Je m’appelle Aurélia et mon histoire commença lorsque j’avais 18 ans. J’avais passé l’été chez mes cousines à la campagne. On s’amusait beaucoup, mon oncle, veuf, était très sympa avec nous. Mais ce que je préférais c’était quand on se retrouvait dans la grange en haut, là mes cousines qui avaient 19 et 20 ans, me racontaient des p’tits secrets sur le sexe. Comment elles se caressaient mutuellement, et ce qu’elles s’introduisaient dans le vagin pour se faire jouir.
J’ai toujours été très excitée par ce type de choses. Parfois même elles se léchaient devant moi.
Un après midi, alors qu’elles étaient en train de s’embrasser, on entendit la voiture de mon oncle démarrer.
-" Il va vérifier son bétail! Me dirent mes cousines en chour.
-A propos, tu veux connaître un gros gros secret dis-moi ?
-Oui, bien sur!
-Faut pas en parler hein!
-Promis.
-Notre père nous rend visite la nuit.
-Comment ça?
-Ben pour nous donner du plaisir, il met son sexe en nous, dans notre vagin et notre bouche.
-C’est pas vrai ?!
-Si c’est vrai ! Et même que si t’es sympa avec nous cet après-midi, on te montrera cette nuit.
-Comment ça? "
Mes cousines se regardèrent d’un air convenu et commencèrent à me palper les seins (assez gros).
Amélie (rousse, 20 ans), me glissa la main entre les jambes pour coller ses doigts à ma culotte.
-" Oh mais c’est déjà tout mouillé dis donc!
-Une vraie obsédée celle là s’exclama Nathalie " (blonde, 19 ans)
J’avais la tête qui me tournait, tant l’excitation était forte, leur 4 mains parcourant mon corps. Amélie m’attrapa la tête et me donna mon premier baiser, tandis que Nat avait glissé ses doigts dans ma fente et avait entreprit de m’explorer.
Elles me firent allonger sur le ventre et écarter les jambes et mimèrent une pénétration, tout en glissant de ci de là des doigts dans mes orifices.
On entendit la voiture de mon oncle revenir, alors nous cessâmes notre jeu et nous rendîmes à la maison pour le dîner.
Ce soir là tout était pareil et tout était différent, je regardais mon oncle d’un autre oil, très excitée de ce que je verrais ce soir.
Il fut l’heure et nous allâmes nous coucher (mes cousines partageaient leur chambre et moi j’étais dans la chambre d’ami).
Mais au lieu d’aller dans ma chambre, mes cousines me firent entrer dans la leur, et me planqua sous le lit
-" T’inquiètes pas il va pas être long à venir. "
Puis elles se couchèrent.
Cela faisait à peine 5 minutes, que la porte s’ouvrit en silence puis se referma.
Mes cousines sortirent de leur lit pour entourer mon oncle. Il se pencha et embrassa à pleine langue Amélia tandis que Nat, s’était agenouillée pour lui dégrafer le pantalon. Il avait le souffle court et passait ses mains sur les gros seins d’Amélia qui avait l’air d’y prendre beaucoup de plaisir.
Il lui fit mettre les mains sur son bureau, lui souleva la chemise de nuit, baissa sa culotte, et sans plus de cérémonie lui enfonça sa queue au fond du vagin.
Ils faisaient de petits cris, tandis que Nat, venue prés du lit, s’était mise à se masturber comme une furie.
J’entendais mon oncle :
-" C’est trop bon, ton vagin est trop bon. "
Et amélia qui ronronnait presque
-" Il est tout en moi, je le sens, c’est bon. "
Sans m’en rendre compte j’avais glissé ma main vers ma chatte et je commençais à me masturber, la main recouverte de mouille.
-" Plus fort! Plus fort! "
Amélia était comme en transe
-" Ah c’est ma jolie garce de fille ça, tu aimes ça hein! "
Il mit plusieurs coups de reins, puis il lâcha un râle de jouissance, en éjaculant sur le dos d’Amélia.
Il se rhabilla en silence puis sortit en souhaitant une bonne nuit à ses filles. Et alla se coucher.
J’étais tétanisée sous le lit, non pas de peur, mais de désir, j’avais l’impression que le moindre frôlement me ferait jouir. Il fallut quelques minutes à mes cousines pour elles aussi reprendre ses esprits et me tirer de dessous le lit.
Elles virent que ma culotte était baissée.
-" Y’a pas besoin de te demander si tu as aimé dis donc!
-Bon moi je vais me coucher dit Amélia
-Ben oui tu peux, moi il ne m’a même pas touché ce soir " dit Nat l’air boudeuse.
J’en voulais intérieurement à mes cousines de ne m’avoir parler de ce secret qu’à la fin de mon séjour, hélas je repartais chez moi le lendemain.
Je les interrogeais,
-" Comment c’est arrivé? Il vous a violé? "
Elles se mirent à rire.
-" Non pas du tout, c’est plutôt l’inverse. Depuis que notre mère est morte il n’a eu personne, et il regardait des films porno tout seul, et une fois on est tombées sur une sorte de dessin animé où un papa et sa fille couchaient ensemble. On adore le sexe, on adore notre père, le calcul n’a pas été difficile, dit Amélia en baillant.
-En fait on l’a piégé, on lui a fait croire qu’Amélia s’était fait mal mais qu’elle ne voulait pas qu’un médecin la voit, elle préférait que ça soit papa.
Après lui avoir fait comprendre que c’était sous la culotte et avoir un peu pleuré, il a fini par regarder. On lui a demandé de mettre de la crème apaisante et en l’appliquant il a vu qu’Amélia mouillait comme une cochonne, et qu’elle gémissait sous ses doigts.
-Au début il était effrayé, mais il s’est reprit et a même prit des initiatives, il a pénétré Amélia avec son index. En voyant ça, je n’ai pas pu me retenir et je me suis caressée.
-Et petit à petit il s’est lâché…et depuis presque toutes les nuits il vient nous voir. Et on adore ça. Tu devrais essayer avec le tien!
-Le mien?
-Ouais une fois papa nous a raconté que lui et son frère (mon père) avaient durant leur adolescence baiser une de leur jeune voisine, selon papa ton père est un sacré vicelard! Il nous a même dit qu’un jour il lui proposerait de venir avec nous. "
J’étais estomaquée et étrangement excitée.
Je suis retournée à pas de loup dans ma chambre me demandant ce que cela faisait que d’être prise par son père.