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le cinéma porno – Chapitre 2




Après ma première expérience dans le cinéma porno, j’y suis retourné plusieurs fois le soir. Malheureusement je n’ai pas toujours eu le même succès. Une fois pourtant ça c’est excellemment passé. Nous étions vers le mois de novembre et je suis arrivé vers 21 heures au cinéma. C’était un homme qui était à la caisse, je l’avait déjà vu plusieurs fois. Comme d’habitude quand j’étais obligé de me couvrir un peu pour combattre le froid, j’avais une chemise en jean léger fermée par pressions, un jean et un blouson, sans sous vêtements. En payant je laisse mon blouson à la caisse, ce qui ne pose aucune difficulté, le caissier sachant pourquoi on est là. Je rentre dans la salle et je monte au balcon.

Arrivé sur le balcon, je repère une place au bord de l’allée centrale. J’ai pris l’habitude de masseoir le long de l’allée centrale car comme ça les personnes sur le balcon voient mieux ce que je fait. Je le répète, je suis un peu exhibitionniste. Comme d’habitude je baisse mon pantalon en m’asseyant, je l’enlève complètement ainsi que ma chemise. Je suis donc complètement nu 2 minutes après être arrivé. Je n’ai pas préciser que les rangées de sièges ne vont pas jusqu’au mur du fond. Il y a un passage d’un mètre de large ou pas mal de personnes se tiennent en se masturbant et en se caressant mutuellement.

Je commence à me caresser quand un homme vient se mettre à côté de moi et me regarde me caresser la bite. Au bout d’un moment il avance sa main et me branle. Il a la bite sortie et je m’en empare. Nous nous branlons mutuellement jusqu’à ce qu’il me demande de monter au fond du balcon. Je le suis en prenant mes affaires. Les deux ou trois personnes présentes se poussent pour me laisser passer. Je sens une main me caresser les fesses et un doigt qui veut rentrer dans mon fion. Je me penche un peu pour faciliter l’introduction, mais le doigt se retire et est remplacé par plusieurs doigts qui me lubrifient le cul en me pénétrant de manière à bien me préparer. Je sens un énorme gland capoté se frayer un passage entre mes fesses et venir s’enfoncer dans mon cul. Mes chairs se distendent et laisse le passage au braquemart. L’homme me pistonne avec fougue, je suis bousculé par ses grands coup de buttoir, mais j’apprécie énormément car ce n’est pas souvent que je me fait culbuter de la sorte. Une bouche vient s’occuper de ma bite et je sens que je vais partir. Les va et vient dans mon cul saccélèrent, je sens la bite commencer à vibrer et j’explose dans la bouche de mon suceur. Celui-ci, surpris, en recrache une partie mais fini par en avaler le reste. L’homme qui m’encule éjacule en me tirant vers lui, je manque de m’affaler par terre mais il me retient. Je me baisse, lui enlève sa capote et le nettoie. Il me donne deux ou trois petites tapes sur l’épaule et s’en va.

Après un petit instant de récupération, j’enfile ma chemise qui me couvre tout jusque les fesses sans la boutonner et, sans pantalon que j’ai à la main, je descends l’escalier, sort de la salle et descends vers les toilettes qui sont au sous-sol. Le fait de ne pas être entièrement habillé en traversant une partie du hall du cinéma m’excite. Je pisse un coup, me rince la bite dans un évier et je me remet devant la pissotière du milieu en me masturbant doucement. Au bout de 2 minutes, arrive un homme pour pisser. Il remarque mon manège et vient vers moi. Il voit que je n’ai pas de pantalon, me soulève la chemise et me caresse les fesses. Il introduit un doigt dans mon cul et commence des aller retours. Je me cambre et prends son rythme pour accentuer le plaisir. Tout à coup, jentends des pas descendre les escaliers, mais je n’en ai cure car cela va faire une personne de plus. L’homme retire son doigt et remonte dans la salle. En fait, c’est le caissier qui vient pisser. Il me regarde, soulève ma chemise et me dit.

— Tu es là jusqu’à quelle heure?

— Jusqu’à la fermeture.

— Tu peux rester un peu plus longtemps?

— Avec plaisir.

— Ok, à tout à l’heure.

Je remonte dans la salle, je vais vers le caissier et lui demande la clé de la petite pièce. Il me sourit et me la donne.

— Tu me la rends quand tu sort, ok ?

— Ok.

Je me dirige vers la porte en relevant un peu les bras, ce qui a pour effet de bien dégager mes fesses, et j’ouvre la porte. Le côté gauche de la porte à deux battants grince quand on le pousse, ce qui fait se retourner tous ceux qui sont au rez de chaussée. Évidemment j’ouvre le battant gauche. Je vais m’installer dans la petite pièce et j’allume la lumière. J’enlève ma chemise et la pose avec mon pantalon sur le côté. Je m’allonge sur le dos sur le divan et commence à me masturber. Une silhouette apparaît, puis une deuxième. Un homme rentre dans la pièce et vient vers moi. Il se déshabille complètement et se met en 69 sur moi. Il me gobe ma bite, j’en fait autant de la sienne. Nous partons sur un 69. Il manuvre pour être en dessous, ce qui ne me dérange pas. Je sens deux mains me caresser les fesses et quelque chose qui se présente à mon cul. J’attrape cette chose, c’est un gode de taille moyenne, capoté et bien lubrifié. Je n’avais pas vu que mon suceur avait un gode. Après m’avoir lubrifié, il enfonce le gode d’un seul coup dans mon cul et commence des va et vient rapides. Ça doit l’exciter un max car il me décharge tout dans la bouche. J’avale je le sens accélérer son pompier et ses va et vient dans mon fion. J’éjacule dans sa bouche en jouissant beaucoup moins fort que je ne pensais. Je suis un peu déçu mais surtout très fatigué. Je me dégage et m’allonge sur le ventre.

Tout le monde s’en va à part un homme qui était resté à l’écart et avait regardé sans bouger, ni même se masturber. Il vient s’asseoir à côté de moi et commence à me masser le dos. Je me détends de plus en plus. Il descend vers mes fesses et les massent ainsi que mes jambes. C’est incontestablement un masseur professionnel. Il remonte vers les fesses, les reins et le dos. Je me laisse faire et savoure ce moment de détente. Il redescend vers les fesses et les écarte. Nous y voila me dis je. Il titille mon anus encore lubrifié. Je m’attends à une pénétration de quelques doigt mais non rien de tout ça, juste des caresses.

Au bout d’un bon quart d’heure je commence à somnoler sous ses caresses. Il s’arrête et après une petite bise sur mon épaule, s’en va. Je reste seul et sachant que le caissier ne va pas tarder je me laisse aller au sommeil.

Je suis réveillé par une main sur mes fesses. Tout est éclairé et le caissier se trouve à côté de moi. Sans attendre, il sort sa bite et me la présente. je la gobe et le suce avec ardeur. J’aime se genre de réveil! Je suis toujours sur le ventre et le caissier, après avoir enfiler une capote et m’avoir lubrifié, se couche sur moi et me sodomise. Je redresse mon cul pour faciliter la pénétration et je le sens au fond. Il part dans une lente sodomie, comme pour faire durer le plaisir. Moi j’aime avoir une queue dans le cul, quelle que soit la manière de m’enculer. Rapide, lent, moyen, tout me va pourvus que j’ai une bite dans la rondelle.

— Tu aimes?

— Oui continu.

Il ne tarde pas à jouir, trop tôt pour moi. Je suis à peine chauffé qu’il se retire. Il sort alors un gros godemiché, lui met une capote, le lubrifie et celui-ci remplace immédiatement sa bite. Là je suis rempli et il commence ses va et vient, beaucoup plus vite que quand il me baisait. Il me met sur le côté et prend ma bite dans sa bouche. Le plaisir ne tarde pas à venir et je lui envois tout. Il avale en se léchant les babines.

— Alors ça t’as plu.

— Oui mais j’aurais aimé que tu me baises plus longtemps.

— C’est mon problème, je ne peux pas me retenir, je joui assez vite. J’ai beau essayer je n’y arrive pas.

— C’est pas grave tant que tu as un bon remplaçant.

— Je m’excuse mais il va falloir y aller car si je reste trop longtemps ouvert après minuit, les flics viennent voir si tout va bien.

Je me rhabille, ferme la petite pièce et lui rends la clé et je récupère mon blouson à la caisse.

— La prochaine fois que tu viens et que c’est moi qui suis à la caisse, j’aimerais que tu te déshabille dans le hall, devant moi. Je garderais tes affaires comme ça tu sera plus libre de tes mouvements. D’accord?

Cette offre me fait frémir mais c’est tout à fait ce que j’aime faire.

— Ok

— Tu rentre comment?

— A pied.

— Tu habite loin?

— A Saint Agne.

— Viens, je te raccompagne, j’ai ma voiture à côté.

J’hésite un moment mais j’accepte en pensant qu’il veut autre chose. Il me dépose devant chez moi, je lui propose de monter boire un coup mais il refuse, se femme l’attend!

J’ai revu souvent ce caissier au cinéma ainsi que la caissière mais ceci est une autre histoire.

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