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Au bureau avec ma secrétaire – Chapitre 1




Chapitre 2.

Je pensais qu’après la nuit de folie passée avec Diane ma secrétaire, il n’y aurait pas de lendemain… Nous avions baisé comme des fous… elle m’avait même demandé de la sodomiser, chose dont je ne suis pas très friand… et le lendemain, quand elle est arrivée au bureau, il n’y avait aucune trace de notre nuit… Son visage était serein et reposé alors que moi, je me sentais vaseux !

Son comportement au bureau restait très professionnel… on aurait dit que rien ne s’était passé entre nous… mais de temps à autre, lorsqu’elle laissait le parafeur sur le bureau en mon absence, je retrouvais inséré entre deux documents un post-it avec quelques mots : Quand tu veux…’

L’invitation était claire… Elle voulait s’offrir une partie de baise comme celle qui nous avait réunis il y a quelques semaines… mais depuis toujours j’avais, pour habitude de ne pas mélanger les genres… Diane au bureau restait ma secrétaire et cela me suffisait… Pour le reste, je chercherais ailleurs comme je l’avais toujours fait !

Mais il n’y a pas d’habitude qui ne se change…

Nous avions le même âge…

J’étais célibataire, elle était divorcée depuis de nombreuses années… donc libre avec cependant deux grands ados…

J’étais séduit par sa beauté de jeune femme mature aux formes agréables et au sourire permanent…

J’appréciais sa silhouette longiligne et ses cheveux blonds toujours remontés dans un chignon assez strict…

Et c’est souvent qu’elle peuplait les rêves de mes nuits… Je nous revoyais prendre la douche ensemble et la fellation savante dont elle m’avait gratifié avant d’entreprendre une cavalcade sexuelle qui nous avait conduits au milieu de la nuit…

Rien que ces souvenirs m’amenaient à une bandaison que je ne pouvais effacer qu’en retrouvant mes habitudes de jeune adolescent quand je me masturbais en regardant les filles posant dans des magasines…

Un vendredi soir après une semaine de boulot stressante, je faisais quelques achats en prévision d’un week-end sage… Beaucoup de plats préparés, des fruits et des boissons non alcoolisées quand j’ai entendu au détour d’un rayon :

Ce n’est pas avec ça que vous allez faire la fête…

C’était Diane qui faisait également ses achats… et son chariot était bien rempli !

Bof… Faire la fête pour faire la fête, j’ai un peu passé l’âge !

Il n’y a pas d’âge pour s’éclater ! T’aurais pas envie de faire la fête avec moi ? C’était génial l’autre fois…

Elle était passée au tutoiement…

Oui… et je recommencerais volontiers !

Viens chez moi… les garçons sont partis faire la teuf’ comme ils disent chez un copain qui habite à 50 kilomètres… Je dois aller les rechercher dimanche en fin d’après-midi !

OK… Je dépose mes achats chez moi et dis moi à quelle heure je peux venir.

Á mon tour, je la tutoyais…

Dans une heure… ça te va ?

OK… je serai ponctuel… tu me connais… j’ai horreur des gens qui ne sont pas à l’heure !

OK… Deux nuits et une journée entière, je pense que cela suffira pour te vider les couilles !

Elles en ont besoin… j’en ai assez de me branler en pensant à toi !

MERCI… C’est agréable à entendre !

C’est ainsi qu’une heure plus tard, je sonnais à la porte de l’appartement de Diane au dernier étage d’un immeuble récent…

Quelle surprise lorsqu’a ouvert cette porte : Diane m’est apparue vêtue d’un déshabillé de dentelle noire qui tranchait sur sa peau laiteuse de blonde et faisait ressortir ses formes juste un peu généreuses… Une paire de seins de folie et des hanches un peu larges (n’avait-elle pas mis au monde deux enfants ?) et chaussée d’escarpins à hauts talons qui accentuaient la cambrure de son dos (mais ça, je l’ai vu ensuite lorsqu’elle m’a précédé dans sa pièce à vivre).

J’étais passé rapidement chez le traiteur où j’avais acheté quelques friandises et une bouteille de vin d’Alsace qui s’accorderait avec.

Oh… c’est gentil… mais ce n’est pas de cela que j’ai faim !

Et de quoi as-tu faim ?

De ta bite… qui m’a si bien fait jouir l’autre jour !

Humm ! Beau programme ! Jolie tenue… Tu accueilles tous tes amants ainsi ?

NON, grand dieu ! Je l’ai achetée récemment en pensant à toi !

Ça te va bien ! Tu es splendide ! J’ai envie de te croquer tout de suite !

Alors, ne me fais pas attendre plus longtemps… Passons dans ma chambre !

Comme j’avais revêtu une tenue plutôt décontractée faite d’un polo et d’un pantalon léger, Diane n’a pas tardé à me mettre en slip (plutôt réduit) et je me suis débarrassé de mes sandalettes où j’étais nu-pied ! Je bandais déjà à moitié et lorsque j’ai senti le corps de Diane se presser contre le mien, je me suis enflammé et mon sexe est passé au-dessus de l’élastique qui maintenait mon slip.

Oh… tu ne vas pas faire souffrir un aussi beau jouet !

Eh bien… qu’attends-tu pour le libérer ?

Le ton de la plaisanterie allait bien avec l’ambiance coquine qui régnait entre nous… Dix secondes après, Diane m’avait enlevé ce slip gênant ! J’étais entièrement nu face à elle en déshabillé sexy…

Je vais achever de te mettre en forme et après je suis à toi… Tu vas me baiser comme l’autre jour !

Tu ne perds rien pour attendre… Ta tenue hyper-sexy m’excite !

Alors… C’est parfait ! Donne-moi ta sucette !

Diane s’est agenouillée devant moi et après avoir joué manuellement quelques minutes avec ma bite, elle l’a avalée presque entièrement… puis alors que je voulais aller et venir dans cette bouche décidément très accueillante, elle ma dit :

Ne bouge pas… Je vais te sucer comme il faut !

Que dire de plus ? Je me suis laissé faire… Diane faisait aller et venir mon sexe entre ses lèvres et jouait avec mes bourses en faisant rouler les testicules l’un contre l’autre. Elle savait y faire pour faire monter la pression. Mais bientôt, elle a senti que j’allais décharger dans sa bouche. L’un comme l’autre, nous n’en avions pas envie !

Si tu continues, je vais t’inonder le palais !

Non, c’est dans ma chatte que j’ai envie de te sentir… En plus, tu pourras te lâcher librement… J’ai repris la contraception…

Mais c’est génial… Je n’aime guère les petits chapeaux !

Diane s’est allongée langoureusement sur son lit et m’a tendu les bras et ouvert les cuisses… Cette coquine portait un string fendu dont l’ouverture a suivi le mouvement et découvert une chatte béante déjà nimbée de cyprine !

Que faire d’autre devant une telle invitation ?

Y répondre… bien sûr !

Je me suis glissé entre les jambes de Diane et sans plus attendre, j’ai introduit mon sexe dans le sien et nos pubis sont entrés en contact… J’étais logé tout au fond de son antre chaud et humide…

J’étais bien… mais il nous en fallait plus…

J’ai commencé les mouvements alternatifs dans le sexe de Diane, tantôt vivement, tantôt plus lentement quand je sentais que j’étais proche de la jouissance… Diane roulait de ses hanches sous moi et quand j’étais au fond de sa chatte, je la sentais qui massait mon gland avec ses muscles internes… C’était une baiseuse savante et je me posais des questions… Comment son mari avait-il pu la laisser en plan pour se mettre en ménage avec un homme ???

Mais ce n’était pas le moment des questions…

Quand j’ai senti que Diane était sur le point de jouir, je me suis lâché et après quelques allers-retours un peu vifs, j’ai déversé de copieuses rasades de foutre dans sa chatte… faisant jouir ma maîtresse qui s’est exclamée :

Waouh… Depuis combien de temps tu ne t’étais pas vidé les couilles ? Qu’est-ce que tu m’as mis !

Mais bien servir’ une coquine comme toi, c’est un privilège ! Je n’avais plus fait l’amour depuis l’autre jour… juste une ou deux branlettes pour faire tomber la pression !

Merci… ça faisait longtemps que je n’avais pas joui comme cela… C’était encore meilleur que l’autre fois !

Nous avons basculé sur le côté puis après quelques minutes, Diane m’a fait mettre sur le dos et m’a chevauché, emprisonnant ma bite contre son périnée… Elle me dominait, ses cheveux blonds s’étaient défaits et s’écoulaient de part et d’autre de son visage… Elle a ôté le haut de son déshabillé en disant :

Je t’ai vu mater mes seins au bureau… alors les voilà !

Et ses seins me sont apparus, ronds et généreux, un peu tombants, comme j’ai toujours aimé les seins des femmes… La peau laiteuse était parcourue de fine veinule bleuâtre et les tétons s’érigeaient au milieu des aréoles un peu plus foncées…

On ne t’a jamais dit que tu avais une poitrine à faire des cravates de notaire ?

Si… mes copains de la fac’ trouvaient que j’avais une paire de seins de folie !

Ils ont dû en profiter ?

Oui… le seul pour qui cela ne comptait pas était mon con de mari ! Il a été juste bon à me faire deux gosses et après il m’a larguée pour se mettre en ménage avec un minet d’à peine 20 ans !

Et toi ? Qu’as-tu fait ?

Déprime et masturbation… T’es le premier mec avec qui je couche après presque 15 ans de solitude ! J’ai craqué quand je t’ai vu…

Et moi donc… Je n’osais pas mélanger boulot et plaisir jusqu’à notre soirée d’il y a deux mois…

On s’est bien trouvés !

Pendant cette conversation, mon sexe était toujours coincé contre le périnée de Diane qui allait et venait dessus pour faire renaître une bandaison qui était de plus en plus évidente…

Soudain, elle s’est soulevée et saisissant mon sexe dans une main, elle a collé mon gland en face de sa chatte et s’est laissé glisser jusqu’à ce que nos pubis soient à nouveau en contact…

Ses seins dansaient doucement devant mes yeux et lorsque j’ai porté mes mains dessus, j’ai senti leur douceur et la chaleur qui en émanaient !

Viens… Baise-moi encore… Nous avons le temps, mais là, je VEUX te sentir et m’empaler sur ta bite !

Je ne demande pas mieux… mais après… c’est moi qui te baiserai !

Oui… nous avons tout notre temps et je sais comment te faire bander !

Tu crois ?

Oui… j’avais la réputation d’être une bonne pipeuse en plus davoir une paire de seins à faire des cravates de notaire… alors je ne vais pas m’en priver !

OK… je suis partant !

Diane s’est mise à monter et à descendre sur mon sexe planté au fond du sien jusqu’à ce que la jouissance nous emporte pratiquement en même temps et que je déverse au fond de sa chatte d’abondantes giclées de foutre qui se sont mélangées à sa cyprine, abondante également.

Quand nous nous sommes séparés en début d’après-midi du dimanche, Diane m’avait essoré les bourses… mais qu’est-ce que c’était bon de baiser cette jolie femme, qui, comme moi, avait du retard à rattraper côté sexe.

Au bureau, nous conservions une attitude neutre, mais c’est assez souvent que le soir, Diane me rejoignait chez moi pour quelques heures de folie sexuelle.

Je me sentais bien en sa compagnie et pour elle, c’était, m’avait-elle avoué, c’était la même chose… Nous étions sur la même longueur d’onde… et il ne s’agissait plus uniquement de sexe.

Un an plus tard, nous nous mettions en ménage… ses deux garçons m’avaient accueilli comme un grand frère bien que connaissant les liens qui nous unissaient leur mère et moi !

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