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Aurélie – Chapitre 2




C’est Anna qui me tire de ma douce torpeur en m’appelant discrètement :

— Aurélie, je crois que tes parents nous appellent pour passer à table.

— J’arrive, le temps de me rincer.

J’ouvre les robinets en grand et l’eau en venant cingler ma peau me réveille complètement. Je m’enveloppe dans mon peignoir de bain et m’essuie rapidement. En entrant dans ma chambre je vois qu’Anna est toujours entièrement nue et cherche dans ses affaires. Elle me regarde avec un petit sourire, mais je ne saurai jamais si elle sait ce que je viens de faire sous la douche. Elle me dit avec un sourire enjôleur :

— Comment doit-on s’habiller pour dîner. Je ne connais pas bien vos habitudes.

— Comme tu veux, nous n’avons pas de protocole. Moi, je mets juste un pull et un pantalon de toile, et je reste en pantoufles.

Nous nous sommes rapidement habillées et avons rejoint mes parents et mon frère dans la salle à manger. Evidemment mes parents nous attendaient et étaient impatients de savoir si nous nous entendions bien Anna et moi. Mon père demanda :

— Alors votre voyage s’est bien passé ? et comment trouvez-vous la France?

— Je vous remercie, mon voyage s’est merveilleusement bien passé, mais je ne connais pas encore vraiment la France, mais le peu que j’ai pu voir me plaît énormément.

Le repas se passa comme d’habitude, et dès la fin du repas, ma mère nous conseilla à Anna et à moi d’aller faire un tour dans le grand parc qui est à proximité de la maison. Nous sommes donc sorties et nous marchons en silence. Anna passe alors son bras autour de ma taille et vient s’appuyer contre moi. Je passe également mon bras autour d’elle, et c’est ainsi que nous cheminons pendant un certain temps. Nous sommes bien l’une contre l’autre. Au bout de plusieurs minutes je lui dis :

— Je pense que tu dois avoir sommeil avec le voyage, et la douche n’a rien du arranger. Je te propose donc de rentrer pour nous coucher.

— Effectivement, la douche m’a fatiguée, surtout que je me suis levée assez tôt pour partir. Mais toi aussi, je crois que ta douche t’a bien fatiguée, car tu avais les yeux légèrement cernés en sortant de la salle d’eau.

Nous rentrons donc toutes les deux à la maison et allons directement dans ma chambre qui est devenue notre chambre. Il n’y a qu’un grand lit, puis que j’y vis habituellement seule, mais comme nous sommes toutes les deux des filles, cela ne pose pas de problème. A peine dans la chambre, je commence à me déshabiller et pendant qu’Anna est aux toilettes, j’enfile une chemise ce nuit. En revenant dans la chambre, Anna paraît très surprise et me dit ;

— Je suis très embêtée, je viens de penser que je n’ai pas pris de chemise de nuit. Tu comprends, à la maison, je dors toujours nue, et je n’ai pas pensé que je partagerai ton lit. Si cela te gêne, je peux en enfiler une des tiennes.

— Cela ne me gêne pas, et je ne pense pas que tu serais à l’aise avec une de mes chemises, ta poitrine est légèrement plus développée et cela te serrerait. Si tu as l’habitude de dormir nue, continue. Pour que tu ne sois pas gênée, je vais aussi dormir entièrement nue.

Joignant le geste à la parole, je fais passer ma chemise de nuit par dessus ma tête et la jette sur un fauteuil. Anna se déshabille et passe dans la salle d’eau pour une dernière petite toilette, mais je remarque qu’elle laisse la porte ouvert. Je la vois s’asseoir sur le bidet et commencer sa toilette intime. Elle s’attarde sur son intimité et j’ai l’impression qu’elle commence la même caresse que celle que je me suis faite quelques heures plus tôt sous la douche. Cela ne dure pas longtemps et elle regagne la chambre en me disant :

— Cela fait vraiment du bien, j’en avais besoin.

Je ne sais pas si elle veut parler de sa toilette ou de la caresse rapide qu’elle s’est prodiguée. Dès qu’elle a fini je passe à mon tour dans la salle d’eau et hésite à laisser la porte ouverte. Elle revient alors vers moi et me dit :

— Excuse moi, je me suis mal essuyée et je ne voudrais pas que cela m’irrite cette nuit.

Elle saisit une serviette et, en écartant largement les jambes s’essuie l’entrecuisse. Je suis sidérée, mais j’enjambe le bidet et m’installe pour faire ma toilette intime. En ressortant de la salle d’eau, Anna laisse la porte grande ouverte et ne manque pas de me regarder faire ma toilette. Je m’essuie avec soin et comme elle, ,’écarte largement les cuisses pour bien essuyer mon minou.

Ayant terminé, je viens me coucher, et cela me fait une drôle d’impression d’être nue dans mon lit et d’avoir à mes côtés Anna qui est nue également. Je me dis qu’il n’y a a pas de mal à cela et je prends un livre comme chaque soir, car j’adore lire avant de m’endormir. Anna paraît surprise et m’en fait la remarque :

— C’est drôle, tu lis toujours le soir quand tu es au lit ?

— Oui, cela me calme du stress de la journée, et me permet de m’endormir plus vite. Parfois, j’en profite pour réviser mes cours.

Anna se rapproche de moi et jetant un regard sur mon livre me demande :

— Qu’est-ce que tu lis ?

— Un roman historique. En France beaucoup d’écrivains écrivent ce genre de roman. Ils partent de faits réels et inventent une histoire.

— Tu veux bien que je lise avec toi ? Je n’ai pas encore lu beaucoup de romans en français, et si j’ai un problème de compréhension, tu pourras m’aider.

— Si tu veux, avec plaisir.

Anna vient donc contre moi pour que nous puissions lire le livres ensemble. Il s’agit d’un roman sur Paris à la fin du 17? siècle. Nous commençons donc notre lecture, et je sens le corps d’Anna contre le mien. De temps en temps, je suis obligée de lui expliquer une expression, ou parfois même comment était notre capitale il y a plus de trois cents ans. Nous poursuivons donc notre lecture et nos corps sont de plus en plus près l’un de l’autre. Tous à coup, je sens l’une de ses mains se poser sur moi, et je ne sais pas quoi faire. Ayant compris que pour elle il ne faut pas accorder trop d’importance à des gestes anodins, je la laisse faire en me disant qu’il sera toujours temps d’y mettre fin si j’estime qu’elle dépasse certaines limites que d’ailleurs je ne me suis pas fixées.

Nous restons donc blotties quelques instants, puis sa main vient se poser sur mon ventre. Elle me déclare alors :

— Aurélie, si cela ne te dérange pas, je vais essayer de dormir, car cette lecture a fini de me donner sommeil.

— Moi aussi, je vais dormir, en général je ne lis que quelques instants.

Nous éteignons nos lampes de chevet respectives, et je ferme les yeux. Je sens qu’Anna vient se blottir à nouveau contre moi. Je suis allongée sur le dos, et elle passe son bras sur moi, entourant mon ventre. Elle pose sa tête sur mon épaule et je sens ses cheveux étalés sur ma poitrine. Elle respire calmement, mais je sens le feu dans mon corps. Tout doucement je sens sa main qui remonte le long de mon corps et qui bientôt atteint l’un de mes seins. Elle la pose bien étalée en plaçant le mamelon entre deux doigts écartée. Je suis extrêmement excitée et ne sais plus quoi faire. Elle me murmure alors à l’oreille :

— Comme tu as la peau douce, tu es bien comme cela ? J’ai très envie de te caresser. Laisse moi faire. Mais avant réponds moi : as-tu déjà fait l’amour avec un garçon ou avec une fille ?

— Non jamais. J’ai déjà embrassé une fille, et j’ai déjà masturbé une fois un garçon, mais ce sont mes seules expériences.

— Laisse moi te guider, en te voyant tout à l’heure sous la douche, j’ai compris que je t’attirais, et j’ai envie de t’initier.

— Si tu veux ma chérie, mais je t’en prie sois compréhensive et douce.

— Aie confiance.

Anna se rapprocha encore de moi et je sens sa poitrine se serrer contre la mienne. C’est délicieux. Sa bouche se pose sur la mienne et je sens sa langue écarter mes lèvres. J’entrouvre mes lèvres à mon tour, et instinctivement j’écarte les dents pour laisser pénétrer sa langue dans ma bouche. Je sens son souffle chaud qui se mélange au mien, sa langue cherche la mienne et la trouve sans grande difficulté. Nous jouons ainsi quelques minutes qui me paraissent une éternité. Nous nous embrassons maintenant à pleine bouche et je lui rends son baiser. A mon tour je lance ma langue à la conquête de sa bouche où je me trouve bien. Anna est maintenant allongée sur moi, mais je ne sens pas son poids. Elle a posé ses mains sur ma nuque et tient fermement ma tête. Je suis ravie et je déguste ce premier baiser en me disant que celui que j’avais échangé avec une de mes camarades n’avait rien de comparable. Nous avons tout notre temps, et je ne ressens aucune gène d’être nue contre elle.

Nous restons enlacées un long moment. Anna a passé sa jambe sur la mienne et la place entre mes jambes, sa cuisse venant frôler ma petite chatte. J’écarte largement les jambes pour faciliter ce contact si doux. Elle me masse doucement avec sa cuisse et ce frôlement est absolument délicieux. Je sens que mon sexe est trempé de ma liqueur intime. Je ferme les yeux et savoure cet instant. Mon bassin entame des mouvements désordonnés et je frotte mon sexe sur sa cuisse. Elle-même se frotte sur ma cuisse. Nous harmonisons nos mouvements et nous nous contrôlons de moins en moins. Nos lèvres ne se quittent plus. Nos langues se cherchent, se trouvent soit dans ma bouche, soit dans celle d’Anna. Je suis de plus en plus excitée et donne de grands coups de ventre vers mon amie. Nous nous serrons de plus en plus fort. Je sens sa poitrine contre la mienne. Mes seins sont durs et me font mal tellement elle me sert. Mes mouvements désordonnés s’accélèrent encore. Je sens dans une demi inconscience que ma cuisse en contact avec le sexe d’Anna est toute gluante et poisseuse. Je pense que la sienne doit l’être aussi de toutes mes sécrétions. Je m’emballe et ne pense plus qu’au plaisir que nous nous donnons. Ma tête va de droite à gauche sur mon oreiller. Sa bouche a du mal à rester contre la mienne. Je tiens sa tête par la nuque pour que nos lèvres restent soudées. Brutalement, c’est l’explosion. Mon ventre est saisi de spasmes incontrôlés. J’écarte les cuisses au maximum. Je sens mon miel intime qui s’écoule de moi comme une fontaine. Je perds toute notion du temps. Heureusement pour nous, La bouche d’Anna empêche mon cri de délivrance de fuser et d’avertir toute la maison de ma jouissance. Alors seulement, je retrouve mon calme et je m’abandonne dans les bras d’Anna.

Je ne sais combien de temps je suis restée comme cela, complètement inerte dans les bras de mon amie. Je baigne dans une douce torpeur. Elle même semble calmée et je pense qu’elle somnole. Je sors lentement de la douce torpeur dans laquelle je suis. Je constate que nous sommes toujours dans la même position, la cuisse d’Anna sur ma vulve largement offerte, tandis qu’elle serre sa chatte sur ma cuisse. Je suis bien et je savoure cette sérénité. Doucement, je promène ma main dans le dos de mon amie et cela a le don de la faire renaître. Elle relève la tête et me gratifie d’un merveilleux sourire qui en dit long sur le plaisir qu’elle a pris. Elle vient me susurrer à l’oreille :

— Aurélie chérie, tu as aimé ?

— Oh oui. C’est la première fois que cela m’arrive, c’est divin.

Elle vient se lover contre moi et m’embrasse à nouveau à pleine bouche. Mais son baiser est différent. Il n’est plus conquérant comme tout à l’heure, mais plus sensuel. Elle bécote ma bouche, elle m’embrasse derrière l’oreille. Je m’écarte légèrement d’elle pour profiter de son corps splendide. C’est alors que je remarque que ma cuisse est toute luisante là où était posé son sexe. Je regarde immédiatement la sienne et je vois que moi aussi je me suis amplement répandu sur elle. Je lui en fais la remarque et elle me dit :

— Nous nous sommes donné beaucoup de bonheur toutes les deux, et tu peux constater que moi aussi j’ai beaucoup apprécié ce que nous avons fait. Maintenant laisse moi te nettoyer.

Sans attendre ma réponse, elle vient poser sa bouche sur ma cuisse et se met en devoir de lécher tout ce qu’elle y a déposé. Lorsque je suis à nouveau bien propre, il me vient l’idée de lui en faire autant. Je m’incline donc vers sa cuisse et tout en léchant mes sécrétions, je découvre son sexe largement ouvert qui continue à suinter légèrement. C’est la première fois que je vois un sexe féminin d’aussi prêt et j’en profite pour le détailler. J’admire ses grandes lèvres rose pâle bien ourlées qui je cachent pas les petites lèvres plus à l’intérieur. Je remarque également son clitoris qui émerge au sommet de ses petites lèvres, bien à l’abri de son capuchon. J’ai envie de l’embrasser, mais je me retiens en me disant que cela ne se fait pas, c’est trop sale.

Lorsque j’ai bien nettoyé mon amie, nous nous blottissons à nouveau et Anna vient me donner un baiser. Je suis surpris que ses lèvres n’ont plus le même goût. Pourtant cette nouvelle saveur que je découvre n’est pas la même que la mienne que je connais déjà pour m’être masturbée de temps en temps. Je comprends que toutes les femmes n’ont pas le même parfum intime. Notre baiser dure une éternité, puis Anna quitte ma bouche et dépose un autre baiser sur un de mes seins. Je ne suis pas choquée, et cela me est très doux. Je sens immédiatement mon mamelon se dresser fièrement entre ses lèvres et irradie une douce chaleur dans mes reins. Elle l’agace de sa langue qui en fait le tour, elle le mordille légèrement, je suis ravie de cette caresse. J’écarte les bras et je m’offre totalement à elle. Je sens alors une main qui s’insinue entre mes jambes qui sont largement écartées, et dans un mouvement instinctif, je les resserre immédiatement. Anna ne paraît pas surprise et me murmure gentiment.

— Aurélie chérie, n’aies pas peur, aies confiance en moi. Tu m’as dit que tu es vierge et je te respecterai. Mais tu mets bien des tampons de temps en temps. Moi je ne suis plus vierge, et je te promets de te donner encore plus de plaisir.

Ses paroles m’apaisent et je me détends dans ses bras. Lentement j’écarte mes jambes et je sens qu’Anna commence à caresser les poils qui dissimulent l’entrée de ma grotte. Pendant ce temps, elle continue ses baisers sur ma poitrine, allant du sein droit au gauche avant de revenir au premier. Je suis ravie et décide de me laisser guider par mon amie qui m’a promis de me respecter. Sa main se fait progressivement indiscrète à l’entrée de mon sexe et je sens un de ses doigts écarter légèrement mes lèvres. Ce contact est merveilleux et cent, mille fois plus agréable que quand je me caresse seule. Elle me caresse les lèvres intimes et j’éprouve une sensation de bien être. Elle se dirige alors vers mon clitoris qui se dresse sous son capuchon. Elle le découvre enfin et le titille lentement. Immédiatement je recommence à mouiller abondamment et je sens ma liqueur se répandre hors de moi. Elle accélère ses caresses et de son autre main elle malaxe l’un de mes mamelons, sa bouche s’occupant activement de l’autre.

Tout en continuant ses caresses avec ses main habiles, elle vient embrasser mon ventre qui est pris de spasmes incontrôlés. Elle titille mon nombril du bout de sa langue. J’adore. Puis elle pose ses lèvres sur ma toison et m’embrasse tendrement. Je sens son souffle chaud sur mon pubis, et cela me fait un drôle d’effet. Je suis complètement subjuguée et laisse mon amie toute à son initiative. Arrivera ce qui doit arriver. Je sens son souffle gagner les lèvres intimes, et sa bouche se pose à l’entrée de ma vulve. C’est merveilleux. Je ne puis décrire ce qui m’arrive. Je mouille de plus en plus, et je comprends qu’Anna boit directement à mon calice tout ce que je lui offre. Sa langue caresse mes grandes lèvres avant d’aller s’attarder sur mon bourgeon d’amour qui n’attendait que cela. Sa langue me pénètre enfin à mon grand plaisir et je mouille de plus en plus.

Pendant toute cette opération Anna s’est progressivement placée tête bêche par rapport à moi pour être plus à l’aise. Je vois donc son minou à quelques centimètres de mon visage. Je ne sais pas quel instinct me pousse, mais à mon tour je pose mes lèvres sur son pubis où je rencontre ses poils soyeux. Elle écarte largement les jambes et pré?sente alors son sexe à ma vue. Je peux à nouveau l’admirer, et je constate qu’il m’attire comme un aimant. Je passe mes bras autour de sa taille et je l’attire vers moi. Tout à coup, sans réfléchir, je pose ma bouche sur sa vulve et je commence un long baiser intime. Je vois qu’elle aussi mouille abondamment et comme elle, j’avale toutes ses sécrétions au fur et à mesure qu’elle me les offre. Instinctivement, je trouve les caresses à lui prodiguer et ma langue va à la recherche de son clitoris qui est encore bien caché au sommet de son sexe. Elle me dit dans un souffle qui me fait chaud :

— Continue chérie, j’adore. Tu es formidable.

Je ne fais pas prier plus longtemps et je fais pénétrer ma langue au sein de son tabernacle. Nous sommes maintenant unies toutes les deux. Nous nous donnons un plaisir énorme. Elle a passé ses mains sous mes fesses pour maintenir mon sexe contre sa bouche malgré les mouvements désordonnés de mon bassin qui se lance dans tous les sens au gré de ma jouissance. Je suis également obligée de la tenir tellement elle remue. Mais je la maintiens d’une seule main, l’autre est partie à la recherche d’un sein qu’elle trouve rapidement. Pendant que ma langue la fouille, ma main triture son mamelon qui est dur comme du bois. J’entends ses soupirs et moi même je râle de bonheur. Nous profitons l’une de l’autre et cela me procure un bonheur immense. Brusquement, elle s’effondre sur moi au moment précis où je jouis abondamment et elle me gratifie d’une jouissance abondante que j’ai peine à boire.

Nous restons ainsi pendant un temps qu’il m’est impossible d’évaluer. Nous sommes bien et calmées dans mon lit qui accueille pour la première fois de tels ébats. Elle se redresse enfin et vient m’embrasser. Nous mêlons à nouveau nos saveurs, mais à l’inverse de tout à l’heure, c’est moi qui ai les siennes tandis qu’elle me donne mon parfum. Cela est merveilleux et nous échangeons les restes de miel qui tapissent encore nos bouches. Reprenant lentement mes esprits je lui dis :

— Je pense que nous devrions aller prendre une douche et dormir, car demain nous avions prévu avec mes parents de te faire visiter un peu Paris.

— Tu as raison il va falloir dormir, mais nous prendrons une douche demain, j’ai envie que nous gardions chacune les odeurs intimes de l’autre

— Entendu, à demain ma chérie.

Nous nous blottissons dans les bras l’une de l’autre et rapidement nous plongeons dans un profond sommeil réparateur.

(A suivre)

Aurélie

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