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Les bachelières – Chapitre 3




Lundi

Ce matin, nous nous sommes réveillées fort tard après notre soirée mouvementée d’hier. Il était près de midi lorsque nous avions fini le petit-déjeuner ce qui nous a mises fort en retard par rapport à notre planning de travail. Nous avons donc décidé, à regret, de se la jouer pédale douce aujourd’hui et de ne pas céder à la tentation afin de rattraper le temps perdu.

Nous avons donc travaillé sérieusement toute la journée et, après le dîner, nous avons regardé une série à la télé puis nous sommes allées nous coucher, chacune dans sa chambre.

Vers 23h00, le frère de Morgane m’a réveillée en rentrant sa moto au garage. Après m’être tournée vingt minutes dans mon lit sans trouver le sommeil, je décide d’aller prendre une boisson.

Je descends donc à la cuisine en ne faisant aucun bruit afin de ne déranger personne. Je prends une eau gazeuse dans le frigo et le referme doucement. J’entends alors un léger bruit et je me demande d’où ça vient. Lorsque ce bruit revient, je m’aperçois qu’il provient du couloir de la nouvelle aile de la maison.

La curiosité étant mon grand défaut, je m’engage silencieusement dans le couloir et je vois que de la lumière passe par une porte à moitié ouverte. Et c’est de là qu’émane ce bruit. Je m’avance donc jusqu’à l’ouverture et jette un coup d’il à l’intérieur.

C’est la chambre de Pascal. Un lampadaire posé sur la table de nuit répand une douce lumière dans la pièce et une télé, accrochée au mur latéral, est allumée.

Et, couché sur le lit, le frère de Morgane, complètement nu, la queue dressée comme un poteau électrique, est occupé à se branler à grands coups de poignet. Il a un casque audio sur les oreilles, ce qui l’a empêché de m’entendre arriver, et regarde un film porno à la télé.

Je suis hypnotisée par ce spectacle d’un érotisme envoûtant et je ne peux quitter des yeux cette main qui monte et qui descend le long de ce gourdin tendu à l’extrême. J’avais remarqué le premier matin que Pascal était un beau garçon au torse musclé, je sais maintenant qu’il est tout aussi musclé en dessous de la ceinture !

Je me suis appuyée contre le mur, dans un coin sombre du couloir, pour pouvoir suivre l’évolution de la scène. Inconsciemment, ma main est descendue vers mon ventre, a retroussé le tee-shirt qui me sert de tenue de nuit et je me retrouve maintenant à me caresser doucement le sexe.

Très rapidement, je sens la cyprine inonder mes doigts et je me mets à frotter mon clitoris. J’introduis ensuite mon majeur dans mon vagin trempé et je me masturbe au même rythme que Pascal, sans quitter des yeux son pieu de chair qui me fascine.

Soudain, il accélère son va-et-vient et, poussant son bassin vers le haut, il émet une sorte de râle et éjacule tout son sperme qui retombe sur son ventre et sur ses cuisses. Il continue à se pomper jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte qui sorte et retombe sur son lit pour savourer son orgasme.

Dans le même temps, mon doigt rentre et sort de mon vagin à toute vitesse en excitant mon clito au passage et je viens exactement au même moment que Pascal. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier de jouissance et, heureusement, ayant toujours son casque sur les oreilles, il n’a pas remarqué ma présence.

Lorsque Pascal prend la télécommande pour arrêter le film, je m’esquive discrètement pour ne pas me faire repérer.

Rentrée dans ma chambre, je ne peux m’empêcher de retirer mon tee-shirt et de me re-masturber un bon coup en pensant à ce bel étalon que j’ai vu jouir. Et c’est en rêvant que je fais l’amour avec lui que je retrouve le sommeil.

Mardi

En me réveillant nue, je me remémore ce que j’ai vu hier soir et je dois faire un effort pour ne pas me caresser, ce qui me mettrait en retard.

Décidément, je suis tombée dans une famille très sensuelle … et j’ai suivi ! Bien que, tout compte fait, quoi de plus naturel pour des jeunes de notre âge que de chercher à satisfaire son corps qui hurle de famine, dévasté par la tempête hormonale qui l’habite ? Et si ça passe par la masturbation ou les relations saphiques, peu importe…

Je passe donc en vitesse à la salle de bain puis je descends prendre mon petit-déj.

Morgane et Pascal sont déjà attablés et je regarde subrepticement les deux êtres qui m’ont procuré tant de plaisir en si peu de temps, l’une en toute conscience, l’autre sans même le savoir !

Ils sont tous les deux très beaux, je n’aurais pas pu mieux tomber. Elle, avec son physique typique de rousse à la peau pâle et délicate, lui, blond comme les blés et bâti comme un dieu grec.

— Bonjour Mélanie ! Bien dormi ?

— Bonjour Morgane, bonjour Pascal. Oui, j’ai très bien dormi, merci. Qu’est-ce que vous mangez ?

— Des brioches. Mon gentil frère s’est tapé la boulangerie pour aller nous chercher ça. Attention, j’ai dit qu’il s’était tapé la boulangerie, pas la boulangère !

Et ils éclatent de rire … et moi avec.

— Notez que je me la taperais volontiers car elle a tout ce qu’il faut là où il faut ! Mais, trêve de plaisanteries, je vais vous laisser travailler.

Et, ramassant ses affaires, il quitte la pièce nous laissant seules.

— Comment tu le trouves, mon frère ?

— Eh bien, je trouve que, lui aussi, il a tout ce qu’il faut là où il faut …

— Et donc, tu te le taperais bien aussi ?

— Voyons Morgane ! Bien sûr, en temps normal, il ne me laisserait pas indifférente, mais n’oublie pas que je suis ici pour travailler avec toi, pas pour me taper ton frère.

— Déjà que tu te tapes sa sur !

Et elle repart dans un grand éclat de rire. Elle est vraiment attirante tant elle est naturelle et j’ai vraiment de la chance de l’avoir comme amie et, maintenant, comme amante.

— Bon, on va arrêter de parler de ça sinon on va se retrouver au lit en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Et dans cinq jours, c’est le bac !

On débarrasse donc la table puis on se met au boulot. Aujourd’hui, c’est maths au programme. Pas drôle mais inévitable.

En fin de journée, à force de réfléchir, je suis prise d’un léger mal de tête et je pense qu’il vaut mieux ne pas trop penser à la bagatelle pour ce soir. Je m’en explique auprès de Morgane qui me comprend.

— Je crois que tu as raison Mel. Moi aussi, ces maths m’ont fatiguée. On sera sans doute plus en forme demain.

Et donc, après une soirée calme, nous allons nous coucher, chacune de son côté.

Et, de nouveau, Pascal me réveille en rentrant. Et de nouveau, j’ai du mal à me rendormir. Je pense trop à ce que j’ai vu hier soir et je dois me faire violence pour ne pas retourner l’espionner.

Au bout d’une demi-heure, je ne peux plus me retenir tellement l’envie de le mater me taraude. Et donc, fatalement, je refais le même chemin que la veille. Et comme hier, je constate que sa porte est entrouverte et que de la lumière passe dans le couloir.

Mais il y a une légère différence, la lumière semble plus forte. Je m’en réjouis car, si Pascal se branle à nouveau, je n’en profiterai que mieux.

Je m’approche donc doucement et je regarde. Et là, ce que je vois me scie encore plus qu’hier.

Morgane, nue comme un ver, à genoux entre les jambes de son frère, tout aussi nu, est occupée à lui tailler une pipe d’enfer. Elle pompe sa bite et lui malaxe les couilles tout en engloutissant son gland dans sa bouche. Lui, tenant la tête de sa sur entre les mains, la pousse le plus loin possible sur sa queue. Elle en bave et doit régulièrement se dégager pour rattraper son souffle, puis elle y retourne avec enthousiasme.

Après un moment, il se retire de la bouche de sa sur, la retourne comme un fétu de paille, lui écarte les jambes et plonge sur son sexe comme la faim sur le monde. Il lui offre un cunnilingus qui la fait se tordre de plaisir sous ses coups de langue.

Et enfin, ce qui devait arriver se produit, il la tire vers lui et l’embroche d’un seul coup. Morgane pousse un long soupir de satisfaction et commence à bouger son bassin. Son frère l’accompagne dans ses mouvements et j’assiste à une magnifique partie de jambes en l’air entre frère et sur.

Toutes les positions imaginables y passent et ils semblent insatiables. Ce n’est clairement pas la première fois qu’ils baisent ensemble car ils passent d’une position à l’autre, comme dans un ballet bien réglé et ils m’offrent sans le savoir une véritable illustration vivante du kâma sutra.

Pour finir, Morgane, à califourchon sur Pascal, dos à lui, se fait pénétrer par son frère jusqu’au fond de son vagin pendant qu’il lui pétrit sa magnifique poitrine. Elle se laisse ensuite basculer vers l’arrière, pose ses mains de chaque côté du torse de Pascal et pousse sur ses pieds pour soulever son bassin. Son corps est complètement arqué et ses seins pointent vers le plafond.

— Oh, oui, … vas-y, … baise-moi à fond, … fais-moi jouir, … je veux sentir ton sperme dans ma chatte, … donne-moi tout … Ouiiiii …

Son frère lui laboure le ventre avec une force et une cadence inouïes jusqu’à ce que, ensemble et en rugissant de plaisir, ils atteignent l’orgasme.

A aucun moment Pascal ne s’est retiré du corps de sa sur. Il a donc tout éjaculé dans son ventre et ça n’a pas l’air de les émouvoir outre mesure, au contraire.

Je sais, pour en avoir parlé avec elle que, comme moi d’ailleurs, elle prend la pilule. Heureusement ! Car se retrouver enceinte des uvres de son propre frère, ça ferait mauvais genre au lycée !

Ils se sont maintenant calmés et s’embrassent tendrement. Il est grand temps que je leur laisse une dernière parcelle d’intimité et qu’ils savourent cet amour fraternel assez particulier dont je viens d’assister à la démonstration.

Je me faufile donc jusqu’à l’étage, je passe dans la chambre de Morgane pour lui emprunter son gode et je file dans ma chambre où, faute de mieux, je me soulage par une longue séance de masturbation.

Lorsque mes sens exacerbés sont enfin apaisés, je me rends à la salle de bain pour nettoyer le gode puis je le remets à sa place dans la chambre de mon amie qui a dû s’endormir dans les bras de son frère. Ainsi, je ne laisse aucune trace compromettante de mes activités de ce soir !

Et je vais enfin me coucher car toutes ces émotions m’ont épuisée.

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