De Julien à Julie 6

Comme promis, Patrick ferme son bar pour deux semaines. Nous en profitons pour partir à la mer. Pas n’importe où ! Sur une plage réputée gay et naturiste connue de toute l’Europe.

Comme la route est longue, nous faisons une étape à mi-parcours.

Nous nous promenons main dans la main, allons au restaurant et, une fois dans la chambre d’hôtel, quand je rejoins Patrick dans le lit après avoir enfilée ma nuisette, mon amant me caresse tout le corps et se penche sur mon sexe pour le sucer. Il a fait beaucoup de progrès et je suis dure comme du bois quand il se retourne, pour me présenter son postérieur.

Je suis interloquée ! Mon amant si viril a-t-il une envie spéciale ?

« Tu veux que  ? »

« Oui ! Avec toi, je veux tout ! Je me suis préparé, mais va doucement, c’est la première fois ! »

Je lui caresse le dos, lentement, avec beaucoup de douceur et il finit par se détendre. Je le fais se positionner et tout en manipulant sa verge qui retrouve de la raideur, je pointe mon bout sur son petit trou. Je n’en suis pas à ma première sodomie, mais là ça me fait bizarre.

Je suis flattée d’être la première à lui faire découvrir ce plaisir.

Il grimace et geint quand je le pénètre, mais ne cherche pas à arrêter ma progression.

Il est si serré, ce n’est pas comme mes premières expériences.

« Tu aimes mon chéri ? »

« Oui ! Vas-y maintenant »

J’y vais, mais avec une infinie douceur. Je lui mordille les épaules, la nuque. Il s’allonge sur le ventre et moi sur lui. Je vais et viens pendant un temps infini, tandis qu’il geint de bonheur.

« Vas plus vite ma chérie  »

Ensemble, nous trouvons le bon rythme et, mon excitation est telle que je finis par éclater en lui. Je cours vite chercher une serviette pour essuyer le sperme qui s’écoule de son anus et, alors qu’il s’est couché sur le dos, le sexe en l’air, j’entreprends de le sucer jusqu’à son orgasme. J’avale toute sa semence puis viens me nicher au creux de son épaule.

« Tu as aimé que je te fasse ça ? »

« J’ai adoré, je regrette de ne pas avoir connu ça avant ! Il faut dire que je suis plutôt du genre macho à ce que l’on dit ! »

« Mais non ! Ce n’est pas vrai ! Tu es si doux avec moi ! »

Si nous passons la nuit enlacés, au matin, il me rejoint dans la cabine de douche pour me prendre, debout. Comme ça fait du bien !

Arrivés à destination, je m’aperçois qu’il a loué un grand appartement qui surplombe la plage naturiste. A l’aide de jumelles, qu’il a eu la présence d’esprit d’amener, je me rends compte qu’il n’y a pas de réserves à avoir. Malgré cela, je préfère revêtir un bikini rose, un peu provoquant quand même.

Les couples sur la plage ne m’en tiennent pas rigueur et nous nous installons sur le sable. Patrick se met nu et je ne garde que ma culotte. Sous son insistance, je fini par la quitter. Au fur et à mesure, j’accepte d’être nue devant les gens qui passent. Certains s’attardent et nous regardent quand nous échangeons des baisers.

Le soir venu, je mets une minijupe pour sortir. Inutile de mettre des bas, il fait très doux.

Après une balade et un bon restaurant, nous allons en boîte de nuit. Il y a de tout dans l’établissement. Des hétéros, des homos des deux sexes, quelques folles’ et des hommes seuls. Patrick n’aime pas trop danser, alors que moi, je m’éclate sur la piste. Je sens toutefois des mains effleurer mes fesses et finis par rejoindre mon homme à la table.

Arrivent la séquence des slows, un africain s’approche de moi et m’invite à danser. Je refuse, mais Patrick m’encourage, avec insistance, à y aller. Le gars est une montagne de muscle et je me sens toute petite quand il me serre dans ses bras. Rapidement, il se colle et entreprend un massage de mes fesses. Je suis gênée, mais mon fiancé qui voit ça, reste souriant. Est-ce une incitation ?

Le gars me presse tant que je sens son pantalon gonfler. D’un geste furtif, il positionne son engin plus verticalement et je remarque nettement qu’une grande partie de sa colonne dépasse de la ceinture. Je suis impressionnée et quand il se colle à moi à nouveau. Sous l’effet de ce cylindre dur sur mon ventre et mon torse, je me mets à bander également. Mon cavalier prend un malin plaisir à se déhancher pour que nos sexes frottent l’un contre l’autre.

Il me glisse à l’oreille :

«Ma bite t’intéresse ? »

Je suis à la fois tentée et apeurée, je ne sais quoi répondre, surtout qu’il me doigte le cul ostensiblement à travers ma jupe. Je jette un regard éploré à Patrick, qui par un petit signe de tête donne son assentiment. Le gars réintègre difficilement son sexe et une barre transversale déforme, désormais, son pantalon. Il me prend la taille et m’emmène vers une porte dérobée. Il connaît bien les lieux visiblement. Un escalier, que je monte tout en sentant sa main courir sur mes jambes.

Il ouvre une porte qui donne sur une chambre au lit défait. Il baisse son pantalon et découvre un sexe encore plus impressionnant que je ne l’imaginais. Il doit pouvoir se sucer lui-même sans grands efforts. Il s’approche, me saisit par les cuisses, me soulève du sol, ce qui retrousse ma jupe.

Il m’assied à califourchon sur son membre. J’enserre mes jambes autour de ses hanches comme je le peux, alors qu’il se met à onduler comme pour continuer notre danse.

La peau douce de la hampe de son membre frotte délicatement mon anus.

Il ne cherche pas à m’embrasser, ni à prouver le moindre signe d’affection. Je suis juste une espèce de poupée sexuelle pour lui.

En me tenant d’une main à son cou, j’arrive de l’autre à me saisir de son gland et même à pétrir la grande partie de sa bite qui dépasse derrière mes fesses. C’est moi maintenant qui me frotte contre sa barre de fer et mon trou quémande d’être pénétré.

Il me porte jusqu’au lit, m’y dépose sur le dos, sort de sa poche un préservatif XXL qu’il enfile. Quand je constate l’énormité de ce qui va me pénétrer bientôt, je prends peur.

Malgré cela, j’écarte les jambes quand il pointe vers moi. Il mouille deux doigts de salive, m’enduit et pousse son bout en moi.

Oh là là mes aïeux ! Je le sens passer, surtout qu’il y va franchement pour explorer des zones internes qui me sont inconnues. Même si j’ai mal, j’éprouve des sensations nouvelles. Il va si loin !

Et il se met à m’enculer. Il n’y a pas d’autres mots. Il me lime sans vergogne et pense uniquement à son propre plaisir. Il me retourne à quatre pattes et s’enfonce à nouveau. Ressort et s’enfonce sans ménagement. Il me retourne et je suis allongée sur son torse alors qu’il me donne de violents coups de son pal.

Il me retourne à nouveau et j’ai tout son poids sur moi quand il éjacule dans sa capote.

Quand il se relève, il me jette son préservatif sur le dos et s’en va.

Je reste allongée sur le ventre de longues minutes, le cul béant avant de me décider à redescendre rejoindre mon amoureux.

Je traverse la piste de danse avec un peu de difficultés pour marcher et vais rejoindre Patrick.

Quelle n’est pas ma surprise de le voir en compagnie du gars qui vient de me baiser.

A ma mine renfrognée, il me présente son fameux ami, prénommé Roger, dont il m’avait parlé il y a peu. Il le savait dans le coin et lui a demandé ce ’petit service’. En réalité, vu la taille de son engin, c’était plutôt un grand service !

Le gars boit un verre avec nous et nous quitte. Je me blottis dans les bras de Patrick et le prie de ne plus me faire ce genre de coup.

« Je fais ça pour toi, ton plaisir Tu as aimé ? »

« Je n’ai pas éprouvé de plaisir sensuel, juste une découverte avec un sexe d’exception »

Je lui narre la quasi brutalité du type, mais aussi que j’ai bien aimé recevoir son membre très profondément.

« Humm ! Ça me fait envie ! » Réplique-t-il en souriant.

« Oh toi ! Je vois que tu y prends goût ! Rentrons et je vais m’occuper de toi ! »

« Allons y vite !» 

Nous formons un couple d’amoureux, tant sur la plage que dans la station balnéaire. Il fait encore flamber sa carte bancaire pour m’acheter vêtements et bijoux. Je suis totalement comblée.

Comme convenu, je tolère ses incartades. En particulier, je le laisse rejoindre une femme mariée en manque de sexe. Elle a laissé son mari s’occuper des enfants pour avoir une aventure avec mon fiancé. Patrick ne me cache rien et c’est le plus important.

Une autre fois, je me suis faite brancher par une lesbienne alors que j’étais aux toilettes d’un restaurant. Sans suite

Nos vacances se passent merveilleusement bien et j’en profite pour apprendre beaucoup de choses en côtoyant des gens qui me ressemblent.

Au retour, je suis un peu morose, j’ai envie de revoir ma famille. J’appelle maman et lui avoue ma relation avec Patrick. Elle accepte et propose un repas de famille, avec ma tante bien sûr.

Je suis heureuse de partager mon bonheur avec mes proches.

Tante Sophie se frotte, bien entendu, sur mon fiancé et lui susurre des mots à l’oreille. Mais comment être jalouse de mon initiatrice ?

Le charme et la culture de Patrick finissent par convaincre ma mère qu’il est un homme idéal. Je remarque même ses yeux briller, un peu trop à mon goût

Pour me rassurer, Patrick me tient la main et les deux surs reprennent contenance.

À l’issue du repas, nous prenons congé et maman me souffle à l’oreille :

« Il est très bien ton homme, beau garçon et intelligent. Je suis heureuse pour toi ! »

« Merci maman, c’est très gentil de ta part. Tu viendras nous voir ? »

« Bien sûr ma chérie »

Je ne suis, on ne peut plus, gonflé de bonheur de ses propos. Elle est convaincue de ma féminité et approuve la relation que j’ai avec mon amant.

Alors que nous regagnons la voiture, Sophie s’approche de nous et demande :

« Vous passez chez moi prendre un dernier verre ? »

Son invitation est on ne peut plus claire ! Elle veut une partie de jambes en l’air

Patrick m’interroge du regard.

J’acquiesce.

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