: Léo viendrait-il à l’abandonner, je serais son lot de consolation en attendant mieux, son assurance de garder un certain confort matériel. Or un aveu franc de son désir de rompre me semblerait moins offensant ou humiliant que cette exclusion larvée. Réduit à ce rôle d’amant de remplacement, humilié au lieu d’être l’aimé, je ne m’imposerai plus longtemps.

Journal de Cécile 7 octobre (suite )

La précision des coups de langue de Léo sur mon sexe, les effleurements de ses mains sur mes fesses, le bonheur d’avoir été entendue et de disposer de la matinée pour aimer ce bel homme à genoux devant moi, cou tordu pour atteindre mes parties intimes, font de moi sa chose.

Mon appel augmente son audace. Ses mains ont suffisamment écarté mes jambes. Tandis que l’une monte prendre appui sur ma hanche droite, l’autre est revenue vers l’avant, a ébouriffé les poils de ma toison encore humides du bain puis va planter deux doigts dans ma faille. Un index et un majeur pleins de toupet cherchent l’entrée, écartent poils et chairs des lèvres et remontent le conduit de mon vagin. Je suis toujours debout, mon bouquet en mains, immobile, tremblante de désir, soumise à tout ce que Léo voudra aujourd’hui. La fouille des doigts accentue ma reddition, je gémis ma joie. Les doigts s’activent, redescendent ou remontent en vrilles. La bouche embrasse la peau si douce de l’intérieur grassouillet de mes cuisses, mon pubis poilu, quitte cette zone, grimpe, bécote le plat de mon ventre, le bombé autour du nombril. Cette progression lente fait remonter Léo, il tombe en arrêt devant mes seins. En bas ses deux doigts sont sortis de ma fente, restent à peine sur le bourgeon de mon clitoris et y déchaînent des vagues de frissons. L’échine encore courbée, Léo me fixe pour me dire:

— Enfin, je les vois. Qu’ils sont beaux. Tu n’as jamais allaité ? On dirait une poitrine toute neuve. Puis-je les couvrir de baisers.

— Évidemment. Mais viens au salon, accorde-moi une minute pour disposer ce splendide bouquet dans un vase. Je veux moi aussi t’embrasser et te serrer contre moi. Suis-moi. Tu sais, je pensais à toi. Je suis tellement heureuse. Jean est au travail, ne reviendra pas avant midi. Aimons-nous.

Léo ne perd pas de temps. J’ai fait couler de l’eau, arrangé le bouquet, je retire mon peignoir, me retourne et je fais face à mon séducteur en tenue d’Adam. Il me tend les bras, je m’y jette, il m’embrasse et une de mes mains se pose directement sur la verge en demi érection. Léo bécote ma bouche, retourne à mes seins et fait le nourrisson goulu. entre deux petits bisous il me répète son envie de moi, son bonheur de me connaître et son espoir de me rendre heureuse et de m’apporter des plaisirs nouveaux que méritent ma beauté, ma générosité et mon acceptation de la différence. Il veut me parler de la différence de couleur de peau. Moi je pense surtout à la différence palpable, là, dans ma main "masturbatrice". Sa verge a complètement réagit, son gland pointe vers le plafond entre nos ventres nus. Je suis ravie, il l’est autant et me déclare :

-Comme tu sens bon !

— Je sors du bain.

— Veinarde. Nos douches sont froides, le bac est malpropre…

— Tu souhaites te baigner? Allons à la salle de bain.

-Tu m’accompagnes? Oh, oui. Tu me frotteras le dos, s’il te plaît .

— Mais oui et tout ce que tu voudras.

La baignoire se remplit. Nous nous étreignons. J’aime son odeur fauve, j’adore me lover contre lui, sucer la peau de sa poitrine presque sans poils, je ne peux plus lâcher son sexe, sa verge dure, son scrotum volumineux où je tripatouille ses testicules. L’attente dure, nos baisers nous plongent en apnée. Mais il faut tourner le robinet. Je me penche pour la deuxième fois par dessus la baignoire, je coupe l’arrivée d’eau. Léo m’avait regardé faire la première manoeuvre, cette fois il profite de ma position pour me plaquer une main sur les reins en creux et l’autre en plein sur la vulve. La surprise est divine, le plat de la main effectue un mouvement circulaire sur mes grandes lèvres, rencontre au passage la crête de mes petites lèvres ou le bouton déjà en fête. Courbée au-dessus de l’eau, immobilisée, je reçois une nouvelle visite de deux ou trois doigts dans ma chatte.Je dois rappeler à Léo pourquoi nous sommes ici.

— Doucement, Léo, patiente, nous avons tout notre temps.

— Tu restes, j’entre dans l’eau

Il enjambe le bord de baignoire, me regarde. Vaillante, c’est mon surnom pour sa queue, me tente, je tombe à genoux à mon tour, je la garde en main et j’y porte mes lèvres.J’ai appris dans la réserve du magasin que malgré le diamètre de l’objet gorgé de sang je pourrai lui faire franchir mes lèvres quitte à avoir mal aux mâchoires et l’engranger sous mon palais. Donc je lèche, je salive sur le gourdin royal, j’enrobe le noeud, je pousse ma bouche béante autour de l’énorme rouleau. Après le bain je perdrais la véritable odeur de cette bite formidable. Et je revis la séance dans la réserve, sans laquelle je serais seule à la maison ce matin.

— Cécile, toi aussi tu dois te montrer patiente. Ne m’épuise pas avant de faire vraiment l’amour. Je tiens à rester bien dur pour te pénétrer.

Patience, oui, mais cela n’interdit pas les câlins. Je le rejoins dans le bain. Nos peaux renouent les contacts, nos mains sous l’eau continuent les travaux de sape, les derniers remparts de pudeur s’effondrent. Seule restera à s’unir charnellement. Le degré d’excitation à la suite de tous ces contacts facilitera une intromission que je redoute encore. Même avec les serviettes pour le séchage nous nous amusons en riant. Léo se sent mieux, comme chez lui, dit-il. Il me pousse vers ma chambre, ramasse au passage son sac de cuir, baise en ville indispensable à un séducteur.

— Je préfère ton lit au canapé. On sera plus à l’aise.

J’ai hésité une seconde ou deux. En dehors de Jean, aucun homme n’a fréquenté ma couche. Léo me fait commettre une sorte de sacrilège. Si Jean venait à l’apprendre il serait malheureux et partirait. Léo est de passage dans ma vie, Léo disparaîtra. C’est une fantaisie, une folie pour satisfaire ma curiosité et pour goûter une fois à quelque chose de neuf, d’extraordinaire avant de retourner au train train quotidien dont je me suis fort bien contentée pendant des années de bonheur. Léo s’étonne de mon hésitation, regarde vers le salon. Aussitôt je consens à partager mon lit. Pourquoi contrarier mon héros, il ne devra pas se vanter d’avoir gagné sur tous les fronts. Jean ignorera cette exception unique à la règle.

-Tu as raison, pour faire l’amour, il n’y a rien de tel, viens dans notre lit

JEAN commente :

Que signifie "notre lit" à cet instant ? Celui de Cécile et Jean du passé ou celui de Cécile et de Léo qui vont le souiller ? Cécile a osé, je l’apprends avec rage. Elle compte toujours sur le silence, sur le secret. Elle espère à cette minute précise de l’adultère me revenir comme avant la tromperie. Cette bite si exceptionnelle semble-t-il lui fait perdre son habituel bon sens. La lecture devient insupportable. Qui rira de moi aujourd’hui, connaîtra peut-être demain le même sort lamentable.

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