Comme décrit dans les deux chapitres précédents, depuis notre retour de Rome pour fêter les cinquante ans de ma belle-sur Julie, nos relations de couple avec Mylène se sont embellies et surtout, sa sur se joint très souvent à nous à la maison ou lors de sorties à l’initiative de l’un ou l’autre. Dans ce nouveau chapitre, c’est l’aspect de plus en plus libertin de nos relations entre surs et beau-frère que je voudrais conter.

Julie et Mylène s’étant retrouvée une nouvelle jeunesse et surtout une connivence sexuelle inconnue jusque-là, nous nous retrouvons très souvent chez les uns ou les autres ou passons des week-ends ensemble à découvrir de nouvelles contrées tant géographiques que sexuelles. Il me revient surtout en tête l’invitation de Julie à participer à la réunion de ses anciens collègues de prépa pour fêter les 30 ans de leur fin d’études.

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Le plus amusant de cette soirée fut d’abord le lieu choisi, une ancienne boîte de nuit reconvertie en club échangiste et qui avait été entièrement réservé pour cette soirée privée entre copains et copines d’antan. Julie s’est bien gardée de prévenir sa sur que la boîte est celle-là même où Mylène s’est envoyée en l’air avec ses copains de l’époque et surtout, que ceux-ci seront présents à la soirée ! Pour mettre sa sur dans l’ambiance, elle lui a demandé de faire comme elle et de ne mettre aucun sous-vêtement, maintenant que toutes deux apprécient de s’exhiber à la moindre occasion.

C’est au sourire de la réceptionniste du club échangiste découvrant les mamelles de Mylène en train de ballotter librement et les seins menus de Julie en transparence derrière son chemisier que nous avons compris dans quel établissement nous entrions, la réceptionniste étant quant à elle déjà torse nu pour mettre les convives directement dans l’ambiance avant de nous faire visiter rapidement les lieux. Mylène apprécie beaucoup les salles de détente, spa, hammam et même la grande pièce couverte de matelas au sol. Nous atteignons finalement l’ancienne salle de danse reconvertie en grande salle à manger / salon où l’ensemble des anciens se trouve déjà en train de papoter et boire l’apéro.

Il est bien difficile de reconnaître trente ans après, les cavaliers de Mylène de l’époque, même Julie ne les reconnait pas d’emblée. Mais elle, ayant finalement moins changé physiquement, ses anciens copains la remettent tout de suite en citant une ou deux anecdotes la concernant. Ils se présentent en fait eux-mêmes avec leurs épouses anciennes élèves également pour certaines d’entre elles, tout en souriant à Mylène avec un il lubrique quand ils lui font la bise, ce qui semble déjà l’émoustiller.

Nous nous retrouvons finalement à la même table avec les trois copains, ayant profité de Mylène à l’époque. Ma femme se retrouvant entre celui qui l’a baisée en premier et sa femme qui se trouvait alors à forniquer à ses côtés dans la pièce tamisée. Julie est en face d’elle entre les deux autres copains et moi, entre leurs deux femmes. Chacun fait plus ample connaissance ou se remémore le bon vieux temps avec ses voisins.

La serveuse topless comme la réceptionniste passe alors prendre nos commandes d’apéro. Mylène ne buvant plus d’alcool depuis sa cure de désintoxication, opte pour le cocktail maison très coloré et à base de gingembre, plutôt aphrodisiaque aux dires de la serveuse qui nous avoue qu’elle a tendance à plutôt abuser de celui-ci particulièrement. Mylène lui demande alors quel effet elle en retire pour en boire autant. Elle lui chuchote quelque chose à l’oreille qui fait aussitôt réagir ma femme qui en commande deux d’un coup. Ayant reconnu la boîte de ses frasques passées, elle doit savoir que ce cocktail la mettra en condition pour la suite.

Je me trouve finalement assis suffisamment près pour percevoir les bribes de conversation de Mylène avec ses anciens/nouveaux amis d’un soir. En discutant du temps passé, elle avoue à son voisin de table ne plus se souvenir précisément de ce qui lui est arrivé ce soir-là, mis à part la gifle qu’elle lui a donnée avant de s’en aller. Mais c’est finalement sa femme qui explique à Mylène tout ce qui s’est passé, en lui disant qu’elle l’a caressée et qu’elles se sont roulées des pelles toutes les deux pendant que son futur mari la baisait.

Mylène a du mal à croire que ce soit bien elle qui ait pu faire tout ça ce soir-là, elle était plutôt pudique en cet âge-là :

Je n’en reviens pas. Vous me faites marcher. Ce n’est pas moi, vous devez vous tromper !

– Mais non Mylène. Tu as toujours, je pense, ce grain de beauté à l’aine, n’est-ce pas ?

– Oui. Tu te souviens de ça ?

– Tu peux nous le montrer de nouveau ?

– Là, maintenant, devant tout le monde ?

– Oui ! Ne dit pas que tu n’aimes pas comme moi exhiber tes charmes. Tu n’as pas mis de soutif. Je suppose que tu n’as pas de culotte non plus, comme moi ?

– Oui, c’est vrai, je l’avoue, depuis peu, cela m’excite de m’exhiber. Voilà, il est toujours là !

Je vois alors ma femme soulever sa jupe et ses deux voisins passer la main pour écarter ses cuisses et regarder son entrejambe dénudé ! Les mains restent alors en place pendant la suite de la conversation sans que Mylène ne les repousse et c’est cette fois son voisin qui poursuit la discussion :

Tu as la peau toujours aussi douce. Je vois que tu as opté maintenant pour le sexe entièrement lisse. C’est très agréable, n’est-ce pas ?

– Oui. Je l’avoue, mais cela fait peu de temps seulement que je le pratique. Jusque-là, je n’avais accepté que les lèvres épilées sur l’insistance de mon mari. Mais de ne plus avoir un poil est vraiment plaisant.

– Tu apprécies nos mains sur ton sexe alors ?

– Oui, même si c’est la deuxième fois seulement de ma vie que j’accepte consciemment une telle caresse de la part d’un inconnu. Mais la main de ta femme est tout aussi agréable que la tienne..

C’est sa voisine qui lui répond :

– Tu peux me caresser en retour, si tu veux. Regarde, tu devrais faire comme moi et laisser glisser ta jupe au sol. C’est très agréable d’avoir les fesses nues sur la chaise ! Je vais t’aider.

Je vois Mylène se soulever légèrement pour se rasseoir cul nu. Elle tourne la tête vers moi en me souriant. L’effet du cocktail a l’air d’être au rendez-vous. Je sais alors qu’elle va finir la soirée à poil. Mais jusqu’où ira-t-elle ? Sa voisine reprend la conversation :

– Je suppose que tu as continué de t’envoyer en l’air avec des femmes depuis notre soirée ensemble ici même ?

– Non, du tout ! Je ne me souviens pas d’ailleurs avoir eu de relation avec toi ce soir-là ! Mais depuis peu, je me suis rattrapée et tu vas me trouver vraiment immorale puisque c’est avec ma sur que cela s’est passé et continue d’ailleurs. Je partage de plus, depuis peu également, mon mari avec elle !

– Oh là là ! Tu es vraiment super au contraire, Mylène ! Tu me le prêteras également puisque je suppose que mon mari va vouloir te remémorer en live les moments passés avec toi, il y a trente ans !

Elle esquive cette dernière remarque pour relancer le récit de ses frasques de l’époque :

– Que s’est-il vraiment passé ? Je me souviens d’avoir ressenti un bien-être incroyable, mais d’avoir eu du mal de m’asseoir le lendemain !

– Eh bien, quand tu es rentrée avec mon futur mari dans la pièce où je baisais déjà avec un autre copain, il continuait de maintenir ta jupe levée d’une main pour exhiber ta chatte et te pelotait les seins de l’autre, ton chemisier étant déjà grand ouvert. Je me souviens de tes seins plantés bien haut pointant fièrement leurs tétons durs et ta chatte très poilue. Tu as bien fait de l’épiler comme la mienne. Tu sens comme la peau est douce au toucher. Tu peux me glisser un doigt maintenant, s’il te plaît.

– J’ai en mémoire seulement, les ahanements d’une nana allongée à poil à mes côtés sur un grand matelas. Ne me dis pas que c’est moi qui te fais mouiller comme ça la maintenant ?

– Si, bien sûr. Continue. Tu sais que tu t’y prends bien pour exciter une femme. Ta sur Julie a de la chance de t’avoir à portée de main, si je puis dire ! Pour info, la fille à tes côtés ce soir-là, c’était moi et je me suis tournée à un moment pour que l’on puisse s’embrasser pendant qu’on se faisait ramoner toutes les deux !

– Et je t’ai laissé mettre ta langue dans ma bouche ?

– Oui, bien sûr, et tu l’as enroulée avec la mienne. Viens, approche pour que l’on renouvelle l’expérience !

Je vois alors Mylène tourner sa tête vers sa voisine et fermer les yeux avant de l’embrasser à pleine bouche. Leurs mains continuent alors d’explorer leur minou sous la table avant de remonter pour prendre possession de leurs seins respectifs. C’est Mylène, le chemisier déboutonné aux trois quarts, qui rompt la première leur effusion pour s’enquérir de la suite :

Je n’ai plus le souvenir d’avoir été peloté comme ça, ni surtout de t’avoir rendu la pareille, n’ayant alors jamais touché une fille jusque-là. Je suppose que je l’ai fait, non ?

– Oui, bien sûr. Nous avons frotté nos poitrines l’une contre l’autre, tu ne te souviens pas ? Cela excitait terriblement nos baiseurs du moment qui n’ont pas tardé d’échanger de partenaire d’ailleurs.

– Tu veux me dire que j’ai baisé avec plusieurs mecs ?

– Oui, tous ceux présents dans la pièce t’ont sautée ce soir-là, si tu veux me passer l’expression, tout comme moi d’ailleurs et les autres copines aussi. Nous adorions finir souvent nos soirées en partouze. Tu peux leur demander de confirmer. Il y en a deux autres présentes à la table !

Ma voisine ayant également une oreille indiscrète se joint alors à leur discussion pour témoigner de sa participation libertine et féliciter par la même occasion ma femme pour la tenue de sa poitrine malgré son volume aujourd’hui et surtout ses dix ans de plus qu’elle :

Tu sais Mylène, si tu permets que je te tutoie. Certes, tu as pris quelques rides, quelques vergetures et ton ventre se plisse un peu comme le mien, mais tu es toujours désirable, tu sais. Ainsi, par exemple, ton téton qui tente de s’échapper est toujours aussi agréable à regarder. J’ai cru comprendre que tu ne dédaignais pas la caresse d’une femme. Nous aurons j’espère l’occasion de nous redécouvrir plus intimement tout comme mon mari quand il en aura fini avec ta sur ! Il garde un souvenir inoubliable de cette soirée où tous les garçons se sont soulagés en toi, fiers de s’être payé une mature, si tu veux bien que je te qualifie ainsi. Tu devais avoir la trentaine et nous la vingtaine seulement !

– Alors là, je n’en reviens pas. Moi qui n’avais jusque-là connu que deux verges, celle de mon dépuceleur et celle de mon mari ! Combien finalement se sont succédé dans mon vagin ?

– Je ne me souviens plus exactement, mais sept ou huit au moins, mais pas que dans ton vagin, ton cul et ta bouche également !

– Mon mari ne m’avait jamais sodomisée jusque-là. Je comprends maintenant mon mal au cul du lendemain !

– En fait, tu te souviens de quoi exactement ?

– D’avoir émergé à un moment de mon rêve avec l’esprit embrumé, mais le sexe en ébullition avec des doigts qui me fourrageaient simultanément la chatte et le cul et surtout que je me sentais bien ! Je me revois ensuite, prise en levrette dans le vagin d’abord, puis dans le cul avec ménagement sans doute, ayant à peine ressentie une gêne au passage du gland !

– Oui, je me rappelle. Tu as quand même supplié de ne pas être prise par là. Je t’ai alors embrassé pour te rassurer tout en te massant les seins et le clito. Tu t’es rapidement assagie et tu as fini par fermer les yeux avant toi-même de reculer tes fesses pour ta première sodo, si j’ai bien compris.

– J’ai effectivement dû repartir dans mon rêve éveillé, car je ne me souviens plus de rien ensuite.

– Je te confirme que tu n’étais plus avec nous. Puisque deux autres queues se sont succédé dans ton cul et que tu en as sucé une autre en même temps jusqu’à en avaler la semence ! Tu étais quand même à demi-consciente, car tu avais l’air d’apprécier qu’ils te balancent toute une série de mots orduriers. Tu devais vraiment, même inconsciemment comme tu le dis, te sentir être une vraie salope, la pute d’un soir et donc finalement accepter d’être prise à la chaîne.

– Oui, j’ai encore en tête ces chapelets de mots qui m’excitaient, c’est vrai. Tu peux d’ailleurs me parler crûment, j’adore. Cela me conforte dans mon avilissement et participe à la progression de ma jouissance. Mais je ne me souviens pas des changements de partenaire qui ont dû se faire en douceur, car je pensais seulement avoir affaire à un mec endurant. Ce n’est qu’à la fin, à mon réveil que j’ai encore en mémoire cette bouche pâteuse et surtout que j’ai découvert mon cul et ma chatte qui dégorgeaient de foutre.

– C’est vrai que le sida n’était pas encore là et les capotes jamais utilisées, mais heureusement que nous prenions toutes la pilule ! Je me souviens très bien de l’image sensuelle que tu renvoyais. Tes lèvres chiffonnées mettaient en valeur ton vagin rouge carmin grand ouvert d’où s’épanchaient par saccade des glaires blanchâtres se mélangeant avec celles débordant de ton cul. Je t’ai alors aidé en essuyant tout ce trop-plein avec ta culotte que je crois mon mari a fini par garder avec ton soutif en souvenir. N’est-ce pas chéri ?

– Non, en fait, c’est le copain de Julie de l’époque qui en faisait la « collec ». Mais je confirme la beauté du tableau avec tes poils poisseux collés par nos semences que tu semblais vouloir éjecter par des contractions sporadiques. Je me demande même s’il n’y a pas un copain tout aussi collectionneur qui a fait un cliché polaroïd souvenir, comme il en faisait souvent ! Il est là ce soir, nous pourrons lui demander.

– J’espère que la photo de ma chatte n’a pas fait le tour du bahut pour se retrouver peut-être aujourd’hui sur le Net dans les images vintages de certains sites pornos ?

– Elle est peut-être aussi célèbre que le tableau « l’origine du monde » !

– Ne te fous pas de moi, je suis sérieuse quand je dis que je n’ai pas du tout envie de ce genre de célébrité, même si aujourd’hui, j’apprécie l’exhibition. Mais j’ai l’impression que vous me taquinez et que si même à l’époque, j’admets que j’ai pu – sous les effets de l’alcool – me laisser pénétrer une fois ou deux, je ne me vois pas avoir participé à une partouze généralisée !

– Pourtant, après ton départ, Mylène et la gifle que tu m’as collée pour te donner bonne conscience vis-à-vis de ton mari, j’ai continué avec les copains à baiser les filles qui restaient et Julie a eu droit elle aussi à la succession de nos bites, mais elle, en toute connaissance de cause, comme à son habitude. D’ailleurs, regarde-la ! Elle a retrouvé son copain de l’époque qui la pelote allègrement pendant – je suppose – qu’elle le branle. Tu ne veux pas comme ta sur sentir à nouveau en main une bonne bite, Mylène ?

– Tu sais que je n’en ai caressé qu’une autre depuis trente ans et il y a peu de temps seulement, celle d’un routier sur une aire d’autoroute que j’ai branlée à la vitre de la voiture avant qu’il ne se répande sur ma figure et mes seins. Je m’étais pour l’occasion bandé les yeux pour ne pas voir la scène, mais uniquement me l’imaginer !

– Mais là, je t’en offre l’occasion. Cela ne te tente pas. Ton mari est entre de bonnes mains qui le branlent déjà, je pense. Il ne devrait donc pas s’en offusquer !

– Ah, c’est sûr. Il a toujours voulu que je m’envoie en l’air avec un autre sous ses yeux !

– Tu fais comme tu le sens Mylène. Tu sais, nous sommes un couple libre avec ma femme. Je sens néanmoins que toutes ces évocations t’ont bien émoustillée, tant ton vagin est très humidifié. Tiens, goûte ta cyprine. Tu aimes ?

Je perçois alors un mouvement de la main de Mylène sous la table en direction de l’entrejambe de son voisin avant qu’elle ne tourne machinalement la tête en direction de sa sur tout en léchant les doigts de son voisin couverts de sa liqueur intime. Julie lui sourit en retour. Ma femme surprise par la taille de ce qu’elle tient en main ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle ressent :

– Tu as une sacrée bite, je nen ai aucun souvenir et pourtant, j’ai dû la sentir passer, vu son diamètre impressionnant !

– Tu étais moins intimidée, il y a trente ans, car tu m’encourageais à te labourer bien à fond comme tu disais.

– Je n’étais pas dans mon état normal, tu sais !

– Mais là, tu t’y prends vraiment bien pour me faire bander. Tu en as conscience ?

– Oui. J’avoue, même que je suis très excitée par la situation. Surtout de voir qu’autour de nous et aux tables voisines, tout un chacun a l’air de caresser son voisin ou sa voisine !

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Pour permettre au personnel de mettre le couvert pour le dîner, il nous est demandé de poursuivre l’apéro au salon où chacun pourra faire une nouvelle commande. La partie salon jouxtant la salle à manger est composée de plusieurs petites boxes séparées par des bacs à fleurs avec deux ou trois tables basses entourées d’un canapé, de deux fauteuils et des poufs. A mon grand étonnement, des corbeilles avec divers gadgets sensuels, voire sexuels sont mis à disposition sur les tables basses. Notre table se dirige alors vers le plus proche. Quelle surprise de voir que les trois quarts des convives sont déjà à poil ou proche de l’être ! Mylène laisse d’ailleurs tomber son chemisier en se levant que la serveuse récupère avec sa jupe pour les entasser dans un coin avec le reste des vêtements éparpillés sous les tables.

C’est donc nue et décontractée que ma femme part s’asseoir sur le canapé avec ma voisine de table. Le cocktail l’a vraiment désinhibée. J’ai hâte de voir la suite. Ils sont rejoints par son mari qui vient de délaisser Julie avec qui elle partage désormais un fauteuil avec sa copine de l’époque. Mon autre voisine restée avec moi vient partager le deuxième fauteuil en venant s’asseoir sur mes genoux. Les deux poufs sont finalement occupés par les deux copains restants qui se sont placés près de Julie et sa copine.

Mylène se retrouve rapidement dans les bras de ma voisine du repas, à frotter leurs poitrines volumineuses, tout en se roulant une pelle magistrale. Son mari – agenouillé au pied de ma femme – glisse sa tête entre ses cuisses qu’elle a largement ouvertes pour exposer son abricot. Je la vois alors fermer les yeux et se laisser une nouvelle fois aller, revivant sans doute dans sa tête les sensations passées dans le même établissement. J’ai alors l’idée de prendre un masque dans la corbeille pour aller occulter ses yeux. Elle est touchée par mon attention qui va lui permettre d’oser plus facilement outrepasser ses carcans, tant ce cocktail l’excite et qu’elle se sent prête à toutes les extravagances pour satisfaire mes fantasmes. Elle me tend ses lèvres pour un long baiser amoureux, ses lèvres intimes continuant d’être aspirées par son butineur du moment. Elle finit par me confier à l’oreille :

Chéri. Merci, je ne me suis jamais sentie aussi bien. Vous avez bien fait avec Julie de me libérer. J’adore maintenant m’exposer devant tout le monde. Tu avais raison. Quelle sensation d’embrasser son mari tout en offrant sa vulve à lécher ! Tu sais, je crois être capable de tout ce soir, tant j’ai la chatte en feu !

– Je t’aime chérie ! Tu peux t’éclater comme tu veux. Ne te freine surtout pas. Tu sais combien j’attends depuis si longtemps que tu t’offres totalement au premier venu sous mes yeux !

– Ce soir, je suis prête, mon chéri. Je ne vais pas te décevoir. J’en suis si excitée d’avance. Maintenant que je viens de prendre conscience que je suis déjà devenue l’objet sexuel d’un groupe, ici même !

C’est à ce moment-là que le DJ tamise la pièce et lance une série de slows en invitant chacun à danser ou à commander une autre tournée d’apéro, l’installation du couvert et surtout la cuisine prenant plus de temps que prévu. Le suceur de minou de Mylène ne perd pas de temps et se lève pour inviter ma femme la queue déjà en pleine érection qu’elle ne distingue pas sous son masque, mais ne peut ignorer ensuite quand il se frotte contre son ventre au rythme de la musique. Le tableau est saisissant en voyant tous ces couples danser à poil en se caressant plus ou moins ouvertement.

Pour ceux qui préfèrent continuer de siroter l’apéro et parler du bon vieux temps, le copain photographe fait circuler son album souvenir de table en table. On y voit quelques photos de leur bahut et celles traditionnelles de toute la classe en début d’année, mais surtout, toutes celles de leurs soirées estudiantines. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir un polaroïd jauni, mais suffisamment en gros plan pour voir une chatte avec un grain de beauté à l’aine et un cul débordant de foutre avec ce commentaire : « le garage à bites de la soirée qui nous a tous vidangé ! ».

J’en profite pour appeler le photographe qui me confirme les principaux événements de cette sacrée soirée en me montrant quelques autres clichés de Mylène, mais aussi de Julie entre de bonnes mains et surtout de belles queues qui les pénètrent ou éjaculent sur elles. Je lui demande s’il compte ce soir encore faire quelques instantanés. Il me dit qu’il a déjà commencé et qu’avec son zoom, il a déjà quelques vues de Mylène très suggestives comme : la pointe d’un téton sortant du chemisier, sa galoche avec sa voisine, son entrejambe caressé sous la table avec ses deux mains sur les sexes de ses voisins/voisines et la dernière, une verge dure contre son ventre pendant qu’elle danse. Je lui donne mon adresse mail pour qu’il m’envoie une sélection des meilleurs moments de la soirée.

Le DJ fait changer bientôt les cavaliers à intervalles réguliers tous les deux ou trois morceaux au point que ma femme se retrouve toujours à poil dans les bras d’une dizaine d’inconnus qui ne se privent pas de la caresser sans qu’elle ne s’en offusque à ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir bien entendu. Je suis convaincu à cet instant de la soirée que je vais enfin voir ma femme baiser avec un autre. Elle offre ainsi sans retenue ses lèvres à embrasser, ses seins à téter, son cul à malaxer et sa chatte à fouiller avec un ou plusieurs doigts tout en jaugeant de la main le calibre de son cavalier !

Elle a l’air d’apprécier toutes ces verges qui bandent pour elle, et rit souvent lorsqu’on lui chuchote quelque chose à l’oreille. Elle est parfaitement détendue et heureuse de sa soirée. C’est donc sans appréhension qu’elle se laisse entraîner dans une pièce attenante où un immense matelas couvre le sol. Elle se croit toujours sur la piste même si le sol se ramollit. Je l’aperçois qui a l’air de confier son étonnement à son partenaire ! Je me dirige alors vers cette pièce comme beaucoup d’autres.

J’ai hâte de voir la suite des évènements. Les couples y copulent déjà avec des bruits significatifs qui ne doivent pas échapper à Mylène. Elle ne se dérobe pas à mon grand étonnement quand son partenaire arrête de danser au milieu d’un morceau et lui appuie sur les épaules pour l’agenouiller. LSa figure entre en contact au passage avec sa verge dressée. Même si elle n’a plus la vue, elle ne peut ignorer la situation. Je la vois alors tendre ses mains pour chercher à tâtons le sexe qu’elle imagine à proximité. Elle soupèse d’abord au passage la paire de couilles bien gonflées avant de saisir la queue offerte pour la frotter contre ses joues et la masturber, puis lécher le gland du bout de sa langue.

Le photographe ne perd aucun de ces moments. Elle introduit maintenant lentement la verge interminable dans sa bouche jusqu’à la butée de ses couilles qui viennent s’écraser sur son menton. Son cavalier lui bloque finalement la tête entre les mains pour se masturber carrément avec sa bouche. Elle tousse et crache, mais y revient pour continuer sa fellation. Elle aspire maintenant son gland tout en lui masturbant la hampe avec énergie. Quand il gémit au bord de l’éjaculation, elle ouvre grand la bouche et sort sa langue à ma grande surprise en posant le gland violacé dessus. Un flash crépite pour immortaliser la scène. Il finit par lui remplir la bouche. Elle lève alors la tête vers lui et déglutit avant de tirer la langue pour lui montrer qu’elle a tout avalé, comme pour lui dire, tu vois comme je peux être encore une belle salope trente ans après, malgré mon âge !

Ce manège attire bien entendu toute l’assemblée des anciens, la plupart ayant toujours en mémoire la soirée où ils avaient pu profiter des charmes de ma femme. Plusieurs se sont déjà mis en cercle autour d’elle pendant sa fellation en se branlant ostensiblement comme pour attendre leur tour. La plus surprise par ce spectacle est Julie qui, pressentant la suite, a pitié de sa sur pour venir s’agenouiller à ses côtés et l’aider à s’occuper de toutes ces queues. Elle lui chuchote alors quelque chose à l’oreille pour lui indiquer sa présence près d’elle et sans doute lui lancer un défi à celle qui réussira à soulager le plus de queues !

Elles pompent en effet à fond au moins cinq ou six bites chacune pendant que trois ou quatre, n’ayant pu se retenir, déversent leur lot de foutre directement sur leur dos, leurs seins ou même la figure sans qu’elles ne s’en offusquent. Elles terminent ensemble par la mienne. Je tiens alors à ôter le masque de Mylène pour la regarder droit dans les yeux pendant qu’elle me pompe. Elle me fixe avec ses yeux brillants embués de bonheur que je ne lui ai pas vu depuis longtemps, comme fière de son exploit. Une fois avoir échangé mon foutre dans un long baiser, elles se relèvent et rejoignent le salon bras dessus, bras dessous puis en se caressant mutuellement les fesses en riant comme si elles venaient juste de finir l’apéro, mais avec des coulées de sperme sur leur corps témoignant de leur activité récente. Je fais un clin d’il au photographe qui n’a pas perdu une miette de leur prestation.

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Une fois douchées toutes les deux, elles nous rejoignent au salon où un nouveau verre de cocktail les attend pour qu’elles se rincent la bouche comme lui dit sa voisine sur le canapé avant d’ajouter :

Et bien, Mylène tu n’as pas perdu ton endurance d’antan ?

– Tu sais, c’est ce cocktail qui me pousse à dépasser mes limites. Pour tout t’avouer, je n’avais sucé personne d’autre à part mon mari depuis notre soirée mémorable ici !

C’est à cet instant que la serveuse vient déposer une nouvelle corbeille avec cette fois, toute une série de plug anal de différentes tailles avec un bijou de couleur associée. Elle annonce que c’est un cadeau pour toutes les dames de l’assistance par l’association des anciens et que toutes étaient invitées comme elle a le porter dès à présent. Elle ôte alors son string et se penche pour faire admirer le bijou rouge qui orne son anus ! Je vois immédiatement qu’elle porte celui qui a le plus gros diamètre. Elle s’éloigne alors vers le box suivant sans prendre la peine de remettre son string qu’elle balance sur le tas de vêtements de tout le monde. La voisine de Mylène lui propose alors qu’elle s’enfile mutuellement leur plug :

– Tu sais ma chérie, ma rondelle a dû se resserrer n’ayant pas été sollicitée depuis ma dernière venue ici !

– Alors, dans un premier temps, je te conseille le petit modèle vert. Ecarte bien tes miches pour que je trouve l’entrée de ton fion, ma grosse truie. Je vais te doigter d’abord avec un peu de lubrifiant. Tu ne vas rien sentir à part un bien-être d’être remplie de ce côté-là !

– J’aime que tu m’insultes ainsi, je le mérite après ce que je viens d’être capable de faire au milieu de vous tous. J’avoue que je me sens très salope ce soir. Regardez tout mon trou du cul comme il est beau maintenant. Tu peux faire un gros plan avec ton zoom, j’adore m’exhiber, tu sais, ça m’excite ! Pas toi ma chérie ?

– Si, bien sûr. Enfile-moi le gros rouge. Je vois que Julie en a un jaune déjà en place. Nous pourrions faire une photo ensemble toutes les trois.

Elles s’assoient côte à côte avant de s’allonger sur le canapé et de relever leurs jambes à la verticale. Il est évident aux nombres de stries foncées et à la largeur de leur sphincter que le plug rouge est le plus adapté pour celles qui pratiquent régulièrement la sodo et le vert pour celles qui sont vierges ou quasiment de ce côté-là, le jaune intermédiaire sied parfaitement à Julie qui n’a manifestement jamais abandonné cette pratique.

Finalement, après ce cliché des trois culs alignés sur le canapé avec leur bijou au milieu, le photographe propose à toutes les femmes présentes ayant un plug de se rassembler. A ma grande surprise, aucune ne se dérobe et toutes à poil, se dirigent vers lui. Il y a toute la diversité des poitrines de la plate à tétons démesurés à la débordante sur le ventre aux mamelons très larges en passant par les refaites toujours bien rondes. A la demande du photographe, les dix premières, dont Mylène et Julie s’agenouillent côte à côte en posant leurs coudes au sol pour bien creuser leur rein et nous offrir la plus belle vue sur leurs fesses plus ou moins flasques, avec tout leur abricot visible en dessous, plus ou moins gonflé, mais lisse.

Les dix suivantes sont appelées à s’allonger sur leur copine en maintenant leurs cuisses écartées avec leurs mains sous les genoux pour présenter leur chatte et leur rondelle agrémentée du plug. Toutes les lèvres sont là encore bien épilées, alors que les pubis vont du touffu au glabre en passant par le plus ou moins taillé du roux au noir et au blond clairsemé. Elles ne semblent aucunement gênées de s’exposer ainsi. Cet alignement de bijoux colorés est du plus bel effet. Il permet par ailleurs d’évaluer statistiquement que 10 % des participantes doivent être membres de ce club et offrir régulièrement leur cul à baiser et qu’un autre dixième identifie les pucelles du cul qui, pourtant, n’ont pas hésité à expérimenter ce soir l’intromission d’un corps étranger dans leur fondement. La grande majorité est donc pratiquante, plus ou moins régulièrement. Il faudra que je demande au photographe d’en tirer un poster souvenir. Mon voisin me conforte dans cette idée :

C’est une coutume à chacun de nos rassemblements tous les cinq ans de faire des photos de groupe de nos femmes, de plus en plus osées d’un rassemblement à l’autre. Tu ne les pas vues dans l’album qui circulait tout à l’heure.

– Non, je suis resté bloqué sur celle de la chatte de ma femme refoulant le sperme qu’elle avait ingurgité.

– Ah, Mylène c’est ta femme, une vraie petite cochonne. Elle n’a rien perdu avec les années, si ce n’est qu’aujourd’hui, c’est plutôt une grosse truie, si tu veux bien me passer l’expression. Son show de fellation à la chaîne tout à l’heure m’a rappelé la fois où on lui était tous passé dessus. C’était la première fois que je baisais une vieille. J’espère qu’avant la fin de la soirée, je pourrais renouveler cette expérience.

Je prends cela pour un compliment, surtout si son apparence actuelle fait toujours bander. Moi qui ai toujours fantasmé la voir agir ainsi !

– Merci. Tu sais, je suis comme toi et je serai heureux que tu baises ma femme à mes côtés quand je me taperais la tienne ! Nous venons souvent nous éclater dans ce club. Tu la repéreras facilement, c’est la grosse au plug rouge avec de tout petits seins. A tout à l’heure, j’espère ?

Le DJ fait alors tout doucement redescendre la pression en changeant la musique d’ambiance et en éclairant un peu plus la pièce tout en invitant chacun à rejoindre sa table d’origine afin de pouvoir démarrer le service du dîner. Le repas se déroule ensuite dans une ambiance de plus en plus chaude, le vin et les caresses sous la table ainsi que les conversations en étant pour beaucoup la cause tout comme l’apéro libertin qui a permis à certains couples des tables voisines de prendre de l’avance, côté baise et à mes deux femmes, Mylène et Julie, de prolonger l’apéro par une série de cocktails chauds fait maison et servis du producteur à la consommatrice !

Nous nous retrouvons pour le repas dans la même configuration qu’au départ, si bien qu’entre chaque plat, Mylène peut reprendre le branle de son voisin d’une main et titiller le clito de sa voisine de l’autre en concurrence, parfois avec ma voisine ! J’ai appris d’ailleurs par celle-ci que les soirées en boîte, lorsqu’ils étaient tous en prépa, se terminaient toujours en orgie et partouze et que Julie n’était pas la dernière à en redemander et qu’elle ne serait pas étonnée que cela se finisse de la même façon, vu le lieu choisi pour leurs retrouvailles. Elle craignait en entrant que beaucoup aient pu changer avec les années, mais vu l’atmosphère de l’apéro et surtout la prestation de ma femme et sa sur, elle sentait bien que tous seraient partant pour rejouer le final de ces soirées d’antan.

Elle m’avoue également qu’à l’époque elle appréciait beaucoup Julie et qu’elles se retrouvaient souvent toutes les deux dans le même lit à se faire du bien ensemble ou à partager un, voire plusieurs mecs ! Je lui raconte en retour que ma femme me partage désormais avec sa sur et qu’elles se font également du bien mutuellement, s’étant depuis peu découvert cette passion commune.

Ma voisine me dit alors qu’elle envie Julie, elle qui aurait tant voulu que sa propre sur aînée soit bi comme elle. Elle a donc été heureuse que Mylène accepte tout à l’heure qu’elle la caresse et que leurs poitrines généreuses puissent s’entremêler sur le canapé pendant l’apéro. Il lui tarde maintenant de pouvoir frotter leur chatte l’une contre l’autre. Mais que bien entendu, elle sera ravie de m’accueillir en elle en même temps que son mari s’occupe de ma femme ! Ils ont en effet l’habitude, eux aussi, de venir souvent dans ce club pour s’éclater avec d’autres couples dont plusieurs, sont présents ce soir, ce qui lui fait penser que la soirée devrait basculer en un grand lupanar, dès le café et les pousses ingurgités !

Le café est servi directement à table, ainsi que les digestifs. Mylène tient à continuer avec son cocktail maison sans alcool qui la maintient dans d’excellentes conditions comme elle le confie un peu fort à toute la table en insistant sur le bien-être procuré d’être cul nu sur une chaise et se sentir déjà remplie de toutes parts. Ma voisine, amoureuse de Mylène, prend sa remarque au bon et lui dit qu’elle serait enchantée avec son mari de lui faire visiter tous les recoins de l’établissement avec leurs amis qui ont l’habitude de le fréquenter. Mylène lui répond aussitôt :

Je pensais qu’en entrant, la réceptionniste nous avait déjà tout fait visiter ?

– Je ne crois pas, car il y a, par exemple, des pièces dans l’obscurité totale comme celle derrière le hammam ! Tu verras, tu n’auras pas besoin de mettre un masque ou de fermer les yeux comme j’ai remarqué que tu aimais le faire pour te concentrer sur tes sensations.

– Ah oui. Bonne idée ! Tu nous accompagneras, chéri ? Je vais pouvoir me tourner des films de cul dans la tête tout en les réalisant dans cette pièce obscure. Le super pied comme cette fois là sur l’aire d’autoroute où je me suis masturbée devant des routiers avec les yeux bandés !

Sa voisine surenchérit :

– Tu ne vas pas être déçu alors !

– J’espère, car je me sens si bien ce soir que je suis prête à réaliser tous les fantasmes de mon mari. Il pourra m’entendre glousser de plaisir, mais ne me verra pas dans l’action. Ce sera d’autant plus jouissif, je crois pour nous deux, n’est-ce pas chéri, je t’aime tu sais ?

– Oh moi aussi j’aime quand tu dévoiles ton côté salope, tu sais !

– Tu vas être fier chéri. Je suis prête cette fois consciemment à me faire ramoner par des inconnus !

– J’aime quand tu te lâches comme ça. Tu vas prendre de la bite ce soir par tous les trous, tu le sais ?

– Oui, dès que l’on est entré et que j’ai reconnu le lieu. Je savais que je revivrais, en toute connaissance de cause cette fois, ma débauche passée. C’est pourquoi j’ai tenu à prendre cet apéro aphrodisiaque. Et l’effet est aussi saisissant que le gin / gingembre d’il y a trente ans. J’ai le feu au cul, chéri. J’ai une envie folle d’être baisé sans discontinuer !

Elle n’a pas pris la peine de se déplacer pour me dire tout cela. Nos deux voisines de table qui nous séparent n’en reviennent pas de la crudité de nos échanges. Mais elle a parlé si fort que toute la table et probablement celle d’à côté nous ont entendus donner le programme à venir. Sa sur Julie lui a évidemment dit aussitôt qu’elle voulait être de la partie.

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La suite dans un prochain chapitre 4 …

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