Une saga érotique : Chapitre 2 : Le brasier)

La première partie du récit a été raconté…la suite sera vécu.

Ma femme me susurre de me déshabiller et de la mater.

J?obéis à sa demande. J?ouvre d?abord ma braguette et fais sortir ma queue bien dure puis me déshabille complètement et m?installe sur le divan prés de Léo. J?ai ainsi une vision optimale de sa bouche qui s?approche du membre de mon voisin. Elle est animalement belle. Ses lèvres sont déjà bien humides et son corps, emprisonné par la combinaison résille, transpire de plus en plus. C?est un signe que je connais bien, un signe de montée de chaleur. Je vois bien sa langue pointer et effleurer le gland de l?homme. Elle relève la tête et le regarde intensément. Ses yeux respirent le désir. Elle voit que ce regard nous allume. Elle en est fière. Cet instant dure. Elle ne baisse toujours pas les yeux vers la queue qui reluit de plus en plus, sans aucune caresse. Juste ses yeux… Elle s?adresse à son futur baiseur :

? Je te fais bien bander juste en te regardant, hein, mon salaud ?

? Tu le vois bien, tu as les plus beaux yeux de salope que je connaisse ?.

Maria se tourne vers moi : ? Qu?en penses-tu, mon chéri ? ?

? Je te l?ai toujours dit, ma chérie, ton regard, c?est un véritable lance flammes. ?

Elle se penche vers moi et lentement, amoureusement, elle lèche mes lèvres : ? Que veux-tu que je lui fasse ? ?

? Chauffe le bien, ma chérie ; bouffe lui sa belle queue. Je te fais confiance. ?

Ma femme s?adresse à Léo : ? Tu as entendu ce que veut mon mari, Il veut que je te bouffe la queue ! Je ne vais pas le décevoir, ni te décevoir d?ailleurs ! ?

Elle se penche et re-commence à promener sa langue sur toute la longueur de la hampe. Léo pousse un gémissement à ce contact qui le brûle. Je la regarde le lécher et le caresser avec sa main. Ses doigts se glissent vers sa raie profonde et ses testicules rasées, bien lisses et apparemment bien pleine. Elle mouille le bout de son index et le pose à même le méat du gland. Elle pétille de sensualité. Je sais qu?elle a envie d?avaler ce bel engin de chair rougi par ses caresses et son regard. Elle pose sa main gauche sur ses couilles pour bien tirer le membre et avec sa main droite, commence à le branler savamment, avec délice.

L?homme gémit ? c?est çà, tu es bonne…crache sur ma queue ! Allez crache… ?

Elle satisfait à sa demande au delà de ses espérances. Elle inonde sa peau de sa salive et sa main joue une symphonie de bruissements et de torrents assouvis. Je regarde ses yeux brillants qui épient les moindres gonflement du sexe qu?elle mène sur des voies inexplorées… je l?encourage :  ? C?est une belle queue, hein ma chérie  ? ?

Elle est de plus en plus belle. Son visage transpire…elle se tourne vers moi :

? Superbe, elle est superbe ! C?a te plait ce que je lui fait à ton copain…et puis le fric qu?il a donné m?excite encore plus que d?habitude. Je vais le durcir comme du fer. Je vais lui faire passer une nuit qu?il n?oubliera pas de si tôt ! ?

Je ne peux pas me retenir : ? Je t?aime, mon amour ! ?

Elle me répond ? Moi aussi je t?aime et j?aime ce que tu me fait faire. Et cette nuit sera unique ! ?

Elle me parle et continue de caresser le sexe enflammé de Léo. Elle le regarde avec désir et sa bouche s?entrouve pour le saisir d?un geste lent et sensuels.

De plus en plus excité par le spectacle qu?elle m?offre, je la vois avaler goulûment l?énorme bite qui n?attendait qu?elle.

Léo recommence à gémir sous l?emprise de sa succion diabolique.

Sa position, les jambes écartées, à genoux sur le tapis, face aux jambes ouvertes de l?homme qui lui fait face, me fait trembler sur mon fauteil. Sa combinaison résille ne cache rien des rondeurs de son superbe cul. Au contraire, elle en souligne le galbe et transmet un voile de mystère. Le masque qu?elle arbore achève de faire de mon épouse une magnifique femelle dévouée au sexe et à la luxure. Je n?en finis pas de la trouver de plus en plus belle. Le feu, dans l?âtre, l?enveloppe de sa lumière. Sa peau brille de coulées de sueur, ses yeux brillent de perversité. Elle embrasse le mâle qui a payé pour cette nuit avec elle et qui attends aussi la profondeur de sa perversion.

A cet instant, elle martyrise à petits coups de dents et de langue une barre de chair à la démesure de son talent pour ce genre de caresses. Léo réagit : ? Hou…tu es vraiment une super suceuse ! avale-moi jusqu?aux couilles ! Voila…mange bien… je vois que tu aimes çà…Je l?ai senti tout de suite en te voyant rentrer… ?

Maria crache dans ses mains et les promène sur le gland tuméfié. Léo cri sous ses caresses. Moi, je continue à la regarder faire en me caressant le cul et le méat déjà humide d?un suc précoce. Je me lève et me met à genoux prés d?elle. Mon visage est tout prés du sien et je peux voir sa langue se promener sur la queue de son futur amant. Je gémis aussi et rejoint sa langue pour honorer cette magnifique colonne de chair. Elle me regarde avec malice et entendement. Je sais qu?elle aime quand je me comporte ainsi, et moi, j?aime son regard dans ces moments là. Je lui dis à l?oreille tout mon amour. Elle me répond ? Moi aussi ! Mais va te rasseoir et continue de me mater. Tu aimes me voir faire des cochonneries avec d?autres hommes. Tu vas prendre des photos et m?exhiber sur internent, alors, laisse moi faire. Ton copain va en avoir pour son pognon…toi, je te garde pour la fin de la nuit…branle toi, mais ne jouis pas ! C?est un ordre ! ?

Je m?éloigne lentement de son visage…elle continue à faire briller le mâle à petits coups de langue. Je m?installe donc sur le fauteil d?en face pour avoir une vue complète sur la scène et me saisit de l?appareil photo. Je veux immortaliser cette nuit, et elle est d?accord pour en être la déesse. Cette complicité fait passer en moi des frissons électriques. Ma queue ne débande pas. Sans caresse, avec seulement son parfum.

J?entends les gémissement de Léo qu?elle observe délirer sous ses caresses buccales : ? Je vais te faire crier comme un fou ! ?

L?homme lui réponds : ? C?est exactement ce que je veux…fais moi crier salope…pompe moi devant ton mari…prends moi jusqu?aux couilles…ton mari m?a dit que tu es gourmande – il me regarde – mate un peu ce qu?elle me fait ta salope de femme…tu aimes la vendre et la voir se faire baiser ! ?

Je ne réponds pas tout de suite. Je suis fustigé par les mots de Léo envers mon épouse adorée. Je sais qu?elle aime que je lui parle ainsi durant l?acte charnel, mais c?est la première fois qu?un autre homme le fait, et je peux m?apercevoir que ces obscénités ont un effet immédiat sur son désir. Ce désir, qui a pris possession de tout son être depuis le début de cette soirée pas comme les autres. Elle est une autre femme, un astre de la nuit dévêtue de noir. J?aime cet astre. Il est le sel de ma vie, le sel de mes nuits, le sel de mes fantasmes…

? Tu entend, chérie… ? Elle reste silencieuse. Sa seule réponse est dans ses yeux. Je shoote alors cette lueur de sa beauté cachée par le petit masque de satin noir. Et à Léo : ? Bien sur que j?aime voir ma femme avoir du plaisir et tu ne vas pas regretter d?être venu. Elle est insatiable. Elle peux baiser pendant de longues heures…elle va te satisfaire amplement, mais il faudra aussi la satisfaire, je compte sur toi…et tu verras que l?on va avoir de l?aide tout à l?heure… ?

Pendant que je lui parles, elle continue à faire grossir le sexe de l?homme assis devant elle. Les flammes éclairent son visage et me revelent l?intensité du plaisir qu?elle prend à manoeuvrer ce male en rut avec un serpent brûlant qui gonflait à vue d?oeil d?une manière obscène. Elle entreprend de lui enlever sa cravate et défait dans le même élan les boutons de sa chemise.

(A suivre…bien sur !)

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