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Déflorée par mon petit beau-frère – Chapitre 3




Voilà comment j’ai été déflorée par mon beau-frère un peu par accident si j’ose dire car tout cela ne serait sans doute jamais arrivé si mon petit ami du moment ne m’avait pas laissé toute seule avec lui.

Finalement j’aimais bien sa compagnie et c’est moi qui m’arrangeait pour me retrouver seule avec lui par la suite. La 3ème fois qu’on s’est retrouvé seul tous les deux, c’était chez moi. J’étais à la maison en train de bosser sur mes cours pour le lendemain quand Thibault vint frapper à ma porte.

Comme tous les jeudi après-midi, j’étais seule à la maison. A peine étonnée car nous en avions parlé lors de nos précédents tête-à-tête, je lui demandais ce qui l’amenait chez moi, feignant de ne pas comprendre.

Thibault, tout penaud m’avoua qu’il avait entendu son frère dire à ses parents qu’il partait passer la journée avec ses copains dans une bourgade assez éloignée d’ici ainsi, il était sûr qu’il pourrait passer me voir sans que personne ne sache rien.

Il était attendrissant. Je le voyais venir avec ses gros sabots. Je lui demandais:

Et qu’est ce que tu t’es dit dans ta petite tête?

Rien, rien. Mais j’avais envie de te voir c’est tout.

Tu sais mon Thibault, Angie n’aime pas beaucoup les mensonges. Si tu me disais ce qui t’amène vraiment. On pourrait peut être gagner du temps, non?

Ben en fait, je me suis dit qu’on pourrait peut être, enfin…

T’aimerais bien qu’Angie te laisse lui monter sur le ventre encore une fois, non?

Ben oui. Tu veux bien? J’arrête pas d’y penser, ça me fait mal au ventre tout le temps.

Allons bon. Et si tu me faisais voir ça, là où t’as si mal.

Ici?

Nous étions dans le salon de la maison familiale et c’est vrai que ce n’était pas l’endroit idéal pour m’occuper de ce cher Thibault.

Suis moi.

Je donnais un tour de clé en la laissant dans la serrure et tournais les talons pour grimper les escaliers menant à ma chambre sans me retourner, Thibault accroché à mes basques. Je rentrais dans ma chambre et me laissait tomber sur le lit en me retournant.

Ferme la porte mon Thibault, et montres moi.

Dix secondes après, il était debout à côté de moi, son short et son slip à ses pieds, son sexe en demi érection à la main.

C’est là que j’ai mal.

Il me montrait la base de son sexe et ses deux grosses boules à peine poilues. Je tendis ma main vers sa queue pour la prendre entre mes doigts et commencer à la branler doucement. Avec mon autre main, je me mis à lui caresser les couilles ce qui le fit pousser un petit gémissement.

J’te fais mal?

Au contraire.

J’continue alors. C’est le bon remède, non?

Oh oui, mais je crois qu’avec la bouche ça serait encore mieux.

Non mais j’y crois pas. Tu veux que j’te suce en plus.

J’aimerais bien. J’adore çà.

Et moi?

J’te fais pareil tout de suite si tu veux.

J’arrête tout alors?

Si tu veux oui.

Je lui souris puis, je l’attirais vers le lit pour le forcer à s’y allonger. Il bandait ferme maintenant. Sa petite queue était dure comme du bois. La salive m’envahissait la bouche. Je ne pus résister plus longtemps. Ma langue était déjà sur la hampe, la parcourant sur toute sa longueur de son gland à ses couilles qui pendaient comme deux fruits prêts à être cueillis. J’aspirais les deux globes entre mes lèvres pour son plus grand bonheur puis je remontais pour prendre son gland dans ma bouche et flatter la petite bande de chair si sensible. Les garçons adorent qu’on s’en occupe et lui, n’échappait pas à cette règle.

Je me relevais pour m’installer à genoux entre ses jambes et mieux le sucer. Thibault n’en pouvait plus de ronronner, gémir, pleurer à moitié, m’annonçant tout à coup que c’était trop bon, beaucoup trop bon et qu’il allait jouir.

Ces paroles au lieu de me faire ralentir, firent monter de plusieurs crans mon excitation. Une folle envie de recevoir dans ma bouche les giclées de son sperme pour le déguster ensuite, me poussa à accélérer mes allers et retours sur sa queue jusqu’à la sentir gonflée démesurément. Il allait jouir, tout son corps commençait à se tendre comme un arc avant qu’il ne lâche sa flèche meurtrière.

J’attrapais ses couilles à pleines mains pour les presser doucement. Aussitôt, la barre de chair dans ma bouche se raidit, se raidit encore puis, m’expédia dans un spasme la première salve de semence. Une 2ème puis une 3ème suivirent, m’emplissant la bouche avant que je n’ai le temps de tout avaler. Il m’éjaculait une grosse quantité de sperme. Une 4ème giclée moins puissante mais toute aussi épaisse vint rejoindre ses consoeurs. L’odeur du sperme juvénile m’envahissait les narines, plus feutrée, moins agressive que celui d’un mâle plus âgé.

J’avalais entièrement toute sa liqueur en lui caressant ses deux beaux fruits encore gorgés de sève.

Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii Angie. Ouiiiiiiiiiiiiiiii. C’est bon tu sais?

J’espère bien que c’est bon.

Je le laissais récupérer un bref instant puis:

A moi, maintenant. Je suis toute mouillée à cause de toi.

Je me laissais retomber sur le dos en repliant mes jambes sur mon ventre après m’être débarrassée de ma petite culotte que je lui lançais à la figure en lui souriant.

— Tiens, sens l’odeur de ma petite chatte, sale gosse!

Il avait vite appris car sans que je ne lui dise quoi que ce soit, il était déjà entre mes cuisses, couvrant de baisers mon ventre, le pourtour de mon sexe, mes cuisses et enfin mon sexe lui même. Ses mains, tout en me caressant, m’ouvrirent doucement la fente pour lui permettre d’explorer ma chatte avec sa langue et débusquer rapidement mon bouton de jouissance.

Je me sentais débordante de cyprine, contente de lui offrir ce nectar à boire et il ne s’en privait pas, lapant l’entrée de ma vulve comme l’aurait fait un jeune chiot. C’était trop bon de sentir cette langue me parcourir la chatte, glisser entre mes lèvres en plongeant dans mon trou, flatter mon bouton. Un vrai délice.

Quand il a commencé à me sucer carrément le bouton, je n’ai pu m’empêcher de l’encourager :

Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii. N’arrêtes pas. Suces comme ça, fais moi jouir. C’est trop bon.

Thibault mettait du cur à l’ouvrage, m’amenant tout droit vers un de ces orgasmes dont je raffole. Je le sentais se préparer dans ma chatte, mon ventre, mes reins, grandir en m’expédiant des décharges d’adrénaline à chaque spasme de mon clito. Il était là, j’attrapais les draps entre mes doigts :

Oui. Oui. Ça vient. Oui. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh.

Je laissais la jouissance me submerger, parcourir mon corps tout entier tandis que tétanisée par sa puissance, je me laissais retomber sans force sur mon lit.

Je récupérais doucement quand je sentis Thibault se glisser entre mes jambes puis remonter en rampant sur moi jusqu’à se retrouver face à face. J’ouvrais les yeux. Il était là sur moi. Son sexe dénudé contre mon ventre, dur, déjà prêt pour d’autres aventures.

J’avançais mon bassin à sa rencontre en ouvrant un peu plus mes cuisses dans une invite sans équivoque.

T’as envie mon Thibault?

Oh oui, tu veux bien?

Viens mon Thibault. Viens.

Je l’embrassais à pleine bouche tandis qu’il passait une de ses mains entre nous pour prendre sa bite entre ses doigts et la recouvrir de la salive qu’il venait de récupérer. Nos doigts se rejoignaient sur sa hampe puis j’enfournais le gland entre mes lèvres.

Sans attendre, surveillant dans mon regard la moindre de mes réactions, il avançait son bassin en me donnant des petits coups de reins, pour s’enfoncer en moi jusqu’à m’embrocher jusqu’aux couilles. Il resta ainsi, profondément ancré dans mon ventre sans bouger, de longues secondes:

C’est bon d’être là! J’adore ton minou.

T’aimes çà hein mon Thibault?

Oh oui, y a rien de meilleur mon Angie.

Ça me fait drôle que tu m’appelles comme ça, tu sais. C’est avec ton frère que je suis censée faire çà.

Oui, mais c’est moi que t’as choisi, mon Angie pour faire çà. Et je t’aime trop Angie.

Allez viens, prends moi maintenant comme l’autre fois.

Thibault n’insista pas, heureusement. Il se mit à me caresser les flancs avant de s’agripper à mes hanches pour commencer des allers et retours dans ma chatte en pleine ébullition. J’étais émue à en pleurer de sentir ce corps sur le mien, ce sexe incrusté dans mon ventre, et ses doigts presque familiers, agrippés à mes reins pour mieux m’ajuster. Il me prenait totalement, il faisait connaissance avec mon fourreau intime pour la 2ème fois et j’aimais çà. Je me donnais totalement malgré la gêne inconsciente d’accorder au frère de mon ami, ce que je lui avais toujours refusé. Curieusement je n’y pensais pas. Pour l’instant, seule la barre de chair qui me ramonait le ventre, m’importait. Les yeux fermés, concentrée sur mes sensations qui allaient crescendo, j’accompagnais la possession en allant au devant du soc de chair, écartant mes cuisses au maximum pour lui permettre d’aller encore plus loin en moi.

Pour moi aussi, c’était nouveau mais j’ai tout de suite adoré ce truc à la fois doux et dur, cogner tout au fonds de moi, aller et venir en m’écartant les chairs à l’intérieur, créant une sensation de gêne d’abord puis de plénitude.

L’envie de jouir encore une fois me gagnait en sentant les coups de boutoir plus rapides et plus puissants que mon amant m’assénait. Je m’entendais l’invectiver:

Oui mon Thibault, baises moi. Plus fort, transperce moi, ouvre moi. Prends moi.

Tiens mon Angie. J’aime bien quand tu me dis des trucs sales.

Ça t’excite mon Thibault.

Ouais, ça me fait tout drôle dans ma tête. J’ai encore plus envie.

J’aime bien moi aussi. Pines moi Thibault. Mets moi ta grosse queue dans ma chatte.

Arghhhhhhhhhhh ! Tu me fais grossir encore plus. Tu aimes Angie?

Oui, mon Thibault, t’es de plus en plus gros. J’adore.

Thibault me possédait maintenant à grands coups. Son ventre frappant le mien à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Il murmurait mon prénom en continue, les yeux fermés, tout à son plaisir.

Oh, Angie. Angie…

Tout à coup, il se raidit comme un arc, me balançant plusieurs coups de reins rapides. Je sus qu’il allait jouir. Je l’accompagnais en m’ouvrant au maximum, attrapant mes genoux pour les ramener vers ma poitrine.

Thibault passa ses bras sous mes fesses, en plaquant mes cuisses largement écartées le long de mes flancs puis, se mit à jouir en grognant de plaisir. J’étais prête à le recevoir, mes chairs toutes entières dans l’attente des soubresauts de cette queue qui allait dans une seconde déverser son flot de foutre chaud, épais à l’odeur maintenant familière.

Oh mon Thibault, oui. Jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis

Je l’attrapais par les fesses pour le plaquer contre moi en sentant sa verge m’expédier sa 1ère giclée. Je n’avais pas le temps de sentir la 2ème car immédiatement après, je perdais pied moi aussi, surprise par un nouvel orgasme.

Je restais prostrée un long moment, savourant l’endorphine qui avait envahi mon cerveau pour me plonger dans un état second.

C’est finalement la gêne de me sentir écartelée et surtout le poids de mon amant pesant sur mes cuisses qui me sortirent de ma léthargie.

Thibault, j’ai mal, laisses moi déplier mes jambes. C’est pas trop confortable.

Nous venions de faire l’amour une 2ème fois en moins de 2 semaines. Je commençais à avoir du mal à assumer cette situation même si ça n’allait plus très bien avec mon copain depuis quelques semaines car je savais pertinemment qu’il ne se gênait pas pour culbuter des copines jusqu’à présent moins prudes que moi.

J’aurais pu maintenant remédier à cette situation surtout après avoir franchi le pas avec son propre frère mais, bizarrement, je n’avais pas vraiment envie de lui offrir ma petite chatte. Je dois reconnaître avec le recul que la situation que je vivais avec son cadet était bien plus excitante. De plus, j’étais pour ce dernier, la seule fille à laquelle il s’intéressait.

Il était fou de moi et moi, j’adorais çà.

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