Jai cédé, un peu par curiosité. Par désir aussi, je le reconnais. Je ne savais pas du tout ce quétait lamour féminin. Je sais maintenant. Jaime toujours autant, sinon plus mon mari chéri après cette expérience. Jai bien fait de ne pas lui en parler avant. Je suis libre maintenant de faire ce que je veux. Cest bien de savoir quil me permet de recommencer avec ma copine, oh, pas souvent, des fois seulement. Jai promis de le lui dire après, jamais avant.
Je connais Isa depuis des années. Je savais quelle avait une vie légèrement différente de la mienne. Mais de là à nous trouver dans le même lit ? Nous revenions du musée, hé oui, dun musée où était organisé un événement autour dun peintre. Il y avait entre autre une toile où deux femmes étaient tendrement enlacées. Au retour, dans le taxi, elle narrêtait pas de revenir sur cette toile. Elle en arrivait à me serrer la main. Et puis elle ma invité chez elle pour le repas du soir. Mon mari était absent : je ne mennuierais pas toute seule. Nous bavardons de rien, nous allons préparer de quoi manger. Dans le cuisine elle revient encore sur cette peinture, qui me dit-elle lui a donné envie. Je nose pas lui demande envie de quoi ? Nous grignotons, elle continue à avoir envie. Cette fois elle est très précise : elle a envie de moi.
Envie de moi, elle est folle, jaime mon mari, mon mec à moi. Celui avec qui je fais lamour, qui me donne des frissons, qui sait si bien me lécher, me sucer, me baiser, menculer même, ce que je lui demande souvent. Mais elle de quel droit.
Isa me fit un panégyrique des avantages de lamour au féminin. Cest plus ceci, plus cela. Elle y tient, elle tient à me voir dans son lit. Elle est pire quun homme attaché à vous prendre la vertu. Et moi, pauvre idiote je me laisse rendre par ses boniments. Cest toute heureuse quelle pose sa bouche sur la mienne. Je sens sa langue qui cherche à entrer. Allez, un petit baiser ne fait pas de mal, ça na jamais tué quelquun. Alors jaccepte. Je mengageais sans le deviner vers un chemin finalement agréable. Cest sa langue qui venait chercher la mienne, qui la caressait doucement. Je sentais même le goût agréable de sa salive.
Elle narrêtait pas ses baisers, elle les glissait même sous les oreilles, à un endroit que jai si sensible. Quand elle ma prise dans ses bras, je me suis laissé faire, presque par plaisir. Sa bouche allait partout autour de ma tête, mon cou, mes épaules encore couvertes. Jétais dans un état second, prête à ce quelle voulait. Elle enlevait mon haut, sattaquait à mon soutien gorge, et je me laissais faire avec langoisse de la suite.
La suite était rapide, cest elle qui enlevait tout ce quelle avait sur elle. Je voyais une femme bien faite, agréablement bien faite, nue, son ventre plat, ses seins bien hauts encore pour nos âges. Elle ma repris dans ses bras, a collé sa poitrine contre la mienne. Je sentais bien ses tétons durs, la souplesse de ses deux seins. Sa bouche revenait sur la mienne. Là, à mon tour je lembrassais presque amoureusement. Je lembrassais, la laisser pour la regarder, recommencer à lembrasser à nouveau. Je ne réfléchissais même plus.
Elle ma assise sur ses genoux, comme le fait des fois mon époux. Elle glissait une main sous ma jupe. Je repensais à ce moment là quen habillant javais hésité entre un jean et une jupe. La main dIsa venait bien haut sur les jambes. Malgré moi, je le écartais pour céder le passage. Sa main montait toujours. Jattendais quelle arrive en haut avec à la fois une certains honte, un rappel de ma pudeur et le désir quelle me caresse.
Ma pudeur passait au second plan. Mon désir montait. Pourtant, moi qui naime que les hommes, leur bite, même leur barbe, jattendais quelle me caresse comme je le fais des fois. Isa ma fait lever pour me déshabiller. Elle restait assise, sa bouche est venue sur moi, sur ma fente, avec sa langue pour me découvrir totalement.
Je sentais cette langue fouiller mon intimité. Je la laissais me lécher. Jécartais même les jambes pour lui faciliter ce quelle me faisait. Cétait agréable, bienfaisant, bon tout simplement. Isa savait lécher les filles, elle le montrait fort bien. Jenviais celles quelle avait connues avant moi, jen devenais jalouse.
Jai eu besoin, pas envie, besoin de lui donner du plaisir moi à mon tour. Je prenais sa tête, la levais vers moi. Elle comprenait mon besoin. Je masseyais à coté delle, sans rien lui demande je passais une main sur sa cuisse, jentrais moi aussi en zone interdite. Elle était mouillée. Je cherchais un peu avant dentrer deux doigts dans sa fente. Son clitoris état tendu : je pensais quil mattendait. Je lai caressé, branlé, masturbé. Elle se laissait faire, au début puis sa main rendait ce que je faisais. Je jouissais sans cesse, je la faisais jouir aussi. Je le sentais sous mes doigts, elle jouissait plusieurs fois. Moi, je ne men souviens plus, sans doute comme elle.
Jétais dans les vaps quand elle ma couché. Jétais bien contre elle. Nous nous sommes caressées partout. Elle sest même renversée pour passer sa main depuis les pieds en venant sur mes fesses, en montant ensuite vers ma poitrine. Je crois me souvenir que je nai pas fait la moitié quelle.
Je mouillais, jattendais une suite qui ne pouvait que venir. Elle embrassait les seins, le ventre, le pubis vers la fin. Elle membrassait encore pendant que je prenais linitiative de mettre ma main entre ses cuisses. Jouvrais ses lèvres, je passais deux doigts pour trouver son joli bouton de rose. Je caressais en tournant autour, je lâchais pour revenir. Je mettais un temps fou à lui donner ce plaisir quelle appelait. Je mets beaucoup mois de temps quand je me branle.
Elle se laissait faire, en murmurant des mots damour. Je voyais ses yeux révulsés, ses lèvres se serrer, sa peau avoir des frissons. Je ne pensais jamais arriver à faire jouir une amie. Est arrivé linstant où elle sest dressée comme un arc, tenue par les talons et la tête. Quelle, jouissance, la première que je donnais ainsi.
Je crois quelle ma donne au moins autant de plaisir.
Nous navons pas attendu une suite venant dailleurs. Elle sest mise sur moi, ma donné, offert, sa chatte. Quelle odeur de cannelle de je ne sais quoi encore. Jen avais les narines pleines. Et son gout : une merveille de miel de femme. Cest Isa la première qui ma léché la chatte. Je nosais pas le lui faire. Quand jai jouis encore, là, jai osé, je lai sucée, léchée, goutée, avalée. Je ne me lassais pas de lui donner ce plaisir quelle voulait. Que je voulais aussi.
Le soleil se levait quand nous nous sommes arrêtées. Jétais rompue, Isa aussi. Nous avons passé la matinée au lit à nous embrasser. Nous nous sommes masturbées deux fois. Isa avait raison, il y a des avantages dans lamour au féminin.
Chez moi, jétais bien. Je me suis refusée à mon mari pas par manque de désir, par manque de besoin érotique. Quand plus tard je lui ai expliqué ce que javais fait, il na pas fait de scandale : Tu as bien joui, tant mieux.