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J'offre les membres de mon foyer en cadeau – Chapitre 2




Le lendemain après-midi ma femme et moi sommes dans le salon en train de discuter de ce qu’il va se passer ce soir.

Comment allons-nous faire s’il désire de nouveau une femme ?! Je ne peux pas lui proposer une nouvelle fois Fatima, je lui ai promis que hier était la première et la dernière fois.

Ma femme me répond qu’il est hors de question qu’elle se fasse prendre comme une vulgaire femelle, comme une femme sans valeur ou tout simplement comme la bonne.

Cela réduit considérablement la liste car je pensais sincèrement pouvoir me rabattre sur ma femme, du moins pour ce soir.

En nous entendant discuter Fatima s’approche et me dit :

"Monsieur je veux plus de ça. Hier il m’a fait mal. Je n’ai jamais eu de sexe aussi gros et je souffre encore. En plus vous ne m’avez pas payé pour hier. Je mérite mon argent"

-"Fatima, je vous suis très reconnaissant pour ce que vous avez fait pour nous tous car cet argent va nous être vraiment bénéfique, mais je ne peux pas encore vous payer car nous n’avons pas encore revendu les pierres. Je vous demande d’être patiente"

"Vous me promettez de me payer ?!"

-"bien sur Fatima, jamais je ne vous causerai de problèmes"

Puis à force de discutions je n’ai pas vu l’heure passer. Quand tout à coup je vois l’homme d’hier arriver.

Intérieurement je suis gêné car il a une heure d’avance et je comptais sur cette heure pour aller chercher une prostituée. Je vais devoir trouver rapidement une solution.

En plus je n’avais pas vu mais il n’est pas seul, il est accompagné d’un homme plutôt âgé, un black qui doit avoir au moins 60 ans.

Maintenant qu’ils sont là je ne vais pas les mettre dehors. Je les invite donc à rentrer et à s’installer autour de la table du salon.

Je leur propose à boire, ils acceptent.

"Fatima ! Amenez une bouteille de champagne et 3 coupes svp !"

Elle s’exécute et arrive avec un plateau avec ma commande qu’elle pose sur ma droite, entre moi et l’homme qui l’a baisé hier. Il ne se gêne d’ailleurs pas et profite du fait qu’elle soit à portée pour glisser sa main sous sa blouse et caresser son cul.

Je vois mais ne dis rien. Fatima me regarde avec cette expression du visage qui me fait clairement comprendre "vous ne voyez pas ce qu’il fait ce pervers ? Arrêtez-le!" mais je la regarde en lui faisant comprendre qu’elle doit supporter puis je dis de haute voix :

"Cest bon Fatima vous pouvez nous laisser"

-"très bien monsieur"

Je décide donc je recentrer tout le monde sur le business qui nous rassemble. Je ne dois pas me planter car ce soir je suis seul, Eric ayant eu un empêchement.

"Bon messieurs, je pense que nous pouvons commencer, qu’avez-vous à me proposer ?"

Le vieux ne parle pas français mais formule une longue phrase. Je regarde instinctivement le plus jeune des deux, l’homme avec lequel j’ai marchandé hier et il dit :

"Monsieur Ombo et moi sommes venu dans l’objectif de futures relations commerciales de longue durée et de qualité. En effet monsieur Ombo est très connu et possède à lui seul presque 50% des mines de la région et il connait un monde immense. Il peut vous faire connaitre et faire de vous un homme riche."

-"c’est très bien…"

"Je lui ai parlé de votre hospitalité et de l’excellent sens des relations que vous avez et il pense sincèrement à faire affaire avec vous, mais il attend une démonstration de votre bonne volonté"

-"ma bonne volonté ?! que veut-il exactement ? Un pot de vin ?"

"Non, monsieur Ombo veut profiter, comme j’en ai eu l’honneur, des charmes de votre maison. Je lui ai vanté les mérites de votre esclave et il souhaite en juger par lui-même"

-"quoi ?! Ma maison n’est pas un bordel, et Fatima ne souhaite plus ce genre de chose. Ce qui s’est passé hier était exceptionnel"

"Très bien, vous ne souhaitez donc pas faire d’affaires avec nous ?! Nous allons donc quitter ces lieux"

Sa phrase fini ils se lèvent et commencent à se diriger vers la sortie. Tout se chamboule dans ma tête. Merde je suis en train de tout perdre, je ne peux pas les laisser partir.

"Attendez ! Revenez ! Je vais voir ce que je peux faire. Asseyez-vous, buvez une coupe de champagne en m’attendant, je reviens tout de suite"

Les deux hommes s’exécutent. Jen profite pour me diriger vers la cuisine dans laquelle se trouve tout le monde (Léon, Fatima, ma femme et mes deux enfants).

Je m’approche de Fatima :

"Fatima, j’ai vraim…"

-"non monsieur ! Je vous ai dit plus jamais! Je ne veux pas!"

"Fatima vous n’imaginez pas à quel point ces hommes peuvent nous rendre riches. En plus ce n’est pas l’homme d’hier qui vous veut mais le vieux. Réfléchissez-y svp, vous pouvez sauver tout le monde et nous mettre à labri pour un long moment. En plus il est vieux il ne va pas vous faire bien mal. Allez Fatima svp"

-"monsieur…"

Je la supplie du regard et elle finit par céder :

"Daccord monsieur, je fais ça pour vous et les enfants. Je ne veux juste pas que l’autre me touche, il m’a fait trop mal"

-"d’accord Fatima c’est promis. Allez-y vite avant qu’ils s’impatientent. Je saurai vous récompenser, soyez en certaine"

Elle se dirige donc vers le salon. Je la laisse partir un peu devant et profite du fait d’avoir ma femme pour lui dire :

"Chérie je ne préfère pas que vous voyiez ce qu’il se passe de l’autre côté alors restez dans la cuisine tant qu’ils ne sont pas partis. Je viendrai vous chercher quand ce sera bon"

Puis je me dirige vers le salon pour voir comment progresse les choses. Quand j’arrive je vois Fatima nue, a genou devant monsieur Ombo qui est assis sur sa chaise, en train de lui faire une fellation pendant que le plus jeune les regarde.

"Tout se passe bien messieurs ?! Vous êtes satisfaits?"

Le jeune prend la parole :

-"oui monsieur Ombo apprécie, par contre moi je ne mérite dattention ?"

Merde je n’avais pas pensé qu’il voudrait aussi une fille. Et alors que je suis en train d’imaginer ou plutôt de chercher comment faire, ma fille apparait dans le couloir.

Tout de suite les yeux du jeune s’écarquillent:

"Très bien ! La jeune femme me convient"

-"heu non il y a un mal entendu elle n’est …"

Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que ma femme arrive en courant:

"Alice !! Quest-ce que … putain ! Chéri je suis désolée, elle a profité d’un moment d’inattention pour sortir et venir voir"

-"c’était pas compliqué de la surveiller ! On fait comment maintenant ?"

"On fait comment quoi ?"

-"monsieur ici présent souhaite aussi une distraction féminine en contrepartie de futurs accords que je ne peux lui refuser et il veut Alice"

"Non ! Elle est trop jeune !"

Le jeune homme intervient :

"Il y a un problème ? Je perds patience !"

Je m’apprête à lui répondre quand ma femme prend la parole :

"Non monsieur, je souhaite juste m’occuper de votre plaisir à la place de ma fille"

-"très bien ça me va. Vous me donnez envie. Venez !"

A ces mots elle s’exécute et va vers le jeune homme de façon plutôt sexy. Elle marche comme une top modèle, les jambes serrées dans sa jupe en roulant son joli petit cul. La voir marcher comme ça m’excite beaucoup.

Elle se présente face à l’homme, il descend sa braguette et appuie sur la tête de ma femme pour la faire agenouiller, ce qu’elle fait sans résister.

Elle est maintenant à genou devant lui. Elle sort son sexe, lui donne des coups de langue puis le met en bouche. Son sexe lui déforme littéralement la mâchoire tellement il est gros, mais elle fait son maximum pour le satisfaire et je trouve qu’elle se débrouille bien, même mieux qu’avec moi.

Elle le suce maintenant activement. Le volume de son sexe augmente de façon considérable et ne rentre maintenant que d’un tiers dans sa petite bouche de mère dhabitude si distinguée et en général prude.

Maintenant que son sexe est tendu il fait relever ma femme et la penche en avant sur ta table, face à moi comme il l’a fait hier avec Fatima, puis comme hier il me regarde avec son sourire narquois et pénètre la chatte de ma femme.

De son côté, le vieux a déjà fini, il vient d’éjaculer au visage de Fatima qui me regarde avec du sperme plein le visage, attendant que je lui dise quoi faire. Voyant qu’il ne bande plus et semble épuisé, j’autorise Fatima à sortir de la pièce.

De son côté le jeune culbute ma femme comme un malade. Contrairement à Fatima avec laquelle il avait été plutôt doux hier, il bourrine ma femme, la défonçant littéralement, à grands coups de bite. Il la perfore.

Elle est allongée, la poitrine sur la table, les cuisses écartées pour faciliter au maximum la pénétration et éviter qu’elle ne lui soit plus douloureuse qu’elle ne l’est déjà.

Comme Fatima, elle pousse de grands yeux mais semble souffrir beaucoup plus. En effet, en plus de son regard et de ses yeux qui s’écartent à chaque fois qu’il touche le fond de son vagin, elle est rouge du visage et elle ne peut retenir les larmes qui s’échappent du coin de ses yeux.

Ce manège dure un temps qui me parait une éternité, puis sans avoir éjaculé il se retire de Lydie, qui une fois libérée de l’emprise du pieu qui la perforait, ne tient plus sur ses jambes et s’effondre par terre.

Il se décale sur le côté de la table me faisant voir son sexe tendu et dur comme une barre de fer. Les veines ressortent fortement montrant qu’il ne va pas tarder à éjaculer.

Il attrape ma femme par les cheveux, la force à se mettre à genou, la tête au niveau de sa bite, puis la lui enfourne une nouvelle fois dans la bouche, fais deux vas et viens et éjacule tout son liquide chaud dans la bouche, la lui remplissant.

Il n’a même pas fini qu’il se retire nous faisant admirer la bouche de Lydie remplie de son foutre.

Il relâche ses cheveux et la laisse retomber. Elle en profite pour recracher tout le sperme (car le gout du sperme la dégoute. j’ai plusieurs fois essayé auparavant avec elle sans y arriver).

Le vieux applaudit le spectacle. Le jeune le remercie.

Ils se rhabillent, se relèvent et se dirigent vers moi puis le jeune s’adresse à moi :

"Vos femmes savent donner du plaisir et satisfaire les hommes. Je vous confirme au nom de monsieur Ombo que nous traiterons avec vous, c’est maintenant certain.

Nous vous contacteront pour les prochaines transactions"

Puis ils me serrent la main et quittent la maison.

Alors que je me retourne pour aller chercher Léon afin qu’il nettoie tout ça, je constate quAlice est restée là et a tout vu alors que je pensais qu’elle était partie.

Étonnement elle a un grand sourire et ne semble pas choquée, au contraire elle semble avoir apprécié ce qu’elle vient de voir.

Je sens que ce business va m’apporter un tas de surprises.

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