Le lendemain, jentendis Bénédicte dire par GSM à son amant, que javais mangé les restes, et ils semblaient en rire beaucoup. Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous, mais je sentais que Bénédicte était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Laurent devant moi, avec des allusions à peine voilées. Lorsque vint le week-end suivant, elle mappela dans la chambre, où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de laider à choisir une tenue pour le voir. Le cur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin dil « si cest pour faire la pute, autant ne pas le faire à moité ». Je connut lhumiliation, mais aussi le plaisir sulfureux, de me mettre à genoux devant elle pour laider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans laccrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe. Et je me limaginais avec envie dans les bras de son amant.
Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout contrit, lattendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon « pour voir dans quel état jétais » et rigola franchement en voyant mon pénis redressé . « On est loin de ce que je viens de menfiler » me dit-elle, « mais on voit que tu tappliques. Sois heureux, je tai ramené de bon restes, encore tout frais ». Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle navais pas remis sa culotte. « Vient ici, mon gros cocu », dit-elle. Et je magenouillai devant la table et enfuit mon visage entre ses cuisses maigres et musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de son amant. Je néprouvais aucun dégoût, juste lenvie den profiter pleinement. Pendant que je la léchais, elle mexpliqua quil avait joui trois fois en elle, et quils avaient décidé de me faire tout nettoyer, puisque jaimais ça. Elle me dit « tu pourrais dire merci », et éclata de rire. Puis, lidée lui venant tout à coup, elle prit son GSM et composa un numéro, elle dit « je te passe mon cocu, il veut te dire merci ». Je pris le téléphone en tremblant et jentendis une voix très virile et très méprisante me dire « alors lopette, quest ce quon dit, maintenant que je tai baisé ta femme ? ». « Merci ». « Merci qui ? Merci pourquoi ? » « Merci Monsieur, davoir bien baisé ma femme ». Il partit dun grand rire « eh bien, on va bien sentendre alors ! ».
Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Bénédicte pendant quelle reparlait avec son mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation) jentendais mon ex-petite catho utiliser des expressions comme « tu as bien baisé ta salope – jai adoré ta grosse bite bien dure qui me pénétrait tu es mon mâle vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne, etc. ».
Lorsquelle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit « et maintenant, ta petite récompense ». Je croyais quelle allait me permettre de la pénétrer, mais il nen fut rien. Elle se mit debout sur la table, et mordonner de poser mon sexe sur le rebord. Ensuite, elle posait le bout de son escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer. « branle-toi avec ma semelle » me dit-elle. Honteux et confus, jobéis. Sa semelle mécrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusquà ce que je jouisse. Elle rit encore, puis alla se coucher.