Histoires de sexe en français Histoires de sexe noir

Séduction délicate de la soeur de ma mère – Chapitre 24




Si vous avez manqué le début.

Je m’appelle Patrick, fraîchement diplômé j’ai trouvé un travail en Allemagne à Hambourg. J’entretiens depuis plus d’un an une relation intime avec ma tante Véronique, très bcbg, sur de ma mère Anne.

Elle a 43 ans, divorcée avec 2 enfants de 9 et 11ans, elle mesure 1m72 pour 55 kg et moi, 25 ans 1m80 pour 75 kg.

Je l’ai mise enceinte courant mai, elle a accouché d’un petit garçon prénommé Hugo en décembre. Elle a intégré la même boite que moi avec un poste d’assistante de direction et nous voici à Paques. Nous partons voir mes parents à Paris, lequels se posent des questions à notre sujet. Pour l’anecdote nous avons emménagé dans un duplex au 10ème étage, tout en leurs faisant croire que j’occupe dans le même immeuble un appartement au 8ème étage.

Véronique était nerveuse. Le matin même, Oscar et Jules s’étaient disputés pour une futilité ayant le don de l’agacer. Nous avions décidé de prendre l’avion et les garçons rêvaient déjà de se voir dans les nuages.

Ma tante et moi ne rêvions point, nous espérions que tout se passerait bien. Ma mère nous avait invités pour une semaine, une éternité pour nous.

Mon père nous accueillit à l’aéroport Charles de Gaulle et dès notre arrivée à la demeure familiale, ma mère s’empressa de prendre des nouvelles du petit dernier âgé de cinq mois, Hugo. 

Nous échangeâmes des regards avec ma tante, tandis que Anne, ma mère, se pâmait devant son neveu qui n’était en fait que son propre petit fils. Un sentiment de mal être, de trahison s’empara de nous face à son comportement attendrissant avec notre garçon dans ses bras.

J’installai les branchements du jeu vidéo sur la télé pour mes cousins, tandis que ma tante s’affaira dans la cuisine avec sa sur. Mon père nous proposa de prendre l’apéritif sur la terrasse, le temps ensoleillé nous le permettant. Tout le petit monde prit place, Véro se mettant face à moi. Vêtue d’une jupe, j’eus tout loisir de scruter ses mollets fins et galbés lorsqu’elle croisa ses jambes.

Pour ouvrir une petite parenthèse, ma tante était une pure merveille à regarder, à observer, à contemplerà désirer. D’une élégance naturelle avec ses épaules graciles et son cou élancé, elle dégageait également une féminité peu commune. Son maquillage parfait sur des lèvres bien dessinées, ses longues mèches blondes et ses doigts fins renforçaient sa sensualité agrémentée de la blancheur de sa peau. En réalité ma tante était gaulée comme une reine avec un sex-appeal incroyable, le tout dissimulait sous une apparence bourgeoise.

Mon père nous servit du champagne et enchaina pour prendre des nouvelles.

— Alors Patrick, la vie en Allemagne te plait ? 

— Ils mangent tôt le soir ! Mais dans la boite la moitié du staff est étranger, il y a beaucoup d’Anglais donc on n’est pas vraiment dans un esprit germanique. Et puis Hambourg est assez international avec son port, mais le climat n’est pas le même que Bordeaux et ce n’est pas Véronique qui va me contredire. Dis-je en trinquant avec ma flûte.

— Oui ça tu l’as dit mais heureusement les beaux jours arrivent ! Et puis les garçons se sont faits des copains, finalement c’est presque plus dur pour nous. Ajouta-t-elle en prononçant le mot nous, synonyme de complicité.

— Mais les garçons sont dans une super école et pour moi c’est assez cool de travailler avec Véro. À vrai dire je ne pensais pas un jour que tu deviendrais mon assistante, en plus Mamanelle bosse très très bien. Renchérissai-je dans la foulée afin d’oublier ce mot malheureux, lequel étant susceptible d’attirer des doutes au sujet de notre relation.

— Ta tante n’est pas n’importe qui, c’est ma petite sur et n’oublie pas qu’elle est aussi intelligente que ta mère ! Plaisanta-t-elle.

Avant de rejoindre la salle à manger, je débarrassai les flûtes pour les amener à la cuisine. Je croisai ma tante amenant l’entrée et j’eus le temps de lui adresser une mise en garde.

— Évite d’employer le nous quand tu parles, fais gaffe.

— Oui et heureusement que tu as continué de parler après moi. Dit-elle les bras chargés.

— Je te regardais tout à l’heure, t’es follement excitante ma belle Tatie. 

— Pense à autre chose ! C’est pas vraiment le moment ! Oui oui on arrive. Répondit-elle à mon père entourés de ses deux garçons à table.

Ce fut notre premier soir et comme expliqué précédemment, j’avais pris pour habitude de dormir dans la chambre d’amis avec les garçons, eux dans le grand lit et moi dans un lit de camp, évitant les disputes entre eux. L’un voulant dormir dans le grand lit et l’autre faisant la tête, j’avais opté pour une décision radicale, je dormirais dans le petit lit ! 

Ma tante occupait ma propre chambre avec le bébé. Mes parents couchés, nous communiquions par texto et pour une fois ma mère n’avait pas discuté avec sa sur. 

Véro m’envoya un premier message : – pour l’instant tout se passe bien, à demain. Ta Tatie chérie -. 

Je lui répondis simplement : – Tu manques à ton neveu qui t’embrasse partout -. Je reçus en retour : – ça ne m’étonne pas ! Tu m’embrasses tout le tempsmais j’aime bien ! Dors bien. Ta Véro -.

Nous étions arrivés depuis plus de trois jours et tous les matins je croisais ma mère au petit-déjeuner en train de papoter avec sa sur. À chaque fois je me remémorais mon époque d’ado en voyant ma tante en robe de chambre. 

À partir de mes quinze ans, j’avais fait une véritable fixette sur elle le matinen robe de chambre.

Chaque matin avant de partir au lycée, j’observais ses jambes croisées à la si peau blanche, dont une avec sa cheville gracieuse et son pied élancé presque aérien, se balançant au gré de la conversation. Sans maquillage et légèrement coiffée, elle était d’une telle sensualité qu’en quittant la demeure parentale pour rejoindre le lycée, j’en éprouvais presque des difficultés à marcher tant je la trouvais sexy. Cette période était restée ancrée dans ma mémoire. L’idée de me la faire ou moins de coucher avec elle, pour être plus élégant, relevait de l’impensable et s’était transformée en une sorte de fantasme au fil des années.

Mais le temps m’avait donné raison et fort d’un stage à Bordeaux pour mes études, j’avais accompli mon éternel fantasme en la draguant assidûment durant mon séjour chez elle. D’étalage de crème à bronzer en passant par mes massages dits californien, j’étais parvenu à mes fins en pensant à ce qu’elle m’avait avoué par la suite. Elle m’avait tout simplement confié qu’elle n’aurait rien eu contre une petite aventure à l’aube de mes 18 ans. Près de six longues années plus tard, elle divorça et je fis ce fameux stage chez elle, bien loin me douter de ses sentiments. Elle m’avait bien caché son jeu, mais cela aurait pu paraitre saugrenu de ma part de lui en vouloir, car au fond elle restait la sur de ma propre mère. Malgré notre vie commune, elle me rappelait sans cesse qu’elle demeurait ma tante dans certaines circonstances.

— Tu as bien dormi Patrick ? Me demanda ma mère en tartinant un bout de pain beurré.

— Super, Oscar et Jules dorment comme des anges, par contre le lit c’est pas le top ! 

— Mais tu aimerais peut-être retrouver ta chambre, tu y dormirais mieux ? Suggéra ma tante avec de la confiture au coin de sa bouche dépourvue de maquillage.

— Non ça va encore faire des disputes et puis dans quatre jours nous serons partis, on ne va pas tout changer. Dis-je en m’asseyant près d’elle avec ma tasse de café en ayant qu’une envie, l’embrasser à pleine bouche.

— Oui ça passe si vite, tu vas chercher Mamie ce matin ? Demanda ma mère alors que sa sur avait pris pour habitude d’effleurer son pied nu contre ma jambe.

— Euh oui je prends la voiture de Papa, d’ailleurs je ne vais pas tarder et vous allez cacher les ufs pour les garçons je suppose. En commençant à avoir une belle érection en sentant la peau douce de ses orteils raffinés contre ma peau.

— On ne va pas t’attendre quand même ! Véro je vais faire ma toilette et ensuite préparer à manger. Nous lança ma mère en quittant la cuisine. 

Ma tante avait le visage posé sur son coude, elle me souriait en poursuivant cette fois son geste en accolant sa voûte plantaire contre mon mollet. Elle était en manque de tendresse voire même un peu plus. 

En effet depuis trois jours nous ne faisions que de nous croiser en nous faisant la bise en public, tout cela pour finir par se coucher chacun dans son coin. 

Véronique avait beau avoir 43 ans, elle avait la libido d’une môme qui venait de découvrir l’amour. Malgré la reprise de la pilule depuis son accouchement, ma tante ne refusait jamais une partie de jambes en l’air avec son neveu. Tout en faisant preuve de modestie, je l’avais décoincée sur le plan sexuel voire totalement épanouie et elle ne se gênait plus pour me le faire remarquer, malgré son embarras constant vis à vis de moi. Je restais à ses yeux le fils unique de sa grande sur et l’impureté morale de notre relation persistait dans son esprit.

Nous étions enfin seuls dans la cuisine, les garçons étant devant la télé et ma mère en haut en train de faire sa toilette. 

Véro, songeuse, touilla une dernière fois son café et en prit une gorgée.

— Où est ton père ce matin ? En prenant un petit air coquin.

— Il est parti acheter des ampoules, elles pètent les unes après les autres. Lui répondis-je en me baissant pour caresser le dessus de ses orteils soignés.

— Ca fait long trois jours, j’ai tellement l’habitude de dormir avec toi. Enfin pour l’instant les garçons ne nous ont pas fait de frayeurs. En levant son pied pour le poser sur ma cuisse.

— Tu aimes que je m’occupe de toi, t’es ma petite Tatie que je dorlote. En massant ses orteils, aux ongles recouverts d’un vernis rose pâle du plus bel effet.

— Oui tu le sais mais il faut que tu partes et ce soireuh oh rien c’est trop risqué ! Déclara-t-elle en se levant avec sa tasse en main. 

— Hep ma belle ! Viens trente secondes te mettre sur mes genoux. En lui prenant le bras pour l’installer sur moi.

— Patrickc’est pas prudent. S’inquiéta-t-elle tandis que je lui desserrais sa ceinture sans rencontrer d’opposition de sa part.

— Mais tout ce que nous faisons est imprudent ! En glissant ma main sous sa chemise de nuit.

— Il ne faut pas Murmura-t-elle mollement.

Je palpai le bas de son ventre sans descendre plus. Elle m’enlaça le cou et pencha sa tête en ouvrant la bouche à la rechercher d’un baiser. Posément je lui caressai l’intérieur de ses cuisses en côtoyant sa douce intimité, pour remonter à la base de ses seins peu éveillés. Ma tante approcha ses lèvres, désireuse de se faire embrasser puis passa ses doigts fins le long de ma nuque. Subitement je l’incitai à reprendre sa place, sous son regard rempli de stupéfaction.

— Qu’est-ce que tu as ? S’interrogea-t-elle en resserrant sa ceinture puis en repoussant ses mèches derrière les oreilles.

— Je n’entends plus le bruit de la télé Lui chuchotai-je.

— Oui tu as raison Me souffla-t-elle en se resservant un café dans la foulée.

— Bon je vais y aller, tu m’as mis dans un état ! 

— Mais mon cher il ne fallait pas me demander de venir sur tes genoux ! Euh pour ce soirenfin ça me gêne toujours de te demander Patrick et je sais que..enfin ça n’est pas raisonnable mais j’aimerais que Bredouilla-t-elle confuse au possible.

— Moi aussi j’ai envie de te sauter mais ça n’est pas raisonnable, tu l’as dit. Conclus-je en scrutant ses lèvres désirables.

— Oh tu emploies toujours de ces termes Patrick ! Bon c’est vrai mais j’ai du mal le dire eteuh j’ai très envie de faire l’amour avec toi si tu veux savoir, mais là j’ai vraiment la trouille. Mais ça fait trois jours que je t’observe et que j’y pense

— Figure toi que tu n’es pas la seule ! On s’enverra un texto mais assure-toi que ma mère prenne un somnifère. En lui faisant un petit smack en me levant.

— Ah ça fais-moi confiance ! Je vais le lui dire et puis j’espère que tu pourras venir mais ça m’ennuie Patrickc’est moi qui te fais prendre un risque alors que l’on avait dit que l’on ferait attention. Dit-elle en passant sa main sur mon avant-bras presque d’une manière maternelle.

Oscar arriva aussitôt dans la cuisine et sa mère prit sa tasse à pleines mains pour se donner une contenance. 

Les garçons étaient au courant de notre relation, étant donné que nous partagions la même chambre à Hambourg. Ils ne nous avaient jamais vus nous embrasser et avec quelques secondes supplémentaires, Oscar aurait vu sa mère se faire ardemment peloter par son grand cousin. Nous avions frôlé la cata et je voyais bien que ma tante était perturbée en gardant le nez plongé dans sa tasse. 

Oscar avait eu un problème de connexion avec le jeu. Ce n’était pas bien grave et je le rassurai en lui disant que je le rejoindrais dans une minute. Il fila aussitôt.

— Ouhil m’a donné des sueurs Patrick, oh là là on joue avec le feu ! Tu vas voir qu’ils vont faire une gaffe avec ta mère. 

— Mais non ! Je vais voir les garçons et après je cherche Mamieet j’ai une de ses envies de te baiser ma Tatie. Lui soufflai-je en lui faisant un smack.

— Han Patrick ça me gêne tellement de te l’avoir proposéqu’est-ce que tu vas penser de moi ? Se soucia-t-elle en prenant un air de martyre. 

— A cette heure-ci je ne pense rien et ne sois pas gênée, t’es ma quadra sexy, ma Tatie à moi !

Véro garda sa tasse entre les mains et secoua la tête avec un sourire. Elle haussa les sourcils en joignant ses lèvres pour m’envoyer un baiser factice.

Comme convenu je partis chercher ma grand-mère toujours très coquette en fin de matinée. J’adorais ma Mamie qui se refusait à intégrer une vilaine maison de retraite. N’ayant pas d’idées arrêtées, la conversation avec elle m’était très aisée. Elle abordait des sujets de tous les jours et restait très informée de l’actualité.

En garant la voiture dans la cour, les ufs étaient déjà cachés et les garçons attendaient leur grand-mère de pied ferme pour débuter les recherches.

Chacun ayant trouvé son bonheur, nous passions à table. Ma tante était impeccable dans son tailleur avec sa jupe moulante et ses escarpins affichant ses pieds délicieux. Sa veste lui donnait une élégance rare et flattait sa silhouette. J’adorais les femmes, mais Véronique sortait indéniablement du lot. Elle avait de la féminité à revendre avec un maquillage léger, mettant en valeur ses yeux bleus et ses lèvres quasiment dessinées pour moi. Je n’avais qu’une envie, l’embrasser tout le temps. Je le lui avais dit, ce à quoi elle m’avait confié ressentir le même besoin. Nous étions donc dans une alchimie pure.

Au grand désespoir de Véro, ma mère croyant bien faire avait décidé de faire déjeuner les garçons avec nous. La peur d’une gaffe de l’un ou l’autre nous terrorisait et quant à Hugo, il dormait paisiblement dans le salon. Elle avait arrêté de l’allaiter depuis près de deux mois, retrouvant peu à peu ses seins fermes en forme de poire.

La conversation allait bon train et les garçons débarrassaient les assiettes à tour de rôle. 

Puis en prenant le dessert, elle s’anima sur l’esprit germanique.

— Les Allemands sont les Allemands, ils connaissent tout ! S’emporta mon père.

— Enfin Michel tu fais une caricature de ce peuple, la guerre est finie. C’est agaçant ce que tu dis ! Répliqua ma mère.

— Ne vous fâchez pas allons ! Alors Oscar et Jules, vous êtes contents d’avoir retrouvé votre Papa ? Demanda leur grand-mère pour calmer le jeu.

— Oui mais c’est Christine que j’aime pas, elle est méchante avec Maman et puis elle arrête pas de dire du mal de Patrick, je suis sûr qu’elle est jalouse de Maman. Raconta-t-il sous nos yeux penauds.

— Pourquoi serait-elle jalouse de ta Maman ? Intervint ma mère bien intriguée par cette remarque pertinente du petit bonhomme.

— Oh je sais pas ! Mais je l’aime pas ! Man ? on peut se lever de table et aller jouer ? En quittant déjà la table.

— Oui allez-y. 

— Mais Véro, que voulait-il dire à propos de Christine qui serait jalouse de toi par rapport à Patrick ? J’avoue que je ne comprends pas tellement. S’interrogea-ma mère.

— Je crois que Patrick a tapé dans l’il de Christine et quand elle nous a vus arriver ensemble, ça l’a rendue jalouse de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais elle s’est mise dans un état en me disant que j’avais de la chance d’avoir un neveu attentionné et puis je ne la connais pas beaucoup, enfin ils ont l’air de bien s’entendre avec mon ex, Jacques. Enchaîna-t-elle habilement en manipulant son rond de serviette.

— Mais elle a fait des avances à Patrick ? Insista ma mère lourdement.

— Oh Anne je t’en prie, arrête tout de suite avec ça ! Je suis allée diner chez Jacques qui a insisté et Oscar lui a demandé si Patrick pouvait venir pour que je ne rentre pas seule. Du coup nous sommes venus et voilà la fin de l’histoire, je ne pensais qu’elle en parlerait encore aux garçons. Poursuivit-elle néanmoins.

— Bon sur ces belles paroles, j’amène les cafés ! M’exclamai-je pour clore ce sujet sans intérêt.

Ma mère et ma tante débarrassèrent la table tandis que j’amenais les tasses à l’extérieur. J’entendis Véro fournir encore quelques détails sur le physique de cette fameuse Christine. J’en déduisis que le sujet n’était pas clos et quand ma tante prit place en face de moi, elle me jeta un regard inquiet et me demanda une cigarette.

Ma mère n’en manqua pas une ce jour-là.

Elle lui fit remarquer que la cigarette était nocive. Ma tante se mit dans une colère noire, estimant qu’elle n’avait pas être jugée et qu’elle avait passé l’âge pour ce genre de commentaire. 

L’incident fut clos mais elles ne s’adressèrent plus la parole de l’après-midi. Ma grand-mère tenta de les réconcilier, en vain. Ce ne fut qu’au moment de la ramener chez elle qu’elles firent enfin un effort devant leur propre mère.

Au retour, Mamie se désola d’une telle journée. Elle les avait trouvées stupides et s’enquit néanmoins auprès de moi de mes sentiments pour ma tante. Loin de la considérer comme une seconde mère, je lui expliquai mon admiration pour elle. Sa façon qu’elle avait eu de rebondir, après le départ soudain de son ex pour cette petite jeunette m’avait sidérée lui expliquai-je. J’omis bien entendu de lui dire que ce rebondissement fut en grande partie dû à mon séjour chez elle

Le repas du soir fut tendu. 

Les garçons ayant diné avant, nous étions tous les quatre avec les deux surs s’ignorant mutuellement. Nous bavardions avec mon père, puis exaspérés par leurs comportements, nous décidâmes d’entamer une partie de tennis en double à la télé. Oscar et Jules réjouis par notre présence organisèrent les équipes. Ce fut mon père et moi contre eux deux. La partie se termina par une victoire des petits cousins en trois sets. Ils montèrent se coucher en nous disant bonsoir, accompagnés par Véro qui en profita pour faire la toilette de Hugo. Ma mère me toucha deux mots sur l’attitude de sa sur.

— Je ne sais pas pourquoi elle s’est mise dans un tel état, ok j’aurais dû me taire pour la cigarette. Cette histoire avec l’amie de son ex l’a rendue furieuse. Je connais ma sur, elle aime plaire et la remarque d’Oscar est justifiée. Cette Christine n’a que 29 ans, Véro en a 43 et c’est probablement elle qui est jalouse, jalouse que Christine te trouve à son goût parce qu’en plus elle est jeune. Déplora ma mère.

— C’est ton point de vue, je me pose plutôt la question avec Jacques. Sans être vache, Christine n’a que 29 ans comme tu as dit et Jaques en a 50. Elle est bien foutue et je me demande ce qu’elle lui trouve et à la soirée, elle ne s’est pas gênée pour m’allumer devant lui. Enfin, ils ont un gosse après tout et c’est juste une petite garce à mon avis. Expliquai-je à ma façon.

— Ta mère a peut-être raison, Véronique est sans doute jalouse, d’ailleurs elle ne nous parle que de toi. Ta mère m’a faite cette réflexion en estimant que tu passais plus de temps avec ta tante que ta propre copine. Elle a quelqu’un dans sa vie au fait ? Se demanda mon père.

La question de mon père n’avait rien d’anodine. Tout doucement nous dérapions sur les relations que j’entretenais avec ma tante. Ma mère estimait qu’elle était jalouse de Christine et de plus mon père me resservait la sauce comme quoi je serais en fait plus proche de Véro que de ma copine, laquelle n’existait pas. Je n’avais pas d’autre choix que de parler de moi afin d’éteindre les prétendues sentiments amoureux de Véro à mon encontre, évoqués de manière indirecte par mes parents.

— Là c’est une colle, Véro ne me raconte rien ! Et Papa comme Maman, arrêtez de me balancer que je suis plus souvent avec Véro qu’avec Virginie ! Affirmai-je en prononçant un prénom improvisé.

— Enfin tu nous parles de ta copine, donc elle s’appelle Virginie et que fait-elle ? S’empressa de demander ma mère.

— Elle bosse dans une autre boite située dans la même tour où nous avons les bureaux, mais elle est mariée et a deux enfants, comme ça tu sais tout.

— Ah bon mais euhelle est divorcée ? Poursuivit-elle quelque peu dépitée.

— Ban non.

— Mais Patrick dans quoi tu t’embarques ! Tu sors avec une femme mariée, tu es en plein adultère, moi qui rêvais que tu te trouves une jolie fille de ton âge. Si elle a deux enfants, alors elle est plus âgée que toi ? 

— J’aurais mieux fait de fermer ma gueule, bon elle a 42 ans et elle est très belle. J’ai l’impression de subir un interrogatoire ! M’exclamai-je.

— Elle a presque l’âge de Véronique, c’est comme si tu sortais avec ta tante qui en a 43 et trois gosses ! Rajouta mon père.

— Et alors ? Véro est très séduisante et puis j’aime les femmes mûres, bon on peut changer de sujet parce que là je commence à saturer. Papa on reprend un petit café ?

— Oui. Répondit-il éteint.

Véro redescendit et devant les mines déconfites de mes parents, elle ne put s’empêcher de s’interroger en prenant place. Ma mère en signe d’apaisement lui tendit un cendrier. Sans moufter elle alluma sa cigarette en tirant une première bouffée puis ma mère l’apostropha.

— Tu étais courant pour mon fils, il a une liaison avec une femme de plus de 40 ans avec deux enfants ?

— Euhc’est à dire ? Bredouilla-t-elle en tirant une seconde bouffée.

— Je parle français ! Rétorqua ma mère.

— Euhattends je vais t’expliquer Anne, ce n’est pas du tout ce que tu crois. Dit-elle fébrile.

— Ah bon, c’est toi qui vas m’expliquer ! C’est la meilleure celle là ! En devenant rouge de colère.

Mon plan partait en vrille. Véro se méprenait avec la question directe de ma mère se croyant visée à tort par ses propos. Il fallait reprendre cette situation qui m’échappait, sous peine d’une gaffe monumentale de ma tante. De plus, ma mère avait un comportement exécrable avec ma pauvre Véro, qui n’y comprenait rien dans mes dires imaginaires.

— T’es pas obligée de l’agresser, elle n’y est pour rien. Véronique je leurs ai parlé de Virginie, celle qui bosse dans la boîte du dessous. En lui faisant un regard appuyé pour la mettre dans le coup.

— On dirait que tu la connais ! S’emporta ma mère.

— Vaguement. Marmonna Véro déstabilisée.

— Si ça se trouve cette bonne femme n’attend qu’une chose, que tu la mettes enceinte comme Véro l’a fait avec son banquier qui avait ton âge Patrick. Mais si elle travaille dans la même tour que toi, tu seras au moins au courant ! Poursuivit ma mère apparemment sortie de ses gonds.

— Ne te mets pas dans cet état Maman, je regrette de te l’avoir dit et puis ça n’est pas sérieux. Ajoutai-je en proposant une dernière cigarette à ma tante.

— Mais tu ne peux pas trouver une fille de ton âge ? Tu couches avec une femme qui a l’âge de ta tante et qui a deux enfants en plus, Michel tu ne dis rien ?

— Anne, Patrick t’a dit que c’était une relation sans suite et puis ça ne nous regarde pas, tu oublies qu’il a 26 ans. Répondit-il d’un ton calme.

— Tu sais Anne, il y a des tas de couples avec une différence d’âge. Moi personnellement ça ne me dérange pas et Michel a raison, Patrick est un homme, plus un gamin. C’est une relation sans lendemain et s’il est heureux. Renchérit à tort ma tante.

— Oh Véro tu es mal placée pour donner la leçon, tu as fait un gosse dans le dos d’un jeune gars et à ta place je n’en serais pas fière.

— Mais j’ai assumé et toi tu donnes la leçon à ton fils de 26 ans, fous lui donc la paix après tout ! Il est heureux avec cette femme, peu importe son âge. Ce que tu peux être vieux jeu, c’est pas possible. Répliqua-t-elle.

— Ah tu trouves normal qu’il est une relation avec femme du même âge que toi ! Finalement tu dois bien t’entendre avec lui, il ne sent pas la différence entre sa maîtresse et toi. 

— Qu’est-ce que tu racontes ? J’adore Patrick, il m’a sorti du pétrin et je sais que je peux compter sur lui. Maintenant je ne suis ni sa mère ni sa confidente et je ne le juge pas ou je ne lui donne pas la leçon contrairement à toi, Anne ! Conclut-elle en écrasant sa cigarette, pauvre cigarette.

— Arrêtez donc de vous engueuler ! On a passé une journée exécrable à cause de vous deux ! Leurs dit mon père visiblement agacé de les voir se crêper le chignon depuis le déjeuner.

Un silence pesant régna dans la pièce. Ma mère se leva et prit le plateau avec les tasses pour se diriger vers la cuisine. Véro emporta le cendrier et lui emboîta le pas. Une brève conversation s’en suivit entre elles. Ma mère lui reprocha son caractère libertin, ce à quoi ma tante prit la mouche et nous salua timidement avant de monter à l’étage. J’en fis de même avec mes parents et une fois en haut, j’entendis mon père suggérer fortement à ma mère de prendre un somnifère. Dans l’état où elle était, elle lui répondit qu’elle n’allait certainement pas s’en priver ce soir.

En passant devant la chambre de Véro je vis de la lumière sous sa porte, j’en déduisis qu’elle aussi se trouvait dans un état d’énervement assez élevé et qu’elle ne dormait pas encore. Sans faire de bruit, j’entrouvris sa porte en passant juste la tête à travers.

— Ca va ? Lui demandai-je.

— OuiMurmura-t-elle avec un sourire forcé.

— A demain ! Ironisai-je.

Ma tante crut bon de ne pas répondre et secoua la tête de gauche à droite en levant les yeux au plafond, puis posa son livre sur sa couverture. Elle saisit son téléphone devant moi et m’envoya un texto : – ta mère a pris un somnifère ? -. À mon tour je lui fis un hochement affirmatif de la tête. En réponse elle me renvoya un autre texto : – alors il ne faudra pas faire de bruitta Tatie chérie t’attend-. Je refermai la porte avec précaution pour regagner mon petit lit en gardant mon portable près de moi.

J’avais prévenu Véro de fermer à moitié son volet, histoire de ne pas trébucher dans le un noir complet. Trente longues minutes plus tard, un concert de ronflements émanant de la chambre parentale me rassura et je tapotai sur mon portable : – tu dors ? -. Dans la seconde d’après mon écran s’illumina : – non ! -. 

Le petit problème des textos se situait dans la perception même du message. Un point, une virgule ou dans le cas présent un point d’exclamation pouvait être interprété de différentes manières. Après la soirée agitée que nous venions de passer, ma tante était sans nul doute perturbée expliquant son agacement du moment par un point exclamatif.

En caleçon je traversai le couloir, guettant le moindre bruit suspect pour accéder à ma chambre, enfin celle occupée par ma tante. Mon vieux pote le réverbère, fidèle au poste me rendit un fier service grâce à la luminosité renvoyée à travers les fenêtres, celles-ci étant à moitié fermées. 

L’instant prit une tournure magique à la vue du visage de Véro, dans une pénombre de couleur bleutée. Assise au bord du lit, je devinai son corps aux formes divines sous sa chemise de nuit. Sa superbe silhouette élancée se leva aussitôt avec la chemise de nuit entrouverte, m’offrant une image flatteuse d’une partie du haut de son anatomie. 

— Te voilà enfin ! J’entends ton père qui ronfle et j’ai l’impression que ta mère dort profondément. J’ai fait un petit tour dans le couloir il y a cinq minutes, oh Patrick quelle soirée ! Dit-elle en me faisant un smack de courtoisie.

— Oui mais je n’ai pas eu le temps de te prévenir quand j’ai raconté mon histoire et puis, pensant bien faire j’ai balancé qu’elle avait 42 ans, quel con je suis ! Lui murmurai-je tout en déboutonnant le bas de sa tenue.

— Je trouve que Anne a un peu poussé ce soir, tu pensais bien faire et je me suis retrouvée dans la merde avec ton histoire. Tu ne pouvais pas trouver une fille de ton âge ? Ca aurait été plus simpledis je vois que tu ne perds pas de temps. En s’apercevant qu’elle avait sa chemise ouverte.

— Je ne vais pas te regarder toute la nuit ! En glissant mes mains à l’intérieur de sa chemise pour peloter ses fesses en les saisissant à leurs bases.

— Hum j’ai un neveu très attentionnécomme tu aimes prendre soin de moi. Dit-elle flattée de me plaire autant.

— J’ai envie de te bouffer ma belle Tatie. En me penchant pour embrasser son ventre puis en me mettant à genoux.

— Mais qu’est-ce que tu fais par terre ? 

— Un truc nouveau, pose ton pied sur le lit. En déposant des baisers le long de sa cuisses tout en pelotant son joli cul.

— Hann Patrick je vois ce que tu veux fairemais cette position me gêne horriblement vis à vis de toi. Je suis quand même ta tante et tu ne vas pas meenfin quand je suis debout, dans cette position ? S’interrogea-t-elle en faisant néanmoins ce que je lui avais dit.

— Ote ta chemise que je puisse te voir à poil. En approchant mes lèvres près de sa source savoureuse.

— Oh tu me fais faire de ces trucs, c’est bien parce que c’est toi Grommela-t-elle en laissant choir sa tenue à ses pieds.

Désormais nue, elle affichait sans le savoir une prestance inouïe avec ses jambes longilignes, son ventre quasi plat et ses seins aux pointes étincelantes perdus dans cette luminosité bleutée.

Véronique était foutrement bien foutue et de là à la comparer à une déesse venue de Grèce, le pas fut franchi allègrement. 

Malgré sa position avec le pied posé sur le lit, créant une sorte de confusion entre sensualité et érotisme, ma tante accepta de bonne grâce de se prêter au jeu. Tout en pelotant la base de chacune de ses fesses, je lapai lentement sa rivière à diamants, lesquelles commencèrent très vite à s’écouler sous sa respiration devenue intense. 

Dans cette chambre remplies de souvenirs d’ado pubère, j’avais fait abstraction de la notion de temps en dégustant la petite sur de ma mère. Sûr de mon fait, je léchai son sexe amoureusement qui me le rendit bien. Sa fontaine était en marche, Véronique mouillait de tout son bas ventre, elle me caressait les cheveux en laissant échapper de longs soupirs et de petits cris presque inaudibles.

Connaissant par avance ses désirs, la pointe de ma langue vint cajoler les parois tendres de sa fente pour s’y introduire. Véro en stoppa ses caresses pour plaquer sa main au sommet de mon crâne, comme pour se tenir à moi. Sa seconde main chercha la mienne pour l’empoigner, puis l’emmena à hauteur d’un de ses seins.

Je sentis son corps se raidir, tandis qu’elle me broya littéralement les phalanges dans une jouissance peu commune. Elle ne put s’empêcher d’émettre de petits cris aigus sous la virtuosité de ma langue, tantôt joueuse, tantôt studieuse, en se muant en un métronome diabolique d’efficacité. Mais c’en fut de trop pour elle.

— HannnPaPatrick il faut que je m’allonge. Bredouilla-t-elle en reposant son pied pour s’étaler sur les draps défaits.

J’en profitai pour soulager mon sexe en me débarrassant de mon boxer, le tout sous le regard admiratif de ma grande blonde, laquelle en avait la respiration haletante en tentant de reprendre son souffle.

Elle gonflait sa poitrine pour la laisser retomber faisant apparaître ses cotes sous son ventre détendu. Certes je l’avais déjà baisée mais la voir ainsi étendue, entièrement nue sur mon lit me semblait irréel. Mon pote le réverbère me rappela à mes lointains souvenirs, ceux-là même quand je m’imaginais rejoindre ma tante dans la chambre d’amis, mon fantasme absolu. En fait, le fantasme absolu était devenu réalité, là, sous mes yeux.

Ma belle femelle mûre se tortilla, caressa le haut de ses seins puis replia ses jambes en les conservant l’une contre l’autre pour me chuchoter des remords inopinés.

— Ca m’ennuie de me retrouve toute nue dans ton lit, quand je pense qu’on avait dit qu’on ne ferait rien. C’est de ma faute tout ça. M’avoua-t-elle tandis que je m’installais face à elle, les mains posées sur mes genoux avec mon sexe en ébullition.

— Oui enfin non, tu ne peux pas dire ça Véronique Ouvre tes jambes que puisse admirer ta jolie chatte. Lui suggérai-je sans la toucher et en employant dûment un terme peu distingué.

— J’ai un sexeenfin une chatte comme tu aimes le dire, tout à fait normale et je ne sais pas ce que tu lui trouves de si extraordinaire ! quand je pense à ce que je suis en train de faire avec toi. En se décidant enfin à disperser ses cuisses avec une grâce la rendant follement attirante.

— Oh la vache t’es vraiment belle à baiser ! T’es gaulée comme une reine ma belle Tatie. En caressant l’intérieur de ses cuisses, en effleurant sa source humide et en parcourant la peau lisse de son ventre creusé.

— Patrickcomment tu parles ! bon tu sais combien ça me gêne de me montrer à poil devant toi et surtout chez tes parentsallez viens me faire l’amour. M’implora-t-elle en soulevant brièvement son bassin.

Je me tus pour ne pas paraître vulgaire, mais des mots crus me montèrent à la tête. La petite frangine de ma mère possédait tous les atouts de la féminité, elle compilait à mes yeux la quadra débordante d’un charme purement sexuel à celle d’une maturité accomplie de son corps. 

Enthousiaste à la vue de ma verge aux veines gonflées, Véro en haussa les sourcils. A un train de sénateur, mon membre s’engagea entre ses muqueuses sous l’échange de nos regards contemplatifs. 

Je savourai ce moment hautement jouissif en parcourant l’intimité de la petite frangine, de m’imprégner de sa chaleur toute personnelle. Mais une fois le début de lentes vagues en elle, Véro ne put se contenir de m’avouer l’évidence la concernant.

— Hannnpourquoi je ne t’ai pas connu plus tôtc’est trop bon avec toi Murmura-t-elle la bouche entrouverte en me caressant le dos.

— C’est d’une telle évidence entre nous Véronique. En échangeant un long baiser passionné.

— Ouioui c’est vrai en plus, c’est si évident avec toi. Reconnut-elle en s’agrippant désormais à mes épaules en petite femelle conquise.

Je lui infligeai au départ de langoureux va et vient. Nos bouches se croisèrent et comme deux aimants, nos lèvres se plaquèrent l’une à l’autre. Puis mon sexe entra en action pour la pénétrer plus profondément. Véro frissonna à chacun de mes coups, abandonnant notre baiser pour respirer intensément. Le corps transpirant, elle plaqua ses mains sur mes fesses en manifestant des grognements étouffés. 

J’avais enfin ma tante à moi, je la baisais comme je l’entendais avec ma verge baignant littéralement dans sa fente ruisselante. Sans oser le lui dire, je réalisais en fait son fantasme si cher à elle qui finalement était proche du mien. Elle se faisait baiser par le fils unique de sa sur, laquelle dormait dans la pièce voisine et au fond d’elle-même, cette prise de risque l’excitait au plus haut point. Véronique haletait, se cramponnait à une jouissance déjà promise.

— Oui mon chéricontinue à me prendrecontinueDit-elle les jambes pleinement écartées me signifiant son consentement pour lui faire ce qui bon me semblait.

— C’est magnifique entre nousoh ma Véro ! En pilonnant son bas ventre avec ses mains qui me griffaient le dos.

— Ouiiouij’adore trop Grogna-t-elle en plantant ses ongles dans mes omoplates et en ondulant son bassin sur mon rythme frisant la frénésie.

— Vero je t’aime, c’est tellement fou. En grognant à mon tour ma jouissance en elle sans me soucier des blessures qu’elle m’infligeait.

— Hannn Patrickje t’aimehannn mon Patrickhannnnnn Gémit-elle à n’en plus finir.

— Oh ouiviens ma belle ! Lui ordonnai-je en plaquant mon pubis contre le sien durant quelques secondes de pure jouissance en elle.

— Hannn.j’en peux plusjehannnhannn Haleta-t-elle en lui administrant l’estocade finale, afin de l’entendre gémir pour agoniser dans un soulagement mérité.

Repue de bien-être, elle ne résista pas au plaisir gourmand de me laisser la limer. 

J’adorais, le mot restant faible, continuer de la baiser en entrant désormais paresseusement dans sa source devenue confortable. Véro me fixait avec un regard bien éloigné de celui d’une tante envers son neveu, elle avait ni plus ni moins celui d’une femme tombée dans l’amour de son propre neveu. Nous étions dans un moment à part, au cours duquel nous savourions l’un et l’autre notre accouplement incestueux, nous savourions les va et vient de mon sexe se frottant à ses parois vaginales. Nous avions une attirance tellement incroyable l’un pour l’autre, que Véro se sentit presque honteuse d’éprouver autant de plaisir à se laisser baiser par le fils de sa propre sur.

— Je vois que tu en profites ! Tu l’aimes ta Tatie. Murmura-t-elle pour se déculpabiliser.

— Et je crois qu’elle n’est pas insensible à ce que je lui fais. Lui rétorquai-je en maintenant des allers-retours presque flâneurs dans sa fente désormais domestiquée.

— Ouiembrasse-moi. M’ordonna-t-elle m’avouant indirectement son plaisir dans cet acte incestueux.

Je lui roulai une pelle suivant ses ordres, mais dame nature reprit ses droits et peu à peu, sans vraiment me trahir, mon sexe montra des signes irrésistibles de faiblesses. Il se retira progressivement de ce nid si douillet, devenu presque laiteux.

Nous respirions comme des damnés, comme les damnés du sexe que nous fûmes ce soir-là. Nous avions mis de côté le département tendresses de côté et la région romantique s’étant du coup fait la malle, l’état érotico-sexuel avait régné en maître durant notre étreinte.

Lessivé, je pris congé de son corps sous les yeux attendris de ma belle quadra comblée. Resplendissante avec ses cheveux en batailles et ses seins devenus arrogants, elle se mit assise à mes côtés au bord du lit.

— Mais Patrick, je t’ai griffé de partout ! S’étonna-t-elle en effleurant mon dos meurtri.

— Ce ne sont que des marques d’amour, ne t’inquiète pas et c’est plutôt flatteur ! Lui dis-je en portant ma main à la base de son sein pour effleurer sa pointe tendue.

— Tu me fais rire ! Excuse-moi et ne te montre pas torse nu demain matin devant ta mère, mais qu’est-ce que je t’ai fait ! Ooh tu dois me prendre une folle En posant sa tête sur mon épaule.

— C’est rien, bon je vais y aller. En me mettant debout pour enfiler mon boxer.

— Comme tu peux me rendre heureuse, tu ne peux pas savoir. Dit-elle en se levant à son tour pour m’enlacer une dernière fois.

— T’es géniale et tu restes ma Tatie. En passant ma main sur sa joue dans un geste de tendresse.

— C’est gentil ce que tu dis alors à demain et si on trouve le tempseuh je teenfin tu m’as comprise et comme j’adore te le faireoh comme ça peut me gêner de te proposer ça. Avoua-t-elle toujours embarrassée dans ce genre de suggestion et dans sa positon de tante envers son neveu.

— Tu as tout résumé, tu adores me le faire et je ne prononce pas le verbetu vas encore être gênée ! En terminant par un smack en lui pelotant ses superbes fesses.

— J’ai de la chance de t’avoir, Christine a raisont’es franchement un beau mec et surtout très intelligent. En m’enlaçant à nouveau et pour me rouler une dernière pelle.

Tel un Arlequin quittant sa Colombine, je regagnai en toute discrétion ma chambre.

Quelle ne fut pas ma surprise en écoutant ma mère, joyeusement papoter avec sa sur le lendemain matin à la cuisine. Visiblement réconciliées, je ne fis aucun commentaire sur le sujet. Ma mère ayant Hugo dans les bras, Véronique se dirigea vers la cafetière pour me servir du café. 

Nous parlâmes des vacances à venir pour juillet-août. Véro expliqua qu’elle avait la garde des garçons en août et ma mère dans la foulée lui demanda ce qu’elle projetait de faire tout le long du mois de juillet. Adorable à regarder dans ma tenue devenue fétiche, elle resserra la ceinture de sa robe de chambre sans répondre.

En fait nous avions dans l’idée de rejoindre mon pote Yan pour faire du surf à Biarritz. Nous l’avions déjà fait l’année dernière et malgré les réticences de ma tante, nous étions partis, Véro se faisant passer pour ma copine tre

Related posts

Retrouvailles excitantes avec Bastien, mon cousin – Chapitre 3

historiesexe

Une maîtresse qui vous veut du bien – Chapitre 1

historiesexe

UN GENDRE ATTENTIONNE – Chapitre 7

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .