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Étudiant chez l'habitant – Chapitre 4




Chapitre 4: Soirée ludique

Quand Mathilde pénétra dans la pièce, cest comme si une bourrasque de fraicheur était entrée ! Elle était débordante de vitalité. Ses dents blanches éclatantes, son sourire et son petit nez mutin lui donnait un air espiègle tout à fait ravissant. Les boucles châtaines de ses cheveux mi- longs encadraient son visage au teint légèrement mat.

— Ma chérie, enfin te voilà ! Lui dit Danielle en lenlaçant tout contre elle. Cela faisait si longtemps, tu ne peux pas savoir comme on avait hâte de te revoir avec Papa ! Tas fait bon voyage ? Viens racontes-moi !

Puis se rappelant de ma présence :

— Voici Jérémy, cest létudiant quon loge, il a ton âge !

Pas gêner le moins du monde par le fait que jétais nu devant elle habillée. Elle me rejoignit spontanément pour me faire la bise.

— Salut, ça va ils ne sont pas trop relou mes parents ?

— Euh non, ils sont plutôt cool

— Tu mexcuses, hein, faut que je me mette un peu à laise moi aussi. Elle entreprit alors un déshabillage fulgurant : les vêtements volèrent dans tous les sens.

— Chérie, on vient de ranger la maison, tu sais ! Lui fit remarquer sa mère.

— Oh pardon Maman, mais tu sais depuis le temps que jattends ça Avec ma coloc, impossible de vivre comme ça ! Elle est dun coincé !

— Pauvre chou, il va falloir bien en profiter alors de ces vacances ! Cest Jean-Paul qui venait de parler. Il avait garé la voiture pendant le strip-tease de sa fille et il a du se dévêtir au sous-sol car il était déjà nu en entrant dans la pièce.

— Alors Jérémy, ça se passe bien ? Tu thabitues ? me dit-il.

— Ça a été un peu dur au début, il est timide mais tu vois, il totalement naturiste maintenant. Lui répondis sa femme.

Jobservais le père et la fille, ils étaient comme sur les photos de lalbum. Quel bonheur de pouvoir partager leur vie de famille.

— Papa, dépêches toi, tu mavais promis ! Jen peux plus !

— Deux minutes ma fille laisse-moi un peu de temps, ce nest pas si pressé !

— Eh si, jen ai marre, allez, sil te plait ?

De quoi parlaient-ils ? J-Paul quitta la pièce puis revint quelques minutes plus tard avec entre les mains une bassine deau, une serviette sur le bras et coincée sous son autre bras une bombe de mousse à raser et un rasoir. Ce nétait pas vrai : il allait raser sa fille dans le salon et sous mes yeux !

— Depuis le temps que jattendais, ça fait au moins 3 mois quils poussent. Ça commence à bien gratter maintenant ! Allez Papa, vite !

Il est vrai que javais remarqué que sa fente était recouverte de poils courts et je pensais que Mathilde les laissaient pousser en hiver. Mais apparemment, il nen était rien ! Cest juste que son père était apparemment vraiment le seul préposé au poste de coiffeur pour chatte !

Elle sassit dans le fauteuil face à moi son père sagenouilla devant elle. Elle écarta au maximum ses jambes posant chacune delle sur un accoudoir du fauteuil. Malheureusement le dos de Jean-Paul me masquait ainsi son intimité. Pendant que son père préparait son intervention, elle commença à me questionner, elle voulait tout savoir, mon âge, où jhabitais, ma formation etc.

— Eh, Papa elle est froide, taurais pu mettre de leau chaude !

— Cest toi quétait pressé jeune fille ! Ça tapprendra la patience comme ça !

J-Paul venait de tremper ses mains dans leau de la bassine et je devinais aux mouvements de ses bras quil était en train dasperger le buisson de sa fille. Il prit la bombe, la secoua, mis la mousse dans sa main et lappliqua sur le sexe de sa fille.

Je ne voyais rien de tout cela, je ne pouvais que limaginer ! Jaurais tout donné pour être à la place de son père. Arg ! Jenrageais mais je ne pouvais tout de même pas me décaler pour mieux profiter de la vue ! Cela ce serait trop remarqué ! Après sêtre lavé les mains dans la bassine, il avait pris le rasoir et saffairait désormais avec son ustensile entre les cuisses de sa fille.

Pas troublée le moins du monde, elle enchainait les conversations avec moi ou sa mère. Racontant la vie morne et triste quelle avait en Angleterre ainsi que le peu de distractions qui soffrait à elle là-bas.

— Wah, mais elle est froide !

J-Paul avait fini, il était en train de lui rincer sa petite vulve. Elle referma ses jambes, javais rien vu !

— Je peux avoir un merci ? demanda son père.

— Bien sûr mon petit Papa, tiens, te voilà un bisou ! Et elle bisa son père sur la joue. Elle était maintenant debout devant lui, la tête de J-Paul me cachant toujours son entrejambe.

— Et moi Papounet, jai pas le droit à un petit bisou non plus ?

J-Paul se redressa un peu et lui embrassa le ventre.

— Taurais pu membrasser où cest tout doux ! dit-elle sous un ton de reproche. Maman ! Papa ne veut pas me faire un bisou !

Elle se déporta enfin sur sa droite et je pus enfin admirer sa chatte toute lisse. Eh bien moi je naurais pas hésité à y poser mes lèvres !

— Chérie, tu sais bien que tu es encore jeune !

— Et voilà, ça recommence ! Dit-elle dun ton boudeur. Devant mon regard interrogatif, elle sadressa à moi :

— Tu te rends compte, jai beau avoir des parents naturistes, ouverts et tout le toutim, pas le droit de toucher à mon sexe parce que je suis trop jeune ! Jsuis toujours vierge tu y crois à ça ?

Je ne répondais pas.

— Toi au moins, jsuis sûr que tes plus puceau!

Devant ma mine fermée, elle comprit et me lançât : « bienvenu au club alors ! On est tous les 2 majeurs et encore puceaux, jhallucine !

— Tu sais bien que lon ne voulait pas te heurter, ma chérie. La calma sa mère. Nous avons déjà évoqué le sujet avec ton et te joindre à nous à souvent alimenté nos fantasmes mais nous te trouvons trop jeune et nous ne voulons pas briser notre belle entente.

Ses mots eurent un effet apaisant sur Mathilde :

— Cest vrai, vous pensiez à moi en le faisant ? Oh je suis trop émue, jy ai souvent pensé moi aussi lorsque je vous entendais le faire ! Je suis majeure maintenant et en âge de décider ! Sil vous plait, laissez-moi me joindre à vous et Jérémy aussi! Apprenez-nous, sil te plait Maman. Papa dit oui, sil te plait !

Ne savant quoi dire jacquiesçais à ses propos et le fait quelle mincluait dans le lot nétait pas pour me déplaire.

J-Paul interrogeât du regard sa femme :

— Bon puisque tout le monde semble daccord, nous voulons bien tenter lexpérience ! Comme on dit, plus on est de fous, plus on rit !

— Yes yes yes ! dit Mathilde en battant des mains comme une petite fille. Quand est-ce quon commence ?

— Tout dabord , passons à table, on vous expliquera en mangeant !

Pendant toute la durée du repas, la conversation porta sur comment nous initier aux joies de lamour. Fidèles à leur ligne de conduite, les parents de Mathilde décidèrent de nous apprendre le sexe de manière ludique et convivial autour dun jeu de cartes.

Avant de commencer J-Paul prit la parole :

— Attention, Danielle et moi sommes assez libérés en amour! Nous vous demanderons juste de ne pas vous offusquer. Nous sommes comme nous sommes, faites-en de même ! Laissez-vous aller et nous vous guideront vers la jouissance ! Essayez, faites-vous une idée, appréciez au maximum, nous ne sommes pas réuni ensemble pour se juger ! Ça va pour tout le monde ?

Sur ces bonnes paroles, nous nous sommes alors installés sur 4 tabourets autour de la table basse du salon. Cela permettait à chacun de voir les autres dans leur totale nudité.

— Nous ferons une belote en 8 tours ! A chaque tour, léquipe perdante réalisera le gage proposé par léquipe gagnante. Les hommes contre les femmes. On commence ?

Nous étions tous très enthousiastes ! Un peu trop certainement car nous perdîmes le 1er tour !

— Messieurs, présentez-nous vos respects sil vous plait. On veut voir vos petits messieurs de près. Approchez ! Nous dit Danielle.

Nous nous sommes levés, je suivais J-Paul qui présenta sa bite à sa femme puis la contourna pour la montrer à sa fille. Lorsque vint mon tour de présenter mon sexe à Danielle, celle-ci sexclama : Jérémy, voyons, on se décalotte devant une dame ! Cest la moindre des politesses !

Je mexcusais de mon manque de savoir vivre et me dépêcha de dégager mon gland de son prépuce. Elle put examiner et jauger mon membre à loisir.

— Dépêches toi, Maman, la bite de Papa je la connais, celle-là je lai pas encore bien vue !

Arrivé devant Mathilde ses yeux pétillaient : « elle est très jolie, et jaime bien lodeur ! hihi. »

Nous remportâmes la 2nde manche. J-Paul lançât le gage :

— Nous ne demanderons que 2 petits bisous ! Commença-t-il. Je pensais en moi-même que cétait tout pourri comme gage mais il continuât : « Un sur la bouche, le second sur le bout de nos glands ! Vous les avez observés tout à lheure, maintenant vous pourrez les goûter ! »

Mathilde se tortillait sur son tabouret : « Moi dabord, Maman ! » et elle se jetât sur son père lui bisant rapidement les lèvres puis sagenouillât face à sa verge. Elle la prit délicatement entre ses doigts, la releva à hauteur de sa bouche, tira doucement la peau du gland, regarda son père dans les yeux : « jen ai envie depuis que je lai vu pour la 1ère fois ! ». Les lèvres entrouvertes, elle déposa son bisou sur le bout du sexe de son père. Sa bise fut tellement appuyée quelle engloutit entièrement le gland de son géniteur ! Elle retira sa bouche avec un bruit de succion qui ne faisait aucun doute sur ses réelles intentions.

Elle fit de même pour moi. Elle appuya sa bouche sur mon gland comme elle avait fait pour son père et je sentis deux coups de langue discrets sur mon urètre qui me fit frissonner. Pas de doute, Mathilde aimait déjà la bite.

— Eh ben, ça va être dur de faire mieux ! Rigola Danielle et elle prit place devant moi. A linverse de sa fille, elle commença par mon sexe quelle téta plus quautre chose puis remontât me rouler un énorme patin !

— Cest pas juste, dit Mathilde, on avait dit un bisou !

— Oui cest vrai, lui répondis sa mère, mais toi tas sucé hihi! Et elle enchaina avec son mari.

La 3ème manche fût remportée par les hommes et les femmes durent à leur tour nous présenter leur intimité. La chatte de Mathilde sentait encore lodeur mentholée de la mousse à raser. Elle sétait assise sur le fauteuil, les jambes serrées et relevées à la verticale; elles écartaient ses lèvres de ses 2 mains. Sa tête penchée sur le côté, elle observait ma réaction. Sa mère mencourageait : « approche toi plus près, regarde comme il est beau son minou, il a lair doux et humide, approche, on voit aussi son petit illet ! » A ses mots, Mathilde descendit un peu ses doigts et écarta ses fesses. La vue de son petit trou plissé, de sa vulve écartée et de son visage souriant derrière ses jambes était délicieuse.

— On en mangerait ! Ne put sempêcher de dire J-Paul.

— Oh oui mon petit papa, jai hâte !

— Stop, les interrompit Danielle, cest mon tour maintenant !

Nous assistions à une sorte de compétition amicale entre la mère et la fille à savoir qui serait la plus provocante. Danielle avait choisi de nous exposer ses charmes à 4 pattes, le buste posé sur lassise du canapé, ses 2 mains écartant au maximum ses fesses. Elle commentait sur la douceur de son entrejambe qui dégoulinait déjà dêtre ainsi exposé mais aussi sur le moelleux de son petit orifice accueillant Lentendre parler ainsi de son postérieur mexcitait au plus haut point. Elle navait pas la fraicheur de sa fille, mais elle se défendait bien pour stimuler le désir des hommes.

Lors de la 4ème manche, nous perdîmes et durent à notre tour embrasser le sexe de nos adversaires. Mathilde déclara que les hommes devaient être assoiffés par la partie et que, comme elle mouillait tellement, elle voulait bien se « sacrifier » pour nous abreuver. Je fus donc le premier à laper le jus tiède qui séchappait de sa chatte. Je la dégustais mais au bout dune trentaine de seconde, J-Paul me dit : « Laisses-moi en un peu et goutes donc la liqueur de ma femme, cest un vrai sirop ! ».

— Tinquiètes pas mon petit papa, je coule encore plus depuis que Jérémy ma mis sa langue !

Il prit ma place entre les cuisses de sa fille pendant que jallais me désaltérer au puits damour de sa femme.

Les chattes mouillaient, nos verges perlaient, la soirée savançait et nos sens séchauffaient de plus en plus…

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