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Les aventures de Caro – Chapitre 14




Nous nous amusons de plus en plus à nous exhiber, ma sur et moi.

Mardi 16 juillet 1991

Ce soir, j’ai des nouvelles de Sève au téléphone.

Le dimanche il y a huit jours, elle a profité qu’elle étaient seules avec ma mère pour lui proposer de faire de l’intégral, et ma mère a accepté. Elle ont remis ça deux fois depuis et ça se passe très bien.

Et hier, Bru a enfin passé le cap en acceptant d’enlever son caleçon en étant seul en compagnie de ma sur. Il a quand même eu une alerte bandaison, mais il s’est débrouillé pour rester discret en se mettant sur le ventre. Sève a fait semblant de ne rien remarquer pour cette première fois.

Mais aujourd’hui, elle a fait un maximum pour le chauffer, se passant suggestivement l’huile solaire. Puis elle a fait mine de somnoler en ouvrant bien les jambes. Elle a attendu qu’il bande à fond pour se lever brusquement et venir se planter devant lui pour lui demander s’il avait soif.

Il a été tellement surpris de se retrouver devant elle dans cet état qu’il a mis un moment avant de songer à mettre ses mains devant son érection, assez gêné.

Sève lui a dit que ce n’était plus la peine qu’il se cache, et qu’elle trouvait que c’étaient des choses naturelles, tout ça.

Il a fini par céder à sa demande et a libéré son érection qu’elle a complimentée, mais il est vite allé se rafraichir les idées dans la piscine.

Comme j’ai des jours de vacances à solder, je décide de descendre quelques jours chez mes parents, histoire d’aller un peu faire les boutiques à Marseille.

Demain soir, je prends le car, et Ju doit venir me chercher samedi.

Jeudi 18 juillet 1991

Aujourd’hui, j’ai encore fait un peu de shopping.

J’en profite pour faire aussi les emplettes de Flo, qui m’a demandé de lui prendre des soutifs sans bonnets, puisqu’il n’y a pas de problème d’essayage pour la taille des bonnets

A mon retour chez mes parents, je mets le nouveau sling que je viens d’acheter pour profiter des derniers gros rayons de soleil, réduit à deux fines bretelles, un mini-triangle et une ficelle qui me rentre dans la fente.

De plus, j’ai descendu un autre string type bandeau assez large pour tenter ma mère, et elle accepte de le mettre.

Je constate au passage que mon père n’approuve toujours pas cette nudité exacerbée, mais qu’il ne proteste plus trop ouvertement.

Evidemment, mon maillot est vraiment hot, avec ses bretelles fines et son triangle avant qui cache à peine plus que le clito. Je pousse même un peu en demandant, démonstration à l’appui, si les bretelles vont mieux en passant sur les seins au niveau des tétons ou en contournant les seins par les côtés.

Bru est assez intéressé par tout ce que ces micro-bouts de textile suggèrent. Je le vois au volume de son caleçon de bain

Vendredi 19 juillet 1991

Cette nuit, nous avons un peu joué avec Sève dans sa chambre. C’était notre première fois juste nous deux, et c’était cool.

Une fois les parents partis au travail, je suis la première à me mettre très à l’aise pour bronzer, subi par Sève.

Bru hésite un peu en découvrant ma nudité extrême, mais je le rassure:

— Allez, quoi, ça change pas grand chose par rapport à mon string, non? Et mets-toi à poil toi aussi. Je sais que tu le fais avec Sève, et moi, ça me gêne non plus.

En fait, je vois qu’il hésite parce que sa bite tend son caleçon, et je le lui fais bien savoir en regardant directement l’objet du délit:

— Et je m’en fous si tu bandes, ça me dérange encore moins qu’elle!

Il s’exécute donc et nous propose un sexe en demi-érection. Je cesse un moment de le chauffer en allant plonger dans la piscine en compagnie de Sève.

Je profite que son sexe soit redescendu pour lui demander:

— Tiens, Bru, tu nous amènerais des trucs frais à boire, tu serais un amour!

Il revient avec des sodas sur un plateau qu’il pose au bord de la piscine et s’assoit au bord. Avec Sève, nous nous aspergeons avec des poses assez suggestives. Il a de nouveau un début d’érection.

Je lui en fais la remarque:

— Dis donc, quelle bonne santé! Allez, t’en fait pas, viens te rafraîchir dans l’eau.

Il calcule le pour et le contre, puis il nous rejoint et nous le chahutons un peu pour couvrir sa légère gêne à être dans cette situation. J’en profite pour lui toucher un peu la bite, mais il peut penser que c’est dans le feu de l’action. Il finit par débander.

Pour midi, c’est Sève qui se dévoue pour aller préparer à manger. Je me lève pour me tartiner érotiquement de crème solaire. La bite de mon frère qui est allongé sur un transat se réveille devant mon malaxage de tétons, puis d’entre-jambes.

Comme il essaie de cacher ça, je continue mon mouvement en m’approchant de lui:

— Ça te fais bander, de me voir me passer la crème, hein? Mais c’est tout à fait normal. Et je suis plus ouverte que Sève. Montre-moi, j’adore voir une belle bite qui bande pour moi, c’est le meilleur compliment qu’on puisse me faire!

Il m’obéit et sa bite se dresse fièrement alors que je branle maintenant mon clito ouvertement:

— Bel engin, mais décalotte ton gland. Oui, joli! Maintenant recalotte-le. Bien! Décalotte, recouvre, décalotte, continue, en cadence. Ça fait du bien, non? Tu t’es jamais branlé en pensant à moi?

— Euh, oui, c’est vrai, Depuis la première fois que je t’ai vue en string.

— Eh, ça fait un bail Et déjà le petit cochon se branlait en pensant à sa grande sur! Et Sève, ses gros tétons te font bander aussi?

— Eh bien oui, j’avoue, j’ai bandé en les regardant!

— Et là, tu nous imagines, hier soir, elle et moi, nues dans le lit, faisant des choses? Mais ne t’arrête pas, continue ton mouvement!

— Oh, Caro, tu pousses un peu loin!

— Allons pas de cachotteries! Tu t’es même branlé comme en ce moment, je parie?

— Bon, c’est vrai, je me suis branlé en m’imaginant avec vous deux. Eh bien moi aussi, ça m’excite de parler de tout ça, comme tu peux le voir.

— Oui, je vois ça

— Et pour info, nous nous faisions vraiment plein de choses cochonnes ensemble, histoire de se procure de beaux rêves

Son gland sort en cadence entre ses doigts qui s’agitent de plus en plus. Je le provoque à fond en remuant de plus en plus mon bassin:

— Je mouille à fond, je vais me faire jouir. Profites-en aussi, fais-toi gicler!

— Hein, mais si Sève

— On s’en fout, si elle revient avant la fin, elle n’aura qu’à repartir ou nous imiter!

Sans attendre, je me doigte, et chauffé à blanc il s’active de plus en plus, puis je m’approche encore, juste devant le transat. J’ai sa bite à portée de main, mais je me retiens de la toucher. J’en rajoute un peu en me mordant les lèvres et en gémissant. Des yeux et d’un signe de la tête, je lui fais comprendre que je suis en train de jouir et qu’il peut se lâcher. Ça le déclenche et il éjacule un bon paquet qui aboutit sur son ventre. Je lui fais signe "chut", et je vais me rassoir dans mon transat pendant qu’il essuie son sperme.

Quand Sève nous rejoint avec la salade, tout est revenu à la normale, mais elle me dit un peu plus tard quand Bru s’absente pour aller aux toilettes qu’elle nous a vus faire, et qu’elle en a profité pour se branler derrière la fenêtre.

Samedi 20 juillet 1991

Aujourd’hui, Ju arrive en début d’après-midi, quand mon père allait partir amener Bru à son entraînement de Bi-Cross.

Ju n’a aucun scrupule à se mettre en string, puisque ma mère, ma soeur et moi sommes déjà dans cette tenue. Il en a choisi un relativement sage qui fait tout de même tiquer mon père.

C’est quand ils sont partis que Ju lance la proposition d’aller plus loin:

— Bon, Caro m’a raconté que vous faites du naturisme quand vous êtes seules, et Sève m’a déjà vu à poil. Alors, si Rose n’est pas contre, hein?

Et il vire son string sans attendre de réponse, révélant son service trois pièces bien épilé. Comme Sève et moi le suivons, ma mère n’a pas trop le choix et s’y met aussi.

Tout est resté très correct, jusqu’à ce que Ju se laisse aller à bander un peu. Il a profité que Sève était sur le ventre et que je faisais semblant de somnoler derrière mes lunettes de soleil se lever pour aller dans la piscine et de passer devant ma mère le gland décalotté et la bite presqu’à l’horizontale en lui faisant chut avec un clin d’il. Ma mère n’a rien dit mais l’a suivi du regard. A sa sortie de l’eau, il était redescendu en volume. Je lui discrètement confirmé par signes que j’avais tout vu.

Bien évidemment, nous remettons tous nos maillots avant le retour de mon père.

A suivre

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