Nord torride

Jarrive à Lille.

Je descends du train. Je regarde en direction du hall de la gare, vers le début du quai. Japerçois ma brune. Elle est là, me guettant, mattendant. Elle est toujours aussi charmante, attirante, tentante. Talons hauts, jambes gainées de noir aujourdhui, jupe courte, et, par ce froid milieu daprès-midi, une veste qui dissimule le reste de sa tenue. Une bien jolie femme qui sait se rendre désirable sans fioritures. Avec le retard de ce satané train, elle devait probablement commencer à avoir froid. Je prendrai soin de la réchauffer. A sa vue, je me remémore la première partie de notre voyage qui est devenu un périple sensuel. Je souris alors quune agréable chaleur séveille au creux de mes reins.

Je me dirige tranquillement vers elle. Elle maperçoit et me sourit. Elle semble soulagée de me voir. Je continue davancer en lui souriant. Elle veut se montrer tranquille mais je peux percevoir limpatience dans son regard, dans son attitude. Je sens quelle réfrène son envie de se précipiter à ma rencontre. Je suis tout aussi impatient quelle mais je fais tout pour essayer de paraitre maitre de moi-même. En mapprochant delle, je la fixe droit dans les yeux et je la sens troublée par mon calme apparent. Elle semble presque inquiète.

Arrivé à son niveau, je lâche ma valise, et, prenant sa main, je lattire à moi. Elle sourit, visiblement décontractée, rassurée. Je lembrasse tendrement sur la joue. Elle attrape mon bras et me retient contre elle. Sa bouche rejoint la mienne et nous échangeons un doux baiser sensuel. Je la sens se détendre totalement.

Après ce baiser de retrouvailles, je lui dis :

« – Bonjour ! Comment vas-tu ? Tu es toujours aussi charmante, tu sais ? Et attirante. Je suis heureux de te retrouver et désolé du retard de mon train. Tu nas pas eu froid jespère ? »

« – Bonjour ! Je vais bien. Et toi ? Merci pour le compliment. Jai eu un peu froid mais je sais que cela va passer. Ton arrivée me réchauffe déjà. Je suis aussi heureuse de te revoir. »

Elle me regarde avec un sourire malicieux et me dit : « – Tu nes pas mal non plus ! »

Je reprends la poignée de ma valise et, passant mon bras gauche à sa taille, je la guide et nous commençons à marcher vers le hall de la gare. Elle se laisse entrainer et pose sa tête sur mon épaule en marchant. Nous reprenons notre conversation.

« – Je nai guère eu le temps de prendre un vrai repas avant de quitter Bruxelles et jai un petit creux. Je te propose de nous arrêter sur le chemin de lhôtel. Jai repéré une brasserie qui semble accueillante. Nous y apprécierons une douceur avec une boisson chaude. »

Elle proteste un peu : « – Rentrons directement à lhôtel. Jai envie de tes douceurs, de nos gourmandises. »

Je lui réponds avec un brin de fermeté : « – Non ! Prenons un peu de temps pour prendre des forces et cela nous permettra de profiter lun de lautre bien mieux encore. Ne précipitons pas nos retrouvailles. »

Elle se range à mon avis en ajoutant : « – Cest toi qui décide ! »

Je lui souris et embrasse son front.

Nous continuons notre chemin et sortons de la gare. Sur le trajet, je lui montre la brasserie que jévoquais et ly conduis. Cest effectivement un endroit agréable, chaleureux et accueillant. Cest une grande salle entourée de boxes équipés de tables et de banquettes et, au milieu de la pièce, de nombreuses tables devant un grand et vénérable comptoir dépoque. Elle est décorée avec un goût certain tout en respectant le charme des anciennes tavernes. Je choisis une table située dans un angle. Il ny a pas beaucoup de clients et, ainsi installés, nous pourrons profiter dune relative intimité et rester collés lun à lautre. Nous navons, de toute façon, pas envie de nous séparer déjà. Elle est assise contre moi, mon bras gauche passé autour de sa taille. Nous nous embrassons avec tendresse et fougue en même temps, perdus dans le tourbillon des sensations qui nous entrainent. Le serveur vient prendre notre commande en nous regardant avec un sourire amusé. Nous passons notre commande et le serveur nous laisse. Je serre ma belle contre moi et pose ma main droite sur sa cuisse. Elle pose sa tête sur mon épaule puis membrasse dans le cou. Doucement, je caresse sa cuisse, promenant ma main sur le doux nylon de son bas. Elle soupire. Ma main glisse, se laisse aller, atteint la jarretière et découvre lattache dun porte-jarretelles. Je me tourne vers son oreille et lui murmure quelle a décidément très bon goût et quelle est plus tentatrice que jamais. Elle me murmure un merci et pose sa main sur mon bras. Profitant de notre isolement, je poursuis mon exploration le long de sa jambe et atteint le haut de sa cuisse. Elle tente de retenir mon bras en vain. Je touche du doigt la dentelle de sa culotte. Elle serre mon bras. Nous nous regardons et lentement je retire ma main en lui souriant.

Je me penche à son oreille et je lui dis : « – Tu es attirante en diable ! Tu es merveilleusement habillée, apprêtée. »

Je me recule, la fixe droit dans les yeux et lui demande comme un défi :

« – Fais-moi plaisir belle dame, va retirer ta culotte aux toilettes pour me la rapporter. Comme un cadeau, une offrande. »

Elle semble choquée par ma demande. Je lis le doute et le trouble dans son regard. Elle sapprête à dire quelque chose et je larrête en posant mon doigt sur ses lèvres. Mon regard se veut rassurant et je lui offre un sourire bienveillant.

« – Cest une façon de toffrir un peu plus à moi encore. Je ne souhaite pas texhiber. Et nous serons seuls à le savoir. Lenvie, le désir, le besoin, nen seront que plus forts. »

Elle me regarde et je vois quelle sabandonne, quelle accepte.

A ce moment, le serveur apporte notre commande et elle lui demande où se trouve les toilettes. Je lobserve séloignant, captivé par le mouvement de ses hanches qui se balancent, et contemplant ses mollets gracieusement galbés par les talons hauts de ses escarpins. Un régal. Je constate que dautres hommes la suivent du regard alors quelle traverse la salle. Je patiente quelques minutes, jouant avec la cuillère de mon café. Elle apparait enfin, délicieuse apparition, qui avance résolue, une main glissée dans la poche de sa jupe avec beaucoup de classe. Je maperçois que cette attitude lui permet de masquer quelque peu son trouble. Je peux malgré tout apercevoir le rose à ses joues et presque sentir les frissons, la chair de poule qui la gagne. Elle soffre à moi, se fait mienne, et cela nappartient quà nous. Aucun spectateur nest dans la confidence.

Elle se rassoit à mon côté, et, retirant sa main de la poche, la pose sur mes jambes en me disant plutôt froidement : « – Voilà ! Cest fait ! »

Je pose délicatement ma main sur la sienne. Je la regarde et je lui réponds : « – Du calme ! Je te lai dit, je ne veux pas texhiber ou tavilir. Je tai demandé ceci comme un cadeau, une marque dabandon. Et je suis touché que tu laies fait. Alors, détends-toi et souris-moi. »

Elle sourit enfin et jouvre sa main pour prendre mon présent que je fais disparaitre dans ma poche.

« – Pardonne-moi ma réaction. Cest si inattendu pour moi. »

« – Il ny a pas de mal. Je souhaitais te surprendre et te faire découvrir de nouveaux émois, de nouvelles sensations. »

Je la serre contre moi et lembrasse avec fougue. Elle se laisse aller et réponds à mon baiser avec passion.

« – Savourons nos pâtisseries ma jolie dame et nous rejoindrons ton hôtel. Ton séjour sest bien passé ? Tu as pu voir tes amis et visiter la ville ? »

« – Oui, tout sest bien déroulé, je te remercie. Et toi, tes réunions se sont bien passées ? »

« – Oui, même si elles étaient parfois ennuyeuses. Cétait loccasion de retrouver des collègues des quatre coins de lEurope et ce fut lopportunité davoir des échanges intéressants. Rien de particulier en définitive. Il me tardait que cela prenne fin et de pouvoir te retrouver. »

« – Je me languissais également de nos retrouvailles. Et cela me troublait. Profondément. »

Je lui souris. Et tendrement, je caresse sa jambe. De ma main libre, je déguste mon dessert. Ma brune termine sa part de tarte. Nous terminons nos cafés et je fais signe au serveur de nous apporter laddition. Il arrive rapidement en nous regardant avec un sourire complice. Je règle, et, dès le départ du serveur je me lève et aide ma charmante compagne à passer sa veste. Je prends sa main et, après avoir attrapé ma valise nous nous dirigeons vers la sortie de la brasserie. Nous prenons le chemin de lhôtel serrés lun contre lautre. Arrêtés à un passage piéton je la sens frémir contre moi. Je lobserve avec malice.

« – Tu as froid ? Tu trembles. Un courant dair coquin ? »

Elle rougit délicieusement et me réponds :

« – Cest cela. Une sensation incroyable. Un souffle frais sur mes lèvres qui allume un feu au creux de mon ventre, qui me consume. »

« – Cest agréable ? »

« – Déroutant, troublant. Et oui, très agréable. » Son regard brille dune lueur enchanteresse.

« – Jen suis ravi. Vraiment ! »

Nous traversons la rue, serrés aussi près que nous le pouvons. Nous arrivons enfin à lhôtel. Elle récupère sa clé à la réception et nous nous dirigeons vers lascenseur. Nous entrons, la porte se referme et la cabine commence à monter. Jappuie sur le bouton darrêt de lascenseur qui stoppe entre deux étages. Ma compagne me regarde étonnée. Je la plaque contre le miroir de la cabine. Elle tente de dire quelque chose mais je len empêche en posant ma bouche sur la sienne. Nos bouches se soudent, nos langues se mêlent, sentremêlent, semmêlent. Je pose ma main sur sa hanche puis la dirige vers le bas de la jupe. Arrivée là, ma main se glisse sous sa jupe, remonte le long de ses cuisses, se glisse entre ses cuisses puis vient se plaquer sur son sexe. Je le caresse légèrement, savourant la douce chaleur, la brulure de son intimité. Je me retiens, me maitrise. Elle gémit, me demande de la prendre, suppliante. Je lui demande dêtre patiente et je redémarre lascenseur. Je retire ma main et rajuste sa jupe. Elle pousse un soupir déçu.

« – Sois patiente ma douce ! »

Nous voilà devant la porte de la chambre. Elle louvre et jentre derrière elle. Je ferme la porte et la verrouille. Alors quelle avance dans la chambre, je pose ma valise, retire ma veste me déchausse complètement, puis la rejoins. Je laide à retirer sa veste et avant daller la suspendre dans lentrée je lui demande de ne pas bouger et dattendre là. Jaccroche la veste. Je prends mon sac à dos, louvre et en sort une cravate et un masque que je glisse dans une poche. Elle est immobile, face à la fenêtre aux rideaux fermés. Je reviens vers elle, derrière elle. Je me plaque contre elle et embrasse sa nuque. Elle bascule la tête en arrière. Je la tourne face à moi. Jattrape ses poignets, et plante mon regard dans le sien. Elle semble surprise, indécise.

« – Tu es charmante ! Terriblement tentante, attirante. »

Jattrape ses poignets dune main et de lautre je sors la cravate et entreprends de lui lier les mains. Elle reste immobile, interloquée, paralysée par la surprise. Ses mains attachées, je la serre contre moi, embrasse ses joues, ses yeux quelle ferme, sabandonnant à mes attouchements. Elle se laisse faire. Elle me laisse faire. Je la pousse contre la table doucement puis je me recule. Je lobserve avec délectation. Je lui souris et elle me sourit, visiblement intimidée. De la poche de mon pantalon je sors la boule de dentelle quelle ma remise à la brasserie. Je la déplie, la déploie, et lobserve en la félicitant pour son choix. Elle rougit. Je mapproche delle et lui dis :

« – Je me ferai un plaisir de la remettre en place plus tard et je me régalerai de voir tes hanches, tes courbes soulignées par ce délicat tissu. Un tableau de maitre ! »

Jattrape ses mains liées en mapprochant delle. Elle me regarde comme une biche aux abois. Elle reste silencieuse, sinterrogeant apparemment mais sans aucune inquiétude, plutôt de la curiosité. Je sors le masque et le place sur ses yeux. Elle pousse un « mais » étonné et je lui explique quainsi, elle pourra mieux sabandonner aux autres sens. Je la retourne face à la table et la courbe pour poser ses jolies mains sur le plateau. Je passe ma main sur son dos, doucement, et la descends vers son fessier. Je lui donne une petite tape qui la fait sursauter de surprise. Avec délicatesse, tendresse, je retrousse sa jupe sur sa taille. Son joli cul mapparait, encadré par les bas, le porte-jarretelles et la jupe relevée. Ma main se pose sur la douce peau de ces mignonnes fesses et les effleure, les caresse. Elle frémit, soupire, mais ne dit pas un mot, attentive à mes gestes. Tout à coup, je claque ses fesses avec une force mesurée. Elle se cambre et gémit. Je reprends ma caresse puis, à nouveau assène une claque sur ses rondeurs offertes. Elle saccroche à la table en se penchant en avant, offrant ainsi un peu plus ses fesses à ma main qui sabat encore, avec à peine un peu plus de force. Je ne souhaite pas lui faire mal. Elle me demande dans un souffle:

« – Pourquoi ? »

« – Tu ne mas pas fait confiance immédiatement à la brasserie. Tu mérites une légère correction. Non ? »

« – Oui Maitre »

« – Ne mappelle pas Maitre. Monsieur suffira. Tu nes pas mon esclave. Tu es tout autant Maitresse de nos jeux. Ils ne sont que lexpression de nos désirs et du souhait doffrir des plaisirs à lautre, comprends-tu ? Des jeux sensuels et coquins dont le but est simplement un plaisir partagé. »

Et je reprends une lente fessée mesurée de la belle qui se courbe sur la table. Je la caresse, descends ma main le long du sillon de ses fesses, continue mon exploration pour atteindre son entrejambe que je découvre brulant et inondé. Je caresse son sexe du bout des doigts et mattarde sur son clitoris érigé. Le souffle court elle gémit doucement. Son ventre mattire et jy glisse deux doigts avec douceur.

« – Prends-moi je ten prie ! »

Je retire mes doigts luisants de son désir et reprends la fessée.

« – Je déciderai quand ce sera le moment ma belle ! »

Sous les claques, elle gémit, secoue la tête, mais ce nest pas la douleur qui la torture. Je peux la sentir vibrer, se consumer de désir. Je joue avec elle pour faire monter au creux de son ventre, au creux de ses reins, la vague du plaisir que je libérerai plus tard. Mon excitation elle aussi gonfle et je ne pourrai pas continuer ce jeu bien longtemps. Je veux sentir son ventre autour de moi.

Je la redresse et la retourne, fesses contre la table. Je passe ses mains attachées par-dessus ma tête et elles se posent sur mes épaules. Elle saccroche et tente de mattirer à elle. Je me laisse faire et nous nous réunissons dans un baiser enfiévré. Je la soulève et pose ses fesses sur la table, au bord de la table. Je la lâche. Elle se retient. Je relève légèrement ses cuisses. Je me recule, défais mon pantalon, baisse mon slip. Je sors mon pénis tendu et palpitant et, mapprochant delle, je le pose à lentrée de son sexe et je joue à le caresser avec mon gland. Elle mattire vers elle. Je sens son impatience, son envie, son besoin de me recevoir. Bouillant de la même impatience quelle, je mavance lentement, guidant mon sexe dune main et je la pénètre en douceur. Elle se détend, souffle et maccueille au fond delle. Ses jambes se referment sur mes hanches. Dun coup de reins je suis entièrement en elle et nous restons immobiles ainsi quelques instants, savourant cette étreinte tant attendue, désirée. Elle commence à onduler et je maccorde à son rythme. Mes hanches, mes reins saniment et accélérant petit à petit je vais et je viens au fond de son ventre. Nos souffles raccourcissent à lunisson. La tension sexuelle, les désirs accumulés depuis la gare nous entrainent et nous nous étreignons avec vigueur quand la déferlante de lorgasme nous submergent telle une lame de fond. Accrochés lun à lautre nous reprenons notre souffle, silencieux, profitant des étincelles de plaisir qui parcourent encore nos corps. Nous sommes apaisés enfin, mais pas rassasiés. Je lembrasse avec tendresse, et, lentement, je me retire. Je réajuste un peu mes vêtements puis jattrape ses jambes, passe un bras derrière son dos et la soulève. Ses mains toujours liées et posés sur mes épaules je la porte jusquau lit et la dépose délicatement. Je prends un malin plaisir à la contempler ainsi, habillée, jupe retroussée, prisonnière offerte terriblement sexy et attirante.

Je retire mon pull et commence à déboutonner ma chemise. Elle comprend ce que je fais et murmure, suppliante :

« – Non ! Un instant ! Laissez-moi faire Monsieur ! Détachez-moi sil vous plait ! »

En la regardant avec un sourire satisfait jarrête mon geste.

« – Très bien ! Excellente idée ma Belle ! Mais tu vas te déshabiller dabord, et moi, je profiterai de ce spectacle. »

Je fais le tour du lit et entreprends de détacher ses mains. Je laide à se relever, lui retire le masque, puis vais masseoir dans le fauteuil. Je minstalle confortablement et je la regarde entamer son effeuillage. Elle agit lentement, avec beaucoup de sensualité. Elle veut me plaire, me satisfaire. Elle commence par retirer son chemisier faisant apparaitre sa poitrine joliment soulignée de la même dentelle fine que sa culotte, se débarrasse de sa jupe et vient devant moi pour dégrafer son soutien-gorge. Elle est divinement attirante avec ses escarpins, le porte-jarretelles et les bas pour seuls ornements. Elle se place derrière moi, pose ses mains sur mes épaules et se penche pour caresser mes épaules et commencer à déboutonner ma chemise. Ses seins effleurent mes cheveux et je bascule la tête en arrière avant de la tourner pour saisir un téton avec ma bouche et men amuser délicatement. Cela la fait rire un peu. Ma chemise ouverte, elle vient face à moi, me tend la main et maide à me relever. Elle retire ma chemise et vient se coller à moi. Ses seins aux tétons dressés sécrasent sur ma poitrine et elle joue avec la toison de mon torse, se caressant. En même temps, tout en membrassant dans le cou, elle ouvre mon pantalon et le laisse tomber sur mes chevilles. Ses mains agrippent mes hanches et elle descend sa bouche sur ma poitrine, couvrant ma peau de doux baisers. Du bout des lèvres elle joue à son tour avec mes tétons, les agaçant. Je la laisse faire. Je suis aux anges. Elle poursuit son parcours et se retrouve à genou devant moi, tête posée sur mon ventre. Habilement, elle descend mon slip et le retire. Elle embrasse mon ventre et entame une lente exploration du bout des lèvres dirigeant sa bouche toujours plus bas. Mes mains, qui étaient posées sur ses épaules, caressent maintenant ses cheveux. Je ne cherche pas à la guider. Je la laisse faire et trouver son chemin. Sa bouche a atteint mon sexe, et saccrochant à mes hanches elle joue avec mon membre tendu, lembrasant, le léchant. Jen frissonne. Elle sattarde sur le gland puis, doucement, le prends en bouche. Elle le suce, le tête avec délicatesse et une certaine gourmandise. Je la regarde et elle lève les yeux vers moi. Elle me fixe et me gobe lentement. Regard planté dans le mien sa bouche va et vient sur moi. Sa langue, ses joues sactivent me faisant vibrer. Un délice de sensations.

Elle me relâche, couvrant mon sexe mon pubis de baisers, puis se relève. Elle prend mes mains et me guide vers le lit où elle me fait allonger. Elle me rejoint, sallonge à mon côté et me couvre de caresses délicates. Je me tourne sur le côté pour lui faire face. Nos visages se rapprochent et nos bouches se retrouvent. Je la caresse, joue avec sa poitrine ses tétons, son ventre. Jexplore son intimité et joue avec sa perle de chair sensible. Elle gémit et attrape mon sexe commençant un lent mouvement de va et vient. Mon pénis est et palpite. Elle membrasse avec passion et me repousse sur le dos. Je le laisse me guider. Elle se redresse, menjambe et plaque ses mains sur mes épaules. Dun lent mouvement de bassin elle caresse mon sexe avec le sien. Elle me caresse, elle se caresse, elle nous caresse. Elle se soulève légèrement et me guide à lentrée de son vagin. Elle attend un instant malgré notre impatience et sempale lentement en fermant les yeux. Le feu de son ventre qui maccueille me fait me tendre et je pose mes mains sur ses hanches. Elle commence à onduler et je la laisse me chevaucher, amazone sensuelle. Je lobserve, caresse son ventre ses hanches, ses seins, attentif à ses réactions. Elle se cambre, se tend, accélère, ralentit. Son ventre se contracte autour de moi, maspire, me masse. Son souffle se change en gémissements. Elle ouvre les yeux et me regarde. Je vois dans son regard la lumière du plaisir qui arrive et qui lillumine. Je saisis ses hanches fermement et jaccompagne les mouvements de son bassin afin de laider à atteindre son but. Je me cambre pour que mon ventre puisse mieux caresser son clitoris. Elle simmobilise soudain et se cambre, tête basculée en arrière. Je lagrippe plus fermement et la force à bouger sur moi en faisant onduler mon bassin également. Elle attrape mes poignets et les serre, poussant un cri de plaisir, tremblant de tout son corps. Lorgasme a été violent et dévastateur. Je sens le volcan de son ventre secoué par le séisme de on plaisir. Elle sécroule sur moi, et, la tête posée au creux de mon cou, tente de retrouver son souffle.

Je lui accorde un moment de répit. Puis jattrape ses fesses pour les soulever un peu et décoller nos ventres. Je débute un lent mouvement de va et vient décollant mes reins du lit. Elle se redresse interrogative. Je reste silencieux. Jaccélère le rythme de mes coups de reins et empoigne ses hanches pour lempêcher de sécarter et donner plus de force à mes gestes. Elle pose ses mains sur ma poitrine. Elles souvrent et se ferment convulsivement. Son regard est perdu dans le tourbillon de ses sens. Je donne encore quelques puissants coups de reins en guidant son ventre à ma rencontre et elle se redresse, griffant mon torse, et poussant un long feulement de jouissance. En même temps quelle, je jouis à mon tour guidé par son plaisir. Elle pose ses mains sur les miennes pour les écarter et se laisse tomber sur le lit à côté de moi.

Tendrement, je me colle à elle et prends sa tête au creux de mon épaule.

« – Repose-toi ! Et savoure ! »

Dans un souffle elle murmure :

« – Merci ! Comment ? »

Je pose ma bouche sur la sienne pour couper court et la serre contre moi. Nous nous enlaçons ainsi et doucement nous nous assoupissons.

Nous nous réveillons ensemble. La nuit est en train de tomber. Je me tourne vers elle.

« – Ça va ? Tu es reposée ? Que dirais-tu daller nous restaurer un peu ? »

« – Je me sens trop bien. Détendue et reposée. Cest une bonne idée. Je te laisse choisir lendroit. »

Je me lève et rassemble mes vêtements. Je récupère sa culotte et reviens vers le lit où elle sétire comme une chatte. Je mapproche, et, avec délicatesse lui remets sa culotte.

« – Rhabillons-nous ! Nous prendrons une douche en rentrant. Pour le moment, je veux conserver ton parfum, ton toucher. »

Nous nous rhabillons tranquillement et nous sortons. Je demande au réceptionniste sil connait un restaurant à nous conseiller. Il en cite plusieurs et je porte mon choix sur un restaurant indien. Une occasion de voyager par les papilles dans le monde sensuel des maharadjas. Après tout, notre voyage est devenu un voyage des sens. Autant continuer.

Le restaurant savère très agréable et son ambiance et sa décoration nous maintiennent dans une atmosphère de sensualité. Nous commandons un repas léger et le dégustons en nous faisant goûter nos plats. Nous parlons de nous, de nos vies. Nous prenons enfin le temps de nous connaitre, de nous découvrir. Le tourbillon du désir ne nous lavait pas permis jusqualors Nous sommes originaires de la même région et nous nhabitons pas très loin lun de lautre. Nous parlons de nous revoir, sans promesse aucune mais certains que nous uvrerons pour cela. Nous voulons profiter à nouveau de ces moments enchantés. La discussion est détendue. Nous nous sentons bien. Tout simplement. De petits attouchements, des regards, des sourires, raniment les braises du désir qui couve au fond de nous. Ce dîner y participe aussi. Nous décidons de rentrer à lhôtel. Nous voulons profiter de notre nuit.

Arrivés dans la chambre, nous nous déshabillons mutuellement et je lentraine dans la salle de bain. Leau chaude de la douche nous caresse. Nous nous savonnons mutuellement utilisant nos mains, nos corps. Nous profitons de cet instant, prélude à une nuit qui sera à nouveau torride et intense. Et demain, je reprendrai ma route avec la certitude que nos jeux continueront ailleurs, aussi souvent que possible. Nous nen avons pas parlé car ce nétait pas nécessaire. Nous savons

Related posts

Karine – Chapitre 30

historiesexe

Patrice et Julien – Chapitre 1

historiesexe

Ma femme est une salope, mais pas que… – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .