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Les minettes du Val de Saône – Chapitre 1




Lorsque j’étais plus jeune, il y avait à Lyon un homme, entre soixante et soixante-dix ans, qui n’avait plus toute sa tête, et criait à qui voulait l’entendre qu’il connaissait bien les minettes du Val de Saône. Ou quelque chose comme ça. Une chose est sûre, il faisait une fixation sur ces minettes du Val de Saône.

Moi, j’en rigolais pas mal, parce que j’avais grandi dans le Val de Saône, et les minettes, oui il y en avait, et oui il y en avait des jolies, mais pas de quoi en faire une fixation. Mon avis, cependant, a changé durant l’été de mes trente-trois ans.

Mes parents avaient toujours la maison dans laquelle j’avais grandi, située dans une petite impasse, proche de la Saône. Ils m’avaient demandé de garder la maison pendant le mois d’août, car ils partaient en voyage. Il y avait apparemment des problèmes de sécurité dans le quartier, et comme ils s’étaient déjà fait cambrioler dans le passé, ils se sentaient plus tranquilles de ne pas laisser la maison vide. Moi, ça m’allait tout à fait, et pour une raison principalement : la piscine.

La maison était très basique. De plain-pied, avec cuisine, salon, salle de bain, deux chambres et un bureau. Mais le jardin était tout à fait exceptionnel. Près de quatre-cents mètres carrés, une piscine assez grande, le tout entouré de grands arbres et d’un mur assez haut pour éviter tout vis-à-vis. Il y avait une serre au fond du jardin, où mon père faisait pousser des cactus et autres plantes grasses, et qui était, pour moi, l’endroit le plus calme et agréable au monde.

Mais effectivement, et comme mes parents me l’avaient expliqué, l’ambiance du quartier s’était détériorée. La municipalité avait récemment fermé une MJC, puis d’autres structures du même genre, et la plupart des gamins du coin traînaient maintenant dans les rues et faisaient les cons. Cambriolages, voitures brûlées, incivilités en tout genre… Déjà, quelques riverains avaient décidé de partir, mais leurs maisons n’ayant pas trouvé de repreneurs, elles s’étaient parfois retrouvées en squat. Le cercle vicieux. Il m’incombait donc de protéger la demeure familiale, cet endroit paradisiaque à mes yeux, mais pas de paranoïa inutile ; je savais qu’il ne s’agissait que de merdeux du coin qui s’ennuyaient comme des rats morts.

Les problèmes n’ont cependant pas tardé à arriver.

J’étais dans la maison depuis trois jours. Mon programme se limitait à dormir le matin, me baigner l’après-midi, regarder des films le soir. J’avais prévu de voir des amis, mais plus tard. Pour l’instant, j’avais surtout prévu de glander. Il était plus ou moins une heure du matin, et j’étais en train de regarder un film, quand j’ai entendu du bruit dans la rue. Pas grand-chose, juste des chahutements, et quelques pétards. Rien de bien méchant. Mais les pétards s’intensifiaient, et j’ai mis le film en pause pour mieux entendre. C’était comme si les pétards étaient jetés contre le mur. Je suis allé dans la cuisine qui donnait sur la rue, quand un pavé a traversé la fenêtre. Je ne portais que le short qui fait officiellement office de pyjama, mais je suis sorti en trombe dans la rue pour voir ce qui se passait. Et là, j’ai eu l’impression d’être dans une ville sujette aux émeutes.

Ils devaient être cinq ou six à tirer à grands coups de paintball sur la façade, repeignant la maison en bleu, rouge, jaune, de manière tout à fait arbitraire et pas du tout esthétique. Lorsqu’ils m’ont vu, ils sont partis à toute vitesse pour sortir de l’impasse. J’ai bien essayé de les suivre, mais pieds nus sur le bitume, je n’ai pas pu aller loin. C’est en revenant vers chez moi que j’ai remarqué, non seulement que la poubelle fumait et commençait à brûler, mais aussi que l’un des individus avait laissé un sac dans sa fuite. Après avoir balancé une bassine d’eau dans la poubelle pour éteindre le feu, j’ai récupéré le sac. A l’intérieur, il y avait un paquet de cigarettes, un sachet d’herbe, et un porte-feuilles. A l’intérieur, une pièce d’identité. Et sur cette pièce d’identité, un nom : Noémie Besnot. J’ai hésité à appeler la police. Mais je savais déjà à quel point ce serait inutile. Alors j’ai préféré piquer une cigarette dans le sac, et réfléchir à tout ça le lendemain.

Je n’ai pas très bien dormi cette nuit-là. Je m’attendais à ce qu’ils reviennent, et ai gardé un il ouvert toute la nuit, mais quand le jour s’est pointé, j’ai su qu’ils ne reviendraient pas, et je me suis enfin endormi.

Lorsque je me suis réveillé, à onze heures trente, il faisait déjà une chaleur à crever. J’ai enfilé un short, et pris un café, et suis sorti dans la rue pour estimer les dégâts. Mes vacances allaient se transformer en travaux manuels, et ça ne me plaisait pas forcément. Heureusement, j’ai retrouvé un stock de peinture correspondante dans la cave, et ai pu me mettre très rapidement au travail.

J’étais en train de placer un carton sur la vitre cassée de la cuisine, quand j’ai vu une fille entrer dans l’impasse et se diriger vers moi. Brune, assez grande, assez fine. Elle est venue se planter face à moi sans rien dire, tandis que je tombais en admiration pour ses yeux bleus.

Noémie, j’imagine ? ai-je demandé en connaissant déjà la réponse.

Oui, a-t-elle répondu l’air penaud.

Tu viens récupérer ton sac ?

Entre autres.

Quoi d’autre ?

M’excuser.

Je suis descendu de mon escabeau et me suis rapproché d’elle. Je n’étais pas beaucoup plus grand qu’elle, mais j’essayais d’être imposant, presque menaçant.

T’excuser ? ai-je commencé avec un ton dur. Tu vas galérer, ma p’tite, pour t’excuser. Parce que toi et tes potes, vous avez sacrément déconné cette nuit, et c’est pas un « pardon » qui changera les choses, ou qui m’aidera à repeindre ce mur ! Je sais même pas pourquoi j’ai pas appelé les flics…

Merci, l’ai-je entendue souffler.

Merci de quoi ?

De ne pas avoir appelé les flics. Mais je peux peut-être essayer de me faire pardonner, non ? Je vais le repeindre, moi, votre mur.

J’ai réfléchi une seconde. C’était une option qui m’allait très bien. Je pourrais la faire travailler, gratuitement, pendant que je bronzerais sur un matelas pneumatique, à la surface de la piscine, avec un cocktail dans la main.

OK, lui ai-je dit, on va faire ça.

Quoi donc ?

Bah tu vas repeindre mon mur. J’ai pas du tout envie de le faire. Et c’est assez clément de ma part, ça devrait être bien moins sympa que ça. Tu as tout ce quil te faut ici.

Je lui ai donné tout le matériel dont elle avait besoin, et suis rentré dans la maison en lui souhaitant bonne chance. Quant à moi, je vaquais à mes occupations. En milieu d’après-midi, il faisait vraiment très chaud, et me suis quand même dit que ma nouvelle peintre en bâtiment devait avoir encore plus chaud, et voudrait sûrement boire un truc. Je l’ai retrouvée dehors avec une grande bouteille d’eau glacée, qu’elle a acceptée avec plaisir. Elle avait bien avancé. Il y avait encore beaucoup de travail, mais elle avait été efficace, et avait fait ça bien mieux que je ne l’aurais fait moi-même.

Je me suis surpris à l’observer tandis qu’elle buvait goulûment à la bouteille. Joli brin de fille. Son short en jeans remontaient haut sur ses jambes fines, et laissaient deviner un fessier joliment bombé. Son débardeur, lui, laissait deviner une petite et jolie poitrine. Et il fallait vraiment que j’arrête de la regarder et de la détailler avec autant d’insistance, au risque de passer pour un pervers, que j’étais sûrement un peu de toute manière ! Pour me changer les idées, je lui ai proposé une petite pause cigarette.

On s’est alors assis sur les trois marches menant à l’intérieur de la maison, et j’ai sorti mon paquet, lui en proposant une au passage. Cette petite pause m’a permis d’entamer la conversation.

Pourquoi vous faites toutes ces conneries ? ai-je demandé.

J’en sais rien.

Tu tires au paintball sur des maisons et tu ne sais pas pourquoi ?

C’est pas moi qui ai tiré, moi si j’étais avec eux, c’était juste pour fumer.

Et c’est toi qui paies pour leurs conneries du coup.

C’est pas grave. C’est des potes.

Je n’ai rien su répondre de plus. Ça m’attristait. Elle n’avait pas l’air bête, et plutôt débrouillarde. Je ne comprenais pas vraiment comment elle pouvait traîner avec des gens qui la tirent à ce point vers le bas. Mais ça ne me regardait pas. J’ai fini ma cigarette, et l’ai laissée continuer la peinture.

Bien sûr, elle est partie le soir sans avoir terminé. Mais elle est revenue le lendemain. Et le surlendemain. Et ainsi de suite pendant cinq jours. Et en fin d’après-midi du cinquième jour, elle est venue me trouver alors que j’étais allongé sur un transat, au soleil, au bord de la piscine. Elle avait l’air gênée de me voir, vêtu de rien si ce n’est d’un maillot de bain et d’une paire de lunettes de soleil.

Je… Hum… Je crois que c’est bon, j’ai fini avec le mur.

Ah ! Super, merci. Je viendrai voir. Tu veux boire un truc ?

Euh, oui, je veux bien.

Je me suis levé et suis allé chercher deux verres pleins de glaçons, et une grande bouteille d’eau fraîche. Quand je suis revenu dans le jardin, j’ai trouvé Noémie accroupie près de la piscine, passant sa main dans l’eau.

Tu as envie de te baigner ? ai-je demandé en posant les verres et la bouteille d’eau à côté du transat.

Ça donne envie, c’est sûr… m’a-t-elle répondu. Mais j’ai pas de maillot.

Oh, je m’en offusquerais pas si tu te baignais sans maillot, tu sais !

C’était sorti tout seul. Noémie m’a regardé avec un mélange de surprise et d’amusement, et j’ai souri, feignant l’humour peut-être déplacé. J’allais m’excuser et retirer ce que j’ai dit, quand elle a parlé la première.

Je ne sais pas. C’est un peu bizarre, non ?

Cette fois, je n’ai rien répondu. Je l’ai laissée prendre sa décision toute seule. Et j’ai bien fait, car moins de dix secondes plus tard, elle retirait ses chaussures sans en défaire les lacets.

Oh et puis merde hein ! s’est-elle exclamée en me regardant et commençant à baisser la fermeture de son short. J’ai trop chaud.

J’étais incapable de dire quoi que ce soit. J’étais subjugué par ce morceau de jeans qui glissait le long de ses jambes, jusqu’à ses pieds, dévoilant à mon regard son slip en coton gris, très basique, mais qui sublimait encore un peu plus son fessier. Noémie s’est ensuite penchée, a enlevé ses chaussettes, et a sauté dans la piscine.

Ah bordel, ça fait du bien ! crie-t-elle en ressortant la tête de l’eau. Vous ne venez pas vous baigner ?

Si si, j’arrive.

A mon tour, j’ai sauté, et rejoins Noémie dans la partie encore ensoleillée du bassin.

Merci beaucoup, me dit-elle alors que j’arrive auprès d’elle. Jamais j’aurais osé vous demander si c’était possible de piquer une tête !

Pas de soucis ! Je peux quand même en faire profiter un peu.

Oui, enfin vous étiez pas obligé. Surtout avec moi, je veux dire. Moi qui pensais venir et me faire engueuler, voire pire, je m’en sors plutôt bien, là.

Pire ? Qu’est-ce que tu pensais que j’allais faire ?

Je ne sais pas, mais je pensais que vous alliez vraiment m’engueuler plus fort, ou bien que vous me taperiez sur les doigts, ou me taper tout court, d’ailleurs.

Si c’est une fessée que tu pensais trouver, continue à me vouvoyer et tu l’auras !

Elle s’est mise à rire, et je l’ai suivie, mais des images de plus en plus torrides envahissaient mon esprit, et il devenait de plus en plus compliqué de la regarder sans la voir, nue, dans diverses positions et situations. Ou bien même de ne pas loucher sur sa poitrine, qu’elle n’enfermait visiblement pas dans un soutien-gorge, et qui apparaissait à mes yeux, à travers le fin tissu de son débardeur, à chaque fois qu’elle remontait un peu au-dessus de la surface de l’eau.

Vous auriez l’heure ? m’a-t-elle demandé.

Tu m’as encore tutoyé, là.

Oui, je sais, a-t-elle répondu avec un sourire plein d’espièglerie.

Il est bientôt dix-sept heures, ai-je dit en regardant ma montre.

Ah, merde, déjà ! Il faut que j’y aille, je ne peux pas trop tarder aujourd’hui.

D’un bond, Noémie est sortie de l’eau, et mes yeux n’ont pas pu se décoller de ses fesses, magnifiquement moulées dans le tissu trempé de sa culotte, ou même de son sexe, dont la fente se devinait plus que bien, malgré ses tentatives pour se cacher le plus possible.

Excusez-moi, m’a-t-elle dit, toujours en me vouvoyant, je pourrais vous demander encore un service ? Vous auriez pas juste un tee-shirt à me prêter ? J’avais pas pensé à ça avant de me mettre à l’eau.

Oui bien sûr, je… je vais te chercher ça.

Ça a demandé un peu d’adresse, mais j’ai réussi à sortir de la piscine sans qu’elle ne voie le début d’érection qui déformait déjà mon petit short de bain. Je suis allé lui chercher un tee-shirt très simple qui pendait sur le fil à linge et elle m’a remercié, avant de me tourner le dos et de retirer son débardeur mouillé. Même son dos était un chef d’uvre. Chaque courbe, ses omoplates, tout. J’étais scotché face à cette fille. Puis elle m’a demandé à aller utiliser la salle de bain pour pouvoir remplacer sa culotte par son short, et une fois prête et sèche, elle a récupéré son sac laissé sur place la nuit du délit, et est sortie de la maison. La peinture était très bien faite, j’étais vraiment content d’elle.

Merci, lui ai-je dit très sincèrement. T’as vraiment fait du bon travail.

Merci, et… encore désolé pour… enfin le problème à la base, quoi.

Ça ira. Mais évitez de recommencer, sinon je pense que cette fois j’appellerai la police.

Bien sûr, ça n’arrivera plus, vous avez ma parole.

Il faut vraiment que tu arrêtes de me vouvoyer.

Je vous promets que je vais faire un effort, m’a-t-elle répondu en souriant.

Elle s’est ensuite éloignée dans l’impasse, avant de se retourner vers moi.

Je vous ramène le tee-shirt demain si vous êtes là !

Je serai là, pas de problème. N’hésite pas à ramener ton maillot de bain, cette fois !

Elle m’a souri sans répondre, et je l’ai vue tourner dans la rue.

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