Bonjour à toi, ami lecteur, amie lectrice, et en particulier à jexus, qui a un fantasme précis, celui dune partouze incestueuse en famille. Je vais essayer de satisfaire ce fantasme, avec cette histoire, forcément imaginaire. Quoique ?
Je suis Jérémy et jai 18 ans aujourdhui, cest mon anniversaire, mais comme lon est en semaine, la grande fête avec copains et copines aura lieu samedi prochain. Aujourdhui est donc un jour presque normal. Enfin du mois, je le crois.
Je rentre du lycée vers 17 heures, comme dhabitude, je massois devant mon ordinateur, historie de discuter sur les réseaux sociaux et de faire un jeu en ligne. Il y a pas de mal de messages de mes potes, qui me souhaitent un bon anniversaire, certains mont envoyé des photos de femmes à poil, glanées sur le net, ils me connaissent et savent mes goûts : elles ont généralement de belles poitrines aguichantes, le minou rasé. Je ne tarde pas à bander et poursuis mon surf sur des sites plus cochons. Après tout, je suis majeur aujourdhui, jai le droit en réalité, je navais pas attendu ce jour pour mater des pornos, mais chut ! Je sors ma queue de mon boxer et commence doucement à me masturber.
Merde, cest quoi ce bruit qui me sort de mon plaisir solitaire ? Ah oui, linterphone. Je me lève, rentre mon attirail dans mon pantalon et vais ouvrir.
— Oui ?
— Ouvre, cest moi, Mélanie.
Ma sur ! Elle a deux ans de plus que moi et est étudiante à plusieurs centaines de kilomètres et elle ne revient quune fois par mois environ. Que vient-elle faire ici dans la semaine ? Quand jouvre la porte, elle me saute au cou :
— Bon anniversaire, petit frère !
— Merci !
— Je suis venue exprès aujourdhui pour fêter ce grand jour.
Elle entre, nous allons boire un verre ensemble. Je lobserve, quelque chose semble changé en elle, mais quoi ? Elle est davantage maquillée, elle porte des talons hauts et une petite jupe étroite ; cest ça qui la change, elle a plutôt lhabitude de petites baskets et de jeans. Là, elle est plus féminine, son chemisier est décolleté et je peux apercevoir sa poitrine gonflée dans son soutien-gorge. Elle est très sexy ainsi, je navais jamais vu ma sur sous cet angle. Merde, ma queue commence à gonfler dans mon boxer.
— Dis-donc Jérémy, reprend-elle, la majorité te va bien. Je ne sais pas si cest cette nouvelle coupe de cheveux ou bien tes entraînements à la piscine, mais tu es de plus en plus craquant. Je parie que tu fais des ravages auprès des filles.
Et tout en disant cela, elle se rapproche de moi, pose une main sur mon torse et commence à titiller mon téton. Cette fois, ma queue est plus que tendue dans mon boxer. Sa main continue à parcourir mon corps, elle est maintenant passée sous mon tee-shirt. Je ne sais que dire, que faire.
— Euh
— Chut, petit frère, cest mon cadeau danniversaire. Laisse-toi faire.
Elle ôte mon tee-shirt et lèche mon torse, sa langue remonte jusquà ma bouche, elle force le passage de mes lèvres et nous nous embrassons langoureusement. Elle me pousse ainsi jusquà ma chambre, où elle entame un strip-tease. Je comprends mieux sa tenue vestimentaire : le chemisier et la jupe sont retirés, laissant apercevoir un soutien-gorge et un string en dentelle noire. Mélanie se rapproche de moi, défait les boutons de mon pantalon et sort ma queue. Mes 19 centimètres sont dressés devant son visage, elle approche sa bouche, lèche mon gland puis mon sexe sur toute sa longueur, avant de lavaler et de faire de longs va-et-vient. Sa bouche est chaude, et en quelques coups de langue, elle me fait déjà gémir. Ce nest pas le première pipe que je reçois, mais ma sur est en train de me prodiguer la meilleure que jaie jamais connue jusque là ! Quelle experte !
— Mmmmhhhh Mélanie, cest trop bon ! Je vais pas pouvoir me retenir longtemps.
— Non, attends, petit frère !
Elle se relève, défait son string et son soutien-gorge et, alors que je suis toujours allongé sur mon lit, vient presque sasseoir sur mon visage, jai sa chatte, rose, rasée comme je les aime, à quelques centimètres de ma bouche, je nai plus quà tendre la langue pour goûter à son liquide, je mapplique sur son clitoris, elle pousse de petits cris.
Soudain, je sens une chaleur humide autour de ma queue, toujours bandée au maximum. Que se passe-t-il ? Je suis en train de me faire sucer. Mais par qui ? Avec le sexe de Mélanie sur mon visage, je ne vois rien à part le plafond. Et justement, une ombre apparaît sur le plafond, puis un sexe masculin, long et large, déjà tendu, qui sapproche de la bouche de Mélanie. Si je compte bien, nous sommes quatre.
— Bon anniversaire Jérémy !
Merde, ce sont les voix de mes parents ! Je prends conscience de cette situation inattendue : je suis en train de me faire sucer par ma mère, tandis que ma sur suce mon père. Bizarre, mais après tout, profitons ! Ce nest pas tous les jours quon a dix-huit ans !
Ma sur se relève pour laisser ma mère venir me rouler une pelle magnifique. Elle est déjà nue, ses seins, aux larges aréoles, sont encore fermes, je les empoigne et commence à les caresser. Je jette un il du côté de ma sur et de mon père, allongé sur le lit, tête bêche : mon père fourre sa langue dans la chatte de Mélanie, tandis quelle lui fait profiter de son savoir-faire en matière de fellation.
Jai déjà vu dautres queues en érection : avec mes potes dans les vestiaires, on a forcément fait des concours de longueur, ou bien en regardant ensemble des pornos, mais je nen avais jamais vu daussi longues que celle de mon père. Je ne peux détacher mon regard de ce sexe. Mélanie sen est aperçue et abandonne sa pipe pour venir glisser un doigt dans le sexe de ma mère tout en commençant à lui rouler une pelle. Elles sont collées lune à lautre, leurs langues sentremêlent, leurs doigts courent sur leurs minous, pénètrent leurs sexes mouillés par le plaisir, elles crient, elles jouissent presque en même temps. Je suis fasciné par ce spectacle, et je nai pas vu mon père sapprocher de moi, il me prend doucement la main et la pose sur son sexe, il pose un léger bisou sur mes lèvres, puis recommence, attendant que jouvre la bouche pour un assaut plus profond de sa langue. Il na pas à attendre longtemps, je mabandonne à ce plaisir nouveau : embrasser un homme. Je me laisse faire, lorsquil appuie doucement sur ma tête qui se retrouve face à son sexe imposant. Je le lèche dabord, puis essaie de faire tout ce que Mélanie a prodigué à mon sexe tout à lheure : jembrasse le bout de son gland, puis je le gobe doucement et entame des va-et-vient, de plus en plus loin. Sa queue est trop grosse, je ne peux lavaler en entier, mais je lentends gémir, je ne dois pas si mal me débrouiller !
Nous nous installons en carré sur le lit : je suce mon père, qui broute Mélanie, qui broute ma mère, qui me suce. Puis nous changeons de combinaison : je broute Mélanie, qui suce mon père, qui broute ma mère, qui me suce. Nous les avons toutes essayées, et même mon père ma sucé, alors que javais la langue fourrée dans le minou de ma mère. Que defforts jai dû faire pour ne pas jouir tout de suite, je ne veux pas que la magie de ces instants (et mon sexe par la même occasion !) retombe. Mais cen est trop, alors que ma mère sactive sur ma queue, je sens des picotements partir de la base de ma verge et remonter jusquà lexplosion dans la bouche maternelle, ma mère se relève et partage dans une pelle baveuse ma semence avec Mélanie. De son côté, devant ce spectacle, mon père na pu se retenir lui non plus et je sens contre mon palais et sur ma langue de puissants jets dune liqueur à laquelle je navais jamais goûté, cest un peu âcre, très légèrement sucré. Javale tout son nectar, après tout jai le droit de ne pas partager, cest mon anniversaire !
A suivre…