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Assumer mes achats… – Chapitre 7




Salut c’est votre folle de lycra.

Il était donc très tard, je venais de quitter le magasin de vêtements féminins, en compagnie de Christiane et Sophie, respectivement la propriétaire et une vendeuse. Les deux femmes avaient pris la direction de leur voiture, alors que moi j’étais parti à pied, totalement habillé en femme avec des escarpins, je n’étais pas fier. Il était neuf heures passées, il faisait nuit et j’avais facilement trois bons quarts dheure de marche pour rentrer à la maison où m’attendait ma voisine Coralie. Sur mon chemin toutes les boutiques étaient fermées, il n’y avait de la vie que sur les étages des bâtiments. Je me disais que pour les gens que je croiserai, j’avais juste à légèrement baisser la tête et je pourrais facilement passer pour une fille, j’avais de la chance il ne pleuvait pas. J’avais un guide imparable quand il faisait nuit, c’était la lumière qui tourne sur la Tour Eiffel. En fait, ce n’est pas un phare qui tourne, mais quatre projecteurs qui couvrent quatre-vingts degrés chacun. Chemin faisant j’ai croisé plusieurs personnes, des couples, des promeneurs et même des joggeurs.

Ce qui me gavait à chaque fois, c’est de voir tous ces propriétaires de chiens qui descendent leur chien en bas de chez eux, le font se soulager puis remontent. Bien qu’il y ait de gros progrès, il est vraiment très désagréable de marcher dans les agglomérations à force d’éviter les étrons canins. A un moment, j’ai croisé un couple dont le parfum de Madame m’a vraiment perturbé, du coup je me suis retourné et à ma grande surprise elle aussi était en train de me regarder, nous avons échangé un sourire. Je suis reparti dans mes pensées en admirant les éclairages nocturnes, quand soudain j’ai senti que l’on tapait sur mon épaule. Un peu surpris sur le coup, mais surtout effrayé, je me suis retourné et là j’ai reconnu la dame dont le parfum m’avait fait me retourner tout à l’heure.

« Bonjour Madame, je tenais à vous dire que votre parfum était vraiment divin. Je tenais à vous dire que même mon mari en a été retourné.»

Effectivement, maintenant que j’y repensais, Christiane m’avait parfumé avant que nous nous quittions, j’ai souvenir qu’elle y avait été de bon cur.

Quand cette inconnue m’a demandé le nom du parfum, j’étais incapable de lui répondre, je lui ai expliqué que c’est une amie qui m’avait parfumé. Je commençais à être embêté, car à force de converser avec cette passante, elle allait finir par se rendre compte, à ma voix, que je n’étais pas une fille. Cette femme devait être une quinquagénaire bien tassée mais surtout bien conservée. Quand elle m’a invité à la suivre pour qu’elle me présente son mari, je n’ai pas osé refuser, voilà comment je suis retournée sur mes pas sur plusieurs centaines de mètres. Le mari était en train de regarder une vitrine de costumes à l’angle de notre rue et d’une petite impasse d’une cinquantaine de mètres.

«Je vous présente mon mari Gilles, et moi je me prénomme Geneviève.»

Je me suis présentée en tant que Francine, c’était un diminutif facile par rapport à Franck. Son mari était vraiment un grand et bel homme, il avait de l’assurance et un physique irréprochable du haut de son mètre quatre-vingt-cinq ou quatre-vingt-huit.

Ils formaient vraiment un très beau couple, d’autant que Geneviève perchée sur ses bottines à hauts talons, était presque de la taille de son mari.

« Mon chéri, je te présente Francine, nous l’avons croisée tout à l’heure et son parfum m’a retourné la tête.»

Il m’a immédiatement fait la bise, et à ma grande surprise, il a passé son bras dans mon dos, comme s’il prenait possession de moi. Il était beaucoup plus fort que moi, je n’ai pas eu d’autre solution que de me laisser faire. Cela n’avait pas du tout l’air de déranger Geneviève, que son mari prenne une inconnue dans les bras, je dirais même que l’on pouvait deviner un léger sourire à la commissure de ses lèvres. Maintenant, comme s’il était en train de m’emmener danser, Gilles se déplaçait vers le fond de l’impasse avec moi dans son bras. Geneviève nous suivait avec maintenant un sourire, elle était à quelques centimètres de moi et par moments elle en profitait pour me caresser le dos. J’avais vraiment l’impression de me faire enlever par ce couple en pleine rue, pour me retrouver dans une impasse assez sombre.

«Tout à l’heure, quand nous vous avons croisé, mon mari m’a dit c’est un travelo. Je vais vous avouer que mon mari à l’il car il adore faire des folies avec ces gens-là.»

Pendant que Geneviève était en train de me parler, maintenant elle me tenait par la taille et son mari m’avait plaqué contre lui, je n’avais aucun doute, ce dernier avait une grosse érection. D’une petite bise, il y a quelques minutes, il venait de passer à un roulage de pelle en règle, en me forçant la bouche. J’étais désormais pris en sandwich par ce couple, qui paraissait anodin au premier abord et maintenant me semblait prédateur. Je sentais son sexe en érection, contre le mien qui n’avait pas grand-chose à lui envier.

«Je vois que je te fais de l’effet. Alors comme ça, tu aimes te promener la nuit habillé en fille.»

Gilles venait de prendre la parole, il avait une voix chaude et rassurante un peu comme celle de Richard Berry, cela le rendait encore plus irrésistible. Maintenant Geneviève était en train de me caresser les fesses et ces dernières se trémoussaient dans tous les sens, car elle savait y faire pour ce qui est des caresses.

Je n’avais aucun moyen de contacter Coralie pour l’avertir de mon retard, car mon petit doigt me disait que ça n’allait pas se passer en cinq minutes dans cette impasse. Arrivés au fond de l’impasse Gilles m’a déposé sur le capot d’un tout-terrain de luxe, il m’a soulevé sans forcer, il faisait ce qu’il voulait de moi. Pendant qu’il était en train de me caresser les joues, sa femme s’est chargée de libérer son sexe, en lui baissant son pantalon. C’était plus fort que moi j’étais en train de regarder les attributs du mari, à comparer je pensais qu’il n’était pas plus gros que le sien. Une fois ça queue bien libérée, Geneviève a saisi ma main pour aller la poser sur le sexe de son mari, finalement ce n’était pas désagréable que de le tenir en main. Elle était chaude épaisse et sensible à la venue de ma main, une fois que je tenais son mari par le second cerveau, Geneviève est partie s’occuper de mon sexe qu’elle a fait glisser sur le côté du tanga. En passant sa main dans ma toute petite culotte elle a constaté qu’il y en avait deux autres qui étaient dissimulées, elle les a sorties et s’est rendu compte qu’elles étaient bien mouillées.

Cela m’a fortement excité, quand je l’ai vu les porter à ses narines, puis les donner à sentir ensuite à son mari, avant de me les donner à respirer à moi aussi.

« Alors comme ça grosse cochonne, on dirait que tu es allé brouter du minou. Apparemment ces culottes appartiennent à deux filles, et elles ont l’air de beaucoup aimer le sexe. Tu vas faire une petite fellation à mon mari, car il adore qu’un travelo lui pratique ce genre de prestation.»

Pendant que je Geneviève était en train de me parler, elle me tenait maintenant le sexe et elle était en train de me masturber lentement, en même temps j’étais en train de faire la même chose à son mari. Puis la maîtresse des opérations a décidé que j’allais m’agenouiller devant son homme. La femme de Gilles s’est aussi accroupie pour être aux premières loges et assister à la turlutte que j’allais pratiquer sur Gilles. J’ai un peu rouspété car je ne voulais pas salir la robe, que je trouvais très belle et que j’avais payée. Une claque bien ferme de la part de Geneviève a fini de me convaincre, voilà comment je me suis accroché aux cuisses velues de Gilles. La maîtresse des opérations a saisi le sexe de son mari, pour venir me caresser le visage avec.

Cette caresse, que je qualifierais d’inhabituelle n’était pas désagréable, finalement je trouvais même l’odeur de son sexe très attirante. Ce jeu des caresses n’a pas duré bien longtemps, elle a fini par présenter la pointe du gland de son mari à l’entrée de ma bouche, puis a appuyé sur ma nuque pour que j’ouvre la bouche. Elle n’a pas eu besoin de beaucoup insister, car j’avais déjà goûté à un sexe d’homme et je ne trouvais pas ça désagréable. Certains auraient dit que c’était un mauvais moment à passer mais je trouvais ça quand même plaisant de sentir ce morceau de viande dans ma bouche. En plus de l’odeur que je connaissais j’étais en train de découvrir le goût, ce sexe me donnait vraiment envie de lui faire du bien avec ma langue. Voilà comment au bout de quelques instants, je me suis mis à chatouiller le sexe de Gilles avec la pointe de ma langue ainsi que sa rugosité, manifestement je lui faisais beaucoup d’effet. Maintenant Geneviève avait relâché la pression sur ma nuque mais c’est Gilles qui me tenait la tête, il était littéralement en train de me baiser la bouche. Pendant ce temps, sa femme était en train de me pincer la pointe des tétons et je peux vous dire qu’elle était efficace.

Maintenant Gilles n’avait plus besoin de me tenir la tête, j’étais accroché à ses cuisses et c’est moi qui donnais le rythme. Entre les coups de reins de Gilles et mes allées et venues sur son sexe, nous étions vraiment bien synchronisés. J’ai honte de le dire, mais j’aimais ce que j’étais en train de vivre, je pense que l’intervention de Geneviève était vraiment le petit plus qui me faisait succomber. De temps à autre j’essayais de regarder Gilles dans les yeux, mais il avait une petite tendance à regarder le ciel. Par contre je tombais souvent sur le regard de Geneviève qui avait l’air émerveillé par ma prestation sur le chibre de son mari.

« Je vais t’avouer que je n’aime pas faire de pipe à mon mari. Je n’aime pas non plus me faire prendre par-derrière, voilà pourquoi il va aussi s’occuper de ton petit cul ce soir.»

J’étais assez content, car à l’endroit où nous étions cachés par l’arrière de la voiture, personne ne pouvait nous voir de la rue. De temps à autre, Geneviève se relevait pour aller embrasser son mari qui appréciait beaucoup l’initiative.

Même si elle montait embrasser son homme, elle gardait toujours une main voire les deux, sur mon corps pour me caresser et continuer à m’exciter. Maintenant j’entendais Gilles soupirer de plaisir, ce qui laissait supposer que je m’y prenais très bien et surtout qu’il risquait de me balancer la purée au fond de la gorge dans peu de temps. J’étais en train de me préparer au fait que j’allais vite me retrouver la bouche pleine, quand Geneviève m’a fait relever avant qu’elle aille s’asseoir sur le capot de la voiture, en relevant sa robe longue et écartant bien les cuisses. J’étais en train de me dire que son mari était très excité et qu’il allait honorer sa femme sous mes yeux. Mais les événements ne se sont pas déroulés comme je le pensais, je m’en suis rendu compte quand la femme m’a invité à venir lui manger son minou luisant de cyprine. Je m’étais redressé et voilà que maintenant je me retrouvais courbé à l’équerre, la tête enfouie entre les jambes de Geneviève. Il n’y a pas à dire, aujourd’hui j’en aurai brouté du minou, jusqu’à maintenant j’avais quand même une grande préférence à l’entrejambe d’une femme, par rapport à celui d’un homme.

Une fois les mains posées sur les cuisses de Geneviève et mon nez chatouillé par ses poils pubiens, j’allais me mettre à lui faire du bien juste aidé de ma langue. Je vous laisse imaginer la posture que j’avais, d’autant que j’avais écarté les jambes pour ne pas avoir trop à me baisser. Je pense qu’aux yeux de Gilles, c’était un appel au viol, quelques instants après j’en ai eu la confirmation. Quand je l’ai senti venir se coller à moi, il est venu coller son sexe encore tout dur contre mes petites fesses,. Pour l’instant il y avait encore ma robe et ma culotte qui me séparaient de son dard. J’étais conscient que quand il aurait relevé ma robe, il n’aurait plus qu’à écarter ma culotte pour me prendre, j’espère quand même qu’il allait me préparer mon petit trou. En effet, mon sexe était quand même un peu plus gros que le sien, mais ce dernier n’en restait pas moins de belle taille. Pour essayer de penser à autre chose que de cette pénétration qui allait m’arriver, j’essayais de me concentrer sur le minou qui était face à moi et que je devais honorer ; question d’honneur. Pour l’instant nous partions sur de bonnes bases car Geneviève avait l’air de beaucoup apprécier mes coups de langue pour leur précision et leur efficacité.

J’ai beaucoup apprécié la correction de Geneviève qui a eu de la délicatesse d’enlever ses chaussures avant de s’asseoir sur le capot. C’est seulement dans cette position, que j’ai réalisé que ma partenaire était assise sur un beau quatre-quatre allemand. En fin de compte Gilles n’a pas été bien long pour relever l’arrière de ma robe, habilement je l’ai senti écarter ma culotte puis sa langue est venue se positionner sur mon petit trou. C’était la première fois de ma vie que j’avais le droit à un anulingus, mon partenaire me faisait vraiment beaucoup d’effet. Il n’y a pas à dire, il n’était pas novice en la matière. Mon petit illet qui était tout lisse, était très réceptif à cette langue très indiscrète, il me faisait tellement du bien qu’il arrivait à me déconcentrer du cunnilingus que je pratiquais à sa femme. Gilles s’était littéralement accroupi, maintenant il m’écartait les fesses pour libérer l’accès à mon intimité, et surtout pouvoir introduire sa langue le plus profondément possible. Pour quelqu’un qui était pressé de rentrer chez lui, j’étais en train de me dire que je prenais le chemin des écoliers ; mais des écoliers coquins.

Il y a des fois où il mettait sa langue en pointe pour aller le plus profondément en moi, et à d’autres moments il me léchait tous les alentours. De temps à autre, je le sentais rentrer un doigt puis deux puis trois, au début je le sentais un peu mais maintenant cela devenait très agréable. Je réalisai qu’il était en train de me dilater mon anneau rectal et que j’allais bientôt être baisable. À force de me préparer mon intimité, j’en étais arrivé à le désirer en moi, j’avais envie qu’il me prenne sauvagement, j’étais persuadé qu’il allait me faire du bien. Je l’ai entendu déchirer l’emballage d’un préservatif, les quelques secondes qui ont suivi correspondaient au temps qu’il a mis pour l’enfiler. Finalement je l’ai senti se relever, mais ce coup-ci je sentais son sexe contre moi, nos deux corps étaient l’un contre l’autre. Je le sentais maintenant positionner son prépuce à l’entrée de ma cachette secrète, il a positionné ses mains sur mes hanches. Dans les secondes qui ont suivi, je l’ai senti commencer à rentrer en moi, mais je n’ai ressenti aucune douleur. Gilles m’avait vraiment très bien préparé, à tel point que je prenais même du plaisir à sentir son sexe commencer à coulisser en moi.

J’ai été un peu surpris quand il m’a donné une grande claque sur les fesses, il m’a fait mal mais à côté de ça, il me faisait tellement de bien dans mon intimité. Je n’avais pas fait attention à ses mains, mais je pense qu’elles devaient être grandes fermes et solides, à le sentir agrippé à moi. Il est ressorti de moi pour me déposer une grosse dose de salive, là où il fallait, avant de se dissimuler de nouveau au plus profond de moi. Maintenant je sentais parfaitement son sexe entrer et sortir de moi, par moments je m’amusais à contracter mon anneau, pour le sentir mieux encore. À chaque fois qu’il entrait en moi, il arrivait en butée, du coup je me retrouvais par répercussion, la tête un peu plus enfouie dans le minou de sa femme. Je sentais Gilles mettre toute son énergie pour se donner du plaisir en moi et accessoirement m’en donner aussi.

«Vas-y mon chéri, baise-la, c’est une salope qui ne demande que ça. J’étais sûr que tu allais prendre du plaisir en elle.»

Je ne sais pas si je lui donnais du plaisir, mais il commençait à vraiment m’en donner beaucoup.

De son côté, même si Geneviève prenait le temps de commenter ce que me faisait son mari, elle aussi avait l’air d’apprécier ce que je lui dispensais. J’avais vraiment l’impression que les effluves intimes de cette femme étaient raffinés, distingués, sophistiqués, il n’y a pas à dire c’était du minou de bourgeoise. Même si j’étais de mon côté, un peu brutal et gourmand en lui mangeant son abricot, Geneviève était d’une grande douceur avec moi, ne serait-ce qu’en me caressant les cheveux. C’était vraiment très agréable que de donner du plaisir à deux personnes en même temps, juste avec mon modeste corps d’homme, dans des dessous féminins. À force de besogner avec passion ma partenaire, je commençais à sentir de petites contractions dans ses cuisses qui laissaient supposer qu’elle allait finir par prendre son pied. De son côté, Gilles s’était remis à me donner des claques sur les fesses, chose qui finalement commençait à être très agréable au niveau du traitement. C’est bête à dire, mais avec ses claques, je me sentais encore plus salope mais surtout offert à lui.

Les coups de boutoir de mon baiseur étaient de plus en plus espacés mais aussi et surtout de plus en plus puissants. Là aussi on pouvait en conclure qu’il allait bientôt me balancer la purée au fond de mes entrailles. Finalement le couple était bien synchronisé au niveau du plaisir, car Geneviève n’a pas été bien longue à prendre son pied, suivi de quelques minutes par son mari. Je venais de simultanément satisfaire sexuellement un couple, dans une sombre impasse parisienne.

« Je ne sais pas si tu es une gougnotte ou une pédale, toujours est-il que tu as réussi à nous faire jouir tous les deux en même temps»

Personnellement, je prenais ça comme un compliment de la part de Geneviève qui était en train de reprendre ses esprits. De son côté, bien qu’il ait joui en moi, Gilles continuait à donner des coups de reins en moi, mais avec beaucoup moins d’ardeur. Maintenant je sentais aussi son sexe qui perdait de la vigueur, à ma grande surprise mes deux partenaires avaient été silencieux dans leur jouissance. Cela m’arrangeait en même temps, car je n’avais pas envie de me faire surprendre en train de me faire baiser et de brouter le minou d’un couple d’inconnus.

Le silence et le calme de Gilles laissaient supposer qu’il était en train de reprendre ses esprits. Je suis resté un peu sur ma faim car si mon partenaire était resté à me défoncer la rondelle encore quelques instants, j’aurais moi aussi fini par jouir. Nous sommes restés encore quelques instants immobiles et silencieux, je vais vous avouer que pendant ce temps j’ai quand même continué à me délecter de la cyprine de Geneviève, puis nous nous sommes déboîtés les uns des autres. Tous les trois nous sommes fait une petite beauté, tout cela en prenant soin de nous embrasser les uns des autres. Geneviève m’a restitué mes deux culottes odorantes et goûteuses, comme cadeau, elle m’a aussi offert la sienne qui n’avait rien à envier aux deux premières. Ne sachant plus où les mettre, car vu la quantité, j’avais peur qu’elles tombent ; je les ai enfilées toutes les trois. Gilles s’est débarrassé de son préservatif bien rempli de son sperme et Geneviève lui a tendu un mouchoir pour qu’il se nettoie le sexe et ensuite remonte son pantalon. Maintenant tous les trois étions de nouveau présentables et il n’y avait plus aucune trace de ce que nous venions de faire dans cette impasse.

Geneviève avait un sourire à mon égard qui était vraiment irrésistible, cela m’a fait tout drôle que Gilles veuille échanger des baisers avec moi. Le couple s’est reformé main dans la main, j’étais à leur côté. Nous avons repris la direction de la rue un peu plus fréquentée. Gilles a quand même insisté pour me laisser sa carte de visite, ce couple avait vraiment envie de me revoir. Nous nous sommes quittés sur de gros et longs baisers avant de reprendre chacun notre direction, j’avais une couche supplémentaire de cyprine sur mon visage. Je venais de perdre au moins quarante minutes dans mon timing pour rentrer chez moi, je ne sais pas si Coralie allait me croire, quand je lui raconterai mes aventures.

Ça vous le saurez dans le prochain chapitre, si ce dernier vous a plu. J’adore lire vos commentaires et je prends toujours grand plaisir à y répondre.

Bisous à vous.

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