Récit plus ou moins coquin.
Résumé :
Tout d’abord, l’histoire se déroule en un lieu insolite : un château du 11ème /12ème siècle.
Nous arrivons très bien vêtus, aussi bien toi Choupinette que moi, Diablotin.
Toi, Choupinette, tu arbores un très beau masque vénitien et un superbe manteau de fourrure en renard blanc ; sous ce manteau, tu ne portes quune magnifique guêpière bordeaux et noir lacée dans le dos par un ruban. Une guêpière seins nus, qui remonte très légèrement tes seins et, crois-moi, cela te fait une magnifique poitrine.
Tes jambes sont gainées de bas à résille fine, tenus par un porte-jarretelles assorti à la guêpière. Des cuissardes t’arrivent à mi-cuisses (genre cuissardes de mousquetaire).
Moi, Diablotin, je porte un masque sur le visage ; je suis vêtu dun pantalon noir, dune chemise blanche à jabot, dune grande cape (noire à lextérieur, bordeaux à lintérieur), de mocassins noirs et dun chapeau haut de forme. À la main, une canne à pommeau d’argent.
On se dirige vers l’entrée, un grand vestibule ; Tracy, l’hôtesse, nous accueille.
Elle te défait de ton manteau, et moi de ma cape ; ensuite, elle nous prie de la suivre. Nous franchissons dimmenses et très lourdes tentures.
Derrière celles-ci, des torches tout autour de la pièce flamboient, ce qui donne un éclairage doux, chaud et feutré.
Une odeur de musc, de luxure, de sexe nous titille les narines.
Dans la pièce, il y a plein de convives, des alcôves un peu en retrait.
Des canapés, des sofas, des peaux de bêtes jonchent le sol…
Au centre de la pièce, sur des fourrures, une dizaine de personnes donne un spectacle des plus coquins que l’ont puisse imaginer : ils sont enlacés, emmêlés ; il y en a dessus, dessous.
Hum, un régal pour les yeux, et surtout pour l’imagination…
D’autres se tiennent debout, formant un grand cercle autour d’eux ; certains s’embrassent, se caressent.
On se joint a eux pour observer timidement.
Je te tiens par la taille ; mes mains descendent furtivement sur tes fesses nues et chaudes.
Toi, tu fais glisser le zip de ma braguette ; ta main se faufile à l’intérieur pour se poser sur ma queue en pleine érection.
Hum ! J’adore tes mains qui me caressent
Les ébats amoureux devant nous décuplent notre excitation.
Tu me murmures au creux de l’oreille que ta chatte n’avait jamais mouillé comme maintenant.
Deux superbes créature, Max et Krysthal, prennent place à nos côtés : Max, de ton côté, dont les longs cheveux châtain lui tombent sur les fesses, drapée d’une toge écrue ; Krysthal, de mon côté, rousse dune taille moyenne aux cheveux mi-longs, en déshabillé noir transparent.
Ses mains viennent se poser, l’une sur mon torse et l’autre vient rejoindre la tienne sur ma queue.
De ton côté, le spectacle n’est pas vilain du tout.
Max t’embrasse à pleine bouche ; vos langues semmêlent.
De sa main libre, elle te caresse les seins ; tes tétons gonflent et durcissent. Hum, la coquine Elle s’y connaît en matière de caresses !
Puis plus bas, sur ton ventre, tes reins, tes fesses, elle descend jusquà tes cuisses.
Ses lèvres accompagnent ses mains ; sa langue aussi s’amuse avec ton corps : elle se niche sur ta toison, puis découvrent ton petit bouton magique, qui n’attend que ça !
Ta chatte est chaude, toute mouillée de désir et de plaisir. Sa langue s’insinue entre tes lèvres ruisselantes.
Ta main lui caresse les cheveux, puis les seins à travers sa toge.
Toi, toujours sur ma queue, tu m’appliques de doux va-et-vient.
De son côté, Krysthal n’a pas perdu de temps : ma chemise est déjà à terre, et mon pantalon va suivre le même chemin.
Me voilà nu, entre toi qui me masturbes et Krysthal qui passe ses mains sur mon torse, mes hanches et mes fesses. Je subis des millions de baisers.
Sa bouche vient de prendre possession de ma queue ; hum, j’adore ça !
Je gémis ; j’aime Sa bouche est chaude, c’est divinement bon !
Krysthal et Max nous entraînent un peu à l’écart ; nous sommes tous les quatre étendus sur une grande peau de bête, en train de nous caresser mutuellement, de nous lécher, sucer. Des doigts vont et viennent un peu partout en nous quatre…
Alors que je suis allongé sur le dos, Max vient saccroupir au-dessus de mon visage ; sa chatte vient frôler ma bouche. Hum, elle sent bon ! Elle est toute mouillée. Ma langue entre en action. Mes mains lui caressent les hanches, le cul
Toi, tu me fais une pipe d’enfer pendant que Krysthal joue avec toi : elle fait glisser habilement ses doigts en toi, elle te titille le clito avec sa langue.
Tu viens positionner ton petit cul sur ma bite bien raide ! Ton dos est face à moi. Dun coup de reins, tu descends lentement sur ma queue. Je te masse les seins.
Ton cul bouge bien sur ma queue, ta chatte largement ouverte se fait lécher et fister par Krysthal ; tu aime ça ! Ta chatte et ton cul mouillent de plaisir
Max change de place et se tient debout devant toi, t’ordonnant de la lécher à ton tour ; bien sûr, tu ne te fais pas prier !
Krysthal prend place sur ma langue pour mon plus grand plaisir…
Léon, un des invités, vient se joindre à nous ; il est plutôt bel homme, ce grand métis au torse velu. Il est musclé de partout ; et quand je dis de partout, c’est vraiment de partout…
Ce qui est le plus impressionnant, cest sa bite monstrueusement grosse !!!
Léon se rapproche de Krysthal ; elle prend son dard dans la main se met à lécher sa longue queue de bas en haut. Sa langue fait des miracles sur son gland ; elle le prend en bouche pour lui faire une pipe tout en lui massant les couilles.
Krysthal n’en est pas à sa première pipe ; elle est experte pour faire jouir un homme, ce qui arrive bientôt : il lui décharge un flot impressionnant de sperme au fond de la gorge !
Léon se libère de son emprise, vient vers toi et commence à te lécher les seins, te mordiller les tétons ; il t’embrasse à pleine bouche, vos langues se rencontrent, se mêlent Tu es aux anges !
Max finit par rejoindre Krysthal ; elles se retrouvent pour un 69 torride, se doigtant la chatte et le cul. Des godes de toutes tailles font le bonheur des deux coquines…
Toi, ton cul toujours empalé sur ma queue, tu bouges encore et encore sur un rythme infernal. Les mains de Léon descendent sur ton ventre pour finir sur ta chatte toute baveuse, mouillée, ruisselante !!!
Je ne sais pas si c’est l’ambiance chaude et moite ou les caresses que Léon t’inflige, ou bien la vue de son corps d’Apollon, ou encore ton cul qui maltraite ma queue ou tout simplement l’ensemble de toutes ces choses qui te met dans cet état-là Mais, à mon avis, tu n’as pas fini dêtre toute chose, car je pense que notre ami n’a pas fini de nous surprendre !
D’ailleurs, il se place devant toi, te caressant toujours avec une très grande habileté : ses doigts sont en train de fouiller ton intimité puis, sans forcer, il parvient à rentrer toute sa main en toi, pour ton plus grand bonheur !
Tes mains sur son chibre le branlent avec passion…
Léon, très déterminé dans ses gestes, prend tes jambes pour les faire passer derrière tes épaules, ce qui lui offre une vue parfaite de ta chatte et de mon petit trou tout mouillé par ton jus qui ruisselle sur moi.
Écartant tes jambes en grand, il vient pilonner ta chatte de son énorme membre ; tu te tortilles dans tous les sens, ta respiration devient saccadée… Tu aimes, tu adores !
Tu te libères de notre étreinte pour te placer au-dessus de moi en 69 ; je lèche ton petit cul tout chaud, ta chatte, ton clito Mes mains parcourent ton corps qui frissonne de plaisir ; tes seins sont gonflés et tout durs.
À tour de rôle, tu nous suces : j’adore !
Léon passe ses doigts sur ma petite rondelle ; hum, je tressaille de surprise Puis, d’un puissant coup de reins, sa bite se retrouve logée tout au fond de mon cul… Hummmm, jadore !!! La sensation est divinement bonne ; il me ramone le cul… À chaque coup de boutoir, ses couilles viennent frapper mes fesses.
Nous finissons par jouir ensemble.
Nos ébats torrides et sans doute la fatigue ont eu raison de nous Nous nous endormons, exténués.
— Fin de la première partie –