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Un coucou dans la Suite Nuptiale – Chapitre 2




Auteur : Alix – janvier 2018

Abasourdi, je suspendis mes coups de reins. J’avais dû mal doser son cocktail ou elle était insensible aux drogues. J’allais filer comme un rat pour ne pas être reconnu, quand elle reprit, en chuchotant.

— Je ne dirai rien à personne, vous savez.

— Pourquoi ne m’avez-vous pas repoussé ?

— Je dormais à moitié et je croyais que c’était un rêve. Ce sont vos mains chaudes sur mes seins qui m’ont fait comprendre. Mon mari a toujours les mains froides. Et puis, il ne sait pas où est mon petit bouton. Vous étiez si doux que j’ai compris que vous ne veniez pas pour me faire du mal.

— Vous saviez que je n’étais pas votre mari et vous m’avez laissé faire, coquine.

— C’était si bon et j’en avais tellement envie. Vous pouvez finir si vous voulez. J’aime bien !

Je l’embrassais sur la bouche. Ses lèvres étaient chaudes. Elle répondit avec ardeur. Je la baisais. C’était différent, bien sûr, mais son vagin était toujours aussi doux et chaud.

— Oooh ! Que c’est bon !

Elle me saisit les fesses et ouvrit les cuisses tant qu’elle put. Je la baisais bien profond et quand elle recommença à gémir, je me montrais plus brutal, comme pour la punir de m’avoir fait peur. Elle jouit comme une folle. Au moment, où j’allais me retirer, puisqu’elle savait, elle me retint dans ses bras.

— Reste ! Je veux un bébé de toi. Tu es si fort !

Je remplis sa chatte de mon foutre sans retenir mes grognements de plaisir.

Jusqu’à la fin de son court séjour, elle observa avec attention le personnel masculin, surtout celui qui s’occupait des animations sportives. Elle cherchait à donner un visage et un corps au papa de son futur enfant.

J’étais rassuré, mais cela me fit redoubler de prudence.

La petite asiatique qui s’approchait les yeux baissés, un peu en arrière de son mari, me fascina. Elle avait l’air d’une adolescente. J’évitais les jeunes femmes exotiques, car leurs visages sont plus difficiles à déchiffrer. La vue de cette beauté me convainquit d’envisager une exception à cette règle.

Le soir prévu, je débarquais le benêt du lit et pris sa place. Le petit corps souple répondit avec fougue à mes caresses. Je pris la jeune femme comme elle aimait, en levrette. Elle se cambra et eut un orgasme convulsif puis s’effondra en tremblant. Je me vidais les couilles avec délices dans la petite chatte serrée qui palpitait autour de ma bite.

L’après-midi suivant, mon regard fut attiré sur l’écran par un mouvement dans le salon du bungalow de ma dernière victime. Elle venait d’entrer le sourire aux lèvres. Elle posa sa raquette et sa serviette sur le canapé et enleva son haut. Je me concentrais sur l’écran. J’aimais bien ses petits seins en poire et ses tétons remarquablement pointus.

C’est alors qu’apparut sur l’écran l’un des animateurs sportifs, Jo, un noir bien bâti, au rire facile. Je fus surpris de le voir là. J’avais interdit aux personnels, hommes et femmes, de flirter avec les clients pendant la durée de leur séjour.

Jo jeta un dernier coup d’il à l’extérieur, puis ferma la fenêtre avant de tirer prudemment les rideaux.

Elle se colla contre lui et se mit sur la pointe des pieds en lui tendant ses lèvres. Il se pencha et l’embrassa sur la bouche. Elle se jeta sur le canapé et retira ses chaussures. Elle n’avait pas de culotte. N’en croyant pas mes yeux, je zoomais sur sa fente. Je commençais à bander.

Jo s’approcha d’elle, avec l’hésitation de celui qui savait être en tort. Une grosse bosse déformait le devant de son bermuda. La petite lui souriait d’une façon si charmante que je fus surpris quand elle abaissa le short, libérant d’un coup une énorme queue noire qui jaillit comme un diable de sa boîte.

Elle ouvrit de grands yeux étonnés puis saisit le pieu d’ébène, plus gros que son bras, à deux mains. Ses yeux en amande fixèrent ceux de Jo alors qu’elle embouchait le gland sombre. Elle avait des difficultés à le prendre tout entier dans sa bouche. Ses deux mains glissèrent en lents va-et-vient le long du membre.

Je faillis avoir une attaque quand je vis ses doigts fins se refermer sur les gros testicules charbonneux qui pendaient entre les jambes de l’animateur. La petite main pressa les boules comme pour en faire sortir le jus.

Jo fléchit ses jambes et prit la tête de l’ado pour l’immobiliser. Il grogna sourdement. Je voyais les muscles de ses fesses se contracter et ses hanches donner de petits coups. Elle ferma les yeux en déglutissant à toute vitesse. Il était clair qu’elle buvait le sperme aussi vite qu’il jaillissait du méat. Ça n’en finissait pas. Ils restèrent ainsi près d’une minute.

— Comment peut-il en fournir autant, me demandais-je ?

Jo relâcha sa prise et la petite se dégagea en reprenant sa respiration. Un peu de sperme coulait sur son menton. Elle prit sa serviette et s’essuya délicatement le coin de lèvres et le menton.

Il s’assit à côté d’elle pour la bécoter et peloter ses petits seins de ses grosses mains noires. Elle recommença à lui caresser les couilles.

Elle le poussa pour qu’il s’allonge sur le dos puis prit l’énorme queue et lécha le gland noir de sa petite langue gourmande. Jo ne tarda pas à rebander majestueusement. Alors elle s’agenouilla, tendit son petit cul et posa sa tête sur ses bras.

Ils n’échangèrent pas un mot. Ce n’était pas nécessaire.

Le grand noir se colla derrière elle. Je ne suis pas près d’oublier ce que je vis. Le petit vagin s’ouvrit comme une fleur sous la poussée du gros gland noir qui disparut dans le vagin incroyablement dilaté. Jo n’avait pas enfoncé la moitié de sa bite que la petite entrait déjà en transe. Elle poussait des miaulements de chatte en chaleur. Son petit corps était secoué de spasmes, si bien que Jo, qui n’arrivait plus à la baiser comme il voulait se retira. Son vagin formait un gros trou rond. Il la jeta sur le dos et la cloua sur place en enfonçant son pieu dans son petit ventre, se vautrant sur elle sans ménagement.

Je dus baisser le son tellement elle hurlait.

Jo était si excité qu’il la bourrait sauvagement, bien profondément. Sa queue noire disparaissait entièrement dans le petit ventre clair. Comment était-ce possible ?

Il s’effondra, écrasant sans pitié la petite poupée de porcelaine de sa masse virile. Ses fesses musclées se contractaient rapidement pendant tout le temps de sa jouissance. J’imaginais l’importante quantité de sperme qui se répandait dans le ventre de la jeune femme.

Enfin, il se releva et sortit lentement sa grosse queue luisante de jus, du vagin distendu. Une seconde après, un flot de sperme s’échappait du trou encore ouvert. La fille restait étendue, jambes ouvertes, sans bouger. Je me demandais si elle respirait encore. Enfin, elle hoqueta. Quelques spasmes secouèrent son corps. Elle émergea lentement de son effrayant orgasme.

Soulagé, j’aspirais un grand bol d’air.

Jo se leva et se rhabilla rapidement. Il se pencha pour l’embrasser sur les lèvres et s’en alla sans dire un mot.

Je regardais la petite se relever péniblement, ramasser son haut et sa jupette avant de filer vers la salle de bains. Je la suivais sur les écrans pour assister à sa toilette intime sous la douche. Elle regagna la chambre, passa une brosse dans ses cheveux en chantonnant gaiement, enfila un peignoir et alla chercher un petit pot dans un sac. Elle s’allongea sur le lit, écarta les cuisses et massa doucement les lèvres de sa vulve avec une pommade blanche.

Ma bite me faisait mal tellement je bandais.

Lorsqu’elle entendit son mari rentrer, elle rangea son pot de crème et le rejoignit alors qu’il s’installait dans un fauteuil sur la terrasse. Elle l’embrassa sur la bouche.

— La pêche a été bonne, mon amour ?

— Super ! J’ai pris deux gros poissons. Ils nous les préparent pour ce soir.

— Comme je suis contente ! Mon champion ! Je t’apporte une bière pour la peine ?

Elle alla ouvrir le frigo et lui apporta la petite bouteille. Je n’en revenais pas de voir l’aisance avec laquelle cette petite salope se transformait en épouse attentionnée.

Je fis venir Jo dans mon bureau le soir même. Je lui fis croire que quelqu’un l’avait vu entrer dans le bungalow avec la jeune asiatique. Je lui reprochais d’avoir enfreint le règlement et lui enjoignais de tout me raconter.

C’était sa dernière cliente de la matinée. Dès les premiers coups de raquettes, la jupe de la jeune femme s’était soulevé, dévoilant la fente imberbe de son abricot. Il en avait raté le retour de balle. La petite avait ri. Ils avaient échangé quelques balles, mais sans conviction. À chaque fois qu’elle sautait ou qu’elle ramassait une balle, il en prenait plein les yeux.

Il n’avait rien tenté. C’était elle qui avait pris l’initiative.

Se prétendant fatiguée, elle voulut s’asseoir dans la grande chaise de l’arbitre. Elle monta lentement l’échelle, dévoilant son cul et sa chatte sans aucune pudeur. Il bandait tellement fort qu’il posa sa raquette devant la bosse que faisait son short. Elle lui avait demandé  si elle pouvait faire quelque chose pour le soulager tout en écartant les cuisses. Il n’avait pas su quoi répondre tellement il était choqué par le comportement de la jeune mariée. Elle était descendue de la chaise de la même manière qu’elle y était monté, l’avait pris par la main en riant et l’avait emmené dans le bungalow.

J’ai interrompu sèchement son récit, prenant l’air pincé du patron sérieux que les détails sordides n’intéressaient pas.

— Ça suffit ! Je ne veux pas en savoir plus !

Jo était un bon garçon. Il me donnait entière satisfaction et serait difficile de remplacer. Je lui fis part de mon mécontentement et de la chance qu’il avait d’avoir un patron aussi compréhensif. Ce serait son premier et dernier avertissement. Il me remercia avec ferveur et me jura que je pouvais compter sur lui.

Une fois Jo sorti de mon bureau, la queue entre les jambes, une question me turlupina. Cette merveilleuse poupée était-elle déjà une salope avérée en arrivant ou l’était-elle devenue durant la folle nuit que j’avais passée avec elle.

Son mariage était-il en péril, à cause de moi ? Ce n’est pas ce que je voulais.

On peut être à la fois, pervers et romantique, non ?

Fin

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