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Mathilde, ma belle-mère – Chapitre 4




Chapitre 4

Résumé des chapitres 1 2 et 3 :

L’histoire commence par un dernier voyage d’un être cher que l’auteur accompagne à sa dernière demeure et à ce moment-là, lui revient tout le déroulement de son amour avec sa belle mère. Après lui avoir fait sentir son intérêt lors d’une danse slow, comment ils en sont arrivés à coucher ensemble alors que la fiancée n’accordait que le minimum syndical. À la reprise des cours universitaires, l’auteur se trouve avec un dilemme du manque jusqu’à un téléphone de sa fiancée lui demandant d’héberger sa mère, laquelle devant passer chez un médecin aux premières heures du jour. La nuit qu’ils y passèrent ensemble fut à ce point torride qu’elle a nécessité tout un chapitre.

À la suite, devant les besoins pressants de son amant, Mathilde se souvient d’une amie qui est dans les environs qui lui est très intime et les deux amants se retrouvent chez elle, pour un après midi coquin.

Le service militaire.

Une fois mon master obtenu, vinrent les obligations militaires, entrecoupées de permissions que je passais le samedi avec ma fiancée et le dimanche avec Mathilde chez son amie. Mais vers la fin de mes obligations, une fois que j’allais chez Greta, j’appris que Mathilde n’avait pas pu le libéré et elle n’avais pas eu le temps de m’aviser de ce contre-temps. Greta me reçu et m’offrit le thé habituel.

— Si Mathilde n’est pas là, que comptes-tu faire ?  

— Je ne sais pas, j’avais juste prévu un après midi coquin.

— Tu pourrais rester ici et me tenir compagnie, j’ai également rien prévu de particulier, viens à côté de moi, on peut regarder un film à la télé. Qu’est-ce que tu aimes comme film ?

— Je ne sais si tu as ceci, mais comme j’étais venu avec une idée bien précise, un petit porno peut-être serait un bon substitut.

— J’ai pas grand chose, mais peut-être que canal a ceci, si le parc des princes ne squatte pas la chaîne, autrement, j’ai un DVD.

— Vas pour le DVD, j’aime pas trop canal

Engageant le DVD dans le lecteur, se déroule un film où l’on voit une dame d’âge respectable avec un jeune garçon entrain de procéder aux préludes en si mineur des délices de la passion selon St Ildéfonse.

En enlevant sa jaquette, Greta annonce, il fait chaud ou c’est le film qui m’échauffe les sangs. Malgré tout, le film ne me laisse pas insensible et je commence à être excité, je sens aussi que Greta dégage un parfum qui ne trompe pas. Elle doit aussi être excitée. Je me rappelle rapidement un proverbe que les absents ont toujours tort et je le dis à Greta.

— Oui, tu as raison, j’ai envie d’un petit câlin, si la différence d’âge ne te gêne pas, vu ce que j’ai vu avec Mathilde, cela ne doit pas être le cas, dit-elle en me mettant son bras sur l’épaule.

… Tu ne veux pas enlever ta tunique et ta cravate. Tu seras plus à l’aise.

— Je me laisse un peu déshabiller, mais la coquine ne s’arrête pas à la cravate,

Mais elle continue le déshabillage en ouvrant ma chemise et je sens ses ongles me griffer légèrement la poitrine.

— Tu ne veux pas un petit alcool me demande-t-elle ?

— Non je lui réponds, pensant bien qu’elle est chaude à point, c’est toi que je veux boire en me penchant sur sa bouche en tendant mes lèvres.

Là, ce fut une expérience fabuleuse, elle était vraiment vorace, elle me dévorait les lèvres et cerise sur le gâteau, elle s’ingéniait à me faire couler sa salive dans la bouche. Voyant les bonnes dispositions de mon hôtesse, je me permis de lui caresser le genou sans que cela entraîne de réaction négative au contraire, je voyais ses genoux s’écarter comme pour m’inviter à une descente aux enfers. En fait j’acceptais l’invitation et commençais à remonter en caressant doucement à l’intérieur de ses cuisses qu’elle avait nue. Oserai-je prétendre que la coquine avait bien envie de sauter le pas ? Et d’avoir une aventure avec moi. En arrivant au niveau de la fourche de ses jambes, surprises, elle n’avait pas mis de sous-vêtement et sa fente était dans un état marécageux avancé, Je sentais malgré tout un léger laissé allé dans la coupe de la toison qu’elle avait abondante et d’un noir de geai, entrecoupé de quelques filaments blancs.

— Viens dans ma chambre, on sera mieux à l’aise pour continuer. Tu sais quand vous veniez avec Mathilde, je me roulais dans vos draps une fois que vous étiez partis, j’emplissais mes poumons des parfums que vous aviez laissés.

Je la déshabillais et contemplait sa poitrine qui restait relativement ferme, malgré l’âge. Je la malaxais doucement en approchant ma bouche de ses tétons qu’elle avait ma foi fort développés et je commençais à les sucer avidement.

— Tu auras beau faire, tu ne vas pas me tirer de lait, m’avisa Greta, mais continue, j’aime et c’est pas tous les jours que j’ai un beau garçon qui y fait honneur.

Simultanément, mon majeur baratinait sa balafre, qui contrairement à Mathilde qui possédait deux jolis petits pains au lait bien ferme, le sexe de Greta était comme des grosses feuilles de chair qui avaient de la peine à se gonfler de sang. Je ne sais pas si c’est le manque d’exercice qui provoquait ceci. Cependant, conformément à mon habitude, j’aimai bien déguster les humeurs intimes de mes amantes. Je ne fus pas déçu, son jus était aussi succulent que celui des autres femmes que j’avais dégustés, un peu plus épicé peut-être.

Finalement, je trouvais qu’il était temps de passer aux choses sérieuses, la pénétration du corridor. Je présentais ma pine à l’entrée de son tabernacle et vu l’état détrempé de la chaussée, je glissais mon soc dans sa caverne d’Ali-baba.

Comme prévu, c’était très accueillant, je lui relevais bien les jambes pour pouvoir m’enfoncer encore plus profond. Elle geignait à ne plus en finir, quand d’un coup elle se crispa laissant voir qu’elle avait atteint son orgasme.

Malgré l’effet du nouveau, je restais ferme et l’idée de me payer de son cul m’a effleuré.

— Tu n’as pas de la vaseline des fois, j’ai envie de te prendre par-derrière.

— Je ne l’ai jamais fait, mais il faut bien une fois le faire pour ne pas finir idiote, non je n’ai pas de vaseline, mais j’ai de l’huile d’olive vierge comme moi de ce côté, cela devait bien faire l’affaire.

On s’est levé et on a pris dans le frigo la bouteille qui était un peu figée.

— On n’est pas au bout de nos peines, mais finalement, pourquoi pas le beurre, comme dans le dernier tango à Paris. Proposais-je, Tu as vu le film, il parait que l’actrice a eu de la peine de s’en remettre du fait que cela passe à l’écran.

— Oui, et chaque fois, j’étais obligée de me mettre le doigt pour me calmer. Va pour le beurre. Comme dit la réclame : cuisine au beurre, santé meilleure, si tu me tartines bien le troufion, je sens que je vais avoir plein de santé.

On S’installa sur le lit et elle se mit sur le dos en tirant ses jambes derrière ses oreilles, m’offrant une vue imprenable sur ses parties intimes. Je ne pus m’empêcher de mettre d’abord un petit coup de langue sur sa rondelle, ce qu’elle commenta.

— C’est mieux que dans le dernier tango à Paris, Charles Bronson n’a pas eu cette délicatesse, du beurre et c’est tout. Tartine-moi et viens, mon  cul t’attend.

— Au moins il y a un plus avec toi qu’avec Mathilde, tu admets qu’on puisse aller indifféremment dans un ou l’autre de tes trous.

— Donne moi aussi ta queue, je veux aussi la déguster.

Sur ce, je lui présentais ma perforatrice ornée d’une petite goutte de pré-sperme, qu’elle dégusta lentement, mais elle refusa d’aller plus loin, prétextant que si je continuais, elle allait recevoir mon obole pas au bon endroit.

j’acquiesçai et présentais mon trépan à caca à l’entrée du temple de Sodome et je poussais un bon coup pour prendre possession de ce territoire mien désormais. C’était très doux et agréable, ses hémorroïdes n’irritaient pas ma pine, ce n’était que du bonheur.

-Ça va ? Tu ne souffres pas trop,

— Non, j’avais un peu peur au début, mais continue, c’est très bon, si tu peux encore caresser mon clito, ce sera parfait, enfin, si tu veux de temps en temps essayer de tirer un peu de lait, je ne vais pas me plaindre.

— Je vais devoir me transformer en homme-serpent si je veux tenir tout ton programme en même temps.

Après avoir bien dégorgé le poireau, il m’a fallu rentrer à la caserne. J’y passais une semaine morne et difficile, si Greta avait été à la hauteur, je me demandais pourquoi Mathilde n’avait pas pu venir. Enfin le week-end arrive et je rentre à la maison et rejoins ma fiancée, on retourne dans les bois et là, pour la première fois elle accepte de me prendre en main et de purger le tuyau, après que lui avoir obtenu un gros orgasme en lui léchant sa crapette, c’était aussi la première fois qu’elle me laissait le libre accès à sa fontaine de jouvencelle.  

Trouvant un moment dans la soirée, où Lucette était prise par son père pour lui résoudre un petit problème de comptabilité, je trouvais le moyen de prendre à part Mathilde.

— Qu’est-ce qui s’est passé avec Greta que tu n’as pas pu venir ?

— Ah ! Tu as pu aller chez elle ? Elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas rester jusqu’à mon arrivée et qu’elle était indisponible.

— Eh bien je comprends maintenant. Elle voulait que je la saute. Excuse-moi, mais j’ai exhaussé ses désirs, on a passé un après-midi brûlant. Ne le prends pas mal, finalement, on peut admettre que c’est le loyer pour nos galipettes.  

— Ce qu’elle ne t’a pas dit, c’est que j’ai déjà payé et qu’elle se tape deux fois du bon temps.

— Pas vrai, j’aimerais bien voir cela. En tous les cas, viens chez elle demain.

— Je te vois venir, mon cochon, tu as envie de nous voir ensemble.

— Exactement, c’est un fantasme supplémentaire que je vais pouvoir assouvir.

— Alors je te conseille de prendre une pilule bleue car tu vas avoir affaire à deux tigresses affamées.

Le dimanche, vu que j’ai suivi son conseil, même si je n’en avais normalement pas besoin, je me suis présenté avec une gaule pas possible. Cette petite pilule a failli me faire exploser avant consommation. Surtout quand je suis entré et que j’ai vu mes deux tigresses qui avaient une longueur d’avance et étaient déjà en petite tenue.

— Cela ne te gêne pas que nous soyons comme cela pour te recevoir, mais on s’est échangée quelques petites politesses avant ton arrivée, question de remettre les pendules à l’heure, me dit Greta.

— J’en suis enchanté, surtout que je suis sous Viagra et que j’ai les boules qui sont en train de bouillir.

— Intéressant, viens ici qu’on t’enlève ta surpression, me dit Greta, toujours dévouée pour me dévorer la bite. Si cela peut te plaire, on va sur mon lit et on va faire un petit trio pour commencer. Je te pompe, tu lèches Mathilda et moi c’est Mathilda qui s’occupe de ma petite fente, sans oublier mon petit pistil.  

Il ne fallut pas si longtemps pour ajouter une collation à celle qu’elles avaient déjà prise et j’envoyais une bonne rasade de crème blanche non issue de la vache.

— La vache que j’aime la crème de pruneaux fraîche, juste traite. S’exclame Greta.

— Tu m’en as gardé un peu réclame Mathilda qui approche ses lèvres gourmandes de celle de Greta.

— Mais oui ma chérie, on va se mélanger nos goûts, celui de Victor assaisonné du mien.

— Et  moi et moi, comme dirait Antoine.

— Tiens mon chéri me disent ensemble mes deux tigresses en me tendant la bouche, on va avoir comme les glaces, trois parfums.

— Mais après, on va se mettre en 69 pour que tu puisses apprécier, mais je vois que tu n’as pas débandé, on va plutôt profiter de tes bonnes dispositions et je vais faire de l’alpinisme sur ta pointe Dufour pendant que Greta va t’offrir son élixir royal.  

Sur ce, je me retrouve sur le dos avec mes deux fauves qui grimpent sur moi, Mathilda qui s’embranche sur mon pic et Greta, serrant mes oreilles entre ses cuisses m’offre sa corolle à dévorer. C’est un peu la fontaine de Trévise, l’écoulement est abondant, même si dans ce cas, il n’y a pas de piécettes dans le fonds, mais une langue qui lui rappe ses lèvres qui malgré tout commencent à se gonfler. Son trou du cul appelle ma langue et sa petite corolle se souvenant de mes gentillesses, réclame aussi son dû en s’ouvrant et refermant comme une fleur qui attend le bourdon. Je ne résiste pas à l’invitation et me permet de lui mettre la langue au fond du cul tout en lui pinçotant son bonbon. Les ressorts du lit font une musique absolument remarquable, on dirait un peu Pacific avec un No (231 si je ne me trompe) de Honegger. Là, je regrette fort de ne pas avoir pris un enregistreur pour prendre cette musique symphonique, intitulée : Lit à ressorts grinçants avec deux tigresses déchaînées.

Heureusement que j’ai pris du renfort par la chimie, sinon, j’aurai rendu les plaques depuis longtemps avec les soins que me délivrent ces deux femmes qui en veulent.

Le soir, je rentre à la caserne et ce salaud d’adjudant, qui probablement est cocu, cela ne peut pas être autrement et a dû rentrer la queue sous le bras, nous réveille au milieu de la nuit avec «  Alerte, tout le monde dans la cours pour l’appel dans 5 minutes, je vous rappelle qu’on cherche des volontaires pour peler les patates. »

Un vent de révolte souffle dans la caserne et André mon voisin propose :

— Si on lui faisait une vacherie, on met 10 minutes et on ne sort pas puis on vient tous en rangs serrés. Toute la compagnie pour peler les patates, il ne va pas pouvoir tenir sa promesse, il devra s’acheter des éplucheurs.

— Tu n’as pas peur qu’il se venge ?

— Avec ou sans retard, s’il nous a fait cette vacherie, c’est qu’il a une idée de vache dans la tête, donc de toutes façons on est baisé si on pensait pouvoir récupérer du week-end.

C’est alors que le bout en train de la compagnie propose qu’on sorte en chantant :

Là haut sur la colline

y a une vielle caserne

habitée par une vieille baderne

Un adjudant

pas toujours très blanc

L’a la barbe rousse

les poils du cul châtains.

Et cougne la, cougne la

Cougne la dans un coin

L’a la barbe rousse,

les poils du cul châtains

sa première victime

fût le fils du voisin

Et cougne la, cougne la

Cougne la dans un coin

Sa première victime

fût le fils du voisin,

on le retrouva avec une badine

le cul dans le pétrin.

Et cougne la, cougne la

Cougne la dans un coin

Avec cela, il devrait être content, vu qu’il est cité à l’ordre du régiment.

C’est ainsi que notre compagnie parti en manuvres, le samedi soir à la place d’aller en perme ce week-end. Le pisse-froid d’adjudant tenait sa vengeance.

Je ne me plains pas, vu le dernier week-end, en continuant à cette allure, c’est sûr que j’aurai fini à l’hosto avec une inflammation des testicules.

Donc avec ce week-end de repos, cela m’a permis de faire un peu le point. Comment faire pour l’avenir, je sentais bien que cette triple vie n’était pas viable. Cela allait éclater. Il ne me restait plus que trois semaines à tenir et il paraît que lors de la dernière, on sent tellement la quille qu’on est tous enrhumés.

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