Salut à tous !!!
Je m’appelle Juliette, je suis une jeune femme de 24 ans. J’habite Toulouse et je m’essai à l’écriture pour la première fois. Alors soyez indulgents !!! Pour ce qui est du physique, je mesure l,73m pour 55 kgs, j’ai la peau mate, les yeux noirs, le nez fin et droit, les lèvres roses et légèrement ourlées, une taille de guêpe, des jambes fuselées, et deux beaux seins lourds et fermes. Bref, je suis plutôt jolie, mais vous n’êtes pas forcé de me croire.
L’histoire que je vais vous raconter est vraie. Elle m’est arrivée au Cameroun lors d’un séjour de 6 mois durant lequel j’ai donné des cours de français dans le collège d’un petit village dans l’Ouest du pays.
Cela faisait plusieurs semaines que j’étais arrivée dans ma brousse camerounaise. Je m’acclimatais lentement. Les gens étaient accueillants, les paysage fantastiques, la nourriture, essentiellement frugale, un régal. J’étais vraiment aux anges, et sure que ce séjour serait enrichissant.
Mon activité au collège se limitait à donner des cours à une quinzaines d’adolescents. Cela ne m’occupait que la matinée, dans la mesure où la chaleur rendait le travail impossible l’après midi. Je passais donc le plus clair de mon temps à lézarder au soleil en compagnie de Christine, l’autre blanche du village, avec laquelle je partageais mon logement.
Nous étions très complices et discutions de façon très libre. Nous avions plusieurs fois parlé de nos histoires amoureuses, de nos expériences, de nos fantasmes. Christine était une fille très libérée. Elle m’a avoué avoir eu plusieurs aventures avec des camerounais : ? La femme blanche, ça reste un très gros fantasme pour eux tu sais. Tu devrais essayer de t’en faire un. Ils sont brusques et il faut parfois leur expliquer ce qu’est un clitoris, mais ils ont un corps de dieu et parfois une grosse zigounette. A sucer c’est un régal? m’avait elle dit un soir en éclatant de rire. Je l’avais écouté avec beaucoup de curiosité et d’excitation. La nuit qui suivit fut assez étrange. J’eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. L’idée de coucher avec un noir m’obsédait.
Mes expériences amoureuses étaient déjà nombreuses, mais jamais encore je ne mettais faite de black. La perspective m’excitait beaucoup, mais j’avoue que je voyais mal avec qui j’aurais pu la mettre en pratique.
La gente masculine alentours était en effet très peu attirante. Le seul mâle véritablement séduisant était Philippe, l’instituteur du village. Philippe était un beau black de 30 ans environ, grand, élancé, plutôt intelligent et très gentil, mais il vivait avec une jeune femme du village à laquelle il semblait être très attaché.
Allongée dans mon lit, je ne cessait de l’imaginer nu. Cela me faisait me sentir toute chose. Ma poitrine était dure, mes tétons dressés.
Doucement, je me suis mise à frotter mes mamelons et à les rouler entre mes doigts. La sensation était exquise. Ma main explora rapidement mon sexe. Du bout des doigts, j’ai caressé mes grandes lèvres, je les ai écarté et j’ai frotté quelques instants la légère moiteur de ma vulve. Mon clitoris s’est progressivement éveillé. Très lentement je me mis à le titiller langoureusement. Je le fis glisser et tourner sous mes doigts. Je l’ai sentis durcir et m’emmener lentement vers des plaisirs étourdissant. Je fis alors glisser mon index jusqu’à l’entrée de mes lèvres. Avec une délicieuse lenteur, mon doigt s’engouffra à l’intérieur de mon vagin. Un léger mouvement du bassin d’avant en arrière me permit de le faire pénétrer très profondément. À chacun de mes gestes la paume de ma main frottait sur mon clitoris. Ma respiration se fit de plus en plus profonde et saccadée. Dans un gémissement, j’introduisis un deuxième doigt. Puis un troisième. Que c’était bon. Prise par le plaisir, j’ai accéléré le rythme de mes caresses. Inconsciemment mon bassin s’est élevé pour mieux aller à la rencontre de mes doigts. Oubliant que Christine dormait dans le lit voisin, je ne me suis plus retenue pour gémir. J’avais de plus en plus de difficultés à garder le rythme de mes mouvements. Ma chatte commençait à se contracter chaque fois que mes doigts la violaient. Mes soubresauts et mes râles finirent par réveiller Christine. Amusée celle-ci s’approcha de moi. J’étais au bord de l’orgasme et ne me rendis pas compte qu’elle m’observait.
Mes caresses finirent par me clouer sur place dans un long cri d’extase.
? Toi, il faut vraiment que tu baises ?. Affolée et surprise, j’ouvris les yeux. Christine me regardais avec un grand sourire et un regard complice. Honteuse, je restais sans voix. ? T’inquiètes Juliette, moi aussi ça m’arrive de me taper des doigts. Faut pas avoir honte. Cela dit, tu ferais mieux de te trouver une bite, crois moi c’est plus ludique ?. Gênée, je remontais le drap, et m’enfonçais la tête dans l’oreiller.
? Penses à ce que je te dis ? lança Christine avant d’aller se recoucher.
Les jours qui suivirent, je me suis montrée particulièrement aguichante avec le bel instituteur. Je me rendais dans sa classe plusieurs fois par jour pour solliciter son aide. Je m’arrangeais pour que nos conversations dérapent, et lui parlais de sexe à la moindre occasion. Je lui ai même soutenu que si les noires avaient de plus belles formes, les blanches étaient sans égales pour sucer. Son air pantois quand je parlais de la sorte me faisait mourir de rire. Je ne sais pas si je le choquais, mais en tous cas, le garçon était plus qu’émoustillé. J’avais ainsi plusieurs fois remarqué ses coups d’oil furtifs sur mon corps, et la bosse qui déformait parfois son short et qu’il tentait de me cacher tant bien que mal. Bref, mon beau noir était au supplice et la situation m’excitait au plus au point. Un soir cependant, je fus prise à mon propre jeu.
Christine était partie pour la semaine à Yaoundé, et j’étais seule à la maison quand Philippe frappa à la porte. Il venait juste me faire une ? petite visite de courtoisie ? comme il me savait seule ce soir.
Ravie d’avoir un peu de compagnie, je l’invitais à s’asseoir sur l’un des lits qui occupait l’unique pièce de la petite maison, pendant que je m’occupais du thé. J’étais vêtue d?une petite robe de coton bleue qui laissait apercevoir mes cuisses fermes et bronzées. Vu la chaleur du moment, je ne portais qu?une minuscule petite culotte blanche. Ma poitrine était libre sous la robe d?été, et la pointe de mes seins se dessinait à travers le fin tissu. Philippe, tout en me parlant, ne cessait de me quitter des yeux. Je sentais son regard s’attarder sur mes fesses, mes cuisses. J’aurais du être excitée par cette situation, mais pour la première fois, le noir me mit mal à l’aise. Alors que je m’affairais à faire bouillir de l’eau, Philippe s’approcha de moi, et posa sa main sur mes fesses. ? Tu as un beau cul Juliette, je vais le défoncer ?. Ce comportement me pétrifia. Je cherchais à m’éloigner de lui, mais il m’enlaça et commença à me peloter. Surprise, je voulu protester mais le jeune homme plaça une main ferme sur sa bouche, me contraignant ainsi au silence. Il me serra contre lui, m’embrassant dans le cou tout en me malaxant les seins à travers le vêtement. Il glissa alors sa main sous ma robe et chercha à tâtons mon sexe encore protégé par la culotte. J’essayais de le repousser mais le garçon était athlétique, et toute tentative de lui échapper resta vaine. ? Calme toi me dit il, je veux juste qu’on s’amuse un peu ?. Son regard brillait d’une lubricité qui me glaça. Je restais silencieuse. Lentement sa main a libéré ma bouche. Etrangement, je n’ai pas crié, j’étais comme absente. J’ai senti ses mains se poser sur mes épaules, et doucement faire glisser les bretelles de ma robe. J’étais désormais en culotte devant lui. Mes seins se dressaient orgueilleusement et après les avoir observé avec satisfaction, il les malaxa sans ménagement. ? Arrêtes tu me fais mal ! Mais bon sang, qu’est ce qui te prend ? Tu deviens fou ? ? Sans répondre il posa une main sur mon épaule et de son poids me força à m’asseoir sur le lit. De l’autre il défit sa braguette et fit surgir du bermuda, une queue noire, mate, avec un gland énorme, à moitié décalotté et terriblement agressif. Incrédule, je restais sans voix. Je ne savais pas quoi faire ni comment réagir. J’avais peur qu’il me violente. Mille pensées m’ont alors assailli : Qu’est il en train de faire? Il a toujours été gentil et charmant. Il veut juste me faire peur, me donner une leçon.
? Prend la dans ta main! ? ordonna-t-il soudain en saisissant mon bras.
? Branle moi ? souffla t-il. Ne sachant plus où j’en étais, j’obéis.
Ma main enveloppa la hampe érigée et dure comme du marbre. Troublée par le contact de cette dure virilité, je ne pu m’empêcher de la serrer davantage, sentant au creux de ma main battre l’intensité bestiale du désir de philippe. Il ne bougea pas, épiant sur mon visage l’effet de cet attouchement. ? Branle moi Juliette ? répéta t-il. Le regard flou, la respiration plus rapide, je m’exécutais. Je décalottais lentement son gland. Il était vraiment très gros, noir, odorant. Je commençais un délicat mouvement du poignet. ? Plus vite ? exigea t-il. J’accélérais le rythme. Je sentais Philippe se tendre. Son corps se raidit, sa respiration se fit haletante. ? Tu aimes ça hein ? Tu aimes branler des queues ?? Complètement désarçonnée par la situation, je m’entendis murmurer un timide ? oui ?. Philippe jubila. Sa queue était dure, je la sentais palpiter entre mes doigts délicats. Son gland commença à perler. ?
Masse mes couilles ?. Sans le regarder, comme une automate, je pris ses testicules dans ma main et me mis à les caresser légèrement. Elle étaient considérablement gonflées, douces et lisses malgré les poils qui les recouvraient. Doucement je les saisis entre mes doigts pour les presser délicatement, recherchant les noyaux durcis et blottis dans leurs gaines de chair plissées. Je les malaxais doucement, faisant se cambrer Philippe de plus belle. Celui-ci me saisit tout à coup la tête à deux mains, et me donna un baiser goulu. Il glissa entre mes lèvres ourlées une grosse langue rose, qu’il poussa loin dans ma gorge.
? Tu es une bonne branleuse Juliette ?. Je le regardais, interdite.
Tout en me fixant, il se déshabilla en vitesse, et me mit sous le nez sa longue queue sombre et dure. ? Suce ? m’ordonna t-il. J’éclatais en sanglots. Je me sentais impuissante et paralysée face à se noir surexcité à l’idée de réaliser son fantasme. Profitant de mon désarroi, il saisit ma tête et me glissa son sexe dans la bouche. Par de petits mouvements du bassin, il commença à m’imposer une fellation. J’ai essayé de repousser son sexe, mais sans succès. Il viola ma bouche. J’ai fermé les yeux en priant pour que tout cela cesse. Je me sentais humiliée.
J’étais sa chose. J’ai pensé à le mordre, mais la peur m’a paralysé.
Il a accéléré progressivement la cadence et poussa de petits gémissements.
Brusquement il serra ma tête plus fermement et me fit absorber d’un coup l’intégralité de son phallus arrogant. Ses testicules buttèrent sur mon menton. J’avais la bouche pleine. Je sentais son gland taper au fond de ma gorge. ? S’il continu je vais vomir ? me dis-je. Puis j’ai senti son sexe se raidir sur ma langue, et il éjacula. Son sperme chaud et gluant s’épancha dans ma bouche. ? Bien ! dit – il, tu as goûté, mon jus, nous sommes assez intimes pour que je te baise maintenant ! ! Qu’en penses tu ? ?
Sa phrase à peine achevée, il me poussa en arrière. Je me retrouvais allongée sur le lit. J’ai tenté de me relever, mais il me gifla. Je compris alors qu’il n’y avait rien à faire. J’étais à sa merci. Il glissa ses mains vers mon petit slip, je sentis ses doigts l’agripper et tirer d’un coup sec. J’étais complètement nue. Il saisit mes genoux et me força à écarter les cuisses. Je le regardais implorante. Lui fixa ma toison brune et les fines lèvres de mon sexe. Je restais ainsi offerte pendant que le noir, de plus en plus excité à la vue de cette blanche qu’il allait pouvoir posséder à sa guise, branlait mollement son sexe flasque.
Sa main glissa entre mes cuisses. Sans violence, mais fermement, son pouce trouva mon clitoris et le titilla. Deux autres doigts caressèrent ma vulve. A ma grande surprise, j’appréciais cette caresse et je ne pu m’empêcher de pousser un soupir de satisfaction. J’écartais un peu plus mes cuisses pour profiter davantage de ses doigts. ? Tu aimes ça hein ? Regarde comme tu mouilles.?
Je ne savais plus ou j’en étais. J’étais révoltée par son attitude, par mon impuissance, mais paradoxalement cette situation m’excitait.
J’ai sentis son sexe chaud et à nouveau durci contre mes lèvres. Avec son gland, Philippe caressa mon clitoris. ? Tiens pute de blanche, le ? nègre ? va te la mettre bien loin ! ?
Il enfonça un peu le gland à l’entrée de mon sexe, et d’un long et puissant coup de reins rentra dans mon vagin l’intégralité de son pénis, m’arrachant un cri, autant d’indignation que de satisfaction. Le noir commença à me besogner. Je sentais sa queue aller et venir en moi.
Mes mains se crispèrent sur les draps. Comme c’était bon. Il me prenait très profondément. Ses longs mouvements semblaient venir à bout de mes réticences.
Etourdie, je décidais de me lancer dans l’action, je relevais mes cuisses de part et d’autre des reins de Philippe, et lançais mon bassin en avant pour accepter en moi toute la puissance de ce mâle africain déchaîné.
Sentant que je participais à son fantasme le noir se mit à m’embrasser goulûment et à malaxer ma poitrine. Toute tourneboulée par les évènements, complètement désorientée, je ne pu résister longtemps au plaisir qui irradiait mon ventre, et j’explosais dans un orgasme enivrant. Mon corps entier se tendit alors qu’il me baisait à fond. J’étais un peu honteuse que cette brute ait pu me faire jouir. Il faisait maintenant de grands mouvements circulaires et cadencés qui me rendaient folle.
J’étais proche du second orgasme quand soudainement, il se retira, et me retourna sans ménagement. Je me suis retrouvée à quatre pattes sur le lit. Il plaqua sa main dans mon dos et me força à me cambrer.
Philippe s’attaqua à mon cul. Je le sentis lécher mon anus. Il y donna de petits coups de langue, le mouillant avec sa salive. La sensation me grisa. Je me cambrais davantage. Avec la pulpe de son doigt, Philippe commença alors à masser mon anus, et chercha à me pénétrer de sa phalange.
Je réalisais alors où il voulait en venir. Un frisson parcouru mon corps. ? Non, pas ça, je ne veux pas arrête !!! Arrête Philippe, pas ça je t’en supplie, pas ça !!! ? Je me débattis comme une malheureuse, mais encore une fois, rien n’y fit. Il était vraiment trop fort. Il me saisit le cou d’une main et me força à me courber. Faisant pression avec son corps, Philippe m’empêcha de bouger. J’avais le visage plaqué contre le drap, la croupe bien offerte. ? Mon dieu, il va me sodomiser !!! ? L’idée me terrorisa.
Derrière moi, le black s’activait. Je sentis son souffle sur ma nuque.
Deux de ses doigts pénétrèrent dans mon cul pour agrandir l’orifice.
Il les fit aller et venir dans de douloureux mouvements circulaires.
Mon anus était brûlant. Il retira finalement ses doigts, et je sentis son gland, de bonne dimension, sur mon sphincter. Je le suppliais de ne pas me faire ça, mais en guise de réponse, je le sentis essayer de s’introduire péniblement en moi. Je serrais les fesses de toutes mes forces pour tenter de l’empêcher de me pénétrer. Pour le plus grand bonheur de l’africain, j’étais déjà bien dilatée, et je finis par céder à sa poussée. Mon cul était forcé et pénétré sans autre forme de procès.
Je hurlais de douleur. Philippe poussa et me pénétra jusqu’à la garde avec un grognement de bête. J’étais littéralement remplie, et j’en eu le souffle coupé. Le black tenait fermement mes fesses dans ses mains calleuses, écartant au maximum les deux lobes, et livrant ainsi mon sphincter à l’excitation et l’agressivité de sa queue noire. Philippe se mit à me limer lentement, et progressivement la douleur aiguë de la pénétration fit place à une sensation plus agréable et fort surprenante.
J’avais toujours pensée que la sodomie était une pratique barbare, douloureuse et asservissante. La réalité m’est apparue très différente.
Ce sexe long et chaud entre mes fesses me procura un réel plaisir.
Machinalement, ma main vint se placer sur mon clitoris, et je me mis à masturber pendant que Philippe besognait mon cul. Pendant de longues minutes j’ai eu droit à un festival. Je sentais ses couilles taper contre les lèvres rougies et turgescentes de ma chatte. Ce salaud me sodomisa comme la dernière des salopes. Je criais de plus en plus, sans retenue, je n’en pouvais plus. Mes gémissements l’excitèrent encore davantage. Il accéléra ses mouvements, me pénétrant très sauvagement, très brusquement. Je sentis sa main se poser sur ma bouche pour retenir mes cris alors qu’il me prenais plus profondément que jamais. Puis ses main agrippèrent mes seins qu’il serra avec fermeté. Mes yeux roulèrent et je me mit à trembler et à haleter de plus belle. J’étais prise comme une chienne et je sentais l’orgasme arriver. Mon visage s’empourpra, et j’éclatais violemment dans un cri de jouissance bestiale. Derrière moi, Philippe continua à s’activer dans mon cul. Au bout de quelques minutes, dans un grognement de plaisir, le noir se libéra enfin en moi. Je sentis au fond de moi les longs jets chauds de sa semence.
Il se laissa retomber sur mon dos, haletant, satisfait, épuisé. Il demeura en moi encore quelques minutes puis il se retira. Il se rhabilla sans un mot. Allongée sur le lit, je n’osais pas bouger. J’avais encore du mal à réaliser ce qui venais de se passer. Je regardais cet homme qui venais de me sodomiser. Philippe sortit de la chambre. Au passage je reçus une claque sur les fesses. Je me suis retrouvée seule dans la pièce. Je me suis assise sur le lit. Mon cul me faisait mal, et j’avais encore le goût acide du sperme de Philippe dans la bouche.
J’ai allumé une cigarette. J’étais un peu perdue. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. J’étais un peu étonnée de cet orgasme anal, mais aussi plutôt contente d’avoir fait tomber un tabou. Je décidais que le lendemain j’irais sucer mon bel africain.