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Sandrine et les trahisons – Chapitre 6




Alors que Sandrine amène des digestifs, Marjorie se lève et, à la porte du salon, me fait un petit signe de la main. Je la suis. Dans la chambre. Je demande :

— Tu veux me dire quelque chose ?

Marjorie ne répond pas et m’embrasse. Elle me caresse un peu maladroitement. Toujours aussi réservée, elle rougit un peu. Elle m’embrasse à nouveau en déboutonnant mon pantalon. Elle s’agenouille devant moi, ouvre de grands yeux et prend sans attendre mon sexe en bouche. Les yeux mi-clos, elle semble prendre un plaisir incroyable à me faire cette fellation.

— T’aimes sucer, toi ! Ton mec doit être comblé !

— Mmmh Je ne le suce pas tant que ça, mais toi.. mmmh j’adore !

Elle se relève quand même et je retire sa robe. Son ensemble soutien-gorge et string ficelle rose vif me plait énormément. Elle est vraiment très mince, filiforme, mais pour sa morphologie, elle a des petits seins bien ronds. C’est assez mignon, même si on dirait qu’ils sont faux.

Nus tous les deux, je l’attire sur le lit et Marjorie vient à califourchon sur moi. Elle s’empale doucement sur ma queue et après quelques allers-retours, elle accélère le rythme. J’observe la modification de son visage. La douceur fait place à plus de dureté. Elle me défie du regard. Comme avec Aude, je la retourne et, planté en elle, je redresse le buste pour la caméra. Je prends alors un gros coussin que je lui installe sous les hanches. La tenant par les chevilles, je la pistonne à bon rythme. Marjorie se lâche alors :

— Vas-y ! Encore, oui, encore ! Baise-moi plus fort ! Mmmh Mon Dieu que c’est bon ! T’as une trop grosse bite, c’est trop bon !

Elle m’excite, la petite brunette. Je la tourne sans ménagement et la mets à quatre pattes. Quand je m’agenouille derrière elle, je prends peur : son cul est incroyablement étroit. Peu charnu, il est tout ouvert. J’ai l’impression que je vais le casser. Je pose ma bite contre ses lèvres et glisse dans son vagin. Impression assez déstabilisante. Je n’ai pas besoin d’y aller fort pour avoir la sensation de lui faire mal. Je n’ose pas et Marjorie me le fait savoir :

— Plus fort ! Casse-moi les reins Défonces-moi !

Je la pistonne très vivement et elle crie plus qu’elle ne gémit. Je glisse mon pouce dans son cul. Un initiative opportune. Marjorie réagit :

— Mmmmh Prends moi par derrière

— Dis le moi

Pas besoin de lui répéter. Marjorie est en extase :

— Prends moi par le cul ! Sodomise-moi ! Encule-moi !

La préparation est sommaire, j’aimerais prendre plus de temps, mais Marjorie s’impatiente. Son anus se dilate très rapidement et je glisse dans son petit trou. Incroyable que ça rentre. Je ne reviens pas. Je vais et viens en elle, doucement mais de plus en plus profondément. Marjorie est aux anges :

— J’ai l’impression de prendre une batte de base-ball dans le cul, c’est fabuleux !

— C’est rentré tout seul. Non seulement tu dois adorer ça, mais tu dois pratiquer régulièrement.

— Si ça ne tenait qu’à moi, ça serait tous les jours !

Mes hanches heurtent désormais ses fesses. Je ne peux pas aller plus loin. La seule avec qui j’ai été aussi loin était mon ex-femme. Après trois ans de pratique intensive. Je prends un pied formidable à sodomiser Marjorie et je jouis, planté jusqu’à la hampe.

Je me retire, Marjorie se tourne et se couche sur le dos. Je m’allonge à côté d’elle et elle se blottit contre moi. Elle me murmure :

— J’aimerais beaucoup te revoir.

— On habite dans la même ville, ça devrait pouvoir se faire.

Elle grimace.

— Pas simple pour moi. Mon mec est très jaloux et je sors peu. Et on habite à l’extérieur de la ville.

— J’habite à côté de la Place Victor-Hugo.

— Mais non ? Je travaille à côté !

Il apparait que Marjorie travaille à cinq minutes à pied de chez moi. Nous fixons rendez-vous pour lundi à midi. Alors qu’elle se rhabille, je place à nouveau un mot sur le mariage. Sa réponse fuse à travers sa voix douce et claire :

— C’est le dernier effort que je fais pour Sandrine.

— Pourquoi ?

— Parce que je n’en peux plus de cette hypocrisie. Leur mariage ? Pffff Son mec est un drôle d’oiseau. Au dernier Nouvel-An, je n’avais qu’à claquer des doigts pour qu’il couche avec moi. Et je te promets que je ne l’ai cherché en rien. Et je ne suis pas la seule qu’il drague quand elle tourne le dos. Bref, ils sont grands, majeurs et vaccinés et après, ce sera sans moi.

De retour au salon, Sandrine me fait un signe vers son oreille en riant. Apparemment, elles ont bien entendu Marjorie prendre du plaisir. La jeune femme rougit. Nous buvons un dernier verre. Tout est ok pour le mariage. Je tente quelques plaisanteries mais le coeur n’y est pas. Peu avant 2h du matin, Sabine baille et se lève. Nous partons tous les quatre en même temps.

En bas de l’immeuble de Sandrine, Aude chie à nouveau sur Sandrine :

— Je me demandais si on allait partir un jour. Allez, encore jusqu’au 11 et basta

Sabine m’invite chez elle.

— Tu viens avec nous ? On va poursuivre la soirée chez moi.

— Oh ! Oui, volontiers, merci.

Aude monte avec moi. Nous y sommes en cinq minutes. Je n’ai pas l’intention de rester et je dois trouver un moyen. J’en ai un, imparable. En entrant chez Sabine, je dis aux filles que je ne me sens pas bien. Je vomis aux toilettes, porte ouverte. Sabine vient aux nouvelles. Je lui dis que je vais rentrer. Elle comprend. Aude en profite pour dire que la bouffe était à gerber. Elle rigole de sa blague avec Marjorie.

Je m’en vais et retourne illico chez Sandrine que je découvre en pleurs sur le canapé. Je m’inquiète :

— Ca n’a pas marché ?

— Si, si, c’est parfait. C’est juste que je suis à bout de nerfs. Cette soirée m’a vidée, c’était affreux. J’ai détesté faire tout ça.

— Tu as ta vengeance, c’est l’essentiel.

Je la prends dans mes bras. Elle pleure sur mon épaule, à chaudes larmes. De vrais gros sanglots. Elle m’embrasse.

— Prends une douche et rejoins-moi au lit. Je ne veux pas dormir toute seule ce soir.

Je pense la trouver endormie, mais Sandrine veille. Elle s’est démaquillée, rafraîchie le visage, elle semble apaisée. Je m’allonge et elle vient contre moi. Baisers, caresses. Je glisse sous les draps et la gratifie d’une long cunnilingus. Nous faisons l’amour tout en douceur et en tendresse.

Le vendredi matin, nous faisons tous les deux le pont de l’Ascension. Après le petit-déjeuner, nous regardons les films sur la tablette. Sandrine n’en revient pas :

— C’est de la dynamite

Sandrine pense qu’elle en a pour deux jours complets de travail. Il faut sélectionner les bonnes prises, faire le montage, dissimuler mon visage, maquiller ma voix, etc. Je lui demande si elle va faire cela ce week-end. Elle répond :

— Non, c’est trop dur. J’ai besoin de repos, vraiment. Je prendrais deux jours de congé.

— Je vais te laisser te reposer alors.

— Je vais faire la sieste cet après-midi, mais j’aimerais bien que tu reviennes ce soir.

— A quelle heure ?

— Quand tu veux. Dis-moi juste si je dois préparer quelque chose à manger.

— Je ramène des pizzas pour 19h30.

Elle rit et nous nous embrassons. Quelques instants plus tard, Sandrine est penchée sur mon entrejambe et elle me fait jouir dans sa bouche.

Je resterai finalement du vendredi soir au dimanche midi chez Sandrine. Des moments tendres et complices, souvent drôles, parfois plus graves. Si nous ne couchons ensemble que la nuit, Sandrine se montre par contre très gourmande au cours de la journée. Je ne jouis que trois fois, mais elle me suce à six reprises samedi, notamment dans la voiture et dans un parking. Le dimanche, au moment de mon départ, elle me suce et je la prends debout contre la porte d’entrée, en soulevant simplement sa jupe et en écartant son string. Elle en rit :

— Ce genre de plan rapide, il ne faut pas que je le refasse, ça pourrait me donner des idées pour le travail quand tu viens à Annecy. Bon, une fois que tu auras passé cette porte, ce sera fini-terminé, ok ?

— Compte sur moi.

Un dernier baiser et je m’en vais.

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