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Une rencontre insolite – Chapitre 1




Ciel de plomb, chaleur écrasante ! Voici une après-midi qui commence bien. Il est sérieusement temps de penser à dérouiller mes articulations. L’arrêt de bus est sans ombre. Lorsque l’énorme engin ouvre ses portes, la température monte encore de quelques degrés. Les passagers sont accablés, transpirants, inertes. Le lourd véhicule entame son périple cahotant au gré des rues désertes. Au bout de quelques minutes, je n’y tiens plus et décide de changer de direction. À proximité de la gare, je quitte mon autobus bringuebalant pour rejoindre la modernité. Je sais qu’en changeant de ligne je bénéficierai d’un peu de fraîcheur climatisée. J’y souscris et attends paisiblement l’arrivée de ce nouvel élément de confort. A peine monté à bord, je me plonge dans mon journal et consomme goulûment les nouvelles du jour. La fraîcheur me pénètre peu à peu. Je ressens enfin le doux effleurement du coton de mon jean usagé et du léger T-shirt que je porte, tous deux, à même la peau. Mon journal terminé, je laisse vagabonder mon regard sur les autres passagers. L’été a fait son uvre. Les peaux sont découvertes, les décolletés profonds. Peu de traces de sous-vêtements viennent gâcher l’esthétique des fesses masculines et féminines. Grâce à la climatisation, les auréoles de transpiration sont absentes. Ma voisine d’en face a troussé sa robe jusqu’en haut des cuisses pour mieux profiter de la fraîcheur. Celle d’à côté joue des effets de décolletés au point que son anatomie commence à m’être familière. Les nombrils des filles, les épaules des garçons, cuisses et jambes des deux sexes vivent en liberté. Valse appétissante de seins et de fesses.

J’apprécie le confort et la légèreté de mes chaussures de marche et du petit sac à dos qui complètent mon équipement. Mon frais carrosse quitte peu à peu le trop dense centre-ville pour des quartiers plus aérés. Je le laisse à son périple près d’un lycée, au carrefour d’une étroite route qui s’enfonce entre les pavillons vers la campagne. Je suis un instant ma voisine, descendue au même arrêt. Je complète mon examen de dos mais n’arrive pas à me faire une opinion sur ses fesses rondes qui semblent sans protection sous sa mini-jupe. La chaleur m’accable à nouveau jusqu’à ce que j’atteigne l’abri des arbres puis un court tunnel piéton franchissant une rocade. La ville s’éloigne, je traverse plusieurs hameaux espacés pour atteindre un chemin de terre qui s’enfonce entre les champs de blé. Les vestiges d’un bocage permettent de temps à autre quelques courtes stations à l’ombre. Je déboucle ma ceinture pour restreindre la pression de mon jean sur la peau. Ce dernier, transpiration aidant, épouse pleinement les formes de mon corps et s’immisce entre mes fesses. J’aimerais continuer nu mon périple pour profiter de ce petit souffle d’air frais qui se manifeste par instants. Mon esprit bat la campagne autour de ce rapport au corps si présent dans mes promenades solitaires. Le chemin de droite s’enfonce dans la forêt. Je n’hésite pas une seconde à l’emprunter.

Vestiges des pluies torrentielles de l’été, le chemin s’avère de plus en plus défoncé. A un carrefour, je lis avec étonnement une plaque blanche clouée sur un arbre qui prohibe l’utilisation de tout véhicule dans cette zone. Quelques centaines de mètres plus loin, un portail me barre l’accès d’un groupe de trois caravanes harmonieusement disposées sous les frondaisons. Alors que je m’en vais faire demi-tour, un léger froissement de feuilles mortes m’incite à me retourner. Un énorme chien au pelage noir et blanc me contemple avec bonhommie au-delà de la barrière. À quelques mètres derrière lui, une grosse femme au visage poupin, boudinée dans un ensemble de coton noir, m’adresse un salut amical de la main. Alors que je m’arrête, le lourd portail pivote sous la pression de sa main et le grand chien s’approche de moi.

Je lève vers sa maîtresse un regard troublé lorsqu’il commence à flairer de façon insistante les parties les plus intimes de mon anatomie. Il lèche mon cul délicatement puis, progressivement, avec une de plus en plus force, au point que la couture de mon jean pénètre entre mes fesses. Il soumet ensuite ma braguette au même traitement et, sous la caresse, mon sexe se dresse visiblement. Sa maitresse sourit de mon embarras. J’essaie de le repousser sans autre résultat qu’un grognement peu amène. Il enserre ma cuisse entre ses pattes avant et commence à se branler sur ma jambe. Son sexe rose vif frotte en cadence la couture de mon pantalon. Curieusement, je me sens à la fois gêné de m’offrir ainsi en spectacle et excité par son désir. Elle susurre : « laisse-toi faire ». De sa force herculéenne, la bête porte tout son poids sur la pliure du genou et me fait tomber à terre les mains en avant. Un peu étourdi par le choc, je me laisse besogner plus avant. Sa truffe s’engage allégrement dans ma braguette au point de finir de la dégrafer. Entre ses crocs puissants, il saisit le pantalon par la ceinture déboutonnée et le baisse violemment sur mes cuisses, puis mes chevilles dénudant ainsi toute mon intimité. Après m’avoir remonté mon T-shirt sous les aisselles, il s’affaire à lécher avec application toute ma peau disponible. Aucun endroit découvert n’est épargné. Outre mes fesses et mon bas ventre, il s’attarde sur mon visage. Sa longue langue humide finit par forcer le passage de mes lèvres et envahit sans ménagement ma bouche. Lorsqu’il en sort, j’embrasse sa truffe fraiche et l’ourlet de ses babines, comme si je voulais stimuler son désir. Je ressens autant de crainte que d’excitation. La grosse dame s’est assise par terre à côté de nous et profère ce qui me semble être de rassurants encouragements. Au bout d’un moment, le molosse concentre son activité sur mon anus qu’il détrempe à l’extrême. Petit à petit, sa langue me pénètre et m’enflamme. Je sens la douceur d’une paume humaine qui effleure doucement mon phallus érigé.

C’est presque avec soulagement que je reçois le poids du chien sur mon dos. Il oblige ma tête à toucher le sol alors que mes fesses restent érigées sous son ventre. Sa queue durcie heurte mes cuisses et mes fesses à la recherche d’un trou à fourrer. Je me comporte comme une chienne, écarte mes cuisses et baisse mon séant pour en faciliter l’accès. Je tressaille lorsque son sexe entre en moi avec une facilité qui me déconcerte. Il engage un violent mouvement de va-et-vient, alors que son poids creuse mes reins. Ses pattes avant me labourent les flancs sans que j’en ressente la douleur. Sa bave coule en abondance sur ma nuque. Par instants, il mordille mon cou et mes épaules. Son souffle trop rauque est à l’unisson de ma respiration haletante. Je sens la violence de son désir. Mes fesses sont en feu, jamais rassasiées de ce qu’elles subissent. Après quelques minutes de cette étonnante union des deux corps, le mouvement s’accélère. Je suis au bord de l’orgasme lorsque sa queue forme une boule au niveau de mon ampoule anale nous verrouillant fermement l’un à l’autre. Il ne bouge plus tandis que la boule masse en grossissant ma prostate. Je me sens prêt à défaillir tant la dilatation de mon cul est extrême et le massage prostatique efficace. Pourtant je ressens une espèce de plénitude dans le plaisir de lui appartenir sans pouvoir lui échapper. Mon corps n’est plus que le prolongement de son sexe. Il est tout entier en feu. Mon amant, fiché en moi se retourne péniblement, labourant au passage le bas de mon dos, et nous voici accouplés cul à cul, grotesques. Nous restons un long moment ainsi. Empli de lui, j’ai plaisir à cette totale et interminable soumission. J’aime d’être ainsi abaissé au niveau animal ou plutôt, devrais-je dire, vassal d’un animal. Il me domine et décide pour moi. Il me soumet à son désir. Soudain son vit explose dans mes tripes en de longues et chaudes giclées. Les spasmes du chien déclenchent les miens et de douloureuses éjaculations trop longtemps retenues qui s’éparpillent sur le sol. A cet instant précis, je serais capable de lui dire « je t’aime ». Nous donnons tous deux de la voix. Lorsque je m’effondre, épuisé et repu, mon amant, enfin libéré de mon corps, lape les abondantes sécrétions qui se sont déposées sur mon anatomie. Ses attentions m’apaisent autant qu’elles m’excitent. Avec beaucoup d’application et de douceur il m’aide du museau à me retourner et finit son office. Je m’endors dans cette position lascive : pantalon aux chevilles, T-shirt troussé, sexe demi-érigé, attributs offerts au regard de tous.

Des cris de jouissance gutturaux vont me réveiller quelques instants plus tard. Lorsque j’ouvre les yeux, la surprise est totale. La grosse dame est maintenant totalement nue, couchée sur le dos, le bassin surélevé par le talus herbeux, le chien fiché entre ses grosses cuisses. Les pattes avant de l’animal clouent ses épaules au sol. Ses énormes seins sont agités comme deux bateaux à la dérive. Ses mains flattent compulsivement l’occupant de son sexe. Tous deux, après un court moment de calme et de silence, hurlent soudain longuement de plaisir. Je suis un peu jaloux de n’être plus l’unique amant de la bête. Lorsqu’ils reviennent à la réalité, un sourire de la dame et un regard du chien m’encouragent à les rejoindre. Je m’assois, toujours troussé, à côté d’elle, entièrement nue, presque cuisse contre cuisse. Le chien, fourbu de ses efforts, se couche à nos pieds et s’endort. Nous nous prodiguons quelques caresses. Sa peau est étonnamment douce. Son sexe finement dessiné est quasi dépourvu de pilosité, tout comme ses aisselles. Ses seins sont fermes malgré leur volume. Son visage est d’une agréable rondeur. Aux caresses succèdent les mots. Je suis invité, quand je veux, à goûter ces plaisirs inédits car « plus que d’autres, je sais vraiment être une chienne, sans pudeur ni retenue». Elle met, assez brutalement, de l’ordre dans ma toilette, remonte le jean collant sur mes fesses, boucle la braguette contre mon pénis redevenu ferme. Je frémis au contact de ses mains. J’aime sa manière de me brutaliser à demi. Je me sens son objet et celui de son chien. Ensuite, elle se rhabille en silence pour ne pas réveiller notre amant. Baiser d’adieu, moelleuse étreinte, départ furtif

Au but de ma randonnée, après un épuisant parcours en plein soleil, attablé à une terrasse, mon corps se détend et se rappelle. Chaque centimètre carré de ma peau n’est plus qu’un souvenir de cet étonnant contact. Mes reins et mes fesses ressentent encore les éraflures des ergots du chien. Mon cul est resté douloureusement distendu de cet étonnant et sublime écartèlement. Je suis en feu de la tête aux pieds. La prochaine fois, mon cher amant velu, je me dénuderai à l’orée du bois, pour mieux me préparer à savourer tes assauts. A chaque pas je préparerai mon cul à te recevoir. J’assouplirai mes organes pour que tu puisses t’y dilater à ton aise. Je laisserai mon désir de toi envahir mon corps tout entier jusqu’à en défaillir. Je t’accueillerai en moi écartelé. Je jouirai de l’indécence de mes gestes jusqu’à ne plus mériter le respect de quiconque. Je me comporterai comme la pire des salopes pour te plaire. Et toi, mon amie si douce, tu pourras tout obtenir de moi. Je t’offrirai les choses les plus folles en remerciement de ces délicieux moments. Je ne rêve que d’être votre esclave sexuel à tous deux sans retenue ni réserve.

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