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Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante – Chapitre 7




Salut c’est votre folle de lycra

Nous étions donc en train de sortir de la prestigieuse berline de Geneviève, en direction du coffre pour chaudement nous habiller. Pendant que toutes les trois nous habillions, je regardais ce qui était en train de sortir de la remorque de ce gros 4×4. Geneviève nous avait prévu de très longues doudounes douces et moulantes qui descendaient pratiquement à mi-mollet. J’étais en train de comprendre ce qui allait se passer quand Geneviève nous a tout expliqué.

« Bon les minettes, je vous ai prévu une surprise aujourd’hui.

Je ne vous ai pas dit, mais je suis aussi passionnée d’aéronautique en plus de l’automobile.

Aujourd’hui nous allons faire un vol en montgolfière.

Comme je vous ai déjà expliqué, je donne un coup de main à toutes les petites sociétés qui veulent se lancer et qui sont crédibles au niveau de leur projet.

Je suis actionnaire majoritaire dans cette société, et elle tourne du feu de Dieu. »

Je regardais les techniciens en train de sortir la nacelle, ainsi que le ballon et son tissu. Maintenant ils avaient allumé les brûleurs et ils étaient en train de gonfler la montgolfière. Toutes les trois nous étions approchées des techniciens, le bruit des flammes était monstrueux mais le ballon commençait à prendre forme et surtout il commençait à bouger avec le vent. C’était plus fort que moi, il a fallu que je commence à immortaliser les scènes qui se présentaient à moi. Le bruit nous laissait supposer que nous étions aux portes de l’enfer, mais maintenant le ballon avait quitté le sol et la nacelle s’était dressée. Nous évitions de marcher dans l’herbe car cette dernière était mouillée et vraiment fraîche. Pour éviter de laisser la fraîcheur nous pénétrer, nous essayions de nous remuer en donnant un coup de main comme nous pouvions. Geneviève avait l’air de connaître parfaitement tout le processus de préparation d’un vol, elle nous avouera plus tard avoir tous les diplômes requis pour être monitrice de vol. Plus je découvrais cette femme, plus elle m’impressionnait.

Une fois la montgolfière opérationnelle, Geneviève nous a invités à y prendre place, elle a donné les clés de sa voiture aux personnes présentes, c’est vous dire qu’elle avait confiance en elles. Une fois toutes les trois à l’intérieur de la nacelle, Geneviève a fermé la petite porte, j’ai regardé une dernière fois la terre ferme, avant que la nacelle ne commence à bouger, soulevée par le ballon d’air chaud au-dessus. La clarté de la verdure de l’herbe au sol contrastait avec le feuillage des bois alentour, qui était en train de rougir. Le soleil d’automne finissait de se lever et je me demandais, qui d’entre lui ou nous, montait le plus vite. Geneviève avait eu le nez fin par rapport aux doudounes, car dès que nous avons commencé à monter, la fraîcheur a commencé à se transformer en froid. Heureusement que le brûleur était là pour nous réchauffer un peu, Muriel s’était collée à moi pour essayer que l’on se réchauffe ainsi toutes les deux. Tout comme moi elle n’était pas fière à ainsi quitter le plancher des vaches, par contre la vue que nous avions à l’horizon était en train d’augmenter et c’était vraiment impressionnant.

Notre voiture ainsi que le gros 4×4 et sa remorque étaient en train de devenir tout petits. Par contre plus on montait, plus on pouvait découvrir oh combien le relief était proche du néant dans les parages, bref le terrain était pour ainsi dire plat. Le soleil aidait à la réussite de belles photos, mais j’avais sacrément froid aux doigts. À mesure que nous prenions de l’altitude, nous pouvions maintenant discerner la forêt, les champs, les habitations, mais surtout au loin, la surprise, le circuit.

« Nous ne pourrons pas passer au-dessus du circuit, car cela est interdit.

De plus il y a un petit aérodrome à côté et nous ne pourrons pas passer trop près.

Il faut savoir que nous sommes dépendantes des vents, normalement ces derniers sont favorables aujourd’hui.

D’après la météo, nous devrions pouvoir tenir au mieux une heure et demie en vol.

Avec la radio que nous avons, je tiendrai au courant l’équipe au sol pour nous récupérer quand nous nous poserons. »

Maintenant j’étais en train de réaliser que Muriel ne s’était pas collée dans mon dos pour se réchauffer, mais juste pour me faire sentir la taille de son sexe calé dans la raie de mes fesses.

Cela me faisait tout drôle de m’envoler, nous avons rapidement pris de l’altitude et c’est ainsi que j’ai réalisé oh combien on était dépendant du vent. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il y avait du vent mais plutôt une brise plutôt fraîche, les véhicules avaient quitté notre endroit d’où nous avions décollé. Il était maintenant dix heures, de temps à autre Geneviève donnait un petit coup de brûleur, pour nous faire monter un peu. En plus d’être une très bonne capitaine d’industrie, Geneviève était en plus une formidable commandante de bord. Maintenant les maisons étaient minuscules, en regardant son altimètre, Geneviève nous a informés que nous étions déjà à neuf cents mètres. Je ne vous raconte pas comment la température avait chuté, j’étais en train de me dire que la patronne aurait pu nous dire de ne pas nous habiller en robe longue. Mais bon nous avions des doudounes qui conservaient la chaleur que nous générions. Geneviève avait à ce point tout anticipé, qu’il y avait une paire de gants dans les poches de nos manteaux.

Muriel m’a fait retourner sur place, pour m’embrasser à pleine bouche, Geneviève nous regardait en souriant. J’avais l’impression qu’elle était attendrie par ce baiser que nous échangions, elle nous caressait les cheveux avec beaucoup de tendresse. Je vais vous avouer que quand j’ai senti les mains de la patronne qui commençaient à me caresser les fesses et surtout le minou, cela m’a permis de penser à autre chose, car honnêtement je n’étais quand même pas très fière là-haut. C’est vrai que les paysages étaient magnifiques, mais rien qu’à penser qu’il y avait presque un kilomètre entre nous et le sol, j’en avais mal au cur. Je continuais à embrasser Muriel, pendant ce temps-là je ne regardais pas le sol. Maintenant Geneviève s’était glissée dans mon dos, elle me caressait la poitrine d’une main et toujours mon entrejambe de l’autre. J’étais en train de me faire chauffer par deux femmes qui me désiraient. Décidément j’étais en train de devenir la proie de ces deux femmes, j’étais dans une nacelle, n’était-ce pas ça que de se retrouver au septième ciel.

Il était déconcertant de constater à quelle vitesse le vent pouvait nous faire changer de direction, de temps à autre Geneviève me lâchait l’entrejambe pour donner un petit coup de brûleur. Geneviève nous a expliqué que nous avions décollé au Nord-Ouest de Mulsanne, elle nous a interrompues dans notre baiser, pour nous expliquer qu’au loin nous pouvions voir la ville du Mans. Geneviève nous servait aussi de guide touristique en nous expliquant que nous étions en train de quitter au loin le circuit Bugatti par son nord-est. Les gants étaient devenus indispensables, mais pour prendre les photos, ce n’était pas évident. Je ne reconnaissais rien, en même temps je n’étais pas vraiment du coin, j’ai été un peu bête quand Muriel m’a dit que nous étions en train de survoler la voie rapide. Nous n’avions pour seule compagnie que le bruit du vent, quelquefois celui du brûleur, mais aussi nous entendions le cri strident d’un rapace. On ne le voyait pas, mais on l’entendait, cela cassait un peu la solitude où nous étions toutes les trois. Pendant que j’admirais le paysage, quand Muriel m’en laissait le temps, mon organisme était en train de s’exciter de plus en plus, suite aux caresses d’une grande précision de la patronne.

Geneviève avait pris maintenant le relais à m’embrasser et Muriel s’était carrément glissée sous ma robe. Notre conductrice était désormais complètement recouverte par ma robe longue, elle m’avait débarrassée de ma culotte et maintenant je sentais son souffle chaud sur ma toison pubienne tout humide. Je soupirai de plaisir et je me penchai en arrière, en préférant oublier qu’il y avait le vide. Je ne regardais pas beaucoup le paysage actuellement, mais Geneviève nous expliquait que le vent nous emmenait plein Est. Elle me laissait bête à pouvoir en un coup d’il situer où nous étions, et surtout à quelle vitesse nous nous déplacions. Maintenant la langue de Muriel était en train de s’attarder sur mon clito, qui était très sensible à ses attentions, mais surtout elle venait me laper la mouille que je me produisais abondamment. C’était vraiment très agréable que de se faire donner du plaisir par deux femmes, les baisers de Geneviève étaient vraiment magiques, la douceur de ses gants dans mon cou me faisait vraiment beaucoup d’effet.

Je ne sais pas si ces deux femmes s’étaient mises d’accord pour me faire du bien, mais le résultat était là, l’union des deux était sur le point de me faire maintenant prendre mon pied. Moi qui d’habitude prenais les initiatives avec Geneviève, ce coup-ci c’est elle qui dirigeait les opérations et Muriel qui s’exécutait avec gourmandise. Maintenant notre conductrice était accrochée à mes cuisses gainées de bas voiles satinés, j’avais écarté les jambes et mes mains étaient accrochées à la nacelle en osier. Je soupirais de plus en plus fort et en arrivais même à pousser de petits cris, pour le coup, je pouvais me lâcher, il n’y avait personne pour nous entendre. Notre conductrice avait l’air de mettre tout son cur pour me faire du bien, elle devait sentir que j’allais bientôt jouir. Sans doute était-ce pour cela qu’elle redoublait d’intensité, les deux femmes s’étaient mises d’accord pour me faire jouir en plein ciel. C’est dingue le nombre de premières mémorables que je vivais durant ce long week-end, je n’étais pas près de l’oublier.

Quand Geneviève a glissé sa main dans ma doudoune, pour aller me pincer la pointe des seins, je n’ai pas pu résister, c’est à ce moment-là que ma jouissance a commencé. Avec mes jambes bien écartées, l’accès mon vagin était vraiment facilité, et c’est ainsi que Muriel a carrément rentré sa langue dedans. J’avais envie de sautiller de plaisir, mais vu le contexte, j’ai préféré me retenir, par contre je me suis mise à crier. Nous étions à onze cents mètres d’altitude, il faisait assez froid, je me suis mise à crier de toutes mes forces le plaisir que je venais de prendre, d’autant que Muriel n’avait pas cessé de me chauffer avec sa langue. De son côté Geneviève était en train de s’occuper de la montgolfière, elle nous expliquait que la chaleur extérieure était plus basse que celle qui était dans le ballon, ce qui nous faisait monter un peu trop vite. Maintenant le soleil brillait, c’était vraiment très agréable de voir la campagne se réveiller avec ce soleil d’automne, qui voulait encore remplir sa mission pour quelques jours, apparemment.

J’avais joui et voilà maintenant cinq minutes que Muriel était toujours en dessous à me faire du bien, mais cela devenait insoutenable. Je lui ai saisi la tête à travers la robe pour l’inviter à cesser ce qu’elle me faisait, même si c’était quand même très bon. Elle est ressortie de sous ma robe et surtout de sous ma doudoune, a refermé cette dernière pour ne pas que j’attrape froid, avant de venir m’embrasser, son visage était barbouillé de ma cyprine.

« Jamais tu ne pourras prendre ton pied à ce point en plein air.

Rappelle-toi ce que je te disais, tu es faite pour faire l’amour n’importe où. »

En même temps que Geneviève me parlait, elle regardait le paysage et surtout l’horizon, on avait l’impression qu’elle surveillait quelque chose. Elle nous a expliqué que compte tenu de la fraîcheur on ne consommait pas beaucoup de gaz et du coup cela nous permettait de rester plus longtemps dans les airs. D’après elle nous allions pouvoir gagner au moins quinze minutes peut-être vingt à nous laisser porter par le vent. Elle a pris la radio pour donner sa position, j’avais l’impression qu’elle avait une carte d’état-major sous les yeux, mais elle était dans sa tête.

À les entendre converser, l’équipe ne devait pas être bien loin en dessous, j’avais l’impression qu’ils étaient en train de se mettre d’accord sur un point d’atterrissage.

« Ce n’est pas le fait que la température baisse fortement là-haut qui vous donne cette sensation de froid, mais le fait que nous soyons inactives.

Le vent que nous sentirions au sol, est atténué en montgolfière, par le fait que soyons portées par ce fameux vent. »

Le côté pédagogue de Geneviève était vraiment très appréciable, nous ne manquions rien dans ses explications. Maintenant que grâce à l’air frais, j’avais repris mes esprits après mon intense jouissance, je savourais pleinement notre excursion en altitude. Toutes les trois prenions des photos des paysages et de nous à l’intérieur de la nacelle. C’est vrai que ce que nous étions en train de vivre, peu de gens avaient l’occasion de le faire, pour ma part je ne vous raconte pas le petit plus que mes amies m’ont offert.

« Vous savez les minettes, vous avez de la chance, car pour cette année c’était le dernier vol.

De la mi-automne jusqu’à la moitié du printemps, les vols sont suspendus, car les conditions météo ne sont pas réunies durant cette période.

C’est grâce à l’automne très doux de cette année, que nous avons pu nous offrir cet extra. »

Nous écoutions tout ce qu’elle nous disait, sans perdre une image de ce qui se présentait à nos yeux en bas. Muriel faisait comme moi en ce sens où nous prenions plein de photos en nous disant que nous ferions le tri une fois le plancher des vaches retrouvé. Maintenant il n’y avait pas de doute nous étions en train de descendre. La végétation comme les habitations étaient en train d’être à nouveau reconnaissables. Le soleil qui était pratiquement à son zénith laissait une ombre de notre montgolfière au sol. La vitesse à laquelle nous descendions commençait à nous inquiéter, mais on était rassuré car cela n’avait pas du tout l’air de perturber Geneviève.

Nous nous rapprochions de la forêt environnante et Geneviève donnait quelques petits coups de brûleur pour nous remonter. Geneviève était maintenant sans arrêt en contact avec l’équipe au sol, si j’avais tout bien compris, après la forêt il m’avait semblé repérer un terrain en friche où nous pourrions très bien toucher le sol.

« Savourez, vous allez passer juste quelques centimètres au-dessus des arbres.

Effectivement sur les cent derniers mètres, nous avons effectué une ligne droite horizontale juste au-dessus de la cime des arbres, nous en avons même touché quelques-uns. En admirant cet exploit technique, je ne pouvais pas aussi penser au risque de se prendre dans les arbres. Tout avait l’air parfaitement contrôlé et Geneviève surveillait maintenant le terrain que j’avais repéré. À mieux y regarder, on pouvait y discerner le 4×4 vert anglais et sa remorque, je n’avais plus de doute, c’est là que nous allions atterrir. Après avoir passé les arbres, nous avons rapidement perdu une dizaine de mètres, seulement trois ou quatre mètres nous séparaient du sol.

Au moment où nous allons toucher le sol, je vais vous dire de vous accroupir. »

Vu ce qu’il nous restait à attendre, nous nous sommes accroupies après qu’elle a fini de nous dicter ses consignes. Encore un petit coup de brûleur et nous touchions le sol, effectivement l’atterrissage secouait. Vu les précautions qu’elle nous avait invités à prendre, je m’attendais à pire au niveau secousses. Encore un dernier coup de brûleur, un ultime frottement et nous nous sommes immobilisées. Durant cette phase finale sensible, obéissantes que nous sommes, Muriel et moi étions restées accroupies dans la nacelle. Une fois à l’arrêt, nous nous sommes relevées pour constater le résultat, c’était stupéfiant. Geneviève nous avait posées sur une minuscule route goudronnée qui coupait le champ en deux, du travail d’artiste. Le temps que nous réagissions, le 4×4 d’assistance était déjà là. L’ombre de la montgolfière était encore énorme, mais on sentait ce monstre d’air chaud vite s’assouplir. Je n’ai pas senti Muriel arriver pour venir me rouler une rapide gamelle, heureusement, elle avait fait en sorte que personne ne nous voit.

Les techniciens étaient déjà affairés quand nous avons quitté notre caisse en osier. Bien que novices et peut-être un peu gauches, nous avons essayé de donner un coup de main comme nous pouvions. Dès que l’occasion se présentait, j’avais le droit à une caresse indiscrète voire un attouchement, de la part des filles, j’avais la hantise que l’on se fasse surprendre. À chaque effleurement de leur part, mon abricot et ma toison pubienne prenaient l’eau, j’en sentais la fraîcheur entre mes jambes, c’est Muriel qui avait ma culotte. Les opérations pliage et rangement ont facilement pris plus d’une heure, nous nous activions, rapidement dans nos doudounes sexys, il commençait à faire chaud. Quand Geneviève est venue me glisser subrepticement à l’oreille.

« Tu sens la petite fille négligée.

Tu sens la femme en chaleur, la femme désireuse. »

Je suis devenue rouge de honte. À y repenser, toute ma mouille générée par mon intense jouissance était restée confinée et avait un peu macéré et glissé le long de mes jambes. C’est vrai que quand je me suis risquée à sentir l’odeur qui émanait de sous mon long manteau, j’ai été stupéfaite de constater combien je sentais effectivement le sexe, heureusement que nous étions en plein air.

Pendant que nous étions en train de finir de plier bagage, la voiture de Geneviève est revenue, conduite par un des techniciens du club de vol en montgolfière. Il a garé la berline en marche arrière, dans un chemin de tracteur bien stabilisé. Une fois le véhicule garé, il est venu nous rejoindre pour finir le rangement, cela n’a pas été bien long et ensuite l’équipe nous a quittés avec le 4×4 et sa remorque chargée. Il n’y avait plus aucune trace de l’atterrissage de la montgolfière, toutes les trois avons pris la direction de la voiture. Moi qui pensais que nous allions rentrer, Geneviève en avait décidé autrement, elle a sorti une petite valise en osier. Dans cette petite valise il y avait tout le nécessaire pour manger, c’est ainsi que nous avons pique-niqué ce midi-là dans ce champ avec des hautes herbes. Geneviève avait tout prévu, même une grande bâche d’environ quatre mètres par quatre mètres qui allait nous servir de nappe. Le moment était très sympa nous étions un peu comme trois amoureuses, un peu en chaleur, et je ne cessais de me faire chambrer quant à l’odeur que je dégageais. Je me suis quand même autorisée à chambrer Muriel qui, pour sa part, avait le visage maculé de ma mouille odorante.

Une fois le ventre plein, nous avons plié bagage en faisant attention à ne rien laisser derrière notre passage, Geneviève était assez à cheval là-dessus. Muriel s’est installée au volant après m’avoir volé un baiser gourmand, Geneviève et moi avons ensuite pris place à l’arrière comme d’habitude.

« Je suis vraiment contente que tu t’entendes bien à ce point, avec Muriel. »

Pendant qu’elle était en train de me parler, en même temps elle me caressait les cheveux d’une façon tendre. Sa façon de faire était en train de me chauffer à nouveau, j’admirais de plus en plus cette femme et elle me faisait toujours plus envie. Cela a été plus fort que moi, comme à chaque fois, son parfum m’enivrait, il a fallu que je vienne m’agenouiller entre ses jambes. Mes mains se sont posées sur ses mollets tout doux et tout chauds, c’était vraiment un plaisir et un privilège que de pouvoir caresser ses jambes. C’est tête baissée que j’ai plongé sous sa robe pour immédiatement pouvoir respirer ses odeurs intimes.

Je n’ai pas été bien longue à me retrouver en contact avec ses poils pubiens, le goût et l’odeur avaient toujours un effet aussi aphrodisiaque sur moi. Dès le premier coup de langue, Geneviève a poussé un petit cri de plaisir, j’étais heureuse qu’elle soit à ce point réceptive à ma façon de faire.

En espérant que cette histoire vous plaise toujours autant, la suite vous l’aurez dans le chapitre 8…

Bonne année, bonne santé à vous et bisous.

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