Maman et moi
Je me présente, je m’appelle Nino, j’ai 23 ans 1m85 pour 80 kilos tout en muscle, je pratique la natation, course à pied, vélo culture physique, je suis en master de gestion et droit, j’habite dans le sud de la France, encore chez mes parents.
Mon père se prénomme Paul, 48 ans, PDG d’une importante entreprise de BTP avec des contrats et chantiers dans toute la France et le monde (Pays du Golf) il est souvent absent de la maison.
Ma mère se prénomme Léa, 45 ans, 1m75 pour 60 kilos, très bien proportionnée avec des formes là où il le faut, une poitrine de 90 D volumineuse, ferme, elle est sportive, piscine, gym et vu la situation pro de mon père, ne travaille plus depuis 5 ans.
J’ai une sur, Manon, 20 ans, qui est partie faire ses études aux États-Unis pour devenir interprète internationale. Elle doit revenir pour les vacances.
Nous habitons sur les hauteurs d’une ville du Var dans une superbe villa construite par mon père vu son métier et donc il y a tout ce qu’il faut, piscine, jacuzzi, terrasse, sauna, etc.
Voilà pour dresser le décor.
Nous sommes fin juin, il fait déjà très chaud dans le Var, je suis déjà en vacances et donc à la maison avec ma mère, mon père étant en voyage pro en Tunisie.
Je me lève vers 10 h, ma mère prend son petit-déjeuner sur la terrasse ombragée devant la piscine, elle porte sa nuisette transparente de la nuit et une culotte en dentelle, cela ne la dérange pas et moi non plus de la voir ainsi, c’est souvent que l’été, elle bronze sans soutif sur la terrasse, notre maison et entourée d’un mur haut et de verdure abondante donc personne ne peut voir, en plus, nous sommes en hauteur.
Je m’assieds face à ma mère, prends un bol de café au lait, ma mère me tend une corbeille avec des croissants et pain au chocolat, je me serre et déguste. Tant face à moi, je ne peux pas m’empêcher de regarder les seins de ma mère au travers du tissu de sa nuisette blanche et transparente, ils sont divins, j’ai 23 ans et les femmes bien faites ne me laissent pas insensible même si celle-ci est ma mère, surtout qu’elle ne m’a jamais laissé insensible sexuellement, j’ai toujours été attiré par son corps, mais jamais je n’ai osé ou parlé de quoi que ce soit avec elle. J’ai bien des fois essayé de regarder dans la salle de bain quand elle prenait sa douche, mais avec la paroi dépolie, pas facile de voir quelque chose.
Nous discutons de ce que nous allons faire chacun de notre journée, le petit-déjeuner terminé, ma mère de dit qu’elle allait prendre sa douche, je lui dis que moi aussi, nous avons une salle de bain dans chaque chambre, plus une commune, plus une douche dehors.
Je me dirige vers ma chambre, vais prendre ma douche, enfile un short sans sous-vêtement et voilà. Je sors de ma chambre et file vers l’escalier pour descende au RC, en passant devant la chambre de ma mère, j’aperçois la porte de celle-ci entre ouverte et entend le bruit de l’eau de la douche, je ne peux m’empêcher de jeter un il dans la chambre en passant la tête par l’entrebâillement et comme le bruit de l’eau continue, je pénètre dans la chambre, elle est dans la pénombre, la chambre de mes parents possède une terrasse, sans bruit, je me dirige vers celle-ci, entre-ouvre le volet sort sur la terrasse et repousse le volet, me cachant juste derrière celui-ci, j’ai vu sur la douche et sur l’ensemble de la chambre.
L’écoulement de l’eau s’arrête, j’aperçois au travers de la paroi floutée ma mère saisissant une serviette de bain pour s’essuyer, elle sort de la douche, elle est magnifique, mes yeux se posent sur son entrejambe et la surprise, elle est totalement épilée, lisse sans aucun poil, je ne pensais pas que ma mère s’épilait, je suis surpris et agréablement surpris, je mate sa lourde poitrine ferme avec les tétons qui se dressent, on dirait qu’elle bande, elle se parfume devant sa glace, elle enfile un bas de bain en triangle devant, derrière tenu par des lacets de chaque côté et un tee-shirt qui lui arrive juste au-dessous des fesses, sans soutif, il fait déjà très chaud, elle se peigne ses longs cheveux bruns et sort de la chambre, je sors de ma cachette, file dans le couloir et descends au RC où ma mère est couchée sur un transat avec un journal à la main.
Je me couche sur le transat à côté d’elle pour une petite bronzette. Il fait très chaud ce matin, il est environ 11h30, ma mère s’assoit sur le transat et me demande si cela ne me choque pas si elle enlève son tee-shirt, je lui réponds que non, que je l’ai déjà vue les siens à l’air, elle le retire et se rallonge. Moi, je suis torse nu en short, elle ne porte plus que son bas de maillot de bain, cela devient chaud. Mon short de boursoufle, je bande comme un malade, je pense à son corps, je le regarde, le désire.
L’heure du déjeuner arrive, salade de légumes locaux, poissons et glaces, ce sera très bien.
Je dresse la table à l’ombre de la terrasse, une petite table carrée, l’un en face de l’autre, nous nous installons et déjeunons en parlant de tout et de rien, ma mère est restée les seins nus pour déjeuner et je ne peux pas m’empêcher de poser mes yeux dessus, dans mon short, ma queue est dure et me fait mal.
Ma mère me regarde et me dit « Un souci ?», je crois qu’elle a remarqué que je matais ses seins depuis le début du repas. « Non » lui répondis-je, « Pourquoi ?» « Tu crois quand même pas que je n’ai rien vu, que tu dévores mes seins des yeux » me dit-elle « ils sont tellement magnifiques, papa a de la chance » lui répondis-je, « tu veux que je me couvre « dit-elle « non pas du tout » lui répondis-je. Léa : Tu vas quand même pas me dire que je te fais de l’effet mon fils ? Nino : heu franchement si maman. Léa : J’ai 45 ans, les filles de ton âge sont bien plus sexy que moi, tu n’as pas de copine en ce moment ? Nino : non pas en ce moment maman.
Léa : Tu as déjà fait l’amour avec une ou des filles ? Nino : Oui bien sûr. Léa : Et alors tu as pris du plaisir tu as aimé ? Nino : ho que oui !
Léa se lève et débarrasse les couverts, qu’elle met dans le lave-vaisselle. Elle nettoie la table, me demande ce que je vais faire cet après-midi, je lui réponds qu’il fait trop chaud pour sortir, que je vais rester là à l’ombre et me reposer, Léa me dit idem pour cette journée pour elle.
Nous reprîmes nos places sur les transats, allongés à l’ombre, un bouquin chacun dans les mains avec les écouteurs dans les oreilles pour moi Nino.
Je bandais toujours et cela se voyait sous mon short, il était environ 14h30.
Léa me fit signe d’enlever mes écouteurs, Léa : si je comprends bien, tu fantasmes sur moi depuis un petit moment ? Nino : Oui depuis mes 16-17 ans, Léa : Mais tu me voyais souvent dénudée sans soutif avec des bas de maillot de bain très petit non ? Et tu fantasmais quand même ? Nino : Oui parce que je ne t’ai jamais vue nue, tu ne t’es jamais baladée nue dans la maison ni bronzée nue. Léa : Et tu aimerais que je le fasse ? Nino : Franchement oui j’aimerai bien. Léa se leva de son transat, se mit face à moi les jambes mises écartées, elle prit les liens de chaque côté de sa culotte de maillot de bain et tira en même temps dessus et les lâcha, le bas du maillot de bain tomba à terre, dévoilant sa chatte lisse et totalement épilée, et voilà dit Léa. Elle était totalement nue devant moi son fils Nino.
Léa : Vu la forme de ton short, je vois que cela ne te laisse pas indifférent. Léa enjamba le transat une jambe de chaque côté et remonta au niveau du visage de Nino. Léa courba légèrement les jambes pour que sa fente vienne toucher la bouche de Nino. Léa : Lèche-moi, lèche-moi la fente, le clito vas-y mon fils. Je commençais par lui lécher avec ma langue les petites lèvres, ensuite j’enfonçais ma langue dans sa fente, avec mes mains j’écartais sa fente pour mieux la lécher, je trouvais son clito, je le suçais, le titillais de ma langue avec mes doigts je le fis jaillir pour le lécher de ma langue, j’enfonçais ma langue dans son intimité, elle commençait à gémir, Léa : Ho oui encore, ça vient.
Je continuais à la lécher avec de plus en plus d’ardeur, je sentis Léa se contracter sur ses jambes, se raidir et lâcha un hurlement de plaisir en disant : oh oui que c’est bon je jouis, mon fils me fait jouir, Léa mouillée comme jamais, elle se retira et se coucha sur son transat, complètement vidée.
Léa : Mon salaud, quel amant fais-tu. Léa s’assit sur le bord du transat de mon côté, elle vit la bosse de short et qu’il était aussi mouillé, Léa passa sa main sur mon short, elle saisit le lien qui le serrait à ma taille, le tira, puis passa sa main à l’intérieur de mon short, elle fut surprise par mon sexe, je ne suis pas super bien monté, mais bon je me défends (20 centimètres de long X 5 de diamètre environ), elle se leva et prit mon short à 2 mains et le descendit puis me l’enleva totalement, j’étais couché nu face à ma mère. Elle me fit descendre les jambes pendantes de chaque côté du transat.
Mon sexe était dressé comme un mat gonflé, dur.
Léa le prit dans sa main droite et commença des va-et-vient lents de haut en bas jusqu’à mes couilles, elle savait y faire, elle pencha sa tête entre mes cuisses et me lécha les couilles tout en me branlant, elle accéléra de plus en plus ses mouvements d’un poignet ferme et de l’autre main, elle me caressait le bout du gland bien humide, je sentais le plaisir de la jouissance monter, je gémissais Nino : Oui, oh oui encore hum et quand Léa sentait que j’allais jouir, elle ralentissait le mouvement, cela faisait maintenant une trentaine de minutes qu’elle me branlait, ma bite me faisait mal, Léa passa sa main gauche entre mes fesses, les écarta et vint avec son index me caresser le trou du cul, cela m’exista encore plus, puis elle suça son doigt, pencha sa tête tout en me branlant fermement, me lécha le trou du cul pour bien l’humidifier, releva la tête, me regarda et enfonça son index dans mon cul, mon désir, mon plaisir furent décuplés, Léa me limait le trou avec son doigt et me branlait avec la main.
Léa sentit que j’allais jouir et décharger, elle accéléra le rythme et soudain je criais : Ho oui encore ha c’est bon je jouis hum et au même moment, j’éjaculais dans la main de Léa, un jet puissant qui gicla sur le sol de la terrasse. Elle enleva son doigt de mon cul, lâcha ma queue et me dit alors c’était bon mon fils ? Nino : Fantastique, à quand la suite ?
Nous partîmes prendre une douche chacun de notre côté. On se retrouva vers 16h30 sur la terrasse à l’ombre. J’avais mis un short de bain à mi-cuisse, Léa une nuisette blanche en dentelle totalement transparente sans rien dessous. On se fit un petit goûter avec jus d’orange et brioche, cela nous avait creusés.
La sonnette du portail sonna, je regarde le visiophone, c’est un livreur, je demande à l’interphone et le gars me dit une livraison pour Mme Léa ……, ma mère dit laisse-le entrer j’ai fait une commande.
J’ouvre le portail, le livreur monte à la porte d’entrée, sans que je n’aie le temps de me diriger vers la porte, ma mère ouvre la porte dans la tenue qu’elle a, une simple nuisette transparente, et dit : Bonjour Monsieur, il fait chaud aujourd’hui, quelque chose à signer, le livreur surpris regarde Léa de la tête aux pieds et lui dit : Oui une signature ici, Léa signe, prend le paquet : Bonne fin de journée, merci, le livreur repart, je suis ko, je regarde ma mère, elle me regarde et dit : Ben quoi.
Elle ouvre le paquet qui contient une robe noire avec dos nu, un décolleté qui arrive au nombril et en longueur elle doit lui arriver au ras des fesses, elle me la montre, tu aimes me dit-elle, Nino : Tu vas porter cette robe ? Léa : Oui nous sommes invités pour un apéro dînatoire toi et moi chez notre voisine Mélanie et son mari dans 8 jours, comme ton père sera pas là tu m’accompagneras ? Nino : Oui bien sûr c’est à côté.
Il est environ 18 h, on sonne à nouveau, ma mère regarde, ha c’est Mélanie, elle ouvre. Léa : Nino tu la reçois je reviens. J’ouvre la porte à Mélanie, c’est une femme d’environ 50 ans 1m60 pour 55 kilos, blonde, les cheveux courts au carré, poitrine d’environ 85 D, elle porte short en jeans et un débardeur blanc et des claquettes.
Léa revient, elle a mis un tee-shirt long blanc qui descend mi-cuisse.
Elles se font la bise, Léa invite Mélanie à s’asseoir sur la terrasse, Mélanie venait voir si cela était toujours d’accord pour dans 8 jours, Léa lui dit oui et que Nino sera avec elle, Paul n’étant pas là. Léa propose l’apéro à Mélanie, celle-ci accepte un mojito ainsi que Léa et Nino. Nous sommes assis sur des fauteuils bas avec une table basse au milieu, Léa est face à Nino et Mélanie à la droite de Nino et gauche de Léa.
Léa face à Nino se cale au fond du fauteuil et écarte légèrement les cuisses, Nino voit qu’elle ne porte toujours rien dessous.
En regardant Mélanie de profil, Nino s’aperçoit qu’elle ne porte pas de soutif et par l’échancrure du débardeur, il voit presque entièrement ses seins. Comme elle est sur le bord du fauteuil et qu’elle se penche légèrement en avant, son short baillant derrière à la taille, Nino voit qu’elle porte un string ficelle rouge, cela le fait rebander. Sa mère plus les nichons de Mélanie, plus le mojito c’est chaud.
Mélanie en se tournant vers Nino s’aperçoit que celui-ci lorgne sur ses seins, elle n’en laisse rien paraître, cela l’amuse, Léa elle aussi a vu le manège de Nino.
Nous sirotons nos mojitos, Nino a toujours l’entre cuisses de Léa en pleine face, Mélanie fait allusion à la chaleur, Léa lui suggère de plonger dans notre piscine, Mélanie répond qu’elle n’a pas son maillot de bain.
Et qu’il est temps qu’elle regagne sa maison et son mari.
Elle se lève et nous souhaite bonne soirée.
Je la raccompagne à la porte, lui fais la bise tout en plongeant mon regard dans son débardeur pour voir ses magnifiques seins, bien fermes et pointus. Mélanie me regarde et me dit : Ils sont beaux n’est-ce pas ? Et elle part.
Léa enlève son tee-shirt et se retrouve nue avec Nino. Léa prépare le dîner, entrée de crudités, viande froide, mayo, salade et petite glace. On dîne au même endroit que midi. Léa est nue face à Nino. Nous dînons sagement, Léa me fait remarquer qu’elle a vu que je lorgnais Mélanie, elle te plaît me demande-t-elle ? Nino, hum pas mal oui. Nino : Elle avait un joli string ficelle rouge, fais-je remarquer. Léa : Petit coquin va. Léa saisit son téléphone portable, recherche le contact Mélanie et lui envoie le SMS suivant : Mon fils t’a trouvée sexy et canon. SMS Mélanie retour : J’avais remarqué. SMS Léa ; alors, profites-en. Retour Mélanie : Hum……
On finit de dîner, Nino débarrasse la vaisselle et met le tout dans le lave-vaisselle qu’il met ensuite en marche. Léa est assise au bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Nino monte dans sa chambre faire un peu d’internet, tchatcher avec les copains et copines. Il est 22h30 quand Nino redescend vers la piscine, Léa est toujours au même endroit, elle pianote sur son smartphone, Nino plonge dans la piscine et fait quelques longueurs, puis il vient se placer toujours dans l’eau entre les jambes de Léa. Ils se racontent des histoires, rigolent puis Nino sort de l’eau et s’assoit près de Léa. Léa : bon si nous allions nous coucher, elle se lève et passe par la cuisine boire un verre d’eau et monte dans sa chambre. Nino reste encore un peu sur le bord de la piscine. Il pianote à son tour sur son smartphone. Il monte aussi dans sa chambre, passant devant celle de Léa, il entend, Nino, viens, viens stp.
Nino entre dans la chambre avec son short de bain encore un peu mouillé, il aperçoit sur le lit Léa dans la pénombre, elle est nue positionnée à quatre pattes en levrette, Nino s’approche du lit, Léa : viens, approche, monte sur le lit, mais enlève ton short avant, ce que fit Nino.
Léa : Viens, prends-moi par derrière j’ai envie, tu m’as donné envie. Nino est à quatre pattes sur le lit, sa queue est raide, elle bande dure, il s’approche des fesses de Léa, lui lèche la chatte, puis l’anus, il présente sa queue à l’entrée du vagin de Léa, introduit son gland entre les lèvres de la chatte de Léa et pousse d’un coup sec, Nino pénètre Léa à fond, ses couilles tapent contre la chatte de Léa, elle a crié de plaisir, Nino : Hum tu aimes ça hein chienne.
Léa : Ho oui j’aime ça plus fort, plus profond, Nino saisit les seins de Léa et les caresse vigoureusement et il lime Léa de plus en plus profond et vite, sa queue de 20 centimètres X 5 pénètre la chatte de Léa, elle subit plusieurs orgasmes, Nino n’en peut plus cela fait 30 minutes qu’il besogne Léa, il se raidit, Léa : Décharge en moi, reste en moi, Nino sentit sa semence monter et dans un cri de jouissance, il éjacula dans la fente de Léa, dont le jus coulait le long de ses cuisses, il se retira et s’écroula sur le dos dans le lit de Léa qui resta couchée sur le ventre.