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Christine VI : Midlife Crisis – Chapitre 3




Le jeudi en fin de journée, je me rends dans un centre commercial pour acheter un cadeau à Alina. Après nos discussions, un porte-jarretelles s’impose naturellement. Je trouve un magnifique ensemble ivoire, composé d’un soutien-gorge à coque, d’un string très fin et d’un discret porte-jarretelles en dentelles. Je trouve les bas du même coloris. Je fais emballer le tout.

Le lendemain, j’arrive chez Alina à midi. Elle porte une coquette robe rouge et des accessoires blancs. Je lui dis qu’elle est très belle et lui offre le paquet. Elle me remercie mais ne l’ouvre pas.

— Ce n’est pas encore tout à fait prêt, on va prendre l’apéro.

Sur la table basse du salon se trouvent quelques amuse-bouches au foie gras. Alina sert deux coupes de champagne et nous trinquons devant la baie vitrée. Nous posons les verres et nous embrassons. J’ai envie d’elle. Elle a envie de moi. Après avoir déboutonné mon pantalon, Alina me pousse dans le canapé et s’agenouille devant moi. Elle me suce. Derrière elle, devant la baie vitrée, un miroir est posé au sol. Pas par hasard. Il est parfait pour refléter les jarretelles et le string rouges qu’Alina a passé sous sa robe.

— Remonte ta robe

Alina s’exécute. Ses fesses, son string minuscule, magnifiques. Alina me jette un coup d’oeil, ravie de son effet. Mais elle n’a pas terminé. Alors qu’elle me suce toujours, elle écarte son string, dévoilant sa vulve et son anus. Je suis fou.

— Laisse-moi venir derrière toi

Elle lâche ma queue et avance le buste pour prendre appui sur le canapé. Je contourne la table basse et m’agenouille derrière elle. Je lèche doucement ses lèvres ruisselantes, goûtant à sa cyprine. Je la doigte très doucement. Alina prend son pied. Remontant mon doigt, je caresse son anus avant d’introduire très lentement une phalange. Je joue quelques instants avec son petit trou avant de le lécher. Alina gémit bruyamment. J’introduis ma langue et glisse dans l’étroit orifice.

— Prends-moi

Ses désirs sont des ordres. Je m’introduis dans son vagin et la prends en rythme.

Alina me demande ensuite de me retirer. Je m’assieds par terre et elle vient s’asseoir entre mes jambes. C’est tendre, doux. Enlacés, nous nous embrassons passionnément. Alina ondule très légèrement alors que je suis profondément en elle. Elle jouit une première fois.

— Dire que j’ai dû attendre 44 ans pour être comblée sexuellement

Dans un état second, elle a un deuxième puis un troisième orgasme. En bougeant à peine. Impressionné, je la laisse prendre son pied. Quatrième orgasme. Les gouttes perlent sur son front, sa nuque. J’ouvre la fermeture Eclair de sa robe et la lui retire. Je dégrafe et enlève son soutien-gorge. Cinquième orgasme. Elle déboutonne ma chemise. Je l’enlève. Sa poitrine brûlante contre mon torse. Sixième orgasme. Dès lors, Alina tressaille à intervalles irréguliers mais fréquents. Je ne compte plus

Son extase dure près de cinq minutes. A bout de souffle, Alina semble proche de l’évanouissement. Je la relève et l’allonge sur le canapé. Je vais lui chercher de l’eau. Elle me sourit en prenant le verre.

— Tu as joui ?

— Non.

— Branle-toi sur moi

Je la regarde, elle me confirme par un sourire. Je retire la capote de commence à me masturber. Il ne me faut pas longtemps, à la vue de ce corps magnifique, pour arriver à l’extase. Je gicle sur ses petits seins. Elle rit et se redresse doucement pour aller à la salle de bains.

Alina a remis sa robe et nous passons à table. Le repas est excellent, le vin parfait. Elle sait que je n’ai pas beaucoup de temps à midi et elle a fait en sorte que cela ne dure pas. Au dessert, elle ouvre son cadeau et sourit en découvrant l’ensemble.

— Je m’en doutais.

Elle le regarde, visiblement ravie. Nous nous embrassons tandis que je fais les cafés. Elle me remercie pour le cadeau.

— Tu n’aurais pas dû. Je n’ai rien pour toi.

— Et cette invitation ? Et ce repas en si agréable compagnie ?

Elle rit. J’ajoute :

— Je ne veux rien d’autre. Et ça pourrait me causer des problèmes.

Elle hoche la tête.

— Vu sous cet angle

Je regarde la montre sur la cuisinière. Il faut que je m’en aille. Je mets mon manteau et Alina m’accompagne à la porte. Elle me demande :

— Une question : pourquoi as-tu choisi précisément cet ensemble ?

— Parce qu’il est discret, comme toi.

— Je suis discrète ?

— En société, tu es souvent en retrait. Et je ne t’imaginais pas comme une femme qui porte de lingerie fine, pas du tout à vrai dire. Après les soirées de révélations, je m’en suis remémoré de plus anciennes, j’ai revu des photos et j’ai envisagé que le nylon sur tes jambes n’était peut-être pas le fait de collants.

— Donc selon toi, je cache bien mon jeu ?

— Exactement. Alors j’ai pris un porte-jarretelles assez fin pour que tu puisses le mettre sous n’importe quelle jupe ou robe sans que personne ne se doute de rien. En toute discrétion. Mais un ensemble en dentelles, parce que c’est raffiné et élégant.

Elle m’embrasse.

— Tu es adorable. Tu as réfléchi ainsi pour le reste aussi ?

Nous rions.

— Je rigole, mais oui. J’avais le choix pour le soutien-gorge et pour le bas. J’ai pris le string, qui est vraiment mini, parce que je n’imaginais pas ce porte-jarretelles avec une culotte ou même un tanga. Ça aurait été du gâchis.

— Pleinement d’accord avec toi.

— Pour le soutien-gorge, j’ai pris à coque à cause de tes tétons. Si tu ne mets pas un soutien-gorge un peu épais, ça se voit à travers tes vêtements, comme depuis que tu es revenue de la salle de bains.

Alina éclate de rire.

— On ne peut rien te cacher !

— On ne voit que ça en même temps. C’est très excitant.

— Ça te plait ?

— J’ai adoré les avoir dans ma bouche, entre mes doigts.

— A vrai dire, ça me gêne un peu, surtout l’été à la plage. Et Miki n’aimait pas, pas du tout. Il me touchait rarement les seins. Alors je suis ravie que ça te plaise.

— Montre-les moi

Elle retire sa robe et je caresse puis lèche ses énormes tétons. Je les suce, les mordille, les tète. J’en suis fou. Elle gémit.

— Mmmh C’est si bon Continue

Penché sur sa poitrine, je me délecte de ses longs bouts. Alina me murmure alors à l’oreille :

— Prends-moi Vite Avant de partir

Je me redresse. Un regard. Elle s’appuie contre la porte d’entrée, m’offrant ses fesses. Une capote et je glisse en elle, les mains sur ses seins. Je les malaxe tout en allant et venant en elle. Elle souffle.

— 22 millimètres

— Quoi ?

— Mes tétons ils mesurent 22 millimètres au repos

— Et maintenant ?

— Je sais pas ils grossissent sais pas s’ils s’allongent encore

J’accélère.

— Tu sors sans soutif ?

— Non jamais j’ose pas

— J’aimerais bien

Quelques instants plus tard, je jouis. Un baiser, un passage rapide à la salle de bains et je m’en vais.

Nous échangeons quelques messages durant l’après-midi. Assez soft. Je lui dis à nouveau que j’adorerais qu’elle sorte une fois sans soutien-gorge. Elle répond que c’est tout de même assez embarrassant mais qu’elle va y réfléchir.

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