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La poupée Julien – Chapitre 2




Il s’en alla à la boutique. Il dut traverser quelques rues. Il eut droit à quelques sifflets et railleries de gars assis en terrasse de bars, il sentait les regards vicieux des hommes et ceux accusateur des femmes sur elles.

Il entra dans la boutique dans laquelle il n’était jamais venu. La vendeuse l’appela pourtant de suite pas son nom et son prénom. Elle lui demanda de s’asseoir et des quitter ses tennis pendant qu’elle allait chercher ce qu’elle avait pour lui. Elle revint quelques instants après avec une grande boite. Elle en sortit des sortes de cuissardes qui étaient plus un mélange de talons aiguilles et de bas en latex noirs. La vendeuse lui fit essayer. Elle l’aida à les enfiler. Vu qu’elles étaient déjà latexées, c’était assez facile à mettre. La vendeuse ne paraissait pas choquée de voir Julien dans cette tenue. Elle était habillée d’une robe longue en lycra. Julien voyait par transparence qu’elle avait dessous un string noir et une brassière noire. Quand la vendeuse se pencha, Julien aperçu par l’ouverture du dos nu que la brassière était en latex… Voilà pourquoi elle n’était pas choquée de voir quelqu’un avec cette matière. Les bas en latex des cuissardes remontaient jusqu’en dessous de fesses.

Ils étaient mats. La vendeuse prit un aérosol et pulvérisa de l’huile siliconée dessus. Julien senti le froid. La vendeuse étala l’huile en massant le latex avec ses mains. La vendeuse lui dit de marcher un peu pour voir si ça lui allait. Julien n’était pas très à l’aise avec les talons très hauts et très fins. Il était obligé de se cambrer, et sa démarche faisait vulgaire. Il fit quelques pas et la vendeuse lui dit qu’ils devaient aller dans l’arrière boutique car elle avait autre chose à lui remettre. La vendeuse passa devant et Julien la suivit, du mieux qu’il put. Elle ouvrit une porte métallique qui paraissait lourde et entra, suivie de Julien. C’était une sorte de couloir qui menait à une pièce plus grande. Dans la pièce, il y avait deux fauteuils, dans laquelle la vendeuse invita Julien à s’asseoir. Elle lui servit un verre de jus d’orange et sorti une pochette plastique. Elle s’assit face à Julien et ouvrit la pochette. Elle en sorti un corset en latex très épais noir et rouge. Julien devait le mettre avant de repartir. Elle aida Julien à quitter son jogging et polo, et lui mit le corset par dessus la combinaison transparente. Elle lui fit rentrer le ventre et souffler pour le creuser le plus possible. La vendeuse serra tellement la taille que Julien avait du mal à respirer. La vendeuse lui dit qu’il allait vite s’y habituer. Julien commença à se sentir fatiguée, ses paupières devinrent lourdes. Il regarda le jus d’orange, puis la vendeuse.

Celle-ci laissa glisser sa robe à ses pieds. Elle était en sous vêtements en latex. Julien la vit sortir une seringue et des outils d’un tiroir et elle piqua le bras de Julien, qui sombra dans un sommeil profond.

Quand il émergea, Julien ne voyait pas grand chose. Il comprit qu’il avait une cagoule en latex sur la tête. Cette cagoule avait de petites perforations au niveau des yeux, des narines et de la bouche. Il commença à se redresser mais il sentit une douleur au niveau de sa poitrine. Il perdit connaissance. Quand il se réveilla réellement, il avait toujours la cagoule. Il se redressa pour se relever et il sentit sa poitrine lourde. Il regarda et toucha ses seins, une vraie poitrine de femme, ils étaient devenus gros comparés à leur taille normale, et à chaque téton pendait un anneau. Julien cria. La porte de la sorte de chambre sans fenêtre où il se trouvait s’ouvrit. La vendeuse entra, mais dans une tenue d’infirmière en latex blanc. Elle expliqua à Julien que pour pouvoir continuer, elle avait du subir quelques transformations, mais que d’autres viendraient. Julien demanda ce qu’elle entendait par continuer, et qu’il ne voulait pas continuer quoi que ce soit.

Calmement, la vendeuse infirmière lui répondit qu’il n’avait plus le choix maintenant, qu’il était rentrée dans une longue spirale qu’il l’amènera à la perfection. Elle aida Julien à se lever et l’emmena devant un grand miroir.

Julien avait aux pieds des ballets boots. Il avait beaucoup de mal à marcher. Il découvrit son nouvel aspect. Julien était nue, mis à part la cagoule. Elle observa son corps. Ses seins avaient été gonflés et percés, à la place de son pénis : un sexe de femme, aux lèvres de son sexe pendaient une multitude d’anneaux, et sa taille était aussi fine qu’avec le dernier corset qu’on lui avait mis, sauf… qu’il n’avait pas de corset! Julien se débattit et voulu s’enfuir en courant, mais les ballet boots la gênait trop. Un homme entra. Il était très musclé et portait un boxer ainsi qu’un débardeur avec cagoule intégrée en latex noir. Il saisit Julien et l’emmena jusqu’à une sorte de lit et avec l’aide de l’infirmière ils l’attachèrent. Le lit pouvait pivoter et se redresser. Julien se retrouva bientôt vertical, face à un autre grand miroir.

Lhomme sortit dun tiroir une série de poids. L’infirmière expliqua à Julien, "du moins maintenant cétait Julie son prénom", qu’il allait tester la solidité de ses anneaux et que si elle avait mal elle pouvait toujours crier, mais que l’endroit était parfaitement insonorisé. L’homme accrocha des poids aux anneaux des seins, puis à chacun des anneaux des lèvres de son sexe. Après avoir torturé un moment Julie, l’infirmière lui fit une injection. De nouveau le noir.

Quand elle reprit conscience, Julie se découvrit des seins de la taille de gros melons. La peau était distendue, les anneaux toujours là. Sa taille était encore plus fine, et les lèvres de son sexe n’avaient plus d’anneaux, mais étaient…

cousus !

Julie se trouvait encore dans le lit vertical. Elle hurla. L’infirmière arriva.

Elle portait une combinaison en latex bleu avec des ouvertures aux seins. Des seins généreux en sortaient, percés eux aussi. Elle lui expliqua qu’elle avait profité de la chirurgie elle aussi. Ensuite elle lui expliqua qu’elle allait lui enlever sa cagoule pour lui montrer son nouveau visage, car ils lui avaient apporté quelques petites retouches esthétiques d’une part, mais aussi pour lui couper l’envie de rentrer chez elle et de se plaindre. Elle enleva délicatement la cagoule. Julie n’en cru pas ses yeux. Elle avait l’impression de voir quelqu’un d’autre. Ou plutôt quelque chose d’autre… Elle n’avait plus un cheveux ou un poil nul part. Son crâne était lisse. Ses sourcils n’existaient plus, ses paupières avaient été comme taillées, ses yeux paraissaient globuleux et ronds, comme les poupées. Elle ne pouvait presque plus les bouger. Sa bouche avait été transformée aussi. Elle n’avait plus aucune dent et ses lèvres avaient tendance à dessiner un "O" tous seuls. Elles avaient été gonflées. A son nez pendait un anneau planté dans la paroi nasale. Elle était méconnaissable.

L’infirmière lui expliqua que ses tendons d’Achille avaient été sectionnés pour qu’elle ne puisse pas courir et que si elle criait trop, ses cordes vocales subiraient le même traitement. Elle lui dit qu’il ne restait plus qu’une étape.

L’homme musclé arriva et détacha Julie. Il lui mit un collier de chien, y accrocha une laisse et la traîna derrière lui. Elle avait vraiment du mal à marcher. Elle devrait toujours se déplacer avec ces ballets boots maintenant.

L’homme l’entraîna dans un couloir. L’infirmière les suivait. Ils s’arrêtèrent devant une grande vitre. Il y avait un homme à quatre pattes dans la pièce.

Julie reconnu son ami. L’infirmière expliqua que c’était un de ses esclaves depuis longtemps et qu’il était chargé de lui ramener des sujets compatibles à ses projets et qu’elle allait le remercier tout de suite de lui avoir apporté Julie sur un plateau. Son beau-père était dans une combinaison en latex noir, il n’y avait que sa tête qui n’était pas recouverte. Il avait un bâillon-boule dans la bouche. L’infirmière entra dans la pièce et Julie la vit prendre un gode ceinture. Le gode était énorme. Elle se le mit puis elle vint se placer à genoux devant l’homme à quatre pattes. Il lécha le gode et le mouilla de sa salive.

Elle se leva et vint se positionner de nouveau à genoux derrière lui. Elle pressa le bout du gode contre son anus et commença à le pénétrer doucement.

Julie se rendit compte qu’il devait vraiment en avoir l’habitude car le gode d’un diamètre énorme rentra facilement dans son anus. Elle accéléra la cadence jusqu’à le secouer vraiment.

L’homme musclé tira Julie par la laissa stoppant net cette vision. Il l’amena dans une pièce dans laquelle se trouvaient des appareils et un grand cylindre avec une partie vitrée. Il enleva le collier à Julie et ses ballet boots. Il lui mit des gants et des chaussettes en latex rouges. Sur la tête, il lui mit une cagoule rouge elle aussi mais elle était anatomique. Elle épousait les formes de sa tête, de sa bouche, de ses yeux. Du plafond descendait un tuyau souple dont il lui mit l’embout dans la bouche. Il mit des sortes de petits bouchons dans les narines et lui apposa sur les yeux des sortes de lunettes de natation, mais sans lanières. Il lui accrocha ensuite les pieds en position jambes écartées à des anneaux fixés au sol, et les bras à des chaînes qui pendaient accrochés à niveau d’épaule au murs de chaque côtés. Julie était donc bras et jambes écartés et respirait par le tube. Avec un pistolet à peinture, il lui enduisit ensuite le corps dune couche de latex liquide rouge. Julie resta ensuite plusieurs heures suspendue, quand l’homme revint remettre une couche. Julie était maintenant complètement recouverte de latex rouge. Dans les moindres recoins.

Quand le latex fut sec, l’homme vint avec l’infirmière et ils détachèrent Julie.

Ils l’installèrent dans le caisson cylindrique. Ils changèrent les sortes de lunettes de Julie, lui remirent un autre tube qui venait du caisson dans la bouche. Ils lui dirent de bien rester au centre du cylindre, que ça n’allait pas durer très longtemps. Julie entendit une sorte de turbine se mettre en route doucement. Cela dura un petit moment, puis il y eu une sonnerie et l’homme appuya sur un gros bouton rouge. A ce moment, une violente rafale d’air extrêmement chaud traversa le cylindre. Puis un liquide tiède envahit de suite après le caisson. Julie crut mourir. Elle resta un moment dans le liquide où elle sombra dans l’inconscience.

Quand elle se réveilla, elle était sur le lit. L’infirmière vint l’aider à se lever et l’amena devant le miroir. Elle lui expliqua que maintenant sa peau et le latex avaient fusionné, qu’elle serrait comme ça le restant de sa vie. Julie se regardait, elle était devenue une poupée de latex vivante. Le latex faisait partie d’elle. Elle lui expliqua aussi que maintenant le sexe lui était interdit, ses lèvres avaient été cousues, mais elle pouvait toutefois toujours uriner. Les seuls plaisirs qu’on lui laisserait si elle le mérite, seraient la sodomie où de sucer des queues d’hommes ou autres… Julie, qui avait toujours eu un comportement plus ou moins soumis accepta rapidement sa nouvelle condition et fut rééduquée en tant que poupée sexuelle vivante…

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