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Mon dépucelage avec la mère de mon copain – Chapitre 4




Je fis mine de ne pas la regarder, poursuivant le visionnage de mon film. Elle se leva, s’agenouilla devant moi et me caressa le sexe au travers de mon short. Elle massait doucement la protubérance de mon short, pendant que je continuais à suivre mon film. Je voulais voir jusqu’où elle irait. Et puis, encore en pleine digestion, je souhaitais me relaxer après nos ébats de la matinée. Elle ne le voyait pas de la même façon que moi. Elle déboutonna mon short et me l’enleva ainsi que mon slip. Je restais donc juste avec mon tee-shirt, le sexe à l’air à suivre ma vidéo. Ses caresses reprirent, et je dois avouer que c’est très agréable de se sentir désiré à ce point. Je restais impassible sans la regarder. Elle me prit en bouche et suça mon gland longuement comme si elle léchait une glace. Je bandais de plus en plus et avais du mal à me concentrer sur mon film. Elle n’arrêta pas tout le long de la vidéo. A la fin, elle se redressa et vint me rouler une pelle. Elle était assise sur ma cuisse nue, son sexe très proche du mien.

Je la caressai de nouveau au travers de son top, massant ses seins, caressant son ventre et son entrejambe. Elle se releva, alla s’asseoir dans le fauteuil en cuir en face de moi. Elle écarta les jambes et passa une cuisse de chaque côté des accoudoirs. Elle m’exposait en pleine lumière sa chatte.

— Allez à toi maintenant !, vient me lécher !

Je me dirigeai vers elle, le sexe pendant, m’agenouilla entre ses jambes et débuta mon travail. Elle rabattit des jambes autour de mes épaules pour bien plaquer ma tête sur son pubis. Je me mis donc à la tâche et pendant de longues minutes j’explorais l’ensemble de son sexe avec ma langue, quand soudain un jet de liquide m’arriva en pleine face.

— Oh ! Excuse-moi dit-elle d’une petite voie à peine navrée.

— Ce n’est pas grave, je suis content de t’avoir fait plaisir, et puis c’est un peu salé ce n’est pas mauvais !

Honnêtement, j’adorais cela. Jaimais le goût de sa jouissance, cela m’excitait encore plus. Mon érection était très importante, j’avais l’impression que j’allais exploser.

— viens en moi, me dit-elle, sinon tu vas tout cracher dehors.

Jétais un peu étonné de son langage cru, pas habituel chez elle. Je la pénétrai donc à nouveau dans cette position et entra comme dans du beurre tellement elle avait joui. Je lembrassai de nouveau, ma bouche encore goûteuse de sa mouille. Jéjaculai en elle assez rapidement.

— Tu es doué, je ne regrette pas mon initiative ! Cela t’a plu ?

— Oui, je n’ai jamais ressenti cela pour une femme

— Ne t’emballe pas, on ne va pas vivre ensemble, je t’aime beaucoup, j’aime faire l’amour avec toi, mais cela n’ira pas plus loin j’ai 24 ans de plus que toi !

Sur ce je partis me laver, et réalisait que j’appréciais cette femme, pour les mêmes raisons.

Le reste de l’après-midi fut plus calme, elle était restée en jupe et top et n’hésitait pas à me frôler avec sa poitrine à chaque fois qu’elle passait à côté de moi. L’heure avançait, il était bientôt 17h40 et son mari devait rentrer d’ici peu.

— Veux-tu rester à dîner ?

— Je ne sais pas, il faut que je prévienne ma mère et puis ton mari ?

— non, en tout bien tout honneur, je te raccompagnerais chez tes grands-parents après

— OK j’appelle ma mère

Celle- ci me donna son accord, ne sachant pas que mon copain n’était pas encore rentré de vacances, je prétextais une invitation de sa part.

Son mari rentra, un peu surpris de me trouver là. Sa femme le rassura immédiatement.

— Je l’ai rencontré en rentrant du travail et lui ai proposé de venir dîner.

— Mais Pierre n’est pas là!

— Cela te dérange ?

— Non, si lui cela lui plait de dîner avec deux vieux !

— De toute manière j’aurais mangé chez mes grands-parents, on se connait bien depuis les vacances les sujets de conversations seront plus agréables qu’avec papy et mamy.

Il s’installa dans son fauteuil et demanda à sa femme un apéro. Elle lui obéit soumise et me demanda si je voulais quelque chose.

— juste de l’eau merci

Nous discutâmes de chose et d’autres jusqu’au dîner. Comme toujours, elle nous avait concocté un repas divin. Elle s’était assise en face de moi et m’envoyait des regards malicieux qui me gênaient un peu vis-à-vis de son mari. Régulièrement elle me faisait du pied sous la table et même n’hésitait pas à me caresser le sexe, à travers mon short, avec son pied nu sous la table, pendant que nous mangions.

A la fin du repas, son mari nous proposa de regarder un film. Nous nous assîmes dans le canapé, elle se mit entre nous. Au bout d’un moment je sentis sa main se faufiler dans ma poche. Son mari était tellement accro au film et la pénombre qui régnait dans la salle fit qui ne vit rien. Je sentais ses ongles gratter le fond de ma poche et je ne voyais pas où elle voulait en venir. Rapidement, elle parvint à découdre une partie du fond de ma poche et pratiqua un trou qu’elle élargit pour pouvoir y passer la main. Je compris alors son manège. Elle glissa sa main à travers du trou glissa sa main sous mon slip et débuta ses caresses de manière discrète. Son mari ne perçut rien. Elle ressortit de ma poche et prit ma main de son côté, se souleva doucement de quelques centimètres du canapé, comme si elle était mal assise et s’assit de nouveau sur ma main. Cette dernière était directement en contact de sa raie des fesses et de son sexe. En bougeant les doigts je pouvais la caresser sans que personne ne voie rien.

Elle réintroduit sa main dans ma poche et nous masturbâmes un long moment sans qu’il ne s’aperçoive du stratagème.

À la fin du film, elle me proposa de me raccompagner. Je remerciai son mari pour cet agréable dîner, et nous quittâmes son appartement.

En bas de l’immeuble, elle m’entraîna dans un bosquet souleva sa jupe.

— Allez, une dernière fois pour aujourd’hui !

— T’es folle on pourrait nous voir !

— Il n’y a personne et il fait nuit, le quartier est calme, n’est pas peur !

Un peu stressé par la situation je mapprochai d’elle. Elle était courbée en avant et me présentait son cul nu sous sa jupe relevée. Je baissai rapidement mon short et la pris par-derrière. Je surveillais en même temps les alentours, l’excitation monta rapidement et jéjaculai en elle une fois de plus en étouffant mon plaisir pour éviter que quelqu’un nous entende.

Elle me raccompagna chez mes grands-parents.

Je la revis plusieurs fois mais rapidement juste une heure à la sortie de son travail, puis les vacances finirent. J’entrais dans une grande école à Paris et allais avoir une chambre de bonne durant ma scolarité. Les premiers mois, j’étais à fond dans le travail, mais cela ne m’empêchait de repenser à nos ébats. Un soir mon téléphone sonne dans ma chambre.

— salut, c’est Christiane

Nous discutâmes quelques instants, puis elle me demanda:

— Tu serais libre demain soir ?

— Oui, pourquoi ?

— Mon mari ne rentre pas demain, il me prétexte une réunion tardive et qu’il restera à l’hôtel après proche de son entreprise. J’ai donc la soirée libre, si tu veux je viens chez toi et je t’invite au resto.

— Oui très bien. Je lui donne mon adresse et l’avertis que c’était au septième étage sans ascenseur. Je la guettais de ma fenêtre de toit car il n’y avait pas de sonnerie et qu’il fallait que je lui ouvre manuellement. L’apercevant sortir du métro, je descendis la chercher. Elle m’embrassa et me suivit jusqu’à ma chambre. Cétait une pièce unique de 12m2 avec un lit une table, un lavabo -évier, pas de douche et WC sur le palier. Elle était en tailleur en raison de son boulot dans la banque avec une jolie chemise en soie très fine qui permettait de distinguer la dentelle de son soutien-gorge.

— Je dois me laver un peu me dit-elle

— Désolé je n’ai que ce lavabo

— Ca va le faire

Elle enleva sa jupe et sa culotte pudeur et sortit de son sac un gant de toilette et gel douche et commença à se laver le cul et le sexe devant moi en me tournant le dos. Jeus tout de suite une érection et continuai à admirer le spectacle. La toilette finie elle me fit face, le haut encore habillé de la veste de tailleur et de sa chemise mais plus rien en bas.

— Allez, ôte ton tee-shirt, comme cela j’ai le haut et toi le bas !!

Elle s’approcha et je me mis à lui faire un cunnilingus, elle debout devant moi assis sur le lit.

Nous fîmes deux fois l’amour de suite avant d’aller au restaurant.

Nous nous revîmes comme cela régulièrement pendant 8ans. Elle vieillissait mais je la trouvais toujours aussi belle et nos rencontres étaient toujours très enflammées.

Je la perdis de vue en commençant à travailler loin de Paris. Je la garde toujours dans ma mémoire, comme mon éducatrice sexuelle, et je crois bien que je l’aimais.

Je ne sais pas ce qu’elle est devenue, aujourd’hui elle aurait 71 ans, mais belle comme elle était, et prenant toujours soin de son corps, je pense qu’elle doit toujours être belle pour son âge. Je me prends encore à rêver d’elle alors que je suis maintenant marié mais peu heureux sur le plan sexe. Ma femme depuis ses enfants me refuse régulièrement, et lorsqu’elle accepte enfin, c’est dans le noir à la missionnaire avec peu de préliminaires que j’affectionne tant. J’espère secrètement retrouver Christiane par hasard veuve et je pense encore très chaude. Je me prends parfois à fantasmer sur mes clientes âgées lorsqu’elles me montrent un peu de leur jolie poitrine au travers d’un décolleté. Jai toujours aimé les femmes plus âgées que moi, et maintenant il me plairait bien d’avoir une expérience avec une femme de ces âges-là.

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