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Ma vie de lopette cocu – Chapitre 3




Cest mon réveil qui me fait ouvrir les yeux ce matin, je men rappelle cétait un vendredi, veille de week-end. Il est 7h00, ma femme est déjà partit et cest moi qui gère les formalités familiales puisque je commence à 9h. Je file aux toilettes faire mes besoins et je suis rappelé a lordre : impossible de pisser debout ! Javais oublié lespace de quelques heures la cage que ma femme mavait posé la veille au soir. Je massois donc et pisse tant bien que mal, le bout de la cage divise mon jet en deux, je lessuie donc au mieux pour ne pas avoir des gouttes récalcitrantes dans mon boxer. Cette première journée encagé va être troublante, je suis partagé, cest loin dêtre aussi excitant que dans mes fantasmes, notamment pour faire ses besoins.Bref je nai pas le choix de toute façon, je maffaire à préparer les petits déjeuners, pose les enfants à lécole et tache de me concentrer sur ma journée de boulot, qui finalement se déroule bien, étant absorbé par des dossiers importants Je me rappelle du repas au self, ou assis avec quelques collègues, je me suis imaginé lespace dun instant ce que les gens penseraient de moi si il me voyait ainsi affublé de ma cage !!! Ce fut le seul moment troublant de cette journée, et, une fois rentré à la maison, je me suis empressé daller dire bonsoir à ma femme. Elle était habillé plutôt chic , généralement elle porte des pantalons avec des chaussures plates, mais il lui arrive au moins une fois par semaine de faire une entrave a ses habitudes, en mettant une jupe (généralement sage), des collants et des bottes (elle en a toute un collection).Nous étions dans une de ces journée ou elle fait des exceptions, pour mon plus grand plaisir. Elle maccueillit avec un grand sourire, à peu près dans ces termes :

Nath : « Alors mon chéri, tu as passé une bonne journée ? »

Moi : « Je suis crevé, jai juste envie dune bonne douche ! »

Nath : « Désolé pour ton petit cadeau dhier soir, je métait dit que tu ne le porterais que cette nuit, mais tu dormais si bien ce matin que je nai pas osé te réveiller »

Moi : « Peux-tu me la retirer sil te plait ? »

Nath : « Bien sûr », et dans notre chambre elle récupéra la clef dans le coffre quelle me tendit.

Une bonne douche brulante et je me sens un autre homme. Je passe dans ma chambre, ma femme est assise sur le lit

Nath : « Jai pris mon après-midi aujourdhui, jai fait quelques emplettes, je me suis un peu lâché, jespère que tu ne men veux pas ? »

Moi : « Non, tu as bien fait, tu as acheté des trucs sympa ? »

Nath : « Oui, je pense que ça va te faire plaisir, jai renouvelé un peu ma lingerie, je me suis acheté des bottes (encore !) plus quelques bricoles, ma carte bleue a eu chaud !!! » (Il est vrai que lorsque je lui piquais sa lingerie pour me travestir, le choix était plutôt restreint, car elle porte beaucoup de culottes en coton pas très sexy, je lavais confié a mon MaitreH, lui disant même que je les trouvais très moches. Hormis deux string et une paire de bas autofixants, rien de très bandant)

Moi : « je peux voir ? »

Jétais toujours nu, avec mon peignoir de bain, et je me suis assis à côté delle. Elle sort de jolie dessous, qui mirait comme un gant, elle a dû en avoir pour une fortune, au moins six ensembles string et sous tif assortit, dont deux string « T » dont jignorais lexistence jusqualors (excusez mon ignorance).

Nath : « Quen penses-tu »

Moi : « Je ne trouve pas mes mots, tu as très bon gouts, jadore !! »

Nath : « Content que ça te plaise, je me suis fait conseiller par les vendeuses, mais pas touche dit-elle dun air ironique ou humiliant (au choix), cest à moi !

Elle ne me fit pas le plaisir de les essayer, se leva et me tendit ma cage

Nath : « Remet la, je sais que le weekend end est propice à des petites branlettes en douce »

Pas le choix et je pouvais difficilement la contredire, dun air de chien battu je réajustais ma cage, pendant quelle sortait de la chambre pour vaquer aux obligations familiales

Seul dans la chambre, je me regardais dans le miroir avec ma cage, javais arrêté de me raser depuis un mois(nayant plus vraiment la tête a ça). Jétais pas très glorieux, cest le moins que lon puisse dire, mais je navais pas encore touché le fond lorsque jouvrais le tiroir de ma commode a sous-vêtements pour prendre un boxer : les fameuses vielles culottes a Nath qui me déplaisait tant était soigneusement rangé. Plus lombre dun boxer !

Je renfile mon peignoir et gagne la cuisine ou ma femme prépare le repas, je la devine sourire lorsque je lui demande ou sont passé mes sous-vêtements

Nath : « Ils sont à la poubelle !!! Je sais que tu aimes ma lingerie, je me suis dit que puisque je ne mets plus mes culottes en coton, tu pourrais les porter comme tu adores cela, tu as mon feu vert dorénavant !!!Ne tavise pas de racheter des boxer en douce, sinon tu retournes dans la chambre damis »

Mon sang sest glacé, elle était donc décidée à me torturer à petit feu. Impossible de savoir ce quelle avait interpréter de mes conversations avec Maitre H. Je me sentais stupide à souhait !!!! Javais le choix entre porter ses culottes que javais avoué trouver moches, ou éventuellement ne rien porter, mais avec ma ceinture et rien pour la tenir, cela nallait pas être confortable ! Je me résignais donc à enfiler une culotte en coton, un jogging et un-t-shirt pour la soirée

Nath : « Je ne mange pas avec vous ce soir, on se fait une sortie entre collègues, tu arriveras à gérer en mon absence ? »

Je pestais intérieurement.mais je gardais mon sang froid et prit un air détaché

Moi : « Ah ? Ok tu penses rentrer tard ? »

Nath : « Je nen sais trop rien, resto pour commencer et on ira probablement danser ensuite mais rien de sur »

Sur ces paroles elle monte pour se préparerJe passe à table avec les enfants.

Vers 20 heures elle sort de la chambre, douchée, parfumée et maquillée subtilement : je suis littéralement aveuglé par sa beauté, je men souviens encore. Jupette, top noir avec un petit décollette sage, une paire descarpins avec des talons de 5cm a la main (elle nen porte quasiment jamais dhabitude donc je trouve ça sexy).

Nath : « comment tu me trouves ? »

Moi : « Ouah, très jolie, tes collègues ont bien de la chance dit-je »(en essayant de garder une certaine constance dans le timbre de la voix)

Nath : « Jai mis la lingerie que je me suis offerte pour me sentir femme jusquau bout des doigts » (elle en rajoute un peu avec un sourire coquin).Bon je file je vais être en retard !

Elle joint le geste à la parole, sassoit furtivement sur le canapé du salon pour enfiler ses escarpins prend son sac, son manteau et claque la porte dentrée.

Je me souviens de cet épisode comme si cétait hier Elle ne sort que très rarement sans moi, jamais habillé ainsi. Je me retrouve donc à jouer les nounous ce soir, en gardant en arrière-plan cette image lorsquelle sest assise : je suis pratiquement certains davoir aperçu une paire de bas, alors que dhabitude elle ne mets que des collants, évidemment pas moyen den avoir le cur net!!!!

La soirée sécoule, je finis par aller me coucher, en ne pouvant mempêcher de mimaginer ce que la vue de cette belle femme pourrait donner comme envies lubriques aux hommes qui croiseraient son chemin ce soir !!! Ma cage de chasteté réprima un début dérection alors que je glissais sereinement dans les bras de Morphés.

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