Gabrielle dites ? Gaby ? est directrice d’une banque connue à Marseilles. A 48 ans, cette femme bcbg blonde, un peu ronde mais classieuse, a eu une carrière professionnelle satisfaisante et ses fonctions de directrice confirment son professionnalisme. En dehors de ça, elle a une vie de famille comblée malgré les absences de son mari qui travaille sur un pétrolier et ses deux garçons n’habitent plus chez elle. Ils ont acheté une maison isolée située en périphérie de Marseille . Plutôt que de rester en ville et de se louer un appartement, elle préfère retourner chaque soir dans sa maison et quitte à faire trois quart d’heure de route tous les jours pour rentrer. Elle connaît le chemin par coeur et passe par deux petits villages dont elle ne fait pas attention en règle général. Mais là, il y a une déviation car ils refont la route enfin. Elle est obligée de faire un détour et passe par un village qu’elle connaît pour avoir emmené ses enfants quand ils étaient là. Mais du village, en fait, Gaby ne connaît juste que le petit lac. Elle connaît aussi le cabanon où elle achetait de temps en temps des boissons et des glaces. Le vendeur était gentil. Cela l’arrangeait d’être anonyme ici car elle pouvait se mettre seins nus. Les touristes allant sur Marseilles passaient par les petites routes pour éviter les bouchons l’été. Elle se souvient des regards que l’on posait sur elle. Ses deux garçons aussi regardait sa poitrine au début et se sont habitués à la voir ainsi. Mais ses pensées sont soudainement interrompue par la fumée blanche sortant du capot. A deux kilomètres à peine de chez elle. Tomber en panne.
Ca fume et par peur d’aggraver la situation ou pire d’avoir un accident.
Voilà que la voiture tombe en panne. En plein milieu des routes de campagne. Deux vieux paysans passent en tracteur et remarquent cette femme bien habillée. Une citadine, se disent ils. Que fait-elle ici, toute seule ? En panne. Ils se demandent s’ils vont s’arrêter pour lui porter assistance. Gaby les a remarqué mais par peur n’ose les aborder. Elle va de toutes façon appeler l’assistance de son assurance. Elle sort son portable. Mais ça ne passe pas ! Déjà dans sa maison, elle avait un fixe car les portables ne passent pas. Elle ne sait que faire car les paysans sont loin maintenant. Il va falloir faire de la marche se dit elle ? Et sous cette chaleur, ce sera dur. Et son Tailleur n’est pas approprié. Talon haut, jupe un peu serrée, elle se décide d’enlever son haut à cause de la chaleur. Elle a en dessous un tee-shirt blanc à fine bretelle. On voit son soutient gorge blanc à travers. Mais il fait trop chaud pour penser à ce genre de chose. Et de toute façon, il n’y a personne. Elle ouvre le capot machinalement consciente de son inexpérience dans le domaine de la mécanique. Finalement , dépitée, elle prend son sac et décide de marcher . Peut être qu’elle arrivera à capter avec son portable. La chaleur est pesante et elle commence à transpirer. Puis , elle entend un bruit de moteur. La banquière se retourne et fait des signes. La situation lui a fait oublier toute prudence et par désespoir elle tente d’arrêter une voiture pour lui éviter de marcher sous cette chaleur et rapidement d’appeler le dépannage. La voiture , une grosse bm, s’arrête à son niveau. Gaby est contente sur le coup et comprend alors son erreur en voyant que dans la bm, il y’avait quatre gars à l’allure patibulaire. Tous ont des bières à la main et fument comme des pompiers. Ils ne disent pas un mot et Gaby ne sait pas quoi faire. Leur regard son insistant sur la banquière. Ils observent le corps de la femme et remarquent qu’on voit son soutif à travers le teeshirt à bretelle.
-Y’a de quoi faire avec toi on dirait
-Pardon, Monsieur ?
-Je dis qu’on a de quoi faire ! t’es pas un canon, mais t’as des formes et ça tombe bien parce que les gars et moi on a envie de baiser !
-Vous êtes fou, vous vous rendez compte de ce que vous dites !
-Ben oui ! on se rend compte ! On revient d’une petite fête avec des putes qui habitent dans une petite maison pas loin d’ici ! On les a baisé comme des salopes et on va t’ajouter au menu. Tu tombes bien et on a une sacré chance.
Ils rient tous.
Gaby n’en croit pas ses oreilles . Le langage cru à son encontre, ces gars inconnus qui se permettent de lui avouer des viols et…elle.
-Ecoutez, j’ai de l’argent et je peux vous en donner mais laissez moi, s’il vous plait !
Mais elle se rend compte qu’il est bien trop tard car déjà les hommes sortent et l’embarquent dans la BM. Elle ne réalise pas tout de suite ce qui lui arrive mais peu à peu elle se rend compte que c’est la réalité. Les hommes trouvent un petit chemin et s’y engouffrent. Ils se gare suffisamment loin de la route pour éviter qu’on voit ce qui va suivre. Ils se sont mis à l’ombre sous les arbres. Ils sortent la banquière du véhicule sans ménagement.
-Maintenant, je te conseille de te désaper sinon, on va le faire et on est pas des tendres !
Gaby prend peur et à la vue de ses hommes, elle sait qu’elle n’a pas le choix. Ils regardent alors cette blonde de 48 ans , l’allure bourgeoise , être à leur merci. Ils semblent aimer ça. Elle a peur.
-Ecoute, salope, tu fais ce qu’on te dis et on s’en va ! Nous on veut juste te baiser tu comprends ça ! peut être même qu’on te déposera chez toi si tu te débrouilles bien.
Gaby ne sait pas pourquoi mais elle sait que ces gars n’ont qu’une seule envie : ? se vider les couilles. ? et ça n’ira pas plus loin. Il lui revient à l’esprit qu’elle a déjà fantasmer ce genre de situation mais il y a quelques temps. Elle avait rêvée d’être prise comme une traînée dans un recoin sombre. Le sexe avec son mari était ennuyeux car trop classique. Elle voulait autre chose. Mais là, c’est du réel. Elle finit par enlever son teeshirt en hésitant. Puis c’est la jupe. Elle est en sous vêtement. Culotte et soutient gorge blanc. Les hommes fixent ses seins. Son 90c contenu dans le soutient gorge. Ils regardent ensuite sa culotte et lui demandent de l’enlever. Gaby est tiraillé entre la honte et sa volonté d’assouvir son fantasme. Puis pourquoi pas ! Après tout ils ne la connaissent pas, elle ne les connaît pas et sa famille n’aura pas à en souffrir. Il y’a comme un déclic en elle. Elle se trouve des prétexte pour éliminer ses barrières morales. Elle se lance. Elle baisse sa culotte offrant à la vue des quatre hommes, sa chatte touffue. Gaby ôte alors son soutient gorge. Ses seins pendent un peu. La voilà nue devant ces parfaits inconnus avides de sexe. De concert, ils défont leur pantalon. Elle comprend mais ne veut se comporter comme celle qu’elle considère comme des truies dans les films pornos. Elle, la banquière, la directrice, être obliger de mettre ces sexes d’hommes dans sa bouche. Malgré toutes ses réticences morales elle le fait. Elle s’y prend bien.
-c’est pour ça qu’on aime baiser des femmes de ton âge ! elles ont de l’expérience !
Flattée , elle continue à sucer et à branler les hommes de moins de quinze ans qu’elle. Certains pourrait être un de ses fils. Elle s’évertue à bien les astiquer avec sa bouche. Au moment où elle sent le jus venir, elle s’arrête et passe à un autre.
-une vraie pro de la pipe ! t’es sûre que t’as jamais cocufiée ton mari ?
Elle ne répond pas mais jamais elle ne l’a jamais fait car elle a toujours eu peur pour son mariage. En suçant, elle se dit que c’est la première fois qu’elle trompe son mari. Maintenant, elle est consentante à ce viol. Elle l’a fantasmée et elle le vit. Gaby sait que de toutes façons, elle doit aller jusqu’au bout de l’acte. Après ce petit en-cas, ils l’ont relevé et vont la baiser sur la bm. Elle espère au fond d’elle même qu’ils vont la sodomiser. La voilà cuisses écartées et pénétrée par l’un des hommes. Elle avait commencé à mouiller depuis longtemps. Le fait d’être prise de cette façon l’excitait déjà. L’homme la lime avec force. Elle lâche des cris qui excitent les autres. Gaby n’en peut plus et commencent à proférer des insanités :
-Prenez moi comme une chienne ! allez , allez tous !
Ils rient mais passent à l’action une fois que le premier ait fini de se vider. La banquière expire et comme paralysée par le plaisir glisse mollement de la voiture. Elle est rattrapée in-extrémis et à peine reprend t’elle ses esprits qu’elle sent un doigt pénétrer son anus.
-Oui ! allez y ! allez y !
Toujours en riant , les hommes la prennent un par uns. Les sexes rentre dans son anus. La sensation lui procure un plaisir infini. Sentir cette queue remuer en elle. Elle a même l’impression que quelques chose remue dans ses entrailles. Le sperme envahit son conduit par grosse saccade. Gaby adorait la sodomie mais son mari avait un petit sexe et ne pouvait la satisfaire pleinement. Dans son malheur, elle avait eu une chance inouie de pouvoir satisfaire son désir et d’accomplir un de ses fantasmes les plus inavouables. La voilà secouée par les violent coup de rein. Elle se sent comme un truie avec ses mamelles qui pendent. Une truie , oui, voilà ce qu’elle pense d’elle même. Cette pensée l’excite encore plus. Elle, la directrice, la banquière, à quatre pattes, à poil, se faisant enculer violemment par ces sales types. On lui pince ses tétons pendant l’acte de sodomie. Son affaire est vite réglée finalement. Une fois vidé, les hommes se refroquent. Le ventre et le cul rempli de sperme, la blonde mature s’allonge sur le sol. Elle est fatiguée. Ils la regardent avec presque un certain mépris.
-Voilà sale pute ! ton cul de bourgeoise a eu son compte. Dommage qu’on t’ait pas ramassé plus tôt. On aurait pu te présenter à des copains à nous mais on doit rentrer. On va te ramener car t’as été coopérative et tu es bien forte en pipe.
Elle embarque dans le véhicule, nue au milieu de ces hommes. Ses habits, ses dessous, son sac et son portable sont restés dans le chemin. Elle ne les reverra sans doute jamais. Ils traversent le village en voiture. Par chance, il n’y a personne et les hommes prennent un malin plaisir à rouler lentement. Ils arrivent à la belle maison.
-voilà ! maintenant tu es chez toi ! Mais une femme comme toi si chaude du cul ne doit pas rester ici à moisir dans cette baraque ! Oui, si un jour tu as envie de te faire baiser, passe sur Marseille !
Gaby sort de la voiture qui repart et se précipite chez elle. Elle est obligée de casser un carreau pour rentrer car toute ses affaires sont dans le chemin. Après avoir pris sa douche, elle repense à tout ça. Elle commence à se demander si elle n’allait pas remettre en question sa vie sexuelle. Comme l’homme l’a dit, elle ne doit pas moisir chez elle. Du coup, elle a oublié d’appeler le dépanneur et sa voiture est restée sur le bord de la route. Elle passe le coup de fil et indique le lieu de l’accident. Hum, elle y retournerait bien à pied. Cette fois, elle serait habillée un peu plus sexy car une femme ne sait jamais sur qui on peut tomber en faisant du stop.