Après notre voyage en avion et mon arrivée mouvementée sur le sol africain, je m’étais endormie aussitôt couchée, dans la chambre que Wendy m’avait attribuée. La propriété de son père était luxueuse et confortable, et notre séjour – à Carine et moi – s’annonçait des plus agréables.

L’air de la nuit était encore très chaud, et je m’étais couchée nue.

Mon sommeil avait été peuplé de quelques songes érotiques. J’avais rêvé que je me promenais en tenue d’Eve sur une plage très fréquentée et bordée de cocotiers, que je faisais l’amour avec Wendy, et le boy que j’avais remarqué hier soir apparaissait régulièrement dans ces images fruit de mon imagination.

Lorsque je me suis réveillée, il faisait grand jour. Il n’y avait aucun bruit dans la maison, et je décidai de traîner un peu au lit. Dans un état de somnolence, mes mains se promenèrent sur mon corps, sans que je l’aie vraiment voulu. Ma paume effleurait doucement mes seins qui commencèrent à durcir.

Au fil de mes aventures, ma poitrine était devenue hypersensible, et toute excitation faisait darder mes petites aréoles.

Mon esprit continuait de vagabonder, revenant sans cesse sur mon serveur de la veille, et l’une de mes mains descendit lentement sur mon ventre. Je faisais durer le plaisir de l’attente. Au bout de quelques instants, mes doigts atteignirent mon pubis, et j’attendis encore un peu pour découvrir un peu mon clito.

Une onde électrique parcourut ma colonne vertébrale. Je gardais les yeux fermés pour mieux goûter ces sensations que je connaissais par cur, mais dont je ne me lassais jamais.

Je retardais encore le moment où je glisserais mes doigts dans mon minou. Je le caressais, en malaxant mes seins, et de petits gémissements s’échappaient maintenant de ma bouche entrouverte.

Et arriva l’instant délicieux, où mon majeur, après avoir longtemps excité mon petit bouton et tourné autour de l’entrée de ma grotte, pénétra lentement ma fente trempée d’excitation. Je poussai malgré moi un petit cri.

Mais je contrôlais encore mon désir, pour le pousser à son paroxysme, et en tirer finalement un plaisir complet.

Lorsque je ne pus attendre davantage, je succombais et je laissais libre cours à mes pulsions. Mon doigt allait et venait maintenant dans ma chatte, de plus en plus vite, de plus en plus profondément.

Je perdais tout contrôle. Plus je me caressais, plus ma soif de pénétration augmentait. Je pensais sans cesse à de grosses queues, pilonnant ma moule. Et un deuxième doigt me fut bientôt indispensable.

Je gémissais de plus en plus fort, en retardant l’orgasme que je sentais déjà monter. Je me roulais sur le lit, en me masturbant avec violence, et je me retrouvai à genoux.

Je haletais, à demi consciente, et je me laissai retomber sur le lit, et mes autres doigts rejoignirent mon index et mon majeur, pour me fister. Je sentais des vagues de plaisir m’emporter, tandis que la cyprine coulait jusque sur mon poignet.

Avant de succomber à la jouissance, je glissai un doigt dans mon petit trou. Son contact sur ma rosette sensible était follement excitant, et la sève qui l’enduisait rendit facile et délicieuse la pénétration dans mon cul.

A partir de cet instant, je ne résistai pas bien longtemps à l’orgasme. Je perdis conscience de tout ce qui n’était pas ce plaisir. Mon corps fut secoué de spasmes et se tétanisa, pendant que j’essayais, sans succès, d’étouffer un long cri.

Lorsque la lame de fond se retira, je restai un long moment étendue, ma main caressant encore doucement mon clito.

J’étais dans cette position, lorsque j’entendis frapper doucement à la porte de ma chambre. Mon esprit était encore embrumé par le sommeil et la jouissance, et je ne réagis pas tout de suite. On frappa de nouveau.

Entre ! dis-je sur un ton amusé, pensant qu’il s’agissait de Carine, logée dans la chambre voisine, et attirée par mes cris.

Je continuais de me caresser, sans pudeur, quand la porte s’ouvrit.

Et là, surprise ! Ce n’était pas Carine, mais le serveur black de la veille au soir qui m’apportait mon petit-déjeuner sur un plateau.

Il faillit lâcher son plateau en me voyant, et s’apprêtait à ressortir de la chambre, mais je l’arrêtai.

Mais non ! Ne sois pas gêné, ça ne me dérange pas que tu me voies nue. Tu peux poser ton plateau sur la petite table… Que m’apportes-tu de bon ?

Du thé, du jus de fruits, du pain grillé et des confitures, répondit-il d’une voix assourdie par l’émotion. Ça vous convient, Mademoiselle ?

Mais oui, c’est très bien. Ne t’en va pas comme un voleur, ajoutai-je en riant en le voyant se retourner vers la porte pour partir. Comment t’appelles-tu ?

Bertrand.

Je lui posai quelques questions : il avait 22 ans, et il travaillait pour le père de Wendy depuis peu. Il avait toujours peur de faire une bêtise et de se faire renvoyer, car c’était un travail bien payé, et il craignait son patron.

Je ne m’étais pas donné la peine de cacher ma nudité pendant cette conversation, et je remarquai que son regard sur mon anatomie se faisait plus qu’indiscret.

Une bosse commençait à déformer son jean, et il remarqua l’expression de mon regard dirigé sous sa ceinture, aggravant son trouble. Je ne lui laissai pas la possibilité de s’échapper.

Bertrand, veux-tu me faire plaisir ?

Bien sûr, Mademoiselle, répondit-il.

Tu me vois dans le plus simple appareil. Je crois que ton corps est très beau, et j’aimerais que tu te mettes nu également.

Mais, Mademoiselle ! Si le père de Mademoiselle Wendy apprend ça, je vais me faire mettre dehors !

Ne t’inquiète pas. Je ne dirai rien et, s’il le savait, je dirais la vérité et ce que je viens de te demander… Allons, dépêche-toi, j’attends ! dis-je sur un ton autoritaire, en m’installant confortablement sur le lit pour profiter de son strip.

Il commença par enlever son tee-shirt, et dévoila un buste athlétique. Je me caressais en le regardant, et je sentis l’excitation monter, quand il baissa ensemble son jean et son slip.

Nu, il était superbe et désirable, avec une bite longue et épaisse, un gland renflé, comme j’en raffole. Moins spectaculaire que celle de Baptiste, hier, à l’aéroport, mais tout à fait à même de me combler.

Je me levai lentement pour le rejoindre. Je me rapprochai, jusqu’à ce que nos corps se touchent, et je posai mes mains sur ses fesses, incroyablement musclées. Je le fixais dans les yeux, la bouche humide, mes lèvres entrouvertes, comme une invite. Quand il sentit les pointes de mes seins contre son torse, il céda à son désir, et m’embrassa.

Sa langue s’insinua entre mes lèvres, et je m’abandonnai totalement, pendant qu’il me pétrissait les seins. Je l’encourageai.

Oui, j’ai envie de sentir tes mains partout sur mon corps, sur mon cul, sur ma chatte. Caresse-moi, je veux être à toi.

Nous perdîmes l’équilibre, et je tombai sur le lit. Je l’entraînai dans ma chute, et sa tête se retrouva entre mes cuisses. Quelques secondes, il resta à regarder, incrédule, mon minou épilé.

Vas-y, lèche-moi, suce mon petit bouton !

Aussitôt, je sentis sa bouche sur mon mont de Vénus, sa langue s’insinuer dans ma fente, inondée de cyprine par ma petite séance de masturbation. Quand il atteignit mon clito gonflé, ce fut comme si une impulsion électrique traversait tout mon corps.

C’était délicieux, je gémissais. Mais je voulais faire mieux connaissance avec son sexe que je n’avais vu que fugitivement, à demi dressé. Je fis donc allonger Bertrand, et je pris sa queue, maintenant bien dure, dans ma main. C’était vraiment un superbe engin !

Il me fallait maintenant y goûter, j’en crevais d’envie… Tout en le branlant, j’approchai ma bouche, et je pris le gland décalotté entre mes lèvres. La bite de Bertrand continuait de grossir, et elle avait atteint maintenant des proportions impressionnantes.

Je la pompais de plus en plus goulûment, avec la hâte de la sentir en moi.

Bertrand haletait, et je voulais que nous partagions ces caresses buccales. Je vins donc me placer sur lui, en 69.

Pendant plusieurs minutes, il a pu explorer tout à loisir mon intimité. Je sentais sa langue et ses doigts fouiller ma chatte, sa bouche sucer mon petit bouton…

Si nous avions poursuivi plus longtemps ce petit manège, il aurait fini par décharger dans ma bouche, mais ce n’était pas mon projet ni le sien.

Je me retournai pour venir chevaucher Bertrand, et présenter l’entrée de ma grotte à l’aplomb de son dard.

Il me tenait par les fesses pour contrôler la pénétration dont il voulait apprécier chaque étape. Et peu à peu, l’énorme gland disparut dans mon abricot pendant que je ponctuais sa progression de commentaires indécents :

Oh, qu’est-ce qu’elle est grosse ta bite !… Oui, c’est bon… Aaah, je la sens rentrer, elle me remplit ! Oooooh, continue ! Plus profond… Oh oui, comme ça !!!

Je marquai une courte pause, contractant les muscles de mon périnée pour exciter Bertrand, et pour mieux le sentir en moi.

Empalée à fond sur le pieu planté dans mon sexe, je commençai à bouger doucement. Bertrand restait immobile, sans doute sidéré de se retrouver dans cette situation.

Petit à petit, j’accélérai les mouvements de mes hanches, me soulevant et me laissant retomber voluptueusement sur sa queue, focalisée sur le frottement du gland qui excitait mon minou chaque fois qu’il s’enfonçait. J’encourageais Bertrand, entre deux gémissements suggestifs :

Oh, vas-y, défonce-moi ! Qu’est-ce que tu attends ?

Attention, on peut t’entendre, répondit Bertrand, timoré et craignant d’être surpris, baisant l’invitée de ses patrons.

Et alors ? Dans la chambre à côté, il y a Carine, et ce n’est pas elle qui serait surprise de m’entendre jouir.

Cette fois, Bertrand se lâcha, et se mit à aller et venir dans ma chatte, me projetant en l’air à chaque coup de reins.

C’était trop bon. Je sentais que j’étais partie pour une longue série d’orgasmes, et je ne me retins pas. Je laissai le plaisir m’emporter, en criant.

Oooh ! Je prends mon pied, c’est géant !… Oui, oui… Attends, retiens-toi, j’ai envie que tu me prennes encore, autrement.

Je me relevai pour permettre à Bertrand de se dégager, et je me mis à genoux, lui offrant mon cul et ma fente luisante de mouille.

Bertrand me pénétra brutalement, d’une seule poussée. Même si j’étais prête à cet assaut, la taille de sa bite m’arracha un gémissement de surprise.

Mais aussitôt, le désir et ma soif de jouissance reprirent le dessus. Je ne fus pas déçue ! Bertrand me labourait maintenant le ventre, avec une force incroyable. J’eus un nouvel orgasme, violent, incontrôlable…

… suivi quelques instants après d’un autre, qui monta alors que les spasmes de mon plaisir s’étaient à peine apaisés.

Bertrand se retenait toujours, mais je sentais que cela ne durerait plus très longtemps.

Cette fois, ce fut lui qui prit l’initiative d’un changement de position. Je me retrouvai sur le dos, jambes écartelées. Je pris un air de petite fille apeurée pour lui dire :

Mais qu’est-ce que tu vas me faire ? Je ne suis qu’une frêle jeune fille, tu m’as déjà fait jouir trois fois…

Je voulais l’exciter, et le provoquer : je réussis au-delà de mes espérances ! Il passa ses bras sous mes jambes pour m’obliger à me cambrer et me pénétrer plus profondément.

Une frêle jeune fille ? C’est toi qui as pris l’initiative ! protesta-t-il. Et bien maintenant, tu vas voir, je vais te faire jouir encore plus fort.

Et il se mit à me tringler avec une énergie inouïe.

Mon corps se déplaçait maintenant dans tous les sens sur le lit, au rythme de ses coups de reins. J’avais l’impression de ne plus être qu’une chatte trempée de cyprine, et mes sensations se réduisaient au contact du gland et de la tige de Bertrand, coulissant en moi.

J’étais dans un état second, à la limite de l’orgasme, mais je voulais le sentir gicler. Je pétrissais ses fesses, je labourais son dos avec mes ongles, en murmurant à son oreille, entre mes plaintes :

Viens, je t’en prie… Oh, viens maintenant !… Je veux sentir ton foutre m’inonder, et jouir en même temps que toi.

Je n’eus pas à attendre longtemps ! Bertrand lâcha sa semence, en rugissant de plaisir, et le sentir se répandre en moi provoqua chez moi un dernier orgasme… très sonore !

Il s’effondra sur moi, et nous restâmes ainsi une longue minute, haletant tous les deux, les yeux mi-clos.

Lorsqu’il se dégagea, je lui présentai le spectacle de ma fente, d’où s’échappait un long filet de sperme épais.

Regarde ce que tu as fait : tu n’as pas honte ? lui demandai-je sur le ton de la plaisanterie.

Pour toute réponse, il me souleva comme un fétu de paille, et me mit sur ses épaules. Son visage se retrouva enfoui entre mes cuisses, et je le sentis embrasser ma chatte, et lécher ma sève et son jus mêlés qui s’en écoulaient, tout en titillant mon clito.

Je riais, surprise et ravie par cette caresse après l’amour, pour moi inédite !

C’est à ce moment que la porte de ma chambre s’ouvrit. C’était Carine…

Eh bien, on ne s’ennuie pas !

Tu nous as entendus ? lui répondis-je en continuant de rire.

Il faudrait être sourde, Chloé, tu as sonorisé toute la maison, et je suis sûre que personne n’ignore ce que tu faisais.

Bertrand me reposa, en considérant Carine avec une certaine incrédulité : elle était entièrement nue, et ne manifestait aucune gêne de se montrer ainsi. Bien au contraire, s’amusant du regard incrédule de Bertrand, elle prit la pose pour qu’il puisse la mater à loisir.

Je te plais ? lança Carine à Bertrand.

Bien sûr, répondit-il – et je ne vois pas comment il aurait pu dire le contraire !

Autant que Chloé ? insista Carine.

Mais oui !

Alors, fais-moi l’amour aussi, et fais-moi jouir aussi fort que Chloé.

Bertrand n’avait aucunement envie de refuser une telle proposition, mais il n’était pas en état de satisfaire Carine aussi rapidement, après l’effort qu’il venait de fournir !

J’intervins, car je le sentais blessé dans son amour-propre de ne pas pouvoir s’exécuter immédiatement.

Je crois que Bertrand a besoin de récupérer, et on peut sans doute l’aider en le ″chauffant″ un peu toutes les deux.

Bonne idée, répondit Carine.

Nous nous installâmes toutes les deux sur le lit, et Carine lança à Bertrand des regards aguicheurs, alors que nous étions enlacées. Nous l’avons regardé ensemble dans les yeux, pour lui demander :

Ça t’exciterait de nous voir nous caresser ?

C’est une bonne idée, ça ne se refuse pas, approuva Bertrand, qui retrouvait un peu d’assurance.

Carine s’abandonna à mes caresses, d’autant plus volontiers qu’elle éprouvait un intense désir de sexe, après m’avoir écoutée manifester mon plaisir pendant près d’une heure.

Elle prit une pose lascive pendant que je commençais à effleurer son mont de Vénus et à embrasser et lécher ses seins.

Je sentais sa poitrine durcir, et ses tétons se dresser sous ma langue. Elle se pencha en arrière pour faciliter mes caresses, et elle m’offrit ses lèvres.

Mon majeur se glissa dans sa fente et elle poussa un petit gémissement de plaisir.

Elle s’allongea complètement, les yeux mi-clos, les cuisses écartées, et je lui prodiguai un long cunnilingus, pendant qu’elle malaxait ses seins.

Nous roulâmes sur le lit, et je me retrouvais étendue sur le dos. Carine se rua sur moi, et vint chevaucher mon visage.

Lèche-moi mon minou… Oui, comme ça, j’aime… Pelote mes nichons, j’aime sentir tes mains, feula-t-elle.

Au bout de quelques minutes, nous entendîmes la voix de Bertrand :

Vous pourriez vous occuper aussi de moi ?

Carine se mit debout, le souffle court, et je l’imitai. Nous nous sommes placées de chaque côté de Bertrand, et nous avons commencé à explorer son corps musclé.

Peu à peu, sa verge retrouvait de la rigidité et, même s’il ne bandait pas complètement, elle avait repris une taille respectable, à l’horizontale. Nous avons décidé de finir de la remettre en forme, par une double caresse buccale.

Nous le regardions, avec un air pervers, tout en jouant de la langue sur la longue hampe, et autour du gland qui gonflait toujours plus.

Carine prenait de plus en plus l’initiative. Elle branlait sensuellement Bertrand, et elle lui demanda :

Ça te plaît ce qu’on te fait toutes les deux ?

Oui, grogna Bertrand dans un souffle.

J’ai très envie de te sucer… avoua Carine.

Non, moi d’abord, dis-je pour les exciter davantage tous les deux, et je pris la bite dans ma bouche.

Il s’ensuivit un joyeux chahut. Bertrand tomba sur le lit, moi sur lui, et Carine se précipita pour pomper goulûment la verge sombre, dressée maintenant à la verticale.

Je continuais à tenter de reprendre l’avantage, mais Bertrand parvint à se dégager. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux, en levrette au bord du lit, présentant nos chattes.

Bertrand, je veux ta queue ! C’est mon tour, s’écria Carine.

Mais moi, j’en voudrais bien encore aussi, répliquai-je en riant.

Non, toi, il t’a déjà fait jouir, c’est à moi !

Bertrand interrompit ce simulacre de dispute en guidant son dard vers la fente offerte de Carine.

J’étais coincée sous Carine, sans pouvoir me dégager.

Bertrand allait et venait maintenant avec force en elle. Secouée par ses coups de boutoir, elle ne pouvait pas trouver son équilibre, et prenait appui de tout son corps sur moi. J’étais obligée de la maintenir par les pieds pour qu’elle ne tombe pas, et je sentais ses seins frotter en cadence contre mon corps.

La position était trop instable.

Bertrand s’installa sur le canapé, et Carine vint sur lui, à califourchon. Je trouvais très excitant de la guider pour que sa chatte vienne s’emboîter sur la bite de Bertrand.

C’était au tour de Carine de se déchaîner, me réduisant au rôle de spectatrice.

Je la contemplais, chevauchant Bertrand comme une furie. Bientôt, elle jouit, tout aussi bruyamment que je l’avais fait moi-même. J’imaginais sans difficulté ce qu’elle éprouvait, et je voulus rentrer moi aussi, d’une autre manière, dans la partie.

J’allais chercher un gode dans ma valise. Je le suçais doucement en regardant le couple en action, et je demandai à Carine :

Ça te dirait, cet engin dans ton petit trou, pendant que Bertrand pilonne ton abricot ?

Espèce de cochonne, répondit Carine. Tu sais très bien que je vais te dire oui.

Je m’approchai d’eux, et je préparai la rosette de ma copine avec ma langue et ma salive, en approchant doucement le gode.

Carine se cambra quand le sex-toy s’enfonça dans son cul. Aussitôt, Bertrand redoubla ses assauts, et les cris de Carine grimpèrent dans les aigus.

A ce moment, je mis le gode en mode vibrant, et elle explosa dans un orgasme impressionnant. Ses cris ne firent que nous exciter davantage, Bertrand et moi, et nous sommes arrivés à nous synchroniser.

La jouissance de Carine ressemblait à un tsunami, les orgasmes se succédant sans qu’elle arrive à se calmer. Bertrand ne pouvait plus se retenir.

Il nous prit par les épaules pour nous faire mettre à genoux, face à lui. Carine et moi savions ce qui nous attendait : nous ouvrîmes la bouche pour recevoir les longs jets de sperme.

Malgré la quantité de semence que Bertrand avait déversée peu de temps avant dans ma chatte, je fus surprise par la violence de son éjaculation. Carine empoigna sa bite pour la sucer encore, et recevoir sa ration de foutre.

Elle fut gâtée, et je regardais son visage triomphant, maculé du jus qui coulait sur ses joues et son menton, et tombait sur ses seins.

Après un court moment de récupération, nous sommes restées nues toutes les deux pour déjeuner, tandis que Bertrand retournait précipitamment vers l’office, craignant que sa longue absence n’attire des soupçons.

Quand il revint pour récupérer les plateaux, Carine et moi discutions de nos projets pour la journée. Wendy nous avait proposé de nous reposer aujourd’hui au bord de la piscine, pour récupérer des fatigues du voyage, avant de visiter la région. Nous nous demandions si nous pouvions porter dans la propriété les micromaillots que nous avions emportés, quand Bertrand intervint :

Si vous voulez, je crois que vous pouvez même vous passer de maillot. Il n’y a personne dans la maison et de toute façon, la belle-mère de Mademoiselle Wendy fait souvent du bronzage intégral.

Voilà une situation qui nous plaisait à toutes les deux !

Après être retournées dans nos chambres respectives pour une bonne douche, nous nous sommes simplement enroulées dans une serviette pour descendre à la piscine.

Nous étions en train d’échanger nos impressions sur la manière dont la journée avait commencé avec Bertrand quand Wendy vint nous rejoindre. Nous étions étendues, en tenue d’Eve, sur des transats. Elle portait un bikini, bien sage… bien trop sage à nos yeux !

Eh bien, je vois que vous vous êtes mises à l’aise, remarqua Wendy avec un grand sourire.

Oui, répondit Carine. Il ne fallait pas ?

Mais si, au contraire. D’ailleurs, la femme de mon père fait parfois du nudisme.

Et toi ? Tu n’enlèves jamais ton maillot ? demandai-je.

A vrai dire… Rarement ici. Ça me fait un effet bizarre de montrer mon corps dans la maison de famille, répondit Wendy, visiblement mal à l’aise.

Allez, fais-nous plaisir ! Enlève ton bikini et viens nous rejoindre, lui lança Carine. Chloé sait que je t’ai déjà vue à poil, et qu’on fait l’amour ensemble.

Oui, allez Wendy, ajoutai-je. C’est trop bon d’être nue ! Vas-y, enlève-le !

Avec une expression gênée, Wendy commença à dégrafer son soutien-gorge.

Ses seins en poire étaient superbes. Ferme, avec de petites pointes sombres qui se dressaient vers le ciel.

Elle avait du mal à aller plus loin. Mais après de bruyants encouragements, elle se décida à baisser le bas, peut-être pour éviter que nos cris n’ameutent le personnel.

Ce fut long, mais enfin, elle glissa son slip jusque sur ses chevilles.

Nue, elle resta un moment immobile, pendant que nous l’applaudissions. Nous profitions toutes les deux de ce spectacle. Je pensais que Carine n’avait pas dû s’embêter avec cette fille au corps de déesse, et je me pris à rêver d’une partouze avec elle.

Elle vint finalement nous rejoindre et se détendit petit à petit.

Après une heure de bronzette, le portable de Wendy sonna. Elle décrocha, et nous avons suivi ses réponses, sans entendre son correspondant.

Oui, c’est très gentil de m’inviter, mais j’ai deux amies en ce moment chez nous… Ah, vous saviez ?… Si, elles accepteraient de venir ? Je vais leur demander, et je vous rappelle.

Elle raccrocha et se tourna vers nous.

C’est Antoine. Son père est le patron d’une grosse société pétrolière avec laquelle notre pays a traité une concession. La famille a une superbe propriété en bord de mer, et il nous invite pour y faire la fête. Ça vous tente ?

Quelle question, répondîmes-nous d’une seule voix ! Tu as l’air réticente, pourquoi ?

C’est que… bredouilla Wendy, il a la réputation d’être un play-boy, et d’organiser des soirées très… sexe !

Raison de plus pour accepter ! m’exclamai-je.

Wendy rappela pour confirmer notre accord,et fixer l’heure à laquelle nous serions attendues le samedi suivant…

A suivre…

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