Histoires de non consentement Histoires de sexe hétéro Histoires érotiques

Black Angel Vs Papillon De Nuit – Chapitre 3




Nous nous rendons toutes les deux dans le petit sex-shop. En y entrant, une forte odeur âcre de sueur mélangée au sperme m’a fouetté les narines. J’étais étonnée de voir entreposés tous ces jouets aux formes et aux tailles tout aussi diverses que variées. Je voyais tous les films classés par genres : hétéros, lesbiennes, gays, Asiatiques, pour ne citer qu’eux, des plus classiques aux plus extrêmes indiqués au fond, et des écrans en haut diffusaient des séquences pornographiques diverses.

La vache ! m’exclamai-je, les yeux écarquillés.

C’est la première fois que tu entres dans ce genre d’endroit ? me demanda-t-elle.

Oui. Je dois dire que je suis impressionnée, quelque part. Pas toi ?

Moi aussi ! Dans ce genre de magasin, il y a absolument tout pour…

Mesdemoiselles, bonjour. Êtes-vous majeures pour venir ici ? nous interrogea le vendeur.

Nous lui avons montré notre carte d’identité en cachant nos noms  ; après avoir rapidement constaté notre majorité, il nous invita d’un geste à déambuler dans le magasin. Un client qui regardait des sex-toys nous regarda avec un petit sourire pervers avant de s’en aller.

Mais pourquoi tu voulais qu’on vienne ici ? demandai-je à Océane en chuchotant.

Ça peut être marrant, non ? Et puis bon, j’ai pas envie de crever conne. Tiens, je vais jeter un il sur les vidéos, là bas. Tu viens avec moi ?

Non, je vais aller dans l’autre direction, dis-je en me sentant comme irrémédiablement attirée vers le fond du magasin qui renfermait les vidéos les plus hard.

OK, à tout à l’heure…

Je passai devant les sex-toys aux formes parfois assez étranges et les cosplays divers. Tous les fantasmes étaient représentés : infirmière, policière, hôtesse de l’air, secretaire, marin, pompier, etc. Il y en avait vraiment pour tous les goûts. Je me regardais les jaquettes des vidéos spécialisées SM lorsque tout à coup un des titres attira mon regard. J’ai dû me frotter les yeux pour m’assurer que je n’avais pas la berlue. Je pris le DVD et contemplai avec une immense stupéfaction son titre écris en gros : «  De Papillon de Nuit à soumise  ».

J’étais médusée. J’inspirais les fantasmes lubriques des scénaristes de films pornos  ! Quelque part, j’en étais flattée et amusée. Je regardai la jaquette qui montrait plusieurs clichés réunis en un seul. J’eus aussi la surprise de voir la durée du film : 4 heures, avec au programme  : soumission, double pénétration, lesbiennes, gang-bang… Et le film valait une vraie fortune, qui plus est   ! Eh ben, de mieux en mieux J’étais curieuse de savoir comment on me voyait. Océane me rejoignit après quelques instants. J’imaginais qu’elle n’était pas très rassurée d’être toute seule dans son coin, surtout dans ce genre d’endroit.

Ben alors, vicelarde, qu’est ce que tu regardes ?… Ooooh, eh bien bravo, c’est du joli ! se moqua-t-elle en chuchotant lorsqu’elle vit le film que je tenais entre mes mains. «  Papillon de Nuit  » ? Ah oui, on nous gave avec elle depuis un moment.

Tu crois que c’est la vraie ?

Je ne pense pas, ça m’étonnerait ! Tu veux qu’on le regarde ?

Non, non, c’est pas ça ! Et j’ai pas assez pour l’acheter, mentis-je.

Qui t’a parlé de l’acheter ? On peut demander le film qu’on veut en projo privée, c’est marqué à l’entrée. Je peux ?

Je rougis atrocement, les yeux baissés, en lui donnant la boîte. Pourquoi l’idée de me retrouver seule dans une cabine de projection porno en sa compagnie me troublait ?

J’aimerais bien voir ce que ça donne, mais…

Moi aussi. Et puis ce sera une bonne expérience, non ? Y a pas de risque de se faire gauler, surtout pas dans un endroit pareil   ; et puis c’est anonyme.

C’est vrai ? Bon, vu sous cet angle… OK !

OK, j’y vais ! dit-elle en s’éloignant avec le film.

Elle revint un instant plus tard après avoir payé la séance pour nous deux.

OK, cabine pour couple, au fond   ; ça va commencer.

Mon ventre se tordait Nous sommes entrées dans la cabine où deux sièges étaient placés côte à côte. Après avoir retiré nos vestes, nous nous sommes installées confortablement. Je verrouillai la porte, de manière à ne pas être dérangées.

Oh, j’ai pigé : c’est à nous de lancer la vidéo. Regarde, y a la télécommande ! dit-elle.

Alors lance-la ! lui dis-je, impatiente.

Eh ben c’est parti mon kiki ! Bon film ! jubila-t-elle en appuyant sur «  lecture  ».

Le film débutait avec une femme très jeune, blonde, attachée les membres en "X", dans une tenue assez semblable à la mienne, excepté pour le loup (elle en était dépourvue)   ; ça commençait bien   ! Une femme brune plutôt mature et très jolie, habillée avec beaucoup de classe, entra dans le champ de la caméra. Après quelques mots, elle commença à déchirer la tenue de celle qui était attachée. Elle la fouetta violemment avec une cravache et un martinet tout pinçant ses tétons sous les cris de douleur de sa victime. Ce nétait pas simulé, car on voyait les traces des lanières de cuir… Pourquoi cette scène non seulement m’émoustillait, mais en plus m’était comme familière ? Pourquoi me voyais-je vivre cette scène ?

Je regardai Océane du coin de l’oeil: attentive, elle ne perdait pas une miette du spectacle. Tout à coup, on entendit la blonde hurler son plaisir ultime quand la rousse lui fouetta le clito avec sa cravache. Jétais tout bonnement fascinée : je savais au fond de moi que cette fille avait vraiment joui, qu’elle ne simulait pas. La blonde se fit détacher pour se faire pisser dessus par l’autre.

Wouah… Eh ben dis donc, pour être extrême, ça l’est ! souffla mon accompagnatrice.

Et c’est que le début ! Ça te plaît ?

Elle hocha la tête positivement sans lâcher l’écran des yeux une seule seconde.

Le film se poursuivit et la blonde se retrouva habillée d’un cosplay de soubrette très sexy; tout y était, jusque dans ses moindre détails. Elle accueillit deux types qui se mirent tout à coup à la palper, la caresser, la doigter, et ils sortirent lun et lautre un sexe énorme. Elle se retrouva à leur faire une pipe pour être peu après prise en double pénétration. Leurs coups de reins étaient violents, pour le plus grand plaisir de leur partenaire féminine qui beuglait son bonheur comme une folle. Mon Dieu, j’avais l’impression de sentir ces mecs en moi… Mais qu’est ce qui me prenait, bon sang ? Pourquoi ça me faisait cet effet-là   ?

Eh bien, on peut dire qu’elle en prend pour son grade, la petite voleuse… dis-je, rouge pivoine et haletante, crevant d’envie de me caresser.

Elle ne répondit pas, sûrement trop fascinée par le film, mais elle serrait très fort le tissu de son short en jean de ses poings, trahissant son envie. La double pénétration s’acheva avec une double éjaculation faciale que l’actrice récolta avec ses doigts pour s’en régaler. Le film se déroulait avec des dialogues sans intérêt, jusqu’à une séquence de punition assez violente pour la soumise, avec la sur de la brune. Fessée, insultes, humiliation, crachats, gifles, coups de martinet : tout y passait. Finalement, le film était très bien jusqu’à ce moment-là. Pourtant, même sil était très excitant, aucune de nous n’a encore craqué.

Il se déroula jusqu’à ce que la blonde et la brune soient toutes les deux dans une voiture. Les deux actrices se sont regardées, et j’y ai décelé une lueur de tendresse presque d’affection de leur part. Elles s’embrassèrent tendrement, passionnément, comme de vraies amantes. Océane enroula son bras autour de mon cou.

Regarde, Fran, une scène lesbienne! lança-t-elle, pleine d’entrain. Enfin un peu de tendresse dans ce film de brutes…

Cette fois, c’est moi qui ne répondais plus. J’observais la scène comme une véritable voyeuse, restant attentive à tous leurs faits et gestes. Leurs paroles et gestes tendres l’une envers l’autre dégageaient une telle sensualité que j’avais très envie de me caresser. Je mouillais tant que j’avais l’impression que ma culotte était bonne à essorer. Je ressentais des papillonnements de plus en plus forts dans mon ventre, mon coeur battait à tout rompre dans ma poitrine, je haletais, mon visage était rouge. Je ressentis une jalousie incroyable lorsque les filles jouirent ensemble. En fait, j’étais jalouse de la blonde, tout simplement.

Quelques secondes après elles étaient sur un lit, en plein rapport lesbien encore plus sensuel et torride qu’il ne l’était dans la voiture. Baisers, caresses sensuelles, cunnilingus, 69, c’était tout simplement magnifique, je le reconnais. Ma bouche entrouverte était sèche, ma gorge serrée. La première chose à faire en rentrant chez moi allait être de me caresser comme une malade jusqu’à l’épuisement total. Je ne me serais jamais crue capable de me retenir aussi longtemps devant un film porno sans rien faire, mais la présence d’Océane y est vraiment pour quelque chose.

Quelques instants après cette magnifique scène saphique, la caméra montra la blonde habillée d’un bustier en vinyle sans bretelles qui s’ouvrait par devant grâce à une fermeture Éclair, et dune jupe assortie de la même matière, pieds nus. Plusieurs hommes l’entouraient ; le gang bang n’a pas été long à démarrer. L’actrice était prise par deux, voire trois mecs en même temps.

Bon sang, je me voyais à sa place, malmenée par tous ces hommes en rut, ces queues bandées giclant leur semence sur moi qui m’en repaissais comme une affamée. Je ne savais pas combien ils étaient, mais il y en avait un sacré paquet, et elle les satisfaisait tous jusqu’au dernier.

Le film se termina sur un plan où la brune faisait graver son nom sur sa soumise qui lui promettait fidélité et obéissance totale éternelle. J’en tremblais encore d’excitation lorsque les crédits de fin défilèrent sur l’écran. Après un instant passé sans bouger ni l’une ni l’autre, nous nous sommes rhabillées et nous prîmes la route pour rentrer chez nous. La nuit était tombée depuis peu, et il fallait se dépêcher.

Une suite ?

Related posts

Zurich – Chapitre 1

historiesexe

De coincé à Star du porno – Chapitre 1

historiesexe

Arnaud – Chapitre 6

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .