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Ma vie de femme de chambre – Chapitre 1




Je mappelle Sylvie et jai 35 ans, je suis femme de chambre dans un « Château du Médoc ».

Voici mon histoire

Je suis originaire du Pas de Calais, nous étions 10 enfants et mon père était mineur de fond. Ma famille nétait pas riche, loin de là et à 16 ans, mes parents me place dans une famille à Paris comme femme de ménage. Ma vie était très dure, lever 6 heures du matin, corvée de ménage, cuisine, servir à table. Mon salaire était envoyé à ma mère et je navais pas un sou.

Javais une journée de congés par semaine, mais jétais tellement fatiguée et nayant pas dargent, je ne sortais pas et souvent quand mes patrons recevaient, je devais servir à table.

Cela à duré 2 ans. Les affaires de mes patrons ont périclitées et ils ont dù se séparer de moi. Ils mont recommandé auprès damis dans le bordelais et je pris le train à la gare dAusterlitz direction Bordeaux avec ma valise, jétais attendu à la Gare Saint Jean.

Après quelques heures de voyage, je débarquais à Bordeaux et effectivement, le chauffeur de mes nouveaux patrons mattendais, un homme dune cinquantaine dannée, il prit ma valise et me conduisit à la voiture (une Mercédès noire). Après avoir mit ma valise dans le coffre il mouvrit la porte passager et minstalla à lavant. Pendant les 35 kilomètres nous séparant de la gare au château, mon chauffeur mexpliquât que nos maitres étaient des gens très sympathiques et que je navais pas besoin de minquiéter, que jallais me plaire, quil sappelle Jean et était marié avec Marthe la cuisinière et quils étaient dans cette maison depuis plus de 40 ans et quils avaient servis les parents des maitres actuels, quils logent dans un dépendance, dans un grand appartement mis à leur disposition. Jaurais aussi une collègue qui était là depuis 1 ans, qui comme moi est femme de chambre, quelle a une vingtaine dannée, quelle sappelle Myriam et quelle est très sympa.

Nous arrivons dans le domaine et mon « chauffeur » mexplique en traversant des vignes sur plusieurs kilomètres que se sont les terres de nos patrons, quils sont viticulteurs et propriétaire dun meilleur cru du Médoc.

La voiture sarrêta devant la porte principale dune grosse maison bourgeoise et mon chauffeur mexpliquât quici on appelait cela un « Château ».

Myriam, une très jolie jeune femme, habillée dune jupe noire, chemisier blanc et chaussure à très hauts talons, maccueillit sur le pas de la porte et me souhaite la bienvenue et me dit que la maitresse de maison mattend dans le bureau, puis me dit ne tinquiète pas de ta valise elle sera dans ta chambre.

Myriam nintroduit dans le bureau, et je fis une petite révérence à Madame, qui me dit: « Ici, ce nest pas la peine, nos employés ne sont pas nos esclaves et nous voulons que votre séjour parmi nous se passe le mieux possible. »

Elle me demanda ce que je savais faire quoique étant au courant par mon précédent employeur, me dit quici tout les employés ont une feuille de paye, que je serais déclarée et que mon salaire sera viré tout les mois sur mon compte, si vous navez pas de compte, nous nous occuperons de vous en ouvrir un et quil était hors de question que mon salaire soit versé à mes parents.

Elle me demanda mes mensurations pour ma tenue et si javais mon permis de conduire, quici cest nécessaire puisque nous sommes à plus de 30 kilomètres de Bordeaux et que nous sommes à 5 kilomètres du premier commerçant. Evidemment je ne lavais pas et elle me répondit que ma première leçon de conduite sera demain matin. Que le Jeudi sera ma journée de repos du Mercredi soir 17 heures au Jeudi soir 17 heures, que Myriam elle avait le Vendredi, mais quexceptionnellement, nous aurons le même jour de congés pour quelle me fasse découvrir la région, quelle tenait aussi que pendant le service nous soyons habillé de la même façon.

Avant quelle prenne congé, elle me dit que Myriam va me montrer ma chambre et que dans une heure elle viendra me voir.

Myriam memmena au 2ème étage de la maison et me désigna ma chambre à gauche en haut de lescalier principal, en fait de chambre, cétait un appartement composé dun salon avec un canapé et table basse et la télévision, de chambres, la première avec un grand lit , une armoire pleine de vêtements à ma taille( Les mensurations étaient arrivées avant moi), une autre chambre meublée elle aussi, lit une place, armoire, bureau et une salle de bains avec douche et WC séparé. Devant mon étonnement, Myriam me dit quelle habite de lautre coté de lescalier et quelle a le même appartement, que nos patrons veulent que lon se sente bien, elle ajouta, il y a tout dans larmoire pour te changer puis me laissa toute seule.

Ma valise était déjà dans ma chambre, jouvris larmoire, hormis des vêtements modernes pour une fille de 18 ans, je découvrais deux jupes noires, deux chemisiers blancs, de la lingerie fine et des chaussures à talons mi-hauts (La même tenue que Myriam, à par les chaussures qui pour elle était à talons très hauts).

Javais une heure devant moi et décida de prendre une petite douche et me changer. En me rhabillant, je ne trouvais pas de collant, mais des bas Dim-Up, je navais pas bien lhabitude, mais je mis une paire, enfilant un chemisier et une robe, je mis pour la première fois des chaussures à talons (pas bien haut).

A peine étais je habillée, que la maitresse de maison frappe à ma porte, je lui ouvris et elle me demanda, si javais besoin de quelques choses, je lui répondis que non, Devant mon inexpérience des talons hauts, elle me dit quil va falloir my habituer, que dans la maison, tout le monde en portait et les collants sont interdis, que cela ne faisait pas bien féminin et quelle même portait des bas et des porte-jarretelles et que bientôt moi aussi je devrais my mettre. Myriam sy est très bien habituée et quil ne fallait pas voir une connotation sexuelle, que de toute façon cela ne se voyait pas sous une jupe qui arrive au dessus du genou. Elle me donnât ses dernières recommandations: « Que je pouvais disposer de la piscine pendant ma journée de congés et aux heures de la sieste, quelle ne voulait pas voir de petit copain dans ma chambre, que je prendrais mes repas à loffice sauf le dimanche soir ou nous partageons notre diner avec elle et son mari dans la salle à manger. »

Jai écouté sans rien répondre, cétait la liberté à coté de mes anciens patrons ou cétait plutôt le « bagne ». Puis elle memmena visiter la grande demeure et me présenter à son mari qui travaillait dans son bureau.

En fin de journée, je regagnais ma chambre un peu fatiguée et Myriam vient me voir pour me demander comment cétait passé la journée et surtout nos patrons étaient des gens charmants et que je navais pas à men faire.

Le diner du dimanche soir se passa normalement, jétais toutefois un peu gênée de diner à la même table que mes patrons, mais cela navait pas lair de déranger Myriam, qui avait lhabitude de cette situation. Les conversations allaient bon train, sana aucune gène, on parlait de tout et de rien.

Le Jeudi arriva, et comme me lavait dit ma patronne, Myriam eut le même jour de congé, et comme notre patronne avait mis une petite voiture à notre disposition (Une super cinq), elle memmena visiter la région jusquau bord de la mer (à Lacanau), Myriam me dit que cette voiture est à notre disposition pour les courses et nos jours de congés et que cest à nous de nous arranger.

Le midi, nous déjeunons dans un petit restaurant au bord de la mer (Myriam ne dit que cest notre patronne qui nous invite), étant un peu surprise, je nosais rien dire.

Notre retour au domaine vers 16 heures 30, notre service reprend à 17 heures, nous nous changeons et étions prêtent pour servir le thé. Notre patronne minterrogeât sur ma journée et me demandât si la région me plaisait et comment ce passait mes leçons de conduite, je lui répondis que la région était super et que cela me changeais du Nord et de Paris et pour mes leçons, que je mappliquais le plus possible, mais cétait dur, elle souri et je rejoignis loffice.

De temps en temps, Jean emmenait notre « patronne » à Bordeaux faire les magasins et nous laccompagnions, elle nous offrait toujours quelques vêtements ou de la lingerie, (et comme Myriam, jaimais de plus en plus porter de la lingerie et devenais adepte des bas et porte-jarretelles). Quand jachetais des chaussures, je les choisissais avec des talons de plus en plus hauts et les essayais sous le sourire de notre patronne.

Arriva enfin le jour du permis de conduire, je partais avec une appréhension, Myriam ne rassura en me disant que cela allait bien se passer et que je pourrais me déplacer toute seule sans prendre lautocar.

Mon retour, ne fut pas triomphal, je venais de louper mon permis pour ne pas avoir mis mon clignotant, je regagnais ma chambre en pleurs, ma patronne vint me voir et me dit : « Ce nest pas grave». Elle me consola, javais peur de perdre mon emploi ou jétais bien, je lui dis : « Vous nallez pas me garder? », elle se mit à rire et me dit: « Jai eu le mien la troisième fois, Vous le repassez dans deux mois. »

Consolée, je rejoins loffice pour déjeuner. Je me suis fait un peu moquer de moi, par mes collègues, par parce que javais loupé, mais parce que je croyais que mes patrons ne me garderaient pas.

Le lendemain, tout était oublié et ma vie de femme de chambre continua comme avant, le matin, petit déjeuner à la maitresse de maison, puis cours de conduite, ménage, moccuper des vêtements de Madame, déjeuner, un peu de piscine pendant la sieste, thé à 17 heures, servir le diner, préparer le petit déjeuner du lendemain les différentes taches ménagères que je partage avec Myriam dans la bonne humeur, quelquefois nos patrons nous invitaient à regarder un film à la télévision sur leur grand écran du salon, plutôt que le regarder sur notre petite télé dans notre chambre.

La vie me semblais toute simple dans ma tache et je mappliquais à les remplir le mieux possible, Quelquefois ma patronne me faisait une réflexion sur mon attitude ou mon comportement, mais toujours avec égard, Myriam et moi, nous étions très bien traitées.

Le jour de mon permis est arrivé. Je partais rassuré de garder mon emploi, et avec les encouragements de tous mes collègues et de mes patrons. Je revins deux heures plus tard en ayant cette fois ci le papier rose en poche. Mes collègues membrassèrent pour me féliciter et mes patrons ouvrirent une bouteille de Champagne pour lévénement.

Le Mercredi suivant, étant en congé depuis 17 heures, ma patronne frappât à ma porte et près lavoir fait entrer, elle me demande ce que je compte faire demain pour mon jour de congé, je lui réponds que je compte prendre lautocar et aller me baigner au bord de la mer. Elle me dit: « Je vais avec vous, nous partons à 10 heures demain. » puis me quitte en me disant bonne soirée et à demain.

Prête à 9 heures 30 le lendemain, jétais habillée, sur mon maillot de bains deux pièces, dune petite robe et dun chemisier noué à la taille. Je descendis un peu en avance et ma patronne mattendait devant sa voiture (une 205 cabriolet) et en me tendant les clés, cest vous qui conduisez, il faut bien utiliser votre permis!

Je pris donc le volant, pas bien rassurée et elle me dit, je connais une petite plage, ou nous serons tranquille, il ny a pas beaucoup de monde. Nous nous rendons vers Carcans lOcéan et en suivant ses indications nous arrivons sur une petite plage déserte après quelques minutes de marche à pied à travers les dunes.

Nous nous installons sur nos serviette et ayant retiré ma jupe et mon chemisier, je me retrouve en maillot de bains. Quel ne fut pas ma surprise, quand jai vu ma patronne retirer son soutien-gorge et son slip en me disant faite comme moi on est beaucoup mieux toute nue, avec un peu dhésitation je retirais le haut et me sentant bien, je retire le bas et me mis sur le ventre. Ma patronne me regarde en riant et me dit: « Vous êtes pas mal du tout et même bien faite, je nen étais jamais aperçus. »

Elle se mit vraiment à coté de moi et me demanda de lui passer de la crème solaire sur le dos, une fois terminé, elle se retourna et me demanda de lui en passer sur les seins et le ventre, je passais la crème sur sa jolie poitrine , qui devint très dure au contact de ma main, elle me demandât de la masser pour que la crème pénètre mieux, je fus très troublée, cest la première fois que je caresse la poitrine dune femme, elle sen aperçut et semblait aime mes caresses.

Je me remettais sur le ventre, et elle me demandât si elle pouvait me passer de la crème , elle menduit le dos et me demandât de me retourner , ce que je fis et me passa de la crème sur mes seins, ma poitrine se durcie et mes tétons devinrent tout raide, elle me les caressa et déposa un baiser sur ma bouche, je fus très surprise et je ne sais pas ce qui cest passé dans ma tète, je lui rendais son baiser en lui offrant ma langue (Javais embrassé quun garçon avant). Sans attendre, elle prit ma langue et la mélangeât à la sienne, elle me dit à loreille, aujourdhui je mappelle Suzanne et je ne vais pas entendre « madame ».

Notre journée au bord de la plage ne fut quun flirt entrecoupé de bains de mer réguliers, Suzanne me demandât si javais un copain et si javais déjà fait lamour, je répondis que javais personne et que javais fait une fois lamour avant de venir à Paris et que je navais pas aimé du tout, quil avait été brutal et que je navais pas envie de recommencer. La journée se terminait, il fallait rentrer pour le service à 17 heures, je repris le volant et plus détendue quà laller, nous rentrons au domaine.

Myriam nous attendait sur le perron, Suzanne me fit un baiser sur la bouche devant elle, puis rentra dans la maison. Myriam nattendit et nous rentrons ensemble et elle me dit enfin ça a été long mais ce soir, nous serons quatre dans le même lit.

Après avoir revêtus mon « uniforme », je servais le thé à mes patrons dans le salon, puis la soirée cest passée un peu comme les autres, sauf que, en montant se coucher, Myriam me dit: » Tu thabille très bien, et je viens te chercher dans une demi heures».

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