Fin des grandes vacances, me voilà en fac de droit, les choses sérieuses commencent.
Je n’avais pas revu ma professeure depuis notre baise intense, ce jour où j’ai obtenu le bac et la chatte de ma professeure sur qui j’ai bandé pendant trois ans.
Qui dit nouvelle école dit nouveaux amis, je me suis vite lié d’amitié avec plusieurs personnes, j’étais toujours en contact avec mes potes du lycée.
On sortait souvent dans des bars, boîtes enfin tous les endroits où il y avait de l’alcool et des filles.
Les soirées s’enchaînent, on est le samedi 3 mars, grosse soirée au bar prévu par les potes pour mon anniversaire, on était une dizaine.
On commence tranquille par quelques shooters, le temps de se mettre dans le bain et faire la fête le restant de la nuit.
Soudain, je vois arriver mon ancienne professeure de français, je n’en revenais pas, je me demandais même si je navais pas un peu trop bu et si je n’hallucinais pas.
J’étais bouche bée, je la fixais, elle ne m’avait pas vu encore, elle était au bar et nous à une table.
Elle était toujours aussi bonne, elle avait un jeans moulant noir, un t-shirt blanc en col en V un peu transparent, un perfecto et des talons hauts.
Son jeans moulait bien son cul, il ressortait parfaitement, ça lui allait tellement bien !
Elle avait les cheveux attachés ce qui la rendait encore plus belle à mon goût.
Elle était accompagnée d’une femme très belle aussi, rousse, cheveux bouclés, chemise blanche avec 2 boutons non fermés, je pouvais apercevoir son soutif noir de loin mais rien de plus et elle avait un jean bleu et des baskets.
Mes amis ne prêtaient pas attention, ils étaient trop occupés à boire et à rigoler à vive voix.
J’attendais que son amie s’éloigne un peu pour aller voir Cécile, mon ancienne professeure.
Dix minutes s’étaient écoulées et elles restaient au comptoir debout à discuter, j’étais toujours hypnotisé par le cul de Cécile qui était si parfait, rebondi
Entre temps, j’avais remarqué que son amie s’était fait aborder par un mec et qu’ils s’étaient éloignés un peu de ma proie.
En même temps, vu le corps et le cul qu’elle avait, ça ne laissait indifférent aucun mec.
Ni une ni deux, je prends mon verre et je vais à la rencontre de Cécile.
J’arrive derrière elle, un peu gêné, je ne savais pas comment lui dire bonjour
Je prends donc mon courage à deux mains et je lui tape sur l’épaule, elle se retourne et je lui fais un grand sourire.
— Antoine !!! me dit-elle en me faisant la bise
— Bonjour madame, vous allez bien ?
— Oh Antoine, voyons tutoie-moi et appelle-moi Cécile, sinon je vais très bien et toi ?
— Écoute, pour moi, tout va pour le mieux, ça fait longtemps que l’on ne s’était pas vu Cécile, je suis content de te revoir.
— Moi aussi, je suis trop contente, ça fais trop longtemps, tu sais que tu m’avais manqué Antoine ! me dit-elle en me faisant un clin d’il.
— Oh, tu m’as manqué aussi Cécile, depuis notre petite aventure, je ne fais que de penser à ça tous les jours dis-je en souriant.
— Oh oui ! Je m’en rappelle très bien, c’était un très bon moment d’ailleurs
— Vous sav Tu sais, je te trouve très belle, dans ce jean qui moule bien ton cul
— Oh bah dis donc Antoine On se lâche dit-elle en rigolant, l’alcool te monte à la tête ?
— Un peu désolé, je ne voulais pas
— Oh tu sais, ce n’est pas grave, tu sais bien que tes paroles et toi m’excitez, c’est pour ça que je t’ai choisi au lycée.
Elle commence à se rapprocher de plus en plus de moi, il faisait chaud dans la salle.
D’un coup, elle me fixe dans les yeux et commence à me caresser le bras, rien que ça m’excite pour vous dire
Je lui souris et commence à glisser ma main sur ses fesses, je parcours tout le long doucement, je caresse et serre sa fesse droite, quelle joie son cul est si bon au toucher même avec un jeans.
Je lui donne une petite claque sur le cul, comme lors ce que l’on s’est quittés après notre baise dans la salle de classe.
Elle rigole doucement, se mord la lèvre inférieure et commence à glisser sa main en partant du haut allant jusqu’au jeans, là où se trouve ma bite.
Sa main commence à caresser ma bite par-dessus mon jeans, je commence à avoir une érection et elle l’a bien senti, je n’avais qu’une seule envie maintenant, la baiser
— Oh, je sens quelque chose qui se lève dans ton pantalon
— Tu me fais de l’effet et ton cul est si bon, tu es incroyable
— Et si on s’absentait un peu aux toilettes ? J’ai une petite envie et j’ai besoin qu’on m’accompagne, tu comprends ?
— Oui Cécile, je comprends tout à fait, je t’accompagne avec grand plaisir !
Me voilà, main droite sur le cul de mon ex-professeure, verre d’alcool dans la main gauche, direction les toilettes pour dames.
Mes potes me voient passer avec elle, bouche bée, ils criaient mon prénom :
— ANTOINE, ANTOINE, ANTOINE !!!
Pour passer inaperçu, c’est foutu pour ce soir, merci les amis
Nous voilà à l’intérieur des toilettes, on rentre dans une cabine avec seulement un W.C, c’était assez étroit à vrai dire mais suffisamment spacieux pour baiser.
Plus le temps de réfléchir maintenant, il faut passer à l’acte, je l’embrasse à pleine bouche langoureusement pendant cinq bonnes minutes.
J’étais tellement excité à ce moment, j’ai enlevé mon t-shirt comme un fou, je lui retire son blouson et son t-shirt, la voilà en soutif noir en dentelle, on pouvait apercevoir ses tétons qui pointaient, je bandais encore plus.
Je commence à masser ses seins avec son soutif, toujours la même sensation que la première fois, magique
Je lui retire son soutif, laissant place à ses seins nus qui étaient encore plus magnifiques maintenant
Je lui lèche ses tétons tout durs et je les mordillais délicatement pour bien l’exciter, elle adorait ça, je l’entendais gémir doucement.
Toujours mes mains sur son cul pendant que je lui lèche ses tétons, elle les mains dans mon jean, elle me branlait avec mon caleçon
J’enlève mon pantalon ainsi que mon caleçon, laissant place à mon chibre en érection qu’elle a directement attrapée.
Je déboutonne à mon tour son pantalon, elle portait une culotte qui était assortie à son soutif, noir en dentelle, elle était rasée.
Je lui caresse son vagin par-dessus sa culotte pendant qu’elle prenait plaisir à me branler.
Je retire enfin sa culotte, on est enfin nus tous les deux, elle est si magnifique nue
Je la rapproche de moi en lui prenant le cul et lui caresse une nouvelle fois sa chatte qui était bien mouillée maintenant.
Après ça, elle se met à genoux en me regardant dans les yeux, embrasse mon gland. Quel délice
Elle met ensuite mon gland dans sa bouche et fait tourner sa langue tout autour, elle n’avait pas perdu son niveau, c’est toujours une pro.
Elle engloutissait ma bite, elle enchaînait les vas et-viens en donnant des coups de langue sur mon gland quand il faut Quelle déesse de la pipe
Pendant ses vas-et-viens, je touchais ses seins et ses tétons qui étaient encore durs.
Elle s’était encore améliorée, elle crachait sur ma bite et recommençait ses vas-et-viens, elle enchaînait aussi avec des coups de langue sur mes couilles, elle aspirait, repassait sur ma bite
Mon Dieu, quel plaisir de se faire sucer par une MILF juste parfaite.
Elle se relève, m’embrasse encore une fois langoureusement, je la prends en dessous de son cul et la porte au-dessus de ma bite.
Je place ma bite, à l’entrée de son trou, le contact de mon gland et de son vagin, me donnait envie de la pilonner à gros coups de reins.
J’enfonce mon gland dans son petit trou d’amour pour commencer et j’enchaîne sur des doux vas et-viens.
Son cul rebondissait sur mes hanches à chaque coup que je lui mettais dans son délicieux vagin mouillé.
— Mmmm Oui Antoine c’est tellement bon, va plus vite, fais-moi jouir comme la dernière fois !!!
Je la baisais de plus en plus vite, mes coups étaient de plus en plus fort, son cul claquait bien sûr mes hanches et mes boules
— Ohhhh haaan putain que c’est bon
— Tu kiffes hein ma petite salope
— Oooh oui Antoine baise moi !
Elle criait de plus en plus fort, je la fais taire en l’embrassant et en continuant de la pilonner tout aussi fort et vite.
— Crie moins fort Cécile, il ne faut pas qu’on se fasse chopper
— Hmm oui mais ta bite est tellement bonne. Me dit-elle en se caressant le clito
Je la repose par terre, la retourne d’un coup sec et la cambre, elle se retrouve main sur la cuvette des toilettes, son cul ouvert rien que pour moi, j’allais enfin l’enculer Mon rêve allait enfin se réaliser, je crache sur son anus et prends ma bite en main quand tout à coup
— Hop hop hop Antoine, pas le cul, ce n’est pas un endroit adéquat pour me dépuceler le cul
Triste, j’humidifie un peu mon chibre pour l’enfoncer dans son vagin, la voilà en levrette au-dessus des toilettes d’un bar.
Pas de pitié, je commence par lui donner des grands coups de reins.
Mes vas et-viens étaient encore plus intenses, je la tirais par les cheveux pour donner un maximum de plaisir et accélérer les allers-retours dans son vagin.
Elle criait encore plus fort que tout à l’heure, on aurait dit un vrai porno, elle kiffait recevoir mes coups de bites.
— OH PUTAIN ANTOINE CONTINUE PUTAIN DÉMONTES MOI BORDEL
Je lui donnais des claques sur le cul quand d’un coup j’entends la porte des toilettes s’ouvrir, je mets directement ma main sur la bouche de Cécile qui se tut instantanément.
Je continuais mes vas et-viens doucement sans faire de bruit, une femme venait faire ses besoins et repartais de plus belle.
— On a eu chaud putain
— Grave
Cette interruption n’avait pas pour autant interrompu mon érection, je repris quelques vas et-viens avant de la retourner et la mettre à genoux pour qu’elle finisse le travail.
Elle me suçait tellement bien que je me suis cru au paradis
Je n’en pouvais plus de me retenir, j’ai lâché tout mon sperme dans sa bouche sans la prévenir.
Elle l’avait senti venir ce coup, j’avais éjaculé une bonne quantité de sperme qu’elle m’a fièrement montré en ouvrant la bouche.
Bien évidemment, elle a avalé sans rien dire tout en souriant.
La porte s’ouvre encore une fois et là on entend :
— Cécile, t’es là ?
— Euh oui oui, j’arrive Emma, je fais pipi !
— Ok, on y va après, j’ai pris un taxi !
On se rhabille tranquillement tous les deux à bouts de souffles, on avait baisé comme des bêtes !
— Merci Antoine, c’était génial, je voudrais qu’on remette ça un jour
— Avec grand plaisir Cécile, laisse-moi ton numéro de téléphone ou ton mail cette fois, pour qu’on fixe un rendez-vous !
— Oui donne-moi ton téléphone, je te le note.
— Merci beaucoup et à très bientôt alors dis-je en reprenant mon téléphone.
Elle m’embrasse une dernière fois avant de partir, elle la première, je suis sorti cinq minutes après pour ne pas éveiller les soupçons.
J’arrive à la table avec mes potes, j’ai eu le droit à plein de questions, j’ai juste répondu :
— Je l’ai bien baisée !
On a continué à faire la fête jusqu’à être ivres morts.
