Six jours était passés depuis quIsabelle avait rencontré son maître, il avait été convenu quils ne se verraient que les samedis pour ne pas éveiller les soupçons de son mari, mais tous les jours elle recevait des messages sur son téléphone et sa boite mail de choses quelle devait faire. Aller au travail sans culotte, se faire jouir tous les jours que ce soit avec son mari ou seule, prendre des photos avec divers objets dans le cul ou dans la chatte. La veille elle avait reçu un petit colis dans lequel il y avait un petit plug de trois centimètres de diamètre, quand elle le secouait une petite bille bougeait à lintérieur. Avec il y avait un mot : « Un petit cadeau pour ma petite pute, tu le portes au moins deux heures par jour et samedi tu viens me retrouver avec.
Ton maître ».
Elle aimait porter cet objet, il bougeait en même temps quelle et lui offrait des sensations nouvelles. Son mari avait trouvé ça drôle, lorsquelle lui avait montré, elle lui avait dit quelle lavait acheté pour pimenter leur vie sexuelle. Lui était ravi, tous mes jours ou presque elle lui sautait dessus pour le sucer ou pour baiser, parfois même elle avalait. Il trouvait que sa libido était exacerbée mais il appréciait assez.
Le lendemain elle devrait retrouver son maître, il lui avait ordonné, en plus du plug, de mettre une jupe un porte-jarretelles des talons hauts et une chemise légère avec un soutien-gorge assorti au porte-jarretelles, tout autre sous-vêtement était interdit.
Elle avait tout bien préparé, les chaussures étaient dans son sac car elle ne voulait pas les porter dans la rue, elle prétextait un projet avec des amis pour occuper ce jour. Sur la route déjà elle se dandinait tant elle mouillait dexcitation, ce faisant elle sentait le plug bouger et cela lexcitait davantage.
Dans lascenseur elle changea de chaussures et remonta un peu sa jupe pour que son maître puisse voir le haut de son porte-jarretelles. Lorsque la porte souvrit elle se trouva nez à nez avec un homme quelle ne connaissait pas. Vu sa tenue, il sortait, mais il fallut un instant aux deux adultes pour se rendre compte quils se dévisageaient ouvertement. Isabelle rougit plus que de raison, alors que lhomme se poussa pour la laisser passer. Les portes se fermèrent derrière elle et lhomme disparu avec la cabine de lascenseur mais elle sentait encore son regard sur son corps. Mon Dieu il avait dû la prendre pour une pute dans cette tenue. Lorsquelle reprit ses esprits elle remarqua que son maître lattendait sur le pas de son appartement :
— Tu viens de rencontrer mon voisin petite pute, laccueillit-il, si tu es sage peut être le connaîtras tu plus en profondeur.
La façon dont il avait dit le dernier mot ne laissait aucune place à un quelconque contre sens. Après deux minutes à ne pas bouger il linvita à entrer. Lentement sur ses 12 cm de talon elle entra dans la première pièce et après deux pas lhomme lattrapa par le bras la gifla deux fois et la jeta au sol. Il se mit accroupi pour être à sa hauteur.
— Un, lui dit-il en pointant lindex de sa main droite, tu es en retard, deux, poursuivit-il en pointant le majeur, tu as oublié la première règle de cet appartement pétasse.
Devant le regard de perplexité que lui lança son esclave, il se redressa et sorti une cravache noire avec la forme dune petite main en cuir.
— Lève ta jupe connasse, lui ordonna-t-il, et mets-toi à quatre pattes.
Isabelle eut une seconde dhésitation, une seulement, car elle savait que son maître naimait pas quelle lui résiste. Précautionneusement elle se mit sur les genoux et sappuya sur la main gauche et leva sa jupe sur la main droite avant de sappuyer également dessus. A peine fut-elle en position la cravache lui cingla la fesse gauche.
— Tu ne dois JAMAIS être debout dans cet appartement, grosse salope, cria-t-il en lui frappant le cul encore deux fois, noublie jamais où est ta place !
— Pardon, pardon monsieur, pleura Isabelle, je ne le ferai plus je vous le promets.
— Tu as plutôt intérêt sale pute !
Lhomme séloigna et alla dans le salon. Isabelle essuya les larmes sur son visage en sasseyant sur ses talons. Son maître lappela et à quatre pattes elle alla dans la pièce voisine où elle trouva son maître dans le même siège que la dernière fois. Sa braguette était ouverte et son sexe flasque était sorti.
— Viens me vider les couilles, lui dit-il simplement.
Docilement elle se dirigea à quatre pattes comme une chienne jusquau fauteuil et commença à la masser.
— Sans les mains, la prévient-il avec un léger coup de cravache sur la joue, dailleurs
Sans finir sa phrase il sortit une sangle dentre les cousins, lhomme lui ordonnant de se tourner et il lui attacha solidement les mains dans le dos. Ainsi attaché il lui ordonna de la sucer.
Elle commença par des petits coups de langue sur sa tige jusquà ce quelle commence à durcir. Doucement elle suçota son gland, elle serait restée ainsi longtemps si son maître navait pas appuyé sur sa tête pour faire entrer sa queue plus profondément. Les vas et viens commencèrent, dabord petits, puis de plus en plus grands, de plus en plus longs. Il devenait de plus en plus dur et Isabelle mouillait davantage à chaque fois que le gland de son maître touchait le fond de sa gorge. En levant les yeux elle vit quil prenait du plaisir mais quen même temps il lisait le journal. Cela voulait-il dire quelle nétait pas assez bonne pour avoir toute son attention ? Forte de cette idée elle redoubla defforts sur sa bite et serra un peu plus les lèvres. Sa langue sagita sur son gland et sur sa tige. Parfois elle ressortait totalement pour lui lécher les couilles. Quand un soupir de plaisir dépassa les lèvres de son maître Isabelle redoubla deffort pour le soulager. Sans sen rendre compte elle se mit à gémir en faisant le vas et viens toujours plus serré. Lhomme la traita de pute, il disait quil aimait lentendre gémir comme une truie. Il devint plus dur et appuya plus fort sur sa tête pour lui donner un rythme plus soutenu. Quelques minutes plus tard il était si proche du point de rupture quil lui mit les deux mains sur la tête. Il lui tirait les cheveux quelle avait pris tant de soin à peigner. Il la traitait de salope, de pétasse et quand le point de non-retour arriva il lui lâcha :
— Sois un bon vide couilles pouffiasse, avale tout et nen laisse pas une goutte.
A peine eut-il finit sa phrase que de longs jets de sperme envahirent la bouche dIsabelle. Un haut le cur lenvahi immédiatement mais la douleur que la cravache sur ses fesses lencouragea à obéir à son maître. Elle prit une longue inspiration par le nez et avala le sperme chaud petite gorgée par petite gorgée jusquà ce que sa bouche soit vide.
— Ouvre, ordonna-t-il.
Sans hésiter elle sexécuta. Affectueusement il lui caressa la tête comme une chienne qui avait été sage. Sans un mot il se leva, la laissant là à genoux avec ce goût de sperme dans la bouche. Devait-elle le suivre ? Ne sachant que faire elle sassit sur ses talons, son plug bougea, lui rappelant sa présence. Sans vraiment savoir pourquoi elle commença à se dandiner sur elle-même, faire bouger le plug de gauche a droite. Son maître nen revenait pas et cétait tellement bon. Elle ferma les yeux et sabandonna au plaisir du mouvement. Elle alla plus vite, et encore une fois des gémissements lui échappèrent. Elle continua de cette façon une minute ou deux et lorsquelle ouvrit les yeux elle se trouve nez à nez avec son maître.
— Tu es vraiment une belle salope, dit-il avec un peu trop de satisfaction.
Isabelle se décomposa ; quelle honte, il lavait vu se faire plaisir seule alors quelle avait les mains attachées et quelle venait de le sucer. Mortifiée elle baissa les yeux sentant les larmes monter.
— Ne pleure pas ma petite pute, lui dit-il en lui relevant le menton, pas encore.
Avec une grande force de conviction Isabelle parvint à ne pas pleurer. Les mains de lhomme quittèrent son visage pour ouvrir son chemisier, il arracha les boutons pour voir son soutien-gorge en dentelle. Il baissa le bonnet pour faire sortir ses mamelles au-dessus. Il lui pinça les tétons, fort, lui malaxa les seins sans délicatesse, tira dessus. Isabelle serra les dents, elle ne voulait pas crier, elle ne savait pas si elle avait le droit. Il serra ses tétons plus fort, plus fort et plus fort encore jusquà ce que sa petite salope lâche un petit gémissement. Avec une violence retenue il la poussa en arrière pour quelle se retrouve allongée sur ses bras et lui écarta les cuisses sans ménagement. Il passa longuement ses doigts sur sa chatte pour jouer avec sa mouille. Il létala sur ses lèvres et sur son ventre, puis il y introduit des doigts. Deux dabord, puis trois il fit de long va et vient pour la faire mouiller davantage. Il se pencha en avant et passa quelques coups de langue sur le clitoris et les lèvres de sa pute toute offerte. Elle gémissait comme truie et sans retenue, se dandinant sur le sol pour en obtenir plus. Lhomme la lécha encore, le fit vibrer et lorsquelle fut sur le point de jouir il sarrêta. Désespérée elle se dandinant sur le sol, le supplia de continuer, pour seul réponse il lui gifla les seins et les fesses à plusieurs reprises et lorsquil constata que sa salope mouillait encore plus il frappa un peu plus fort. Lorsquil eut finit il la retourna sans délicatesse, sur ses genoux et appuya sur son dos pour que ses seins sécrasent au sol et que son cul soit bien haut.
Il lui écarta les fesses avec envie et joua quelques instants avec le plug qui navait pas bougé. Isabelle poussa un soupir de plaisir, lorgasme était toujours proche mais il refusait de venir. Dun coup sec le maître retira le plug et la soumise ne put retenir un cri de surprise. Immédiatement il glissa sa langue dans lorifice encore ouvert. La femme se dandina pour en recevoir un peu plus. Le maître entra deux doigts facilement mais Isabelle fit lerreur den demander encore. Mécontent lhomme la fessa deux fois et puisque son cul ne rougie pas assez vite il reprit la cravache pour lui fouetter les fesses jusquà ce que les marques rouges ne disparaissent plus.
— Tu nas pas à me donner dordre, cria-t-il en lui jetant la cravache au visage, maintenant tu ne bouges plus salope !
Isabelle pleurait, elle faisait son possible pour ne pas bouger. Ses fesses lui faisaient tellement mal mais le pire était quelle navait jamais autant mouillée ; elle sentait la cyprine couler sur ses lèvres. Quelle genre de dépravée était-elle ? Elle sentait le sang affluer sur son cul, là où la cravache avait sévit et cela lexcitait davantage.
Elle resta appuyée sur les genoux et les seins pendant au moins une demi-heure ; elle entendit son maître fumer, se servir un verre et regarder la télé. Elle commençait à avoir des douleurs partout et des impatiences dans les jambes. Lorsque lhomme lui demanda décarter les cuisses elle crut que le mouvement lui ferait du bien mais cétait encore pire, ses genoux ne supportaient plus son poids et voulaient détendre pour raviver les muscles qui les composaient. Pourtant Isabelle, en docile soumise, écarta les cuisses et exhiba sa chatte ruisselante. Lhomme tira un peu sur ses lèvres, les petites et les grandes, elle serra les lèvres de sa bouche pour ne pas le supplier de continuer. Soudain une pression se fit sentir, il lui fallut quelques secondes pour comprendre que son maître lui mettait des pinces à linge sur les grandes lèvres, quatre sur chaque lui semblait-elle. Comment une telle douleur pouvait lui donner tant de plaisir ? Cela du se voir ça lhomme se mit à ricaner en lui remettant son plug et dans un mouvement fluide il lui détacha les poignets. Les bras dIsabelle tombèrent de chaque côté de son corps et ce nest quà cet instant quelle remarqua à quel point ils lui faisaient mal. Son maitre lui ordonna de se mettre à quatre pattes et sagement elle sexécuta en tentant de ne pas sentir ses bras endoloris par linactivité. Une fois cet exploit réalisé il lui demanda de la suivre. Isabelle dévisagea un instant ce grand homme brun si imposant tant le requête lui sembla irréalisable. Elle allait devoir marcher avec des pinces sur les lèvres qui lui faisaient déjà terriblement mal. Le regard de son maître sassombrit devant son manque de réaction et son insistance à le fixer, il leva la main pour la gifler mais Isabelle baissa les yeux et se mit immédiatement en route. Elle écartait les cuisses le plus possible pour que les pinces ne se touche que très peu et elle se cambrait pour les faire un peu sortirent dentre ses cuisses.
— Tu as lair dune chienne en chaleur comme ça, lui dit lhomme, il va apprendre à garder cette position pour que tes trous soit tous à ma disposition, cest bien compris ?
— Oui monsieur.
Il lemmena jusque dans la cuisine. Dès son entrée elle le vit fouiller dans le frigo et sortir un concombre énorme, jamais elle nen avait vu de cette taille, elle savait bien à quoi il allait servir et un peu de crainte passa sur son visage.
— Nimagine pas que tu as le choix, gronda son maître, tourne toi.
Obéissante la petite chienne fit demi-tour pour lui montrer son cul. Rapidement il lui ôta le plug et entra le concombre dans son anus. Son orifice malléable souvrit pour laisser entrer le légume et Isabelle grogna de plaisir, Lhomme lenfonça presque à moitié avant de le ressortir et de le renfoncer. Il fit ainsi plusieurs va et vient chacun plus profond que le précédent et plus rapide. Isabelle lâche un râle de plaisir. Satisfait, lhomme lui retira une pince à linge, puis deux, puis trois, étonnement cétait plus douloureux que lorsquelles étaient en place mais le plaisir nétait que plus grand. La chienne sentait toujours lorgasme à proximité mais celui-ci refusait obstinément de lenvahir et vu la dernière réaction de son maître elle ne voulait pas le guider. Un bruit de braguette la sortie de sa torpeur, elle voulut se retourner mais son maître len empêcha. Il lui retira les dernières pinces et présenta son gland à lentrée de sa chatte.
— Maintenant tu vas pouvoir jouir maintenant sale pute, tu vas pouvoir crier comme une truie.
Et cest effectivement ce quelle fit quand il la pénétra sans délicatesse, elle le sentit buter au fond de son vagin et le plaisir fut immédiat. Il commença une danse dans ses trous alternant les coups de bites et de concombre, un peu plus vite, un peu plus fort, il linsultait copieusement :
— Tu nes quune sale pute ! Quun trou que je bourre pour vider mes couilles, taimes ça salope ! Être traité comme un défouloir sale pétasse.
Cétait si bon, le coup de butoir, les injures, le sang qui affluait encore sur les coups de ceinture, le mélange de tout ça fit monter en elle une énergie insoupçonnée qui explosa dans tout son corps. Elle hurla de plaisir tans dis que son maître continuait de lui pilonner les trous. Elle mit toute sa force pour tenir sa position pour quil puisse se vider en elle.
Oooh la chaleur lenvahi à nouveau, un autre orgasme lenvahissait. Si fort quelle avait du mal à tenir sur ses bras. Son maître enfonça le concombre si profondément quelle cria de douleur en même temps que sa jouissance mais il ne sen soucia pas, il lâcha le légume et entrepris de la fesser à plusieurs reprises en linsultant encore, hurlant presque. Le va et vient de sa bite dura encore deux minutes avant quil ne se décharge en la traitent de pétasse et quIsabelle ne sécroule sur le sol, épuisée, le concombre toujours dans le cul.
Isabelle resta ainsi sur le sol, allongée sur le côté, le sperme coulant de sa chatte et le concombre lui dilatant lanus. La sueur perlait sur sa peau et lorsquelle retrouve assez dénergie pour se redresser le gland de son maître lattendait.
— Nettoie, lui ordonna-t-il.
La catin se mit à quatre pattes pour satisfaire son maître qui avait pris place sur une chaise de la cuisine et pendant quelle le suçait il jouait avec le concombre, le faisant bouger ou aller et venir. Isabelle avait du mal à se concentrer sur sa tâche mais ne sarrêtas pas.
— Cest bientôt lheure dit-il rêveur, tu vas rentrer chez toi sans te laver et tu te feras baiser par ton homme ce soir.
Isabelle se contenta daccepter en bougeant la tête. Satisfait lhomme lui caressa affectueusement.
— Tu as bien jouis salope, sans attendre de réponse il continua, ce nest quun début.