Bonjour monsieur. Comment allez vous? Tout le monde a entendu cette phrase au moins une fois, pas forcément dans les même conditions. Jétais sur un bac en Norvège pour traverser un fjord. La personne qui me parle a un fort accent, norvégien je suppose.

Je réponds comme tout le monde:

— Bien et vous-même;

— Très bien, je vous remercie. Jaime parler avec des français, jaméliore mon vocabulaire et mon accent.

— Pour le vocabulaire je peux, quant à laccent, je ne garantis rien, je suis du Midi de la France (sud de France) et je parle avec mon accent normal.

— Ca mest égol.

— Non on dit égal.

— Je savais que javais beaucoup à apprendre.

Elle ne me déplait pas du tout cette fille blonde, grande et élancée, dans les 25 ans. Je lui apprendrai bien autre chose que le vocabulaire.

A larrivée du bac, juste en face, il y a un petit établissement mi restaurant, mi hôtel. Je ly invite: ce quelle accepte à condition de payer sa part. Cest elle qui passe la commande, javoue que le norvégien ne fait pas parti de mes langues préférées. Il nous faut attendre une vingtaine de minutes pour quon nous serve un délice parait-il: des truites.

Je vais patienter. Patienter avec une jolie fille nest pas un drame. Elle est très souriante, parle énormément de tout et surtout de rien. Je la reprend de temps en temps, son français est correcte. Elle me demande même de lui parler des mots damour et de sexe. Là je suis gêné. Lui dire des mots polis comme verge ou vagin, dautres mots comme disent les filles quand elles sont heureuses, je ne peux vraiment pas.

Elle insiste, jarrive à la convaincre de prendre avec moi une chambre pour laprès déjeuner. Là je pourrai lui apprendre plein de choses: elle comprend vite:

— Et nous ferons lamour?

-Ce serait utile pour le vocabulaire et même pour le corps. Jaime assez faire lamour avec les blondes.

— Je nai jamais fait ça avec un Français, on dit quil savent bien le faire.

— On le dit.

Heureusement que la serveuse ne nous oublie pas. Nous dégustons la truite, nous buvons la bière. Je demande une chambre, avec mon seul français. Les commerçants comprennent beaucoup de langue. On me donne une clé. Nous montons ensemble et là commence une fête qui va durer un bon moment. Je commence le premier à lembrasser: nos bouches sentendent à merveille comme nos langues. Jessaie maladroitement à lui faire tomber sa robe. Je my prends tellement mal quelle préfère le faire elle-même. Je commence mal ma leçon de sexe à la française. Sa robe par terre, je peux continuer à la mettre nue. Quel corps splendide, avec ses seins pointus, ses hanches larges, son pubis légèrement velu. Je la serre contre moi, je bande déjà, cest normal quand on voit un tel morceau. Je commence à me déshabiller, je me tourne pour ne rien lui montrer avant que je sois nu. Quand je me tourne cest la surprise, non pas que jai un bite énorme, je suis normal de ce coté là. Cest la raideur de la chose qui la surprend. Pourtant je ne suis certainement pas le premier, elle a du en voir des paquets de bites à son âge.

Je ne suis pas son premier: je men aperçoit quand elle la prend dans sa main et quelle me branle. Sous tous les cieux les façons de branler ne changent pas.

Je peux passer ma main dans la raie de fesses. Elle se laisse faire en me regardant dans le yeux. Jarrive à un point névralgique: son cul. Elle me laisse tout juste le caresser avant de me demander daller ailleurs: elle ne connais pas la sodomie. Jy veillerai.

Par contre quand ma main arrive sur sa chatte, elle me laisse faire ce que je veux et ce quelle aime. Je la branle en caressant le clitoris quelle a assez petit. Je la fais jouir. Jusque là aucun problème irréalisables. Je la fais coucher les jambes ouvertes. Elle pense aussitôt que je vais la baiser. Mon plan est différent: je vais la sucer partout sur sa chatte.

Là elle est surprise:

— Jai entendu dire que les français aimaient passer leurs langues sur la.

Elle ne connais pas la suite en français:

— La chatte ou vulgairement le con.

— Cest mieux quoi?

— Ca dépend des goûts: chatte est affectueux, con est vulgaire, mais désigne bien lendroit.

Alors les français aiment passer leur langue sur .le con.

— Voilà, en plus cest vrai. Je ne pense pas que seulement les français aiment ça.

— Tu vas me lécher?

— Bien sur et tu aimeras.

— Mais cest sale cet endroit.

— Non cest naturel.

Je ne veux plus lécouter, je bande depuis un moment, je pose ma bouche sur sa chatte. Ma langue ne chaume pas, je lèche tout ce que je trouve qui dépasse, surtout son clitoris. Elle découvre pour apprécier. Cest peut-être son premier cunnilingus, elle aime bien. Elle gémit plusieurs fois en jouissant.

Jarrête un moment pour lembrasser. Sa cyprine dans la bouche ne la gêne pas. Je lavertis que ma langue va découvrir autre chose de plus intime.

Je met ma tête à nouveau entre ses jambes. Je lui entre ma langue dans le saint des saints. Je la fait entrer et sortir; elle jouit encore. Je la sors pour aller en bas, je survole un peu lanus, juste pour lui faire comprendre la suite. Je ne me gêne plus, je caresse directement son anus. Elle est surprise du bien être que japporte. Elle pose une main sur ma tête. Alors jen fait davantage: jentre ma langue là où cest interdit. Je la sodomise un peu quand je lentend dire

— Cest bon ce que tu fais. Narrête pas.

Je continue jusquà sa jouissance. Je la sens étonnée de jouir de son cul. Cette fois jai trop envie, je vais entre ses jambes. Je pose mon gland à lentrée de la porte. Elle me laisse entrer.

Je la pénètre facilement, elle accompagne mes mouvements. Au bout de deux aller et venue, elle passe ses jambes sur mes reins. Elle devient une sacré baiseuse. Elle jouit encore plusieurs fois avant que jéclate dans son ventre. Jai une bonne réserve de sperme à donner. Jéjacule longtemps dans son ventre. Quand je sort un peu de liqueur sort de son ventre. Elle lessuie vite.

— Tu as bien savouré ? Me demande t’elle .

— On dit joui, pas savouré. Savouré cest comme quand on n’aime un plat pour le manger.. Je ne tai pas mangé, je tai baisé. Et toi?

— Comme une reine. Je ne suis même pas sur quune reine jouisse comme moi.

— Nous navons pas fini.

— Quest que tu vas me faire?

— Une surprise.

— Comme tout à lheure par derrière?

— Tu as bien aimé te faire enculer.

— Cest comme ça quon dit?

— Oui ou te faire sodomiser.

— Jai aimé. Mets moi ta queue derrière.

Cette petite conversation mexcite pas mal. Elle touche ma bite, la trouve un peu molle. Elle me branle encore une fois? Cette fois je bande plus fort. Je la fais mettre en levrette, elle se mouille lanus avec ses liquides, Je peux entrer maintenant. Seul problème pour elle cest une première.

Je vais y aller doucement. Je ne voudrai pas que la réputation de la France soit ternie pour une sodomie mal faite. Cest un devoir patriotique.

Je ne pousse pas du tout quand je suis sur son cul. Je la sens elle pousser pour que jentre. Je la sodomise millimètre par millimètre. Presque naturellement le gland passe son sphincter: je nai jamais connu une fille si détendue.

Elle commente:

— Cest agréable ta queue dans mon cul. Je vais la rendre encore plus agréable en me caressant le con.

Cest vrai, elle a appris seule ce quil faut faire pour quune fille jouisse plus fort. Je suis au fond du rectum. Je vais et viens dans un endroit qui sélargit seul. Je la sens jouir plusieurs fois autour de la pine. Jaccélère le rythme pour jouir moi aussi. Quand je suis sur le point de lui donner mon sperme elle me demande de sortir. Une envie subite la prise; elle tient à me sucer.

Je ne lui refuse pas cette petite satisfaction. Je ne savais pas quelle aimait sucer une bite. Elle commence une fellation plus quagréable. Elle tient la base de la queue dans une main, sa bouche garde mon gland bien au chaud, en le léchant. Ses mains caressent mes couilles jusquà aller sur mon anus. Jai droit moi aussi à un doigt dans le cul. Cette fois je ne peux plus me retenir: je lui donne tout le sperme que javais en réserve.

Nous nous rhabillons pour redescendre. Jai une surprise:

— Ici cest chez moi. Tu restes jusquà demain. Ma mère est OK.

Ainsi jai baisé une fille chez elle sans quelle me le dise et elle a demandé à sa mère de me conserver jusquau lendemain. Je pourrai lenculer encore, elle me le demandera, cest certain

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