Ah ! Nina ! Quelle magnifique fille !
A chaque fois que je pense à elle, je ne peux m’empêcher de dériver vers des pensées salaces qu’un homme comme moi ne devrait pas avoir envers une fille de 18 ans. Mais elle me met une telle trique qu’il va bien falloir un de ces jours qu’elle s’occupe de moi, que ça lui plaise ou pas.
Ô putain c’est bon, ne t’arrête pas bébé, je sens que ça monte !
En l’occurrence, bébé est l’une de ces filles ramassées sur un site de rencontres où le mot d’ordre reste la baise sans prise de tête. Et il faut bien dire que j’ai un argument de poids, un sacré gros argument, qui finit de convaincre ces dames de me retrouver dans l’un de ces hôtels moisis dont on se moque pas mal de savoir si on y dormira paisiblement. Non, on y vient pour se soulager après une dure journée de labeur, en pilonnant sans retenue celle qui vous aura suivi pour ça. Pas de tendresse. Pas de malaise. Chaque partie est consentante et on sait pourquoi on est là…
Bébé donc est en train de me tailler une pipe mémorable dans la cabine de douche. Enfin, était. Car maintenant que j’ai atteint le point de non-retour, je lui viole la bouche quitte à lui arracher quelques larmes tandis que ma queue vient frapper le fond de sa gorge.
Ô putain ! Ô putain !
Le fait d’imaginer la petite Nina en train de me prodiguer les mêmes soins ne fait que quadrupler mon plaisir. Je deviens pareil à un animal dans ces moments-là. Je resserre alors un peu plus mon emprise sur bébé, lui maintenant fermement la nuque et les cheveux en accélérant le rythme de cette divine fellation.
Avale ça sale pute !
Et c’est dans un ultime coup de reins que je me cale au fond de sa bouche et lui lâche d’épais jets de foutre bien chaud. Je crois qu’elle m’avait demandé de me retirer avant qu’on commence. Mais comme je dis, quand on suce on assume. Elle ne peut pas se dégager vu l’étroitesse de la cabine de douche, et je peux tranquillement lui envoyer tout mon jus au fond de la gorge sans qu’elle ne puisse rien y faire, à part tout avaler.
Vas-y petite chienne, déguste bien tonton Henry. Voilà, c’est ça. On ne gaspille pas.
***
Oui, elle n’a pas aimé. Eh oui, elle avait bien demandé à ce que je lui gicle sur les seins, mais surtout pas dans la bouche. En même temps bébé, tu pratiques le sexe sans protection ? Franchement, tu t’attends à tomber sur un gentleman quand tu t’aventures sur ce terrain ? Tu pourrais au moins dire merci pour le repas va ! Quoi, tu t’en vas ? Déjà ? Et moi, je rentre comment alors ? On est venu avec ta caisse ?
***
Ca fait une heure qu’elle est partie. J’ai repris mes esprits, seul, dans cette chambre pourrie, assis sur le lit, vêtu d’un caleçon et matant un documentaire animalier à la télé. Ce n’est pas fameux comme décor. N’empêche que ça résume assez bien ma vie ces dernières années.
Je ne suis pas un salopard, enfin pas tout le temps.
J’ai une famille. Une femme géniale, des gosses adorables. J’essaie de passer le maximum de temps avec eux et de me consacrer à leur bien-être, et je pense ne pas mal me débrouiller pour le coup. Je suis super attentionné, aimant, et jamais je ne ferais subir à mon épouse ce que j’ai infligé à cette fille dans la douche.
Je m’appelle Henry (oui, comme dans la chanson. On me l’a déjà faite, OK, donc pas la peine de la ramener). Je suis commercial dans le paramédical. Ce qui signifie que je gagne bien ma vie pourvu que j’accepte de faire des kilomètres pour rencontrer des clients. Certes, ça complique la vie de famille, mais ce n’est pas ça mon… excuse… pour ce qu’il m’arrive de faire.
J’ai comme cette machine dans ma tête, ce ressac lancinant qui me gagne un peu plus chaque jour. Je bande pour un rien. Je ne peux pas m’empêcher de mater un porno sur mon téléphone dès que j’ai une minute de libre. Même aux chiottes c’est dire ! Cela m’obsède et me fait avoir les pires idées, mes fantasmes se nourrissent de brutalité et d’obscénité vis-à-vis des femmes. Je perds le contrôle. Au début, je me branle, ce qui permet de faire retomber la pression, de faire reculer la bête en moi. Mais tôt ou tard, il faut que je concrétise. Pas avec ma femme. Jamais je ne pourrais la traiter comme ça, c’est la mère de mes enfants bordel ! Alors qu’Internet regorge de filles en manque d’expériences et de sensations fortes, de femmes plus âgées qui veulent se redécouvrir, de filles avides de sexe qui ne demandent que ça !
***
Allô, Benoit ? Ouais, je sais l’heure qu’il est. Ecoute, j’ai un vrai problème là. J’ai besoin que tu viennes me chercher… J’ai laissé ma voiture sur le parking d’un restaurant et je suis un peu loin pour la récupérer là… Non, je t’expliquerais… OK c’est sympa. Je t’envoie l’adresse… Merci… Hé ! Benoit, t’es un vrai pote ! Mais pas un mot à ta femme, s’il te plaît.
Pas envie qu’elle aille ensuite tout raconter à la mienne… Ca fait huit ans que je mène ce double jeu avec elle et je nai pas encore prévu d’y mettre un terme.
Benoit, c’est un mec cool. Il ne se prend pas la tête et donc il ne me prend pas la tête. CQFD. Lui aussi il a des aventures extra-conjugales. C’est pour ça qu’il ne m’emmerde pas avec des questions quand, parfois, j’ai besoin qu’il rapplique pour m’aider comme c’est le cas ce soir. Il nous est même arrivé de faire quelques trucs ensemble.
Oh, attendez ! Rien de gay hein ! Je veux dire qu’on s’est déjà occupé à deux de quelques filles bien bourrées ramassées dans les bars. C’est un sacré phénomène ce Benoit. Un jour, je vous raconterai la manière spéciale dont il s’y prend avec ces dames.
Si vous pensez que moi je suis un salaud…
***
T’as fait vite. Je ne t’attendais pas avant une bonne demi-heure.
Héhé…
Benoit me lance un regard plein de malice et affiche un sourire triomphant.
Faut dire que j’étais plus proche que tu ne le croyais. Y a un hôtel un peu plus loin et bien moins cher que ce lupanar mon vieux.
OK je vois… J’espère que je ne t’ai pas dérangé au mauvais moment ?
T’inquiète mon vieux. La jeune damoiselle s’était déjà endormie quand tu m’as appelé. Elle se réveillera tranquillement demain matin. La chambre est payée et même le petit-déjeuner. Moi, j’en ai fini avec elle. Et je pense qu’après ce qu’elle a pris, elle ne sera pas en mesure de remettre le couvercle avant un petit bout de temps.
C’est très élégant de ta part !
Et nous sommes partis d’un fou rire dans la nuit.
Benoit m’a déposé à quelques kilomètres, là où j’avais laissé la voiture. Je ne me voyais pas retraverser seul dans la nuit ces routes de campagne et il fallait que je puisse rentrer chez moi assez tôt au matin. Histoire de partager le petit-déjeuner avec ma famille après une semaine à courir les clients aux quatre coins de la région.
Au fait vieux. Si t’as deux secondes. Voici le profil de celle qui m’a planté à l’hôtel.
Je lui tends mon téléphone qu’il puisse admirer un peu Marinette69 sur l’application de rencontre.
Hmm, joli petit bout. Mais pas docile à ce que je comprends ?
Justement. Je pense qu’elle aurait besoin d’une petite correction. Alors, si jamais un ami à moi voulait bien se charger de me venger pour cette outrance…
N’en dis pas plus. J’aime bien les rousses comme ta Marinette. Peut-être bien qu’elle aime les mecs sportifs comme moi !
Je sais, ce n’est pas génial la vengeance. Mais mon égo en a pris un sacré coup. Et la machine dans ma tête se relance, la bête n’a pas été rassasiée ce soir à cause du comportement égoïste de cette fille. J’espère qu’elle va prendre cher avec Benoit. Il sait y faire lui avec les rebelles.
***
Je suis en train de besogner Madame, tandis que les enfants sont devant la télévision. Merci la petite boîte pour ces moments d’intimité !
Tout se déroule en douceur, sans gêne. On se connaît par cur. Et on s’aime ! Elle sait ce qui me fait plaisir, tout comme moi, et nous atteignons généralement l’orgasme en même temps. C’est beau l’amour, vraiment ! Cette fusion parfaite de nos corps. J’adore nos retrouvailles.
Marie, ma femme, s’est allongée sur le ventre au bord de notre lit. Moi, je suis debout, plantée en elle, imprimant le rythme lent et profond qu’elle affectionne particulièrement. Elle, comme souvent, se retient de gémir en mordillant ses lèvres et en agrippant les draps qu’elle tort entre ses petites mains.
Elle dégouline d’amour pour moi. Elle dégouline littéralement et je glisse en elle avec une facilité déconcertante. Dommage. J’aime quand ça résiste un peu et qu’il faut forcer le passage… Je me demande comment son premier mec l’a prise ? Ca a toujours été pour moi un immense regret : ne pas avoir défloré ma femme. D’ailleurs, ne pas avoir défloré tout court une fille. Sentir son hymen se déchirer sous ma poussée. Souiller de ma semence sa matrice pour la première fois. La faire se sentir femme, enfin !
Je suis sûr que Nina, la petite voisine, est vierge elle. Avec ses airs de sainte-nitouche… Ca y est, je repense à elle… Je sens que je deviens plus dur, ma queue se raidit à l’idée de la déchirer. Je vais la lui mettre un de ces jours. Très bientôt, même. Elle va hurler la petite, Ô oui ! Je vais m’occuper d’elle et de chacun de ses trous.
Je commence à accélérer le rythme. Marie semble toujours apprécier, mais moi, je ne suis plus vraiment avec elle. Non, c’est la petite Nina que je vois allongée sur ce lit.
T’aimes ça ?
Oui ! Hmmm, vas-y, continue, chéri.
Bien sûr que tu l’aimes ma grosse bite. Tu la sens bien passer là ? Tu veux que je te la mette plus profond ? Putain c’est trop bon ! Je vais te baiser Nina, tu vas enfin savoir ce que c’est un Homme. Je vais te remplir avec mon jus.
Allez… Tiens ! Allez ! T’aimes ça hein ? Tu l’aimes ma queue ?
Pas de réponse de Marie. Elle n’a jamais vraiment aimé les mots crus. J’accélère encore le mouvement. En fait, je commence à pilonner Marie ce qui n’est pas vraiment dans nos habitudes. Je crois qu’elle me demande de ralentir, mais je ne l’entends pas. Elle a un peu mal et elle tente de se redresser à quatre pattes et de se retirer de la partie.
Mais au moment où elle soulève son bassin, j’agrippe ce dernier à deux mains et je le ramène d’un coup sec vers moi, ce qui a pour effet de me planter au fond d’elle. Marie, qui s’appuyait alors sur ses mains, perd l’équilibre et la voilà désormais dans une bien meilleure position : son cul relevé vers moi, son dos bien courbé et son visage caché dans les draps finissent de me donner le sentiment de la dominer. J’envoie des coups de reins frénétiques sans plus me soucier de ses appels à tout stopper.
Je vais t’exploser le cul sale chienne ! Je me retire de Marie, ou plutôt de Nina dans mon fantasme éveillé dans lequel ma femme ne joue plus que le rôle de réceptacle. Le fait de ne pas voir son visage me permet de mieux me concentrer sur la jeune Nina.
Je saute sur le lit et me positionne à califourchon au-dessus d’elle. Je suis comme fou. Et je lui plante ma bite dans son petit trou.
Nous avons déjà essayé la sodomie. Nous avons même apprécié cela, bien que ça reste très (trop) occasionnel et qu’à chaque fois ce soit Marie qui prenne les commandes, me chevauchant avec cette lenteur toute sensuelle qui la caractérise. Mais alors jamais, non jamais, je ne l’ai enculée comme je viens de tenter de le faire.
J’ai à peine pu rentrer le bout de mon gland dans son petit cul tout serré que déjà elle hurle de douleur, ce qui me fait instantanément reprendre mes esprits. Mais qu’est-ce que je viens de faire ?
Merde…
***
Inutile de dire que la conversation qui a suivi a été houleuse, avec Marie dans la salle de bain, tortillant encore son petit cul sous l’effet de la vive douleur que je venais de lui infliger. Quant à moi, je restais insatisfait pour la deuxième fois consécutive…
J’ai dû lui demander cent fois pardon au cours de notre dispute. J’ai reconnu avoir perdu mes esprits. J’étais extrêmement confus et désemparé, ce qui a ajouté un peu de crédit à mes excuses même si Marie m’en voulait à mort. Un peu plus tard, j’ai repensé à tout ça. Jamais je n’avais traité ma femme comme je traite les autres filles. C’était la première fois que je dérapais de la sorte. Et je m’en voulais énormément, vraiment !
Autant réaliser mes fantasmes les plus décadents dans des hôtels, à l’arrière d’une voiture ou dans n’importe quel autre lieu où acceptaient de m’accompagner mes aventures d’un soir me procurait un bien fou, autant traiter ma femme de la sorte me rendait malade. Viscéralement malade !
Comprenez-moi. Je perdais régulièrement le contrôle quand je m’adonnais à ces baises endiablées avec des inconnues. Mais je restais toujours moi le reste du temps. Toujours. Jusqu’à aujourd’hui.
La faute à cette fille qui m’avait planté à l’hôtel avant que je n’aie pu lui infliger ce que je venais de tenter de faire subir à Marie. Elle avait pourtant un cul si parfait. Je me serai régalé… Mais non, elle m’a laissé sur ma faim et c’est Marie qui en a fait les frais ! J’avais prévu de la baiser vigoureusement et, au moment de la retourner pour changer de position, de l’enculer de force. J’avais envie de l’entendre hurler pendant que je lui aurais baisé le cul sauvagement avant de me répandre en elle.
Je ne suis pas cinglé, que croyez-vous ? Du sexe sans protection ? Pas envie de me retrouver avec un marmot sur les bras. J’envoie la sauce là où ça ne risque rien…
***
Oui, la faute à cette fille dont je n’ai même pas cherché à retenir le nom (le signe pour moi que je chercherai à la traiter comme un simple bout de viande).
Mais aussi à Nina. Si obsédante. Bordel, mais je bande comme un âne dès que je pense à elle.
Je suis seul dans la salle de bain. Marie est redescendue s’occuper des enfants.
J’ai donc commencé à me branler. Vu ce que j’avais au programme, autant dire que c’était une déception… ça ne m’a pas empêché de balancer un énorme trait de foutre sur le miroir du lavabo…
En voyant ce liquide épais glisser le long du verre, je me suis dit que, peut-être, j’étais en train de devenir un vrai salaud, à fantasmer de la sorte sur une gamine…
La suite prochainement