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Vacances à la Grande-Canarie – Chapitre 2




Résumé : Mon épouse Aline et moi Axel, partons en vacances pour nos dix ans de mariage. Un vol mouvementé nous permet de nous retrouver et Aline se confie et s’ouvre enfin à moi. Elle me promet un séjour animé et a commencé à mettre ses menaces à exécution…

En fait de recommencer à faire l’amour. Les bulles du mini-jacuzzi, les étoiles ont raison de nos velléités et, enfin détendus, on se laisse doucement glisser dans le sommeil après avoir regagné le grand lit de notre suite.

Les derniers mots que j’entends avant de sombrer dans les bras de Morphée ma maîtresse nocturne sont des mots d’amour et de tendresse qui font écho aux miens.

Le jour s’est levé et, comme nous avions oublié de fermer les rideaux opaques, le soleil entre à flots dans la chambre. On se lève, on s’étire doucement avant de se tourner l’un vers l’autre et de s’embrasser comme au début.

Nos langues se cherchent, je trouve la sienne et l’aspire en collant ma bouche contre ses lèvres chaudes, la goûtant avant de la lâcher et de laisser ses petites dents pointues me mordiller doucement la langue et les lèvres.

Notre baiser dure longtemps mais doit s’interrompre devant les exigences de la nature et chacun à son tour se rend vite à la salle d’eau pour y céder.

Quand je reviens de mes ablutions, elle a déjà mis le petit tanga blanc qui lui fait de jolies cuisses et finit d’enfiler son short rouge.

— J’ai une faim de loup pour cette nouvelle journée.

— Moi de même. Mais j’ai aussi faim de toi, pourtant t’honorer le ventre vide (et là un petit bruit de gargouillis émanant de nos ventres nous fait rire) ne serait pas malin.

— Je te le dis mon chéri, prends des forces ! Je t’ai bien trop fait languir ces derniers temps (les femmes n’ont pas la même notion temporelle que nous me dis-je) et tu ne le méritais pas.

Désormais, je veux revenir à nous, vivre, savourer… manger

On termine de s’habiller et on se rend dans la grande salle à manger pour le buffet du matin. Beaucoup de fruits frais qui nous rendent des forces et l’envie de mordre dans la vie. La femme de ménage qui a commencé et se rapproche de notre chambre nous désole un peu car nos sourires échangés montrent qu’on avait des projets similaires. Mais on rassemble nos affaires et on part pour la ville.

Petite visite amusante et instructive puis retour à la chambre, avec notre butin et re-départ en exploration.

Les dunes sont notre objectif et ayant bien compulsé les guides nous avons mis chaussures pour affronter le sable déjà brûlant et chapeaux histoire de ne pas trop subir les foudres d’Hélios.

On traverse 300 m de dunes pour arriver à la plage et puis vu sa longueur de huit kilomètres on y trouve de la place sans trop de difficulté malgré le nombre important de vacanciers. On s’installe, on se met en maillot et c’est la course à l’eau. Elle est bonne et nous redonne des forces. Au bout d’un moment on joue, on se poursuit… Hé, son bikini noir met bien en valeur ses formes sportives et quand elle me lance le frisbee, ses seins bougent en rythme. Enfin, on se rattrape et on se colle en échangeant de longs baisers sensuels. Ses lèvres ont le goût du sel et sa langue qui virevolte contre la mienne me procure rapidement une érection. Sa façon de se frotter à moi aide énormément. Comme on a pied assez loin, qu’on est allé plus loin que les autres baigneurs, nos mains parcourent le corps de l’autre sans détour.

J’empoigne ses fesses et la colle contre moi, elle noue ses jambes autour de moi et frotte son entrejambe contre ma verge dure, tout en continuant à me rouler des pelles d’enfer à tel point que quand elle met sa tête en arrière pour reprendre son souffle un fil de salive relie encore nos deux bouches.

J’ai envie de la pénétrer mais les quelques algues et surtout le sable en suspension nous en dissuadent.

— J’ai la chatte en feu, t’as intérêt à me défoncer quand on rentre

— T’inquiète tu vas la sentir passer.

On se frotte encore un peu puis elle revient à la plage pendant que je fais encore quelques allers-retours histoire d’être… présentable à ma sortie de l’eau.

Une fois tous deux secs on décide marcher le long de la plage pour se nourrir d’embruns.

Au bout d’un moment on se rend compte qu’on arrive sur la partie naturiste de la plage. En fait s’il n’y avait pas quelques personnes debout qui visiblement aiment être vues on n’aurait rien remarqué.

Aline me dit : – Ça me revient je l’avais lu il y a une longue plage naturiste, puis une partie naturiste gay puis naturiste puis de nouveau familiale avant de revenir côté phare au bout.

Une bonne partie des personnes sont allongées devant, visibles par quiconque s’avance un peu mais il y a en arrière des gens plus espacés et bien plus au calme.

On revient en se donnant la main et elle me dit

— Tu penses quoi ?

— En dehors du fait que j’ai envie de faire l’amour comme une bête avec toi ?

— Oui en dehors de ça, être à poil on doit être bien non, dans la chambre c’était cool.

— Ben je risque d’avoir la trique tout le temps et de me m’énerver si on te mate, mais

— Mais ?

— Mais d’un autre côté, réflexe de paon ou de mâle, c’est matez ma femme comme elle est belle ! Et puis c’était déjà si agréable dans la chambre alors dehors au soleil c’est vrai que cela me tente.

— Ok pour demain alors ?

— Ok et maintenant on rentre

— Oui, je me sens toute ragaillardie avec le vent le sable et le sel. Tes caresses, t’imaginer à poil, je chauffe…

On ne se rue pas vers l’hôtel mais on accélère quand même le pas…

— Une fois dans la chambre on nest pas longs à se mettre nus. Oh ce corps… Et c’est ensuite la douche à jets pour bien se rincer.

On en ressort vite fait pour se jeter sur le lit, déjà emmêlés. Elle est assise sur moi, mon sexe dur bat contre son triangle soyeux, ses seins s’écrasent sur ma poitrine et on repart pour des baisers féroces. Ce n’est plus un baiser sensuel et lent, non on se lèche la bouche, on aspire la langue, on se cogne un peu les dents, c’est intense, on a besoin de ça, comme deux amants qui se retrouvent et sont saisis par l’urgence. N’est-ce pas le cas d’ailleurs ?

Elle me bouffe la bouche, sa langue parcourt mes lèvres et ma queue cogne contre le bas de son ventre. Je me laisse aller sur le dos et elle se penche sur moi, m’offrant ses seins déjà bien durs et aux pointes dures que je déguste avec ma bouche, fruits tendus qui s’offrent à moi et me donnent le tournis.

Je mordille, aspire, les tétons, salive sur les globes pâles ; elle gémit puis se redresse, prend ses seins en coupe avec ses mains et me dit d’une voix un peu rauque :

— Bouffe-moi la chatte maintenant.

J’adore son attitude, ce n’est pas un ton martial:, c’est la Femme qui s’offre, se lâche, ne craint pas d’exprimer désir et ses envies. Elle remonte et avance son sexe vers ma bouche, ses fesses sur ma poitrine. Je plonge ma bouche sur le bas de son triangle soyeux, sa toison bien dessinée qui conduit à ses lèvres bien humides et chaudes.

Je déguste sa mouille et aspire son clitoris, l’entendant gémir et marmonner des mots excitants

— Encore… booon… lèche bien… j’adore… je t’aime… bouffe moi tu me fais du biiiiiieeeen.

Je ne peux répondre, occupé à la déguster, sa liqueur coule sur mes lèvres et mon menton, c’est délicieux.

Puis dans un gémissement, elle se remet en arrière et, se penchant sur moi, me roule de nouveau une pelle d’enfer, dégustant sa mouille avec moi, pendant qu’elle frotte son bassin contre mon sexe dur et totalement tendu. Elle se redresse à nouveau, se frottant de plus belle, son jus coule sur mon entrejambe et dit

— Qu’est-ce que c’est bon, tu m’as bouffé à fond, j’adore, quel pied de se faire lécher ainsi.

— Tu as aimé goûter ta mouille ?

— Oui, surtout je sais que ça t’excite que je sois si sexy, que je sois si cochonne. Tu bandes bien avec ça et ça m’excite toujours plus.

— Tu en veux encore ?

— Je veux que tu me fourres maintenant.

Ce faisant, elle attrape mon sexe avec sa main et, se levant un peu, se l’enfile directement dans la chatte avant de se laisser retomber dessus d’un coup tellement elle est trempée.

— – Aaarggh c’est bon chérie, tu me rends fou.

— J’espère, je veux que tu sois dur pour me faire couler et jouir.

Elle se recolle contre moi, frottant ses seins encore humides de mes léchouilles sur mon torse et son bassin danse sur mon sexe tendu.

Le bruit provoqué est obscène, excitant, je suis si excité, heureux, si longtemps que j’attendais cela

Elle stoppe soudain, me regarde d’un air mutin en disant:

— Mate bien ta salope…

Puis, elle recule sur le lit sans me quitter des yeux et, arrivée au niveau de mon sexe ultra tendu, le happe dans sa bouche chaude et fait aller et venir lentement sa bouche de haut en bas, très lentement même, avec un air de vice qui me fait monter en pression. Heureusement que j’ai appris avec le temps à me retenir en guettant son plaisir sinon je jouirais là, tout de suite.

Elle ressort ma queue, la lèche encore comme une glace puis ouvre la bouche et me dit :

— Tu t’attendais pas à ça mon chéri hein ? Je suis assez cochonne pour toi maintenant ?

— Viens me rouler une pelle petite salope je vais te faire sentir comme tu me plais

On s’embrasse à nouveau, je retrouve le goût de sa mouille sur ses lèvres et une pointe un peu différente due à mon excitation.

Au bout d’un long moment, elle se met à en arrière et me dit : – Maintenant viens me baiser !

Se met à genoux contre moi, la croupe offerte et rajoute un long – Viiite…

Je n’attends pas plus, prends place derrière elle en levrette et introduis d’une poussée ma queue rarement bandée aussi dure dans son vagin brûlant.

J’y vais fort, sans me retenir, je la bourre comme elle me l’a demandé ; comme elle continue à me le demander dans des phrases haletantes, pleines de gémissements.

Elle projette aussi ses fesses en arrière et le bruit de chair qui claque devient un rythme terrible, qui emplit la pièce, comme un tam-tam qui emplit la nuit, oppressant, occupant l’espace, rythme devenu indépendant de nos esprits, il n’y a plus que le sexe qui domine, je sens confusément qu’elle se branle rapidement pendant que lui tiens les hanches et donne des coups profonds qui la font soudain exploser d’un cri, immédiatement suivi par le mien, gémissement inarticulé qui est le signe de ma délivrance et du jaillissement saccadé de mon sperme en elle.

Mon corps ne m’obéit plus, mes hanches, mon bassin, ça bouge seul au rythme de mes derniers jets dans sa chaleur.

On s’écroule l’un sur l’autre, unis et pantelants, nos souffles désormais un peu discordants peinent à redevenir normaux.

On ne dit rien, tellement c’était fort, intense et c’est seulement au bout d’un long moment que j’arrive à me désolidariser et à me laisser retomber sur le dos à côté d’elle.

Elle serre les cuisses, la main encore en coquille en dessous, en cherchant encore son souffle puis comme vidée, laisse échapper un long souffle.

Enfin, elle se lève doucement et va vers la salle de bain, en sueur échevelée, rouge de plaisir.

La chambre est lourde se senteurs capiteuses, fragrance humaine, odeur de sexe, quelle séance de folie.

Je me sens serein, apaisé, tout simplement heureux… Comblé.

Je me lève à mon tour et vais la rejoindre dans la grande salle de bain.

Elle est encore sous la douche réglée en mode " pluie " et je la rejoins pendant qu’elle me regarde arriver.

— Profite bien du jet, c’est super agréable et on peut bien savourer

Je suis son exemple et, après m’être rincé sous la pluie, elle déclenche à nouveau les jets qui sortent des nombreuses buses orientables fixées au mur. On joue à tourner, se retourner, savourant les jets d’eau sur tout le corps. C’est agréable, massant, délassant puis vivifiant, tonifiant…

A tel point qu’à force de se serrer, de laisser nos mains jouer sur nos corps, je suis de nouveau dur et tendu.

— Monsieur a repris du poil de la bête on dirait.

— Monsieur a envie de s’y remettre avec toutes tes caresses.

— Mais madame est un peu endolorie après s’être fait bien remplir.

Je ne dois pas parvenir entièrement à masquer mon petit désappointement car elle rajoute tout de suite :

— Mais madame a encore très envie… Et connais d’autres moyens.

Elle coupe l’eau, s’accroupit et commence à me sucer, à me pomper d’une façon… waooouuuh

Alternant coups de langue sur le gland, la verge, empoignant les bourses en serrant doucement, me prenant loin dans sa bouche puis me relâchant avec un fil de salive, qu’elle déguste avec un air de vice absolu.

Puis elle se redresse, me dit – Maintenant t’es juste à point mon chéri.

Elle me tend un flacon d’huile attrapé sur la chaise près de nous, se met face au mur, tend ses fesses bien en arrière vers moi, tourne la tête en arrière et me dit d’une voix sensuelle

— Encule-moi.

La conjonction du ton et des mots crus me fait un effet terrible. J’ouvre le petit flacon, fais couler un peu d’huile dans la raie de ses fesses, en badigeonne ma queue et me colle contre elle, calé entre ses globes fermes, quelques mouvements de va et viens qui me font sentir qu’elle est humide de partout et que l’huile n’est qu’un surplus de sécurité et je pointe mon gland contre sa rosette étoilée. J’entre doucement dans son anus. La petite barrière musculaire est franchie. Je ne l’ai jamais sodomisée aussi facilement et, rapidement je suis bien enfoncé en elle.

— Mmmmmmmhhh, lentement, lentement que je savoure bien

— C’est tout chaud et serré ma chérie, c’est bon.

— Accélère un peu… Mmm oui comme ça

Je commence à faire des allers retours lents, profonds, me calant bien contre elle en bout de course, je la sens pleine d’envie de me faire plaisir, pleine de… oui, disons-le de soumission… Fausse bien sûr car elle mène la danse en me laissant la prendre ainsi, profondément

— Plus vite

— Encore…

— Ouuuiii c’est bon, tu m’encules à fond, c’est boon,

Je vais de plus en plus fort, de plus en plus profond, je m’enfonce dans son cul, me plante en elle et elle dit enfin :-

— Encore je vais jouir du cul, c’est booooon…

Elle est collée contre le mur, ses bras sont pliés contre, la tête de côté, elle marmonne des mots sans suite, pousse de petits cris, je suis serré dans le fourreau étroit de ses fesses, j’adore

— Je vais partir ma chérie…

— Viens, viens, jouis dans mon cul

— Aaahrg… Dans un dernier coup de reins, j’explose et jouis pendant qu’elle part à son tour dans un long feulement animal…

I got you babe…

Les voix de Sonny & Cher nous tirent du sommeil. En plus quand j’ai programmé mon portable hier soir je l’ai mise en imaginant que ce serait comme dans " un jour sans fin " ou le héros revit x fois la même journée, et vu le niveau de celle d’hier…

Mais bon, la date a changé…

Il est encore tôt mais nous sommes aussi venus à la Grande Canarie pour visiter. Après les dunes, la plage, la ville proche, on a décidé d’aller au Palmitos Park un zoo-parc-animation dans la montagne, et comme le trajet se fait avec le bus local, les guaguas comme ils sont nommés ici, on a juste le temps de manger, de se faire quelques câlins et de se rendre à l’arrêt de bus si on veut pouvoir profiter d’une journée complète.

Un peu moins d’une heure plus tard et après un voyage dangereux sur des routes sinueuses, avec des chauffeurs un peu extrêmes on est heureux d’arriver et on se dit que les visites programmées sur d’autres sites montagneux seront remplacées par d’autres sorties.

On passe la journée à voir oiseaux, papillons, aquarium, spectacle de dauphins,… c’est sympa et amusant.

Le soir on revient à l’hôtel juste à temps pour le buffet. Repas qu’on déguste sur la partie jardin de la salle avec un petit orchestre. Des musiques classiques, un peu sirupeuses parfois mais qui conviennent bien au climat entre nous. On a bien parlé, on s’est amusés, la journée a permis de resserrer les liens entre nous. Contrecoup, on est assez fatigués et Aline après une petite balade au bord des dunes sous une lune pleine qui donne un charme fou à la scène me dit avoir envie de rentrer pour se détendre.

On revient à notre grande chambre et on prend chacun une douche sage. Quand je reviens de la douche, je la trouve allongée nue sur le lit en train de zapper d’une chaîne à une autre.

Je prends le temps de la regarder, me nourrissant de sa vision, ses jambes fuselées, ses seins ronds, les marques de bronzage qui sont apparues (la plage naturiste est pour demain) son sourire, son triangle sombre et bien dessiné. Car elle a toujours pris soin de son intimité, la peau en est douce et lisse, nous n’avons pas suivi la mode actuelle d’une chatte imberbe, j’en suis resté à un bandeau un peu triangulaire -rectangulaire, mais le reste est bien dégarni

Je m’allonge et lui demande :

— Tu as trouvé quelque chose ?

— Un documentaire mais vu la journée, j’ai pas envie, des feuilletons espagnols, des matchs de foot…

— Il est tard aussi non ?

— Attends je zappe encore, oh oh,

— Quoi ?

— Regarde toi-même.

J’étais en train de l’admirer de plus près et quand je lève les yeux vers l’écran, c’est un film porno qui passe au vu de la scène de copulation qui se déroule.

— Tiens cela faisait longtemps que j’en avais pas vu, on regarde ensemble ?

— Volontiers

Elle vérifie, le film vient à peine de commencer et même s’il est en anglais on saisit l’histoire. C’est un film de pirates en costume et c’est vraiment bien fait. J’en avais entendu parler et cela devient vraiment excitant.

Un couple est en train de faire l’amour dans la cabine du commandant et on prend plaisir à regarder, c’est surtout d’être deux à le faire qui est plaisant, je suis en semi-érection et ça monte encore. On se touche distraitement, sans (encore) trop penser au sexe mais on s’amuse à reprendre et changer les dialogues en baissant le son.

Cela donne des moments amusants, mais le film est prenant et on commence à être bien chaud. Surtout moi, car Aline m’avoue ne pas encore être à 100 %,

— Hé tu mas tué hier soir, il va me falloir un peu de plage pour être

— Bien cuite ?

— Reboostée… galopin mateur !

— Ça te plaît ?

— C’est sexy, les costumes de cette époque avec des beaux décolletés étaient si féminins et leurs dessous jupes à voilettes sont affriolants.

— Les filles ?

— Moins jolies que toi évidemment

— Vil flatteur !

— Non sérieux. Mais c’est vrai qu’elles sont sexys et puis toi le pirate là

— Il est beau gosse aussi, et bien monté, rassure toi tu l’es aussi, tu es juste en accord avec moi, tu me remplis totalement, plus ça irait pas, hier soir j’ai bien senti et savouré… Ah c’est la scène lesbienne maintenant

— Enfin, lesbienne axée domination, c’est sa prisonnière, la pirate et la princesse quoi.

Elle se caresse lentement comme sans y penser et je rajoute:

— C’est les deux filles qui te plaisent ?

— Ça y est le fantasme ! Ben, disons qu’elles sont bien coquines et le fait de dominer la princesse en costume ça me plaît en esprit, ces jeux hmmh oui c’est amusant et toi ?

— Comme tous les mecs on presque ça m’excite

— Oui je constate…

— Mais c’est vrai qu’elles jouent bien, et c’est sexy.

— Ah le retour du chef des pirates. On a avoir la scène à trois

— Non, c’est la pipe à deux, regarde

Les deux femmes se sont focalisées sur le sexe du pirate et se le partagent dans un duo de langues roses et habiles.

Aline fixe mon sexe qui a désormais atteint sa plénitude et déclare :

— Tu t’imagines en chef des pirates, avec deux coquines qui te sucent… Allez avoue va…

— Évidemment que ça me plaît.

— Alors regarde bien le film… et savoure

Elle descend contre moi et amène sa tête à hauteur de mon sexe avant de commence à le lécher doucement. Sa position me permet de bien voir son visage et elle peut aussi jeter un il sur le film quand elle le veut.

Le haut de mon corps sur l’oreiller, je me sens comme un pacha ; et suivant son conseil, je savoure…

Visuellement car le spectacle offert est… mmmm, ses fesses blanches maintenant par rapport à ses jambes qui commencent à dorer, le creux de ses reins, ses épaules musclées, ses yeux qui me fixent, pendant qu’elle fait descendre puis monter sa bouche, ses lèvres serrent ma queue, se relâchent avec une langue pointue qui lèche, puis sa bouche à nouveau serrée… waouuh.

Intellectuellement avec cette impression (trompeuse car c’est elle qui mène la danse) d’être le dominant…

Olfactivement, car une senteur douce de sexe flotte dans l’air

Physiquement surtout car les sensations qu’elle me procure sont formidables. Elle aspire, elle suce, elle mordille, ne me laissant pas le temps de m’habituer à un type de caresses et attendant que ça monte pour changer de rythme, de façon de faire… C’est divin.

Quand elle regarde l’écran, je le regarde aussi et note qu’elle imite un peu la façon de faire de l’une ou l’autre des actrices. C’est vraiment excitant comme tout.

Elle sort ma queue, fait courir sa langue partout dessus puis d’un coup la prend de nouveau en bouche et avale, avale,… je sens mon gland buter dans sa gorge puis elle me regarde et d’un coup m’embouche entièrement, ses lèvres touchant ma toison. Elle reste quelques secondes, les yeux brillants puis ressort mon sexe et reprend sa respiration.

— Yes, j’y suis arrivé… Ça va, tu as l’air tout bizarre

— Je flotte ma chérie, je suis sur un nuage…

— T’as pas tout vu encore

Elle s’essuie la bouche où coule encore n peu de salive et m’enduit le sexe du produit de ses recherches avant de me prendre plusieurs fois entièrement en bouche.

— Qu’est-ce que c’est bon…

Elle reprend son souffle et rajoute :

— J’espère bien. Ça m’excite de te faire cela… Non, non, reste, je veux continuer c’est à mon tour.

Et avec un clin d’il… – Moi aussi je savoure…

Sa main droite passe sous mes bourses et elle alterne caresses douces et serrement.

Puis elle met sa main devant sa bouche, me regarde, avale son index, le mouille bien et remet sa main plus bas. Elle m’a parfois chatouillé l’anus mais là, elle insiste et son index me pénètre délicatement ; puis plus profondément, et au final je me retrouve avec son index au fond de mon intimité la plus secrète.

— C’est bon mon doigt dans ton cul ?

— Putain, tu sais exciter ton mec ma petite salope

Elle continue à me pomper et me branler et mon corps commence à avoir des soubresauts que je ne peux maîtriser. Elle n’était jamais allée aussi loin. Elle s’acharne, je me tords un peu, c’est délicieux, je pousse des gémissements inarticulés à mon tour,

— Ça monte, ça monte…

Elle continue de plus belle et dès lors je ne me retiens plus et dans un dernier coup de reins, je jouis dans sa bouche, je la sens qui avale, mes mains sont crispées, j’ai l’impression de flotter.

Je reprends un peu pied et la regarde, elle lèche la semence qui coule encore un peu de ma queue puis me regarde en souriant avant d’ouvrir la bouche et de me montrer tout le foutre qu’elle n’a pas encore avalé… J’ai vraiment dû lui mettre une sacrée dose, mais à force de m’exciter à mort c’est normal d’aboutir à ce résultat…

Elle referme la bouche et déglutit plusieurs fois puis me regarde à nouveau, me montre sa bouche vide et dit

— Alors elle t’a bien fait jouir ta petite salope ?

— Géniale, tu es géniale.

Elle s’effondre sur moi et nos bouches se joignent pour un baiser passionné, je sens encore un peu le goût de mon plaisir dans sa bouche et sur sa langue ; c’est un moment de partage, de communion intense et je suis vraiment heureux de découvrir cette nouvelle facette de ma femme.

Et demain est un autre jour.

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