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La jeune Léa L. : transformée en objet sexuel pour hommes – Chapitre 2




Léa resta un long moment à genoux, immobile. Tout se bousculait dans sa tête. Elle qui menait une petite vie tranquille et sans histoire, venait d’offrir une fellation à un homme qu’elle ne connaissait pas et avait été couverte par sa semence. Pire, elle s’était laissé faire prendre en photo par ce type qui pouvait en faire ce qu’il voulait … Il lui avait promis de la garder pour lui, mais si jamais il ne tenait pas sa promesse, qu’allait-elle devenir ?

Elle se décida finalement à se lever, péniblement. Elle s’essuya tant bien que mal le visage, l’odeur du sperme lui donnait mal à la tête. A peine eut-elle fini qu’une de ses jeunes collègues, Lauane, arriva au niveau de la cabine.

Hé tu es au courant ? Apparemment, on a un nouveau directeur de région ! Je l’ai vu, il a l’air super craquant ! Qu’est-ce que tu en penses toi ?

Je … je ne sais pas … je ne l’ai pas vraiment regardé.

Il a dit qu’il reviendrait bientôt, tu verras, tu vas tomber sous le charme. Sinon, tu as bientôt fini, on pourrait aller boire un verre avec Marie ?

Non, désolé je suis fatiguée … je vais rentrer chez moi ce soir.

Bon d’accord, à demain !

Léa se retrouva de nouveau seule. Elle avait en vie de pleurer. Elle avait eu de la chance de ne pas se faire repérer par Lauane ou sa chef. Elle n’avait qu’une envie, se réfugier chez elle. Mais Mme Traisse ne la laisserait jamais partir sans qu’elle ait terminé la tâche qu’elle lui avait confiée. Elle s’empressa donc de terminer de ranger les cabines.

Son travail accompli, elle se dépêcha de partir, mais fut retenue par sa chef.

Alors Léa, apparemment tu as fait bonne impression à M. Brake ?

Hein ? Heu, je ne sais pas …

Il m’a dit que tu avais été très gentille avec lui et qu’il avait hâte de te revoir. Tu as de la chance !

Pourquoi vous dites cela ?

Parce que j’avais l’intention de te virer à la fin de la semaine. Heureusement pour toi, il a demandé à ce que tu restes parmi nous.

Léa était un peu chamboulée. Apprendre qu’elle allait se faire licencier, mais qu’elle ne devait son salut qu’à l’homme qui avait abusé d’elle fit naître en elle un sentiment étrange, entre la honte et le soulagement. Cher payé pour garder son travail cependant, pensa-t-elle.

D’accord, je le remercierai la prochaine fois que je le verrai.

Tu as intérêt. J’espère que tu feras tout ce qu’il te dira de faire. Car dans le cas contraire, il m’autorisera à te renvoyer. Tu peux partir maintenant.

La jeune fille acquiesça sans un mot, un peu apeurée par cette menace, et fila sans demander son reste. Trop de choses venaient de se passer en peu de temps. Elle traversa les rues en un instant, en bousculant deux ou trois personnes âgées sur sa route. Puis sur la route, elle grilla un feu rouge et dépassa largement les limitations de vitesse. A peine arrivée chez elle, elle fonça directement dans sous sa douche et laissa couler l’eau brûlante sur elle, encore tout habillée.

Son esprit lâcha, ses jambes ne la portaient plus. Elle se laissa tomber, en sanglotant de toutes ses larmes.

—————————————————–

Une semaine passa. Léa s’était finalement plus ou moins remise de cet incident, même si elle se réveillait de temps à autre en pleine nuit, haletante et en sueur. Et un peu mouillée.

Se rendre à son travail était devenu une vraie plaie. A chaque fois qu’un client entrait dans le magasin, elle sursautait en pensant qu’il s’agissait de M. Brake. Et dès qu’elle regardait les cabines d’essayage, elle ne pouvait s’empêcher de songer à ce qui s’était passé dans l’une d’elle. Elle était souvent distraite, ainsi la qualité de son travail s’était amoindrie. Erreurs que Mme Traisse n’oubliait jamais de souligner.

Alors que Léa se commençait à nourrir l’espoir que M. Brake ne revienne plus dans sa vie, elle le vit apparaître devant elle le vendredi après-midi. Il la fixait de l’autre côté de la porte en verre, avec un grand sourire, comme s’il n’avait pas vu une vieille amie depuis une éternité.

La jeune fille eut l’air un peu apeurée, mais se força à répondre à son sourire, il était tout de même son supérieur. C’est à ce moment-là qu’il se décida à entrer.

Bonjour, Léa, c’est un plaisir de te revoir.

Bon … Bonjour …

C’est "Bonjour M. Brake" railla sa patronne d’une voix sèche, ce qui fit sursauter Léa.

En se retournant, elle vit Mme Traisse avec un regard désapprobateur, mais aussi celui de ses collègues, visiblement toutes sous le charme de M. Brake.

Ce n’est rien May, je suis sûr que Léa n’a pas voulu mal faire, il faudra juste lui apprendre à accueillir les clients.

C’est vrai, d’ailleurs, vous n’aviez pas quelque chose à dire, Léa ?

Si … je … je voulais vous remercier de m’avoir apporté votre soutien … M. Brake.

Allons, allons, ce fut un plaisir, et cela aurait été dommage de se passer d’une fille comme toi. Pour me remercier, j’espère que tu n’as rien de prévu ce soir !

Ce soir ?

Oui, dit-il en s’avançant au milieu du magasin. Comme je suis votre nouveau boss, je voulais inviter cette équipe au restaurant ce soir. Seriez-vous libres mesdemoiselles ?

Si quelques secondes plus tôt, une vague de jalousie avait naquis dans le cur de ses collègues célibataires lorsqu’il avait proposé d’abord à Léa de faire quelque chose ce soir, elles acceptèrent toutes l’invitation dans la seconde, ravies.

Très bien, dans ce cas, vous terminerez toutes à 20h ce soir et vous récupérerez vos heures en fonction plus tard. -Maintenant May, je crois que nous devons malheureusement parler compta …

Oui bien sûr, suivez-moi dans mon bureau, je vous en prie. Continuez votre travail les filles, et surpassez-vous pour que M. Brake soit fier de vous.

Ils s’isolèrent dans l’arrière-boutique, tandis que les filles se réunirent toutes auprès du comptoir.

Vous vous rendez compte de la chance qu’on a ?

Oui ! Ce Monsieur Brake est vraiment galant.

J’avoue que j’ai failli être jalouse de toi Léa, j’ai cru qu’il voulait t’inviter à un rendez-vous en tête à tête.

T’aurais eu trop de bol ! Pas trop déçue ?

En tout cas, on a encore nos chances.

C’est vrai, mais je suis vraiment mal maquillée…

De toute façon, cherche pas, il est à moi !

Léa regarda un peu en recul ses collègues s’extasier à l’idée de dîner avec M. Brake et se disputaient sur le meilleur moyen de le séduire. Si elles savaient …

Après une bonne heure, M. Brake sortit enfin du bureau :

Mesdemoiselles, Mme Traisse m’a parlé de vous, et je pense que vous êtes très douée dans votre travail. Cependant, j’ai besoin de me faire ma propre opinion, qui j’en suis sûr, sera excellente. J’aimerais donc m’entretenir personnellement avec chacune d’entre vous. Commençons par … Lauane si vous voulez bien ?

La désignée jeta un regard rapide à ses collègues, agréablement surprise à être la 1ère. Elle resta une demi-heure dans le bureau de Mme Traisse, en tête à tête avec M. Brake. Elle ne paraissait pas spécialement heureuse, mais elle n’était pas troublée par cet entretien, comme aurait pu le penser Léa. Cependant, elle refusa de révéler le contenu de ce qui s’était dit.

Les employées passèrent toutes une par une, et finalement, il ne resta plus que Léa.

Je crois que tu es la dernière.

Léa hésita. Les autres n’avaient l’air de n’avoir rien à reprocher à M. Brake. Visiblement, rien d’inavouable ne s’était passé. De toute façon, elle n’avait pas le choix. Elle s’avança et suivit M. Brake dans le bureau. Ce dernier prit soin de fermer la porte.

Alors, Léa, comment vas-tu ?

Je vais bien, et vous ?

Depuis que je t’ai vue, tout va pour le mieux. Regarde-toi, tu es très jolie.

Merci … Monsieur.

Allons voyons, on se connaît, tu peux m’appeler Marc lorsque nous sommes tous les deux.

Je ne sais pas, c’est gênant.

Profites-en, tu n’auras peut-être pas l’occasion de m’appeler comme ça souvent.

Que voulez-vous dire ?

Disons que j’aimerais bien que notre relation évolue.

Vous … vous voulez que nous sortions ensemble ?

A sa grande surprise, le dénommé Marc éclata de rire

Ho non, je n’irais pas jusqu’à ce point-là ! Mais de toute façon, tu n’es pas encore prête, comme je t’ai dit, il va falloir que tu t’entraînes.

A quoi ?

A faire ce que je te dis. Tu es soumise de toute façon ?

Non, vous vous trompez.

Ha bon ? Pourtant j’ai en ma possession une vidéo qui dit le contraire …

J’ai dit ça parce que c’est ce que vous vouliez entendre.

… Une vidéo que je pourrais diffuser sur les écrans du magasin, termina Marc sans se laisser perturber.

La jeune fille se tut. Maudite vidéo, elle n’allait lui attirer que des ennuis. Mais bon pas le choix.

Que voulez-vous que je fasse ? Marc ? demanda-t-elle en insistant sur le prénom avec raillerie.

C’est bien, tu deviens obéissante, même si je n’aime pas ton air sarcastique. Mais on verra ça plus tard. Déshabille-toi.

Quoi ?

Tu as très bien entendu.

Tu as peur que je te filme de nouveau ? Tiens, regarde, je vais poser mon téléphone derrière toi, je n’y aurais donc pas accès.

Joignant le geste à la parole, il éteignit son portable et le laissa sur une étagère, hors de portée une fois qu’il se fut rassis.

Léa hésita un instant avant de craquer.

Bon … très bien …

Elle retira sans hésiter son gilet et ses chaussures plates, mais prit plus de temps pour enlever son chemisier et son pantalon.

Soit plus sensuelle voyons … on dirait que tu vas à la piscine là … ordonna Marc.

Elle n’avait jamais fait de strip-tease, et ignorait comment s’y prendre. Elle essaya de copier des chanteuses sur Internet, mais de manière caricaturale, ce qui rendait le résultat un peu ridicule.

Ça ne va pas du tout … encore une chose qu’il faudra améliorer … et regarde-toi … c’est quoi cette tenue ?

En effet, Léa ne portait maintenant plus qu’un simple soutien-gorge blanc avec une culotte rouge.

Tu n’as pas accordé tes couleurs ?

Je ne pensais pas que vous alliez venir … encore moins que vous alliez me demander de me déshabiller.

Tu dois être prête à chaque instant. A partir de maintenant, tu devras accorder tes couleurs. Et par pitié, choisis autre chose, c’est moche ces trucs-là.

Peut-être, mais c’est confortable.

Tu n’es pas là pour être confortable, mais pour être agréable à regarder. Compris ?

Oui …

Oui ?

Oui Marc.

Bon. Maintenant, enlève le haut.

Léa soupira. Était-ce fou d’avoir espéré qu’il s’arrêterait là ?

Elle retira doucement ses bretelles en croisant les bras, puis enleva d’une seule main l’attache derrière elle. De l’autre, elle retenait son soutien-gorge tant bien que mal.

Je suis presque sûr qu’il est inutile. Prouve-moi que j’ai raison.

Doucement, elle obéit, abaissant lentement sa lingerie, dévoilant progressivement sa poitrine dans une tension incroyable.

Malgré elle, elle posa son regard sur l’entrejambe de M. Brake. Elle vit sa verge grossir à vue d’il à travers son pantalon, au fur et à mesure qu’elle lui révélait ses seins.

Deux magnifiques poires, qu’elle savait plutôt grosses, sans être énormes, mais à la parfaite limite, leur permettant de rester bien tendus. Ses tétons pointaient comme des pics rosâtres, comme excités à l’idée de se dévoiler.

Petite coquine, comme je m’en doutais, ça te plaît de te montrer comme ça.

Il se leva et s’approcha de Léa qui baissa le regard. Marc effleura ses pointes du bout des doigts, et une vague de plaisir envahit la jeune fille. Elle avait toujours été sensible des seins, mais elle ne pensait pas que ce simple contact lui ferait une telle sensation. Puis il prit ses deux mamelles à pleines mains et les serrant, à mi-distance entre douleur et tendresse. Décidément, cet homme savait doser ses mouvements et procurer le maximum de plaisir, comme le montra Léa qui prit une profonde inspiration.

T’es vraiment une chienne en chaleur, je n’ai fait que te prendre les seins. En tout cas, ils sont tellement fermes, c’est quasiment à croire que tu te les es fait refaire. J’adore.

Ils sont naturels …

Je sais, qu’est-ce que tu crois ? Pas besoin d’y toucher, tu es très bien comme ça. Maintenant, voyons voir le bas.

Sa main descendit lentement le long du corps de Léa, qui ressentait dans le même temps la douceur et la fermeté à son passage. Lorsqu’elle passa sous son nombril, Léa n’en pouvait plus. Coincée entre la folle envie que cette main atteigne son intimité, mais effrayée à l’idée d’y prendre trop de plaisir. Elle saisit le poignet de Marc, voulant initialement arrêter son mouvement, mais elle finit malgré elle par le guider jusqu’à son clitoris.

Dès le premier effleurement, Léa ferma les yeux et laissa échapper un gémissement.

Retiens-toi … ce n’est que le début. Si tu es déjà mouillée à ce simple contact, tu ne vas vraiment pas tenir.

Je … je ne mouille pas ! protesta vainement la jeune fille.

Ha oui ? Et … ça ! … c’est quoi ?

M. Brake venait brusquement d’enfoncer deux doigts en pleine intimité de Léa. Celle-ci écarquilla les yeux d’un coup, ouvrit la bouche, manquant de crier. Une vague de chaleur déferla sur elle, partant des doigts de Marc.

Une vraie salope … commenta M. Brake en regardant ses doigts qu’il venait se retirer de Léa.

Complètement humide, son index perlait d’une goutte descendant sur sa main. Une goutte de plaisir qui venait du plus profond de Léa.

Tu vois que tu mouilles comme jamais … Bon, même si elle est horrible, tu ne vas quand même pas tremper ta culotte … enlève-la !

La vendeuse resta immobile, l’air suppliant. Elle savait que son patron ne céderait pas, mais elle tentait de repousser l’échéance au maximum.

Ne m’oblige pas à te l’enlever moi-même, ça sera beaucoup moins agréable …

Après une profonde inspiration, elle commença à abaisser son ultime vêtement.

Plus sensuel voyons ! T’es vraiment une cruche …

Léa fit de son mieux pour contenter M. Brake. Elle bougea son bassin du mieux qu’elle put, leva ses jambes pour les rapprocher de son supérieur. Finalement, sa culotte tomba à terre, juste devant l’homme qui lui avait ordonné de se déshabiller.

Il resta un moment immobile, à la contempler, sans dire un mot. Quand il prit la parole, Léa s’attendait à ce qu’il lui ordonne de le déshabiller lui, mais il se contenta de lui proposer de s’asseoir. Surprise, la vendeuse obéit sans discuter.

Bon, franchement, tu es une fille qui a énormément de potentiel. Pour l’instant, disons que tu es à 8 sur 10. Mais tu as un énorme défaut.

Il baissa les yeux en direction de l’entrejambe de la jeune fille.

Oui … quoi ?

On dirait l’Amazonie ici … il va falloir enlever tout ça …

En effet, Léa ne s’était jamais rasée, et une imposante touffe cachait ses parties intimes.

Vous êtes sur ?

Certain. Il y a quelques hommes qui sont attirés par les filles comme cela, mais ils sont très peu. La plupart aimeraient admirer ta vulve.

Mais …

Ne discute pas. Je vais m’en occuper.

Quoi ? Qu’est-ce que … ?

Elle vit Marc se retourner et prendre une tondeuse. Rien d’impressionnant, pas de sabot, il allait sûrement enlever ses poils au ras. Sans un mot, Léa le laissa s’approcher et opérer. Sans être agréables, les vibrations continuaient à entretenir son excitation. M. Brake ne dit pas un mot non plus, se contentant de jeter des coups d’il de temps en temps.

La séance fut finie rapidement, en à peine 3 minutes.

Bon … c’est pas fameux, mais ça ira.

Léa regarda au niveau de son ventre. Si elle ne voyait pas le résultat entre ses jambes, le dessus paraissait presque lisse et beaucoup moins impressionnant. Il devait rester à peine 1 millimètre de poils.

En tout cas, tu as des lèvres magnifiques. Bien rebondies, pas de plis, une vraie invitation à la bite.

La jeune fille ne répondit pas. Elle s’attendait encore au pire.

Ça suffira pour ce soir, mais lundi, je veux que ce soit complètement épilé. Tu iras dans un salon d’esthétisme et tu te feras faire entièrement le maillot.

Mais lundi, je travaille.

Ne t’en fais pas pour ça, c’est moi ton patron, je te rappelle.

Léa opina. Elle se dit qu’au moins, elle avait gagné une matinée.

Bon, comme tu as été sage pendant que je te rasais, je pense que tu as mérité une petite récompense.

Que voulez-vous dire ? Vous n’allez quand même pas coucher avec moi ?

Non, ne t’inquiète pas … ne sois pas trop pressée, jeune excitée.

M. Brake s’avança lentement vers elle, jusqu’à se mettre à ses côtés. Il approcha alors lentement sa main de l’entrejambe de Léa. Caressant ses cuisses, il prit tout son temps, effleurant par intermittence son bouton secret. Pour elle, la tension était à son comble. Le plaisir qu’elle prenait n’avait jamais été aussi fort. Son excitation montait en flèche. Elle savait que son patron faisait exprès de caresser son corps sans rentrer en elle pour qu’elle le supplie de pénétrer son intimité. Elle se promit de ne pas lui faire ce plaisir.

Finalement, elle gagna son pari. Tout en le perdant, dans un sens.

M. Brake finit par plonger ses deux doigts dans son vagin, du plus profondément qu’il put. Léa manqua de tomber de sa chaise, l’excitation en elle devenait trop forte.

Cela dura à peine deux minutes. Marc commença des allers-retours, lents, mais profonds, puis accéléra rapidement la cadence.

Une explosion. Léa n’aurait pas eu d’autres mots pour décrire ce qu’elle venait de vivre. Marc plaça sa main sur la bouche de la jeune fille, l’empêchant de crier de jouissance si fort que le magasin entier aurait entendu. L’orgasme dura longtemps, trop longtemps. Ses jambes se raidirent, son corps entier tremblait. Toutes ses forces l’abandonnèrent. Son tout premier orgasme avait été magique. Magique, mais provoqué par un homme qui l’avait obligé à se dévêtir et lui montrer son corps. Peu importait pour le moment.

Léa s’écroula, tomba de sa chaise, complètement vidée, la respiration haletante. Elle dut reprendre son souffle pendant cinq minutes.

Tu as aimé ? questionna M. Brake.

Oui Monsieur …

Content que tu aies apprécié. Si tu es toujours aussi sage, il y aura d’autres moments comme ceux-ci.

Léa acquiesça. Elle ne voulait pas l’admettre, mais elle rêvait déjà que cet homme lui redonne un orgasme.

Maintenant, lève-toi. Regarde cette robe, je l’ai préparée spécialement pour toi. Comment tu la trouves ?

Elle … elle est très belle, répondit sincèrement Léa, même si elle la trouvait un peu courte.

Enfile-la, je veux que tu la portes pour le repas de ce soir. Rien que cette robe, rien d’autre bien entendu ma petite coquine…

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