Cette histoire a réellement eu lieu et elle s’est déroulée il y a une bonne quinzaine dannées maintenant, lorsque j’étais encore vierge et non circoncis.
Par pitié, si un jour vous devez faire cette opération, la circoncision, réfléchissez bien avant, car cela vous changera la vie et vous le regretterez sûrement, mais cela est un tout autre débat.
Revenons à notre histoire.
Septembre 2001. Une superbe journée. Un temps radieux !
Je vivais encore chez ma mère. Divorcée, elle s’est remariée et de ce remariage sont nées mes deux petites surs.,
Cette année-là, la plus petite d’entre elles fêtait son anniversaire avec quelques copines à la maison. Des jeux leur étaient proposés. Au cours de cet après-midi là, nous, les adultes, eûmes lidée de les emmener à la ferme située non loin de chez nous, à trois kilomètres environ. En effet, une de mes tantes par alliance en possédait une et de nombreux animaux y étaient élevés. Des poules, des lapins, mais il y avait également de nombreuses vaches laitières ainsi que leurs petits veaux.
Avec les enfants, nous fîmes le tour des bâtiments à la rencontre de tous les animaux pour finalement nous rendre à létable.
Mes deux frangines ainsi que leurs amies s’approchèrent tout près des veaux. Les filles leur caressèrent tendrement la tête. Les animaux happèrent leurs doigts pour les téter, réflexe de succion.
Je suivais le groupe. A mon tour, j’allais saluer mes petits amis.
Pour ma part, j’eus droit au même bisou que les gamines.
Je ne disais rien. Je ne montrais rien. Je faisais semblant dêtre indifférent, mais cela m’excitait. Un petit veau m’attrapa la main et la tira dans sa gueule. Je sentais sa douce langue à la fois chaude, baveuse, gluante et légèrement rapeuse frotter sur ma peau.
La réaction de mon corps ne se fit pas attendre : j’eus une érection.
Une idée germa dans ma tête. Et quelle drôle didée !
L’heure tournait. Nous devions rentrer à la maison car tous les parents devaient venir rechercher leurs enfants. Il ne devait pas être loin de 17 heures.
Une fois que tout le monde fut parti, je pris discrètement ma voiture pour retourner à la ferme.
A mon retour sur place, les petits veaux étaient là. Ils se tenaient debout, calmes.
Je me suis approché d’un d’eux afin de le câliner. De nouveau, il attrapa mes doigts et les engouffra dans sa gueule. M’assurant que personne nétait là, j’ai baissé mon pantalon, mais l’animal ne voyait pas mon sexe.
Je me suis mis à genoux, complètement excité, tout tremblant de désir, fébrile, avec ma queue dans les mains que je décalottais.
Le veau continuait de téter mes doigts, mais n’avait toujours pas vu ma bite.
D’une main, je l’ai prise pendant que je guidais l’animal jusqu’à ma tétine.
Une fois ma verge dans sa gueule, il me commandait. J’étais totalement sous son emprise. Ce fut tellement bon sur mon gland ! Une tendre sensation de chaleur et de douceur!
N’arrivant à rien tirer de ce pis improvisé, la bête se mit à téter de plus en plus fort. Si fort qu’elle ramena le prépuce sur mon gland. Je fus obligé de sortir afin de le décalotter de nouveau.
La bave d’un veau est tellement lubrifiante que mon sexe tout fou glissait entre mes doigts.
Retour dans sa gueule. Il téta, téta avec acharnement.
Au bout de quelques instants, je sentis une force paranormale s’emparer de moi. Lorgasme qui arrivait était tellement puissant que j’eus l’impression qu’une entité m’avait arraché du sol et m’avait projeté dans les airs, comme si je ne pesais absolument plus rien du tout. Des frissons parcoururent ma colonne vertébrale, mon sexe happé, tétè, aspiré par le veau, et mon corps complètement en transe. Ce fut un orgasme diabolique, une jouissance démentielle
Revenu à moi, de retour sur la Terre ferme, je me suis remis debout et j’ai relevé mon pantalon.
Le petit veau était là. Il me regardait en ouvrant sa gueule, comme s’il voulait me dire :
— Donne moi encore ta tétine. Je voudrais encore de ton délicieux lait ! J’ai faim moi !
Sa langue se tordit. Entre celle-ci et son palais, de longs fils de bave sétiraient. Il se lécha le museau.
A mon tour, je l’observais. Je ne savais que faire. Dans les regards que nous avons échangés, lui et moi, il y avait une grande tendresse.
Je n’avais la force de lui dire :
— Désolé mon bébé, mais après ce que tu m’as fait, je suis plus sec que le Sahara, plus aride que les plus chauds déserts australiens ! Je n’ai plus rien pour toi. Le biberon est vide !
Ce qui s’est passé ce jour-là est peut-être un peu bestial: C’était une fellation contre nature, mais mon petit ami à la tête frisée et à la langue si douce s’est-il seulement rendu compte du bien qu’il m’a fait?
Quelques instants sécoulèrent avant que je ne quitte les lieux.
Un peu plus tard, j’ai voulu réitérer l’expérience, mais je me suis fait surprendre.
J’avais à peine baissé mon slip que le fils de ma tante arriva.
-Toi, tu viens voir les p’tits veaux !
Ne sachant quoi lui répondre, je me suis contenté d’acquiescer.
J’eus honte de moi. Et surtout javais très peur qu’il raconte cette histoire.
De nombreuses semaines et bien des repas de famille plus tard, personne ne m’a jamais fait aucune remarque.
Je me suis souvent posé la question de savoir s’il ne pratiquait pas lui-même, sachant que c’était un célibataire endurci. Ce qui expliquerait pourquoi il n’a jamais rien dit.
Je n’ai jamais parlé de ceci à personne, hormis à deux camarades de lycée avec lesquels je dormais à l’internat. En effet, nous avions des chambres de trois ou de quatre. Ce fut un soir pendant lequel nous nous racontions nos délirs sexuels. L’un des deux rêvait de faire lamour avec une grand-mère car elle tremble et elle n’a plus de dents, disait-il.
Le deuxième nous fit part d’une pipe tout à fait banale. Ils n’avaient que dix sept ans alors que j’en avais dix neuf.
Pour finir cette histoire, je répondrai volontiers à la question : une fellation est-elle meilleure avec un veau ou avec une femme experte?
Ayant expérimenté les deux solutions, je dirais simplement que c’est différent. C’est comme le fait de manger des pâtes à la carbonara ou à la sauce tomate, ou encore des frites ou de la purée. L’ingrédient de base est le même, seule la façon de faire change. La femme cherche à donner du plaisir. Le veau, quant à lui, a très faim.
Ceci dit, l’un comme l’autre n’est aucunement dangereux. Seulement, ça part très vite ! Sensations fortes garanties et fellation inoubliable !