J’avais 17 ans la première fois. Jonathan, mon cousin, avait 1 an de moins que moi.

Nous étions tous les deux chez moi, avachis sur mon lit, en train de jouer à la console. Nous discutions de tout et de rien, rigolions comme deux jeunes le font lorsqu’ils se retrouvent devant leurs jeux vidéos.

Moi, j’étais très grand pour mon âge, 1m80 et je faisais dans les 90 kg, pas très musclé mais plutôt fin vue ma taille. Brun, aux yeux noirs, je suis ce qu’on appel un "brun ténébreux". Jo quand à lui est plutôt petit aux yeux noisette et brun également mais moins foncé. Il est très beau comme garçon et j’avoue que je n’étais pas indifférent à son corps musclé. Je savais déjà depuis pas mal de temps que mes préférence en matière de sexe n’étaient pas vraiment bien définies. Bref nous passions le temps, lui et ses parents étaient venus nous rendre visite et étaient resté dîner, donc pendant qu’ils prenaient le café, nous étions tranquilles dans ma chambre.

Ne sachant plus vraiment quoi faire pour nous occuper, le jeu n’étant pas vraiment passionnant, nous décidâmes de nous lancer dans un " Action ou Vérité ", jeu bien connu de tous les jeunes en mal de sensations nouvelles, car, de mémoire, je n’ai jamais vue personne y jouer sans que cela ne dérape d’une manière ou d’une autre.

Donc nous commençons à jouer avec des questions ou des gages plutôt nunuches pour nous mettre dans le jeu.

— Action ou vérité ? Me demande-t-il.

— Vérité.

— As-tu déjà couché ?

— Oui, plusieurs fois. A mon tour, Action ou vérité ?

— Vérité.

— T’es-tu déjà fais surprendre en train de te branler ?

— Oui, une foie par mon frère. J’ai eu la honte de ma vie ! Toi, action ou vérité ?

— Action ( pour changer un peu, ces questions sur le sexe commençaient à m’aguicher un peu )

— OK, alors euh … Montre moi ta bitte !

— T’es malade ou quoi ? Et si quelqu’un entre je vais avoir l’air malin !

— Mais non t’inquiète, tu me la montre et tu la range et au pire, tu n’a cas fermer la porte à clef !

— Tu fais chier Jo, ça craint comme gage de montrer ma bitte à mon petit cousin !

En réalité, cela me plaisait énormément mais je ne savais pas s’il allait se payer ma tête car je commençait à bander. Je le soupçonnais d’avoir une idée plus poussée en tête donc je fermais la porte à clef afin que nous ne soyons pas dérangés.

— Bon alors rapide hein ! Lui dis-je.

— Ouai vas’y t’inquiète c’est juste le jeu.

Je m’exécutais alors, commençant par déboutonner mon pantalon puis je décidais de le faire languir un peu afin de vérifier mes hypothèses, qui étaient que si moi j’étais exciter, lui l’était encore plus !

Donc je commençais à baisser doucement mon pantalon, que je stoppais au milieu de mes fesses afin de ne pas trop lui en dévoiler. Là, je le laissais apprécier le spectacle de mon sexe en effervescence sous mon boxer. Je le voyais fixer cette bosse, sans la quitter des yeux, jamais, Je le voyais déglutir péniblement à l’idée de voir ce sexe qui n’en finissais plus de gonfler, non pas que je soie monté comme un poney, mais je n’ai pas à me plaindre de ce que mère nature m’a donnée. Alors je décide de l’exciter un peu plus. Je passe une main sur mon sexe en le regardant droit dans les yeux et lui dis:

— Tu veux me lenlever ?

La il ouvre la bouche comme pour répondre puis la referme sans avoir dit un mot, les yeux écarquillez !

— Je Non Oui tes sûr ?

— Oui vas-y.

Il se met à quatre pattes et s’avance lentement de moi, ses yeux ne quittent plus mon sexe, ils brillent d’impatience et de désire. Il saisit alors la bande élastique de mon boxer puis se ravise, ses doigts se hasardent plus bas et son font caresse sur ma verge enflammée. Il prend son temps, il caresse, se délecte du moment puis se décide enfin à aller plus loin. Ses doigts remontent le long de mon membre et se saisissent à nouveau du bout de tissus qu’il descend très lentement jusqu’à libérer mon sexe de sa prison. Il me dévore du regard et j’avoue qu’à ce moment là je suis très excité, je n’en peu plus je veux qu’il me touche, qu’il me caresse, qu’il me suce, je veux lui faire tous ce que je sais faire et découvrir plus encore avec lui, mais il reste là, bouche-bé devant ce que je lui offre. La vue de mon intimité nue le tétanise.

Alors n’y tenant plus, je décide de prendre les devants. Puisqu’il ne semble plus capable de prendre la moindre décision, je me lance. Je m’approche de lui et lui prend la main que je pose doucement sur ma verge puis lui imprime une légère cadence. En même temps nos regards ne se lâchent plus. Nous nous fixons droit dans les yeux sans oser détourner le regard. Je pose mes mains sur son torse en le caresse, le contacte avec son corps, même à travers son t-shirt est électrisant aussi je m’attarde quelque peu sur son ventre et particulièrement son nombril avant de descendre sur ses fesses, fines, rebondies et bien musclée.

Il ne tiens plus, moi non plus, et toujours les yeux dans les yeux, j’entreprends de m’attaquer au bouton de son jean’s qui ne résiste pas longtemps, je voie son ventre se contracter sous le contacte de mes doigts, preuve que le traitement que je lui inflige l’excite au plus haut point. sa braguette ne résiste pas plus longtemps que le bouton et voilà son sexe à ma merci. Il est tendue comme un arc son ce boxer, ci serré, tellement à l’étroit et opprimé dans ce fichu caleçon que je ne peu le laisser souffrir sans lui donner un peu de réconfort. Je pose ma main sur sa verge si dure et commence lentement à la caresser. Je la sent tressauter sous sa camisole qui l’empêche de se donner pleinement à moi, alors je décide d’abréger ses souffrances, je tirs sur le morceau de tissus et libère le sexe tant désiré et torturé. Je le caresse, le dorlote et me cale sur la même cadence que Jo sur mon propre sexe et ,ensemble, nous nous menons a l’orgasme dans une parfaite simultanéité. Nos semences respectives se répandent sur nos corps, lui recevant la mienne et moi la sienne, nous nous étreignons alors, essoufflés mais heureux.

Serrer l’un contre l’autre nous entendîmes ses parents l’appeler car il était temps pour eux de rentrer. Meurtris de nous séparer alors que nos corps venaient à peine de se trouver et apprenaient à faire connaissance, apprenaient ce bonheur indescriptible du sexe, nous avons échangés notre premier baiser. Tendre, langoureux, tellement bon, nos langues se rencontraient pour la toute première foie et ne voulaient plus se quitter.

Il partit.

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La suite très bientôt si vous avez aimé cette première histoire. n’hésitez pas à commenter j’aimerais beaucoup recueillir vos opinions.

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