Jeannedorée

Léonora 1

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Les drôles de galipettes de mes deux collaborateurs espionnés grâce à une caméra et ma folle nuit entre travestis dans un hôtel nous ont permis de faire connaissance avec «  des hauts et …des bas ».. Mais je vous l’ai laissé entendre, l’honorable chef d’entreprise, mâle à la cinquantaine bien installée que je suis, cultive un goût du sexe ambigu en général… et des tenues féminines en particulier. Un frisson ou une frénésie qui aimerait déborder de ces espaces en vase clos quitte à prendre quelques risques.

Celui de sortir le soir dans la rue devant chez moi habillé en femme. Celui de surprendre des personnages du quotidien. Comme cette fois où je me suis travesti pour aller ouvrir la porte d’entrée le matin à ma femme de ménage.

Les petites plumes

Ce jour là j’avais délibérément laissé mes clefs à l’intérieur de la serrure pour l’obliger à sonner, m’amenant à aller lui ouvrir la porte.. Ma femme étant partie le chemin était libre, j’avais eu le temps de me préparer et c’est en porte jarretelle et bas, combinette et même un soutien gorge rehaussé de petites plumes blanches, talons très hauts et fond de teint adapté que je suis allé ouvrir ou entr’ouvrir, faisant semblant d’être surprise dans cet état et confuse. Elle entre et je referme très vite.

Bon…jour ! L’accent un peu trainant illustre l’humeur imperturbable de Béatrice. Elle passe devant moi et monte l’escalier. Elle est d’une taille moyenne, 1mètre 65 peut être, plutôt svelte. Ses jambes, toutes droites et fines dans ses trotteurs, ressemblent à celles d’une adolescente en chaussettes mais sont gainées d’un collant ( je suppose) hyper classique lui aussi. La jupe descend jusqu’en dessous du genou, le petit pull ou le gilet sont sages et disparaitront tout à l’heure sous sa blouse. La poitrine, sauf à y regarder de très près, ce que je n’ai jamais fait, est imperceptible et doit relever elle aussi de l’adolescence plutôt que de l’âge mûr qui est pourtant celui de notre femme de ménage. Vous dire plus précisément je ne saurais… mais en quinze ans elle n’a pas changé.

Elle porte un chignon de cheveux plutôt blonds et le visage lui même est on ne peut plus banal si ce n’est que les yeux et le sourire expriment une liberté de pensée ou de complicité que le reste du corps ne traduit pas.

Je monte aussi rejoignant la partie séjour de notre habitation mais je m’éclipse un moment dans une chambre. Béatrice a eu le temps de se mettre en tenue et commence le repassage dans le salon. Je l’y rejoins, toujours dans ma tenue mais avec un maximum de discrétion dans mon attitude et ma démarche.

«  J’espère que je ne vous ai pas choquée  Béatrice ».

«  Oh vous savez monsieur, moi je suis là pour le ménage, c’est tout »

« Oui mais vous pourriez penser… »

«  Non, j’avais juste remarqué que vous aviez des bas la dernière fois dans sur le bureau de votre chambre et je pensais que c’était pour des problèmes de circulation. Là je vois que c’est différent » 

«  Oui, j’aime tout ça, j’aime porter toutes ces choses même si c’est bizarre » lui dis-je en m’appuyant contre la porte face à elle et en installant une conversation moins émotive. Sur la pluie, le beau temps, le linge, le travail… tout en me caressant discrètement à travers le tissus de ma culotte puis en sortant mon sexe abrité par la nuisette. Pas de réaction.

Vous pouvez m’aider

Une complicité qui s’installe? Béatrice est imperturbable, passe et repasse sur les chemises mais je suis sûr qu’au fond d’elle-même, et peut être de sa culotte, elle jouit de cette situation. Elle se balance d’avant en arrière en repassant, passe d’une jambe sur l’autre et me regarde à la dérobée. Pas dans les yeux, juste un peu plus bas, là où ma queue et ma main, à la jointure des bas et de la culotte jouent à touche touche.Lorsque, esquissant un départ je lui demanderai de m’aider à ouvrir mon soutien-gorge, elle posera le fer tranquillement sur la grille, s’approchera et des deux mains procèdera à l’opération.

Elle est juste derrière moi. Je sens son odeur et sa chaleur. Je sais aussi que si je lui demandais de m’ajuster mes bas, elle le ferait tout aussi stoïquement, me montrerait comment on les fixe au porte jarretelles avec plus de précision mais je n’ose pas…. je quitte la pièce remonte dans ma chambre mais je n’arrive pas à me défaire de cette excitation.Le sentiment d’avoir raté une occasion unique et d’avoir quand même grillé une cartouche.

Alors j’enfile une paire de chaussures à talons encore plus hauts avec une plate forme de trois centimètres ce qui me perche à 14 ajoutés à mon mètre quatre-vingts… et reviens vers elle de façon plus sonore cette fois. «  Difficile de marcher avec ça » lui dis-je, des fois qu’elle n’aurait pas remarqué.

« Vous êtes sûr que c’est fait pour vous » me dit-elle d’un air goguenard. « Question d’habitude » ajoute-t-elle. Je défile devant elle…ça va mieux! Ma queue est encore plus arrogante avec cette nouvelle cambrure et le bustier que j’ai enfilé rapidement ne tient plus en place, s’est mis en travers… Vous pouvez m’aider ? Et elle revient vers moi!

Comme une fillette

Cette fois, puisque le contact est à nouveau établi, je lui demande de tout vérifier, des bas aux cils. Ses mains y veillent, je me masturbe plus franchement et à un moment je lui prends la main pour la poser sur ma verge qu’elle saisit timidement par le gland mais n’ose lâcher, manifestement perdue. Lorsque, sans un mot, j’invite sa tête à descendre vers ma queue..Béatrice ne s’agenouille pas, elle se met en position accroupie comme une fillette pour se soulager., Ses genoux s’écartent et je plonge le regard entre ses jambes…Des cuisses de sportive, sans un pli et ce que je crois deviner comme une tache sur la culotte visible à travers le collant. Cela me laisse entendre un minimum de complicité.

Je me penche à mon tour et veux trouver la réponse à la question sur ses seins. Ils sont doux, à peine tenus par un soutien-gorge triangle me semble-t-il mais les bouts me montrent que j’ai touché juste. Elle gémit et sa bouche se tord alors autour de ma queue, son regard exprime un plaisir complètement disproportionné qu’elle refuse. Elle voudrait crier mais considère sous doute que l’astiquage et l’aspiration font partie du ménage. Je la libère, elle se lève et se frotte à moi avec son ventre. J’ai toujours ses seins entre les mains et sa langue maintenant entre mes lèvres.

Je lâche un téton pour conquérir sa chatte, la jupe vole et le collant est redescendu… pas beau mais pas désagréable. La petite culotte est sage mais le cul a de l’audace. Des limites aussi:.elle glisse ma queue entre ses jambes en me disant : « mais juste ça, le reste mon mari ne voudrait pas ».

Puisqu’elle à l’impression de ne pas le tromper comme ça, je la lime en surface, lui demande de me sucer aussi les tétons, ce qui me ravit.

Avec la crème

Au bout de quelques instants je lui demande de se pencher en avant de me montrer son cul. « Là, oui  dit elle…mais mettez de la crème ». Je ne veux pas rompre cet élan en partant à la recherche d’un tube ou d’un pot. Ma salive y pourvoit, quelques gouttes de mon jus et du sien aussi. Mon gland passe le premier cap… »pas si terrible vous voyez ». Beatrice pousse…étend le bras et se saisit d’une culotte de ma femme dans la corbeille et se la fourre dans la bouche pour ne pas crier. Une perversité qui me donne toutes les garanties de discrétion pour la suite et me fait bander plus encore….je suis sur mes hauts talons et travestie, en bas et en guêpière et je tringle ma femme de ménage sainte nitouche transformée en petite salope qui se branle la chatte et bouffe la culotte de ma femme en même temps! Quel pied et quelle audace récompensée au delà de tout espoir.. Excité par l’image autant que par le conduit anal qui demande à être encore un peu mieux maitrisé, je décharge et elle s’abandonne.

Depuis ce jour, et en attendant une pareille ouverture, je l’effleure à chaque occasion, je vois ses talons augmenter et ses bas briller. Quand je le peux, je laisse délibérément trainer un pièce de sous vêtement féminin et sexy en évidence lorsqu’elle arrive la matin. Je la récupère le soir dans mon tiroir, imbibée de son foutre. Elle se l’est fourrrée pendant le ménage. J’y mets mon nez et ma langue j’entre dans mon voyage nocturne…et dans d’autres fantasmes. Les miens m’emmèneront du coté de Léonora.

Jeannedoree

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